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Vacances estivales en camping naturiste.

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Depuis que nos enfants sont de grands adolescents, ils ne passent plus les vacances d’été en famille... Ils sont libres de leurs mouvements...à 19 pour notre fille Agnès et à 18 ans pour les jumeaux Alexis et Armand, c’est un peu normal !
Quelques années après leur naissance, nous avions cessé de fréquenter les clubs naturistes que nous connaissions alors jeunes mariés. D’ailleurs, notre rencontre avait eu lieu au Camping de la Pinède sur une des îles du Levant... J’avais 22 ans et Fabiane 19 ans...
Livrer nos corps entièrement dénudés au chaud soleil, cela nous manquait !
Si bien que cette année, nous avons réservé un bungalow dans un camping naturiste situé au bord de la Cèze.
Les renseignements que nous avions reçus à l’automne précédent quand nous avons commencé à ébaucher nos projets de vacances estivales nous avaient paru intéressants...
Bref, en février, nous avions réservé pour les trois premières semaines du mois d’août...
Avec mon épouse, nous avons un emploi de cadres de direction dans deux entreprises différentes, mais proches de la zone industrielle de Rungis, et nous habitons une grande maison individuelle très confortable dans l’Essonne.
Après avoir fait la route de nuit en nous relayant régulièrement, nous arrivons au camping de la Sablière en milieu de matinée du samedi... Depuis la dernière ville traversée, nous commencions à penser que nous nous étions fourvoyés et que le navigateur nous avait perdus dans la campagne... Mais non... comme beaucoup de ces établissements, l’isolement était recherché...
Après une installation rapide et des achats de nécessité à la supérette du camping, nous adoptons la tenue minimum. Munis de grandes serviettes et de produits anti-soleil, nous nous dirigeons vers la piscine la plus proche où il y a pas mal de monde à profiter des rayons du soleil.
L’eau bleu turquoise de la piscine nous attire aussitôt, et après avoir fait quelques longueurs, ma femme m’invite à faire connaissance avec les lieux, et nous descendons vers la plage de la rivière.
Les lieux correspondent exactement aux photos du dépliant et diverses descriptions... mais ce qui n’avait pas été précisé, c’est la tenue des vacanciers qui se prélassaient sur des matelas de plage au bord et dans l’eau : LA NUDITE INTEGRALE !
Rien de choquant pour nous, car, en plus d’être NATURISTES, nous sommes aussi ECHANGISTES... donc, la nudité ne nous gêne absolument pas...
Dans la tranche de la quarantaine, nous n’avons pas à rougir de nos corps... Ma femme Fabiane est une grande fille brune du soleil à la peau hâlée toute l’année, car elle passe au moins deux fois par mois dans un institut de beauté où elle se fait « chouchouter »... cabine de bronzage, ongles, épilation des aisselles et du bas-ventre où elle ne laisse subsister qu’une mince bande de poils.

Elle a une jolie poitrine (85 B) haut placée et bien ferme malgré l’allaitement de nos trois enfants. Le visage ovale, les lèvres pulpeuses, un nez droit, des yeux bleus foncés et une abondante chevelure brune tombant sur les épaules complètent son portrait.
Je me prénomme Aurélien. Un peu plus âgé, je suis également d’origine méridionale. Adepte de plusieurs sports dans mon adolescence, j’ai conservé une silhouette aux muscles finement dessinés, mais au fil des ans et les repas d’affaires quelque peu copieux m’ont laissé une petite brioche que mon épouse Fabiane apprécie... Les cheveux noirs mélangés de filets gris (atavisme familial) et légèrement ondulés, j’ai un visage carré, et des rides d’expression commencent à apparaître au coin des yeux marron, ombragés par des sourcils bien fournis. J’ai le torse garni d’une légère toison brune et une taille étroite.
Sur la plage, j’attire l’attention de Fabiane sur un couple enlacé sur deux matelas de plage... La fille est placée sur le côté en chien de fusil et son compagnon est derrière elle dans la même posture... Ils ne bougent pas, mais... c’est hyperchaud...
Fabiane me répond alors :
— Où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir... Pourquoi se gêneraient-ils ? Il n’y a pas d’enfants à proximité ; et... qui te dit qu’ils sont en train de se faire une gâterie ? Ils se font peut-être un simple câlin !— C’est sur... mais la pose...— Bof... moi ça me met la chatte en ébullition... Nous avons été trop occupés ces dernières semaines pour sortir et tu m’as quelque peu boudée, au point que j’ai dû me goder la chatte plus d’une fois sous la douche !— NON ! Moi, j’ai fait des réserves pour nos vacances... Tu vas voir à la sieste !— Ah bon ? Je te prends au mot !
Nous remontons bras dessus bras dessous jusqu’à notre bungalow et je sens avec bonheur la hanche de Fabiane heurter la mienne au gré de nos pas...
Avant de passer à table à la cafette, nous enfilons la tenue recommandée : paréo pour ma femme et bermuda + liquette pour moi ; cela pour que le personnel ne se trouve pas gêné par la nudité des estivants.
Nous prenons place à une table pour quatre et nous ne tardons pas à voir arriver le couple que nous avons remarqué sur la plage.
L’homme nous demande s’ils peuvent s’installer avec nous, et précise que c’est un peu la coutume du camping ; les nouveaux arrivants sont accueillis par les clients qui sont là depuis quelques jours... L’accueil officiel des nouveaux se faisant le soir du premier jour.
— Je me présente... Je suis Kurt... avec Lisa, ma femme, nous venons d’Allemagne. Nous sommes arrivés en milieu de semaine pour un peu plus de 15 jours.— Enchantés... Prenez place, nous allons faire connaissance. Je m’appelle Aurélien et ma femme, c’est Fabiane.
Kurt s’exprime dans un français parfait, quoique teinté d’un léger accent... Lisa a plus de difficultés et cherche parfois ses mots.
Si avec Fabiane nos origines méridionales sont flagrantes, celles de Lisa et Kurt le sont aussi...
Agée d’une quarantaine d’années comme nous, Lisa est blonde comme les blés, de grands yeux verts illuminent son visage... la bouche rieuse aux lèvres ourlées est légèrement fardée de rose... La silhouette est allongée... Lisa mesure au moins 1,70 mètre... et ce que je remarque d’un regard indiscret sous son T-shirt, c’est une volumineuse poitrine, ronde et légèrement tombante. Les hanches sont également larges sous une taille étroite...
En moi-même, je pense aussitôt que je la trouve TRES appétissante.
Kurt est plus quelconque et passerait inaperçu dans une foule. Grand et blond également, il a les cheveux presque rasés, des yeux gris, dans lesquels brûle une flamme quand il regarde ma femme... (Oh... le coquin...)
C’est vrai que le contraste entre les deux femmes est saisissant... Une blonde aux formes callipyges et une brune très typée méditerranéenne avec des formes plus menues...
Tout en mangeant, nous faisons plus amplement connaissance. Ce couple d’Allemands vient de Bavière, ils ont deux jeunes enfants confiés aux grands-parents (pour leur plus grand plaisir...) et exercent ensemble la profession d’architecte.
Le repas est vite expédié et nous prenons congé de nos nouveaux amis... Je pense que tout comme ma femme et moi, ils se préparent pour une sieste crapuleuse.
Pour nous, elle sera la bienvenue, car la fatigue de la route se fait sentir... et j’ai promis quelque chose à Fabiane...
Aussitôt la porte du bungalow refermée, je la plaque contre une des parois, je dénoue son paréo qui glisse à terre. Ensuite, je lui fais sentir mon érection en frottant mon pubis contre le sien.
— Dis donc mon cochon... c’est cette Allemande qui te met dans cet état ?— Non... j’ai simplement envie de te sauter comme une chienne que tu es ! J’ai vu lors de notre dernière sortie comment tu t’étais fait prendre en double... une vraie chienne, une bite dans le cul et une autre dans la bouche !— Et alors ? N’est-ce pas toi qui m’as entraînée dans ces lieux de perdition ?— Si... j’en conviens... mais je préfère te voir prise en club plutôt que tu me trompes dans mon dos ! J’y trouve mon compte aussi puisque je baise aussi les femmes qui veulent bien de moi !— Tu as raison... comme cela, chacun sait que l’autre baise ailleurs...
Pendant ce temps, Fabiane m’a débarrassé de mes vêtements et s’est agenouillée devant moi pour emboucher mon sexe déjà turgescent ! Waouh ! Quelle bouche vorace ! Mais je ne veux pas me lâcher ainsi... Ce que je veux, c’est inonder sa chatte de ma semence...
Tout en la maintenant contre moi, je la dirige vers le coin « salle à manger » où se trouve une solide table, genre table de ferme avec un plateau épais. Après l’avoir retournée, j’allonge son buste sur le dessus de table pendant que je glisse la tranche de ma main gauche entre ses fesses et je découvre sa chatte déjà ruisselante de mouille.
— Salope ! Tu mouilles déjà ! C’est ce beau téton qui te met la chatte en ébullition ?— NON... c’est que... depuis le début du repas... l’idée que tu vas m’enfiler comme une bête ! Humm... j’adore !— Tu ne crois pas si bien dire ! Je vais te baiser par-derrière et tu vas sentir comme c’est bon de se faire remplir ainsi.— Oh oui... Vide-toi en moi !
Comme je n’ai pas débandé depuis la pipe rapide de Fabiane, je n’ai pas besoin de chercher... D’un coup de reins puissant, je me loge d’une seule poussée dans son sexe, faisant claquer mes cuisses contre ses fesses.
— Salaud ! Pas de préparation ! On dirait que tu me violes !— Pas besoin... tu es assez mouillée comme ça ! Et puis, n’est-ce pas ce que tu voulais ? Un peu de rudesse ?— Si...— Alors...ça va être la fête à ton cul !— Oouuuiiiiiiiiiii ! Baise-moi... ne me fais plus attendre !
Je prends la taille de Fabiane entre mes mains et je commence le va-et-vient doucement puis de plus en plus vite... Ma belle queue (20 centimètres de long, pour près de six centimètres de diamètre) entre comme une bielle bien huilée dans le sexe de ma femme, laquelle a dirigé sa main droite vers son pubis pour caresser son clitoris que notre position ne stimule pas...
Je me retiens de jouir comme je le fais souvent, laissant une première jouissance emporter ma partenaire avant de reprendre le coït pour finir en apothéose, recherchant un plaisir partagé !
Lorsque j’inonde le fond de la chatte de Fabiane, celle-ci exprime haut et fort son plaisir rugissant au point que nos voisins les plus proches doivent l’entendre...
— Tu es satisfaite ?— Oui... allons sur le lit et faisons la sieste... Nous avons besoin de récupérer un peu de sommeil. Il nous faut être en forme pour la nuit prochaine !— Ça marche ! Le séjour ne fait que commencer...
Curieusement, nous avons adopté la même posture que le couple d’Allemands lorsque nous les avons découverts sur la plage... Fabiane loge ses fesses contre mon bas-ventre et presque inconsciemment, elle met mon sexe entre ses fesses. D’une main, j’empaume un de ses seins, et il ne se passe pas cinq minutes avant que le sommeil nous emporte...
Il est bientôt 17 heures quand nous nous réveillons... Nous convenons que cela va être la bonne heure pour commencer à bronzer au bord de la piscine... Le soleil chauffera moins... Fabiane me répond :
— OK pour moi, n’oublions pas la crème solaire... Mais d’abord, fais-moi minette ! Je veux que ma chatte suinte lorsque les rayons du soleil darderont entre mes cuisses ouvertes.— T’es vraiment une salope... Tu veux attirer les mecs !— Et alors... tu ne vas pas te priver de reluquer les gonzesses !
Je ne réponds pas, car j’ai la bouche occupée dans l’entrejambe de Fabiane. Lorsque des coups sont frappés à notre porte... avant que nous ayons le temps de nous séparer et d’adopter une posture plus civilisée, celle-ci s’ouvre brusquement et Lisa entre comme en pays conquis. Elle dit avec son accent charmant :
— Oh... les coquins... je vous dérange... ich entschuldige mich [je m’excuse], trop vite entrée...— NON... Aurélien avait fini... il voulait m’envoyer en l’air comme une grande avant d’aller bronzer...— Envoyée en l’air... c’est quoi ?— C’est faire jouir... en allemand on dit : Sie wollte nur mit einem in die Kiste springen !— Ach so... Prima...[Ah bon !]
Nous sommes nus tous les trois et nous nous regardons intensément. Je suis obnubilé par les seins de l’Allemande... que je jauge en moi-même : au moins du 95C ou D ! Et elle reluque mon sexe dressé devant mon pubis en sortant sa langue entre ses lèvres :
— Oh, was für ein schönes Geschlecht, sehr groß und lang... [Oh ! Quel beau sexe, très gros et long !] Je peux... toucher ?— Bien sûr ! N’attends pas... il est seulement à moitié de sa forme.
Sur ces paroles de Fabiane, Lisa s’empare de ma bite d’une main et soupèse mes couilles de l’autre. Bien évidemment, Popaul continue son développement sous les caresses de Lisa.
— Oh, il est beau ! Mon homme est plus fin. Vous venez de baiser... es ist klebrig [il est collant].— OUI, juste avant de commencer la sieste. Il m’a baisée par-derrière !— Il t’a... Gegen dem Tisch abgelegt und sodomiert ? [Couchée sur la table et sodomisée]— NON... Il m’a baisé la chatte ! Mais je suis aussi ouverte derrière !— Seht interessant ! [Très intéressant]
Fabiane, décidée à mettre fin à la situation, car elle veut aller au solarium, demande d’une manière abrupte à Lisa ce qu’elle veut.
— Mon homme veut vous inviter vous pour digestif après le dîner ! Nous faire fiesta avec autre couple allemand très sympa.
Cette invitation cachait à n’en pas douter quelque chose qui risquait de tourner à l’orgie... Je connais suffisamment les Allemands (et les allemandes...) pour savoir que quand ils se lâchent, cela devient vite torride !
— OK... Dis-nous l’heure ; et à quel endroit !— 21 heures 30, et bungalow 12, près de la piscine du haut.
Lisa partie, je me tourne vers Fabiane :
— Ça ressemble fort à une invitation pour une partouze !— Bof... on verra bien quelle tournure cela va prendre ! En attendant, je vais bronzer au bord de la piscine du bas... Elle semble moins fréquentée.— C’est comme tu veux... Je vais aller reconnaître les installations sportives après être passé à l’accueil.— Sois sage, grand coquin...— Toi aussi ! Garde des réserves... je suis en manque et cette soirée qui s’annonce... humm !— Si j’ai bien compris ce qu’a dit Lisa, on sera à égalité : trois femmes pour trois hommes !— Ne me dis pas que tu as déjà l’esprit mal tourné... Tu sais bien qu’être naturiste ne veut pas forcément dire être échangiste !— Je sais... Il m’a fallu plus de 15 ans pour te convaincre d’aller dans un club coquin et encore au moins deux ans pour que tu acceptes de baiser avec un autre que moi !— Je sais... que de temps perdu ! Depuis, j’ai pris un certain nombre de coups de queue dans ma chatte et dans mon cul... Soit dit en passant, heureusement que tu as su me préparer à la sodomie, car certains de ces messieurs ne sont pas très doux !— Tu vois... ce n’est pas si terrible !— Mais ce que je préfère avant tout, c’est quand tu me baises la chatte ou la bouche et que tu te déverses tout au fond... Sentir les giclées buter contre la capote, c’est moins jouissif !— Hélas, on ne sait jamais qui l’on va rencontrer. Nous avons bien fait de faire un test HIV avant de partir... Si ce que je pressens se confirme... j’espère qu’ils sont clean également !
Après avoir enduit le corps de Fabiane de produit antisolaire, c’est sur un dernier baiser langoureux que je la quitte la laissant seule sur un transat au bord de la piscine.
J’ai bien du mal à dissimuler une érection triomphante derrière le minuscule triangle de tissu qui est censé me servir de cache-sexe, mais chemin faisant, je constate que beaucoup d’hommes et de femmes ne le portent pas... Il est simplement noué autour du poignet...
J’en fais autant... Pourquoi se gêner ?
Mon érection retombe à moitié, mais je perçois des regards appuyés lorsque je croise un couple ou des femmes seules... Depuis toujours, mon « service trois-pièces » a attiré les regards des filles et de quelques hommes... mais cela, cela ne marche pas !
Quand je passe à côté de trois jeunes filles (elles ont certainement autour de 18 ans), je les vois baisser les yeux vers mon entrejambe et l’une d’elles s’esclaffe :
— V’s’avez vu le mec, comment il est monté !— Oui... et encore il est au repos !— Qu’est-ce que ça doit être quand il bande !
Je me retourne et je vois trois petits culs bronzés et hilares à quelques mètres... Ces trois coquines semblent se concerter...
Je les interpelle :
— Vous voulez voir Popaul en pleine forme ?
Celle qui semble la plus délurée s’approche et répond :
— Pourquoi pas ? Branler un mec pour le faire bander, ça me connaît. Venez Sylvie et Caro, on va trouver un coin discret et je vais m’occuper de Monsieur.— Ne cherche pas Véro, je sais où aller ! Jeudi dernier, mon voisin de la tente à côté de la nôtre m’a dépucelée dans un coin à l’abri des regards... on est juste à côté !
Je leur dis :
— Guide-nous... on te suit.
Nous nous enfonçons tous les quatre entre les sapins, suivant une sorte de sentier qui laissait supposer que le lieu était connu pour abriter des étreintes coupables... Arrivés sur place, il y a à peine de quoi étendre une couverture au sol, mais c’est bien assez ! Je m’adosse au tronc d’un sapin et je dis à Véro :
— Montre-moi ce que tu sais faire !
Effectivement, cette jeune salope sait y faire... Elle commence par me tripoter la bite et les burnes en disant qu’elle n’avait jamais vu de mec rasé comme moi et que c’était vachement excitant.
Ensuite, elle engloutit la majeure partie de ma queue pour l’enduire de salive et elle commence à me branler à deux mains en gardant l’extrémité au chaud dans sa bouche. Mon sexe va, et vient dans ses paumes dans lesquelles elle crache de temps en temps pour les humidifier... Mon sexe atteint des dimensions peu communes et l’excitation monte encore d’un cran...
Véro appelle ses copines à la rescousse en leur demandant de cracher dans ses paumes, car elle n’a plus de salive... Elles vont même plus loin puisque Caro s’agenouille devant moi pour venir me lécher les burnes pendant que Sylvie les triture pour faire rouler les roustons dans leur gaine...
Oulla ! Que c’est bon !
Mon plaisir monte...
— Attention, les filles, je vais partir...
Véro dit alors :
— Vas-y... Ne gâche pas la marchandise... lâche toi sur nos jeunes poitrines... On dit que le sperme raffermit les seins !— Oh, à votre âge, vous avez le temps d’y penser...
Je leur sers une copieuse rasade de sperme, pendant qu’elles caressent leur pubis...
Cela faisait longtemps que je n’avais pas été excité à ce point. Généralement, je ne m’attaque pas aux minettes, car les risques sont trop grands...
Soudain, Sylvie se tourne vers moi en me regardant droit dans les yeux, elle dit :
— Caro et Véro ne sont plus vierges... J’ai trop envie de ton gros machin !— NON ma belle Sylvie... Tu me flattes en t’offrant ainsi, mais tu es trop jeune pour moi. Le mec qui a dépucelé Caro a dit avoir 20 ans... c’est dans vos âges... ne confonds pas tout... Il y a une grande différence entre 20 ans et 45 pour moi !— Dommage ! Je trouverai bien quelqu’un d’ici la fin des vacances pour prendre mon pucelage ! Ce n’est pas le tout, on doit passer à la douche avant de retrouver les parents !
Elles s’éclipsent en riant et je quitte les lieux quelques minutes plus tard.
En moi-même, je pensai alors que ces trois jeunettes avaient de l’avenir... Véro, avec ses 18 ans fraîchement fêtés, était déjà une fameuse pipeuse... Je suis sûr que si mon sexe n’avait pas été aussi imposant, elle était tout à fait capable de faire une gorge profonde. Quant aux deux autres, elles savaient comment faire monter la sauce...
Je n’en revenais pas de voir combien ces gamines étaient délurées... Je ne pus m’empêcher de penser à notre fille Agnès...À 19 ans... A-t-elle déjà vu le loup ? Il faudra que je demande à Fabiane... Entre mère et fille, il y a des secrets qui n’en sont pas...
Lorsque j’arrive près de la piscine inférieure, je vois Fabiane en grande conversation avec deux hommes à peine âgés de 30 ans... Je passe à proximité sans rien dire et la déranger... Je saurai le fin mot de l’histoire dans quelque temps... Moi aussi, j’ai des choses à lui raconter...
En fait, les deux mecs lui proposaient une partie à trois pour le soir même... Pas de chance... nous avions déjà quelque chose de prévu !
(A suivre.)
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