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Vacances d'été en famille.

Chapitre 2

Chaleurs estivales

Inceste
Nous venons de quitter le grand centre commercial où nous avons acheté quelques vêtements, ma mère et moi, et nous sommes en train de nous installer dans le break familial. Depuis qu’elle a payé ses achats à la caisse du dernier magasin que nous avons visité, Nadine (c’est le prénom de maman) a un comportement plutôt bizarre. Sous prétexte de chaleur insupportable, elle vient notamment de retirer le string qu’elle portait sous sa mini-jupe. Du coup, je me suis dit qu’elle n’avait pas forcément toute la sérénité nécessaire pour prendre le volant et qu’il était donc préférable que je conduise pour le trajet du retour.
Je suis moi même plutôt fébrile mais je parviens néanmoins à m’installer à peu près confortablement au volant du véhicule. Maman s’adresse alors à moi. — Je ne sais pas ce qui m’arrive mon chéri, mais depuis que j’ai passé le cap de la quarantaine en début d’année dernière, j’ai de temps en temps des bouffées de désir incontrôlables qui me font perdre le sens de la mesure. Il faut dire qu’avec ton père, nous avons toujours été sexuellement très actifs. Plus précisément, je ne me rappelle pas d’un jour où nous n’avons pas fait l’amour depuis que nous vivons ensemble, sauf bien sûr lorsque nous sommes séparés, comme en ce moment.
Je démarre la voiture et quitte l’emplacement de parking avant de répondre. — Ne t’en fais pas maman. Je comprends très bien ce que tu essaies de me dire. Je trouve ça très cool que tu aies conservé la libido de tes vingt ans. Et je pense que la chaleur estivale et le sentiment de liberté lié aux vacances ont forcément un impact sur le comportement des femmes sensuelles.En tout cas, tu n’as rien perdu de ta superbe malgré tes quarante et un ans. Tu es toujours extrêmement attirante et ce que tu portes en ce moment te rend encore plus désirable. — Je m’en doute mon coeur. Et j’avoue, qu’en ce moment, j’apprécierais beaucoup qu’un beau mâle vigoureux s’occupe de moi.
L’aveu de ma mère me trouble un peu et je me racle la gorge avant de faire une réponse que j’espère la plus anodine possible. — C’est bien dommage que papa ait dû rester à Paris à cause de son boulot.
Nadine hausse les épaules avant de rétorquer d’une voix acide. — Tu parles! Son projet professionnel du moment, c’est surtout de sauter la nouvelle secrétaire blonde de vingt-sept ans qu’il vient d’embaucher dans son service. J’ai l’habitude des infidélités de ton père mais c’est la première fois qu’il sèche une partie de nos vacances communes pour se taper une pétasse. Inutile de te dire que je l’ai un peu saumâtre.
Je préfère me taire jusqu’à ce que ma mère retrouve son calme. — Tu n’as qu’à lui rendre la pareille, lui dis-je alors bêtement avant de lui exposer ma proposition de vengeance.— Si tu veux, ce soir, on va danser ensemble. Tu ne devrais pas mettre bien longtemps à trouver un type prêt à partager un bon moment avec toi.Si tu gardes la tenue que tu portes actuellement, tu vas même avoir du mal à repousser tous les morts de faim qui vont t’aborder.

Je quitte la route des yeux quelques secondes pour regarder Nadine. Elle me fait un grand sourire. — Je te plais mon amour ? Me demande t-elle ingénument. La réponse me vient droit du coeur. — Tu plaisantes! J’ai beau pensé à des trucs tristes, j’arrive pas à débander depuis qu’on est parti du centre commercial.
Ma mère lâche un petit rire et continue son jeu quelque peu provocateur. — C’est le fait que j’ai retiré mon string qui t’excite mon amour ? Est-ce que ma chatte te plaît ? Ajoute-t-elle en soulevant sa jupe.
Je suis trop estomaqué pour pouvoir répondre quoi que ce soit. Ça ne perturbe pas vraiment Nadine qui revient alors sur les confidences que je lui ai faites, un peu plus tôt, à propos des appréciations de mes potes sur son physique.
— Est-ce que tu trouves, comme tes copains, que mes yeux puent le sexe et que j’ai l’air d’une vorace ? — ... — Tu sais, c’est vrai que j’adore me faire sodomiser et que je couine beaucoup quand ça arrive. Mais ce n’est pas trop le truc de ton père de planter sa queue dans mon fondement.
Ne sachant plus où me foutre, je décide de tenter une diversion pour calmer les divagations de ma mère. — Je suppose que c’est plus la tasse de thé de ton collègue avec lequel tu passes des bons moments à l’hôtel. — Comment es-tu au courant de ça, toi ? s’exclame Nadine sincèrement surprise.
Je lui parle donc de la fois où j’avais voulu lui rendre une visite impromptue à son travail et où je l’avais aperçue de loin, bras dessus, bras dessous, avec le jeune type de l’agence.
— Bon d’accord, je ne suis pas une sainte moi non plus, admet alors Nadine. Mais bon j’ai quelques excuses. Le comportement de ton père, d’abord. Et puis le garçon dont tu parles est un excellent amant particulièrement gâté par la nature.
Nadine sort alors son téléphone portable de son sac et, après quelques secondes de recherche, me présente une photo de son collègue nu en pleine érection. Et je dois reconnaître que l’engin du type est très impressionnant. En imaginant ma mère en train de se faire démonter par ce mandrin taille XXL, je bande encore plus fort.
— Mais toi, mon chéri... J’ai l’impression que tu te débrouilles plutôt bien avec les filles... ou les femmes d’expérience...
Je me tourne brièvement vers Nadine attendant ce qu’elle va me dire. — Figure toi que mon amie Stéphanie m’a parlé de votre petite soirée improvisée la veille de l’épreuve du bac. Elle avait l’air enchantée par ta prestation.
Même si la révélation de ma mère me gêne un peu, je ne peux m’empêcher de bomber le torse et d’éprouver une certaine fierté. Maman pose alors sa main sur ma cuisse me faisant sursauter légèrement.
— Tu es plutôt beau garçon mon chéri. Et d’après Stéphanie, un étalon vigoureux et endurant. Tu n’aurais pas envie de faire profiter ta maman adorée de ta fougue juvénile ?
Je ne peux éviter un léger écart lorsque ma mère prononce cette phrase alors que je sens que ma queue est au bord de l’explosion.— Tu es sérieuse là ! — Très! mon coeur. J’ai la chatte en feu depuis que tu es entré avec moi dans la cabine d’essayage du magasin.
Tout à coup, j’ai du mal à respirer alors que Nadine, de plus en plus incontrôlable, s’attaque à la braguette de mon bermuda et fait jaillir ma queue de mon caleçon. C’en est trop pour moi et après quelques mouvements de main de ma mère qui a entouré amoureusement mon manche avec ses longs doigts manucurés, je lâche la purée et asperge mon bermuda d’une abondante dose de foutre.
— Et bien dis-donc, mon amour! Tu étais drôlement excité pour éjaculer aussi rapidement.
N’y tenant plus, je repousse la main de ma mère, je remets comme je peux ma queue dans mon caleçon, et je plonge illico deux doigts entre les cuisses largement écartées de ma voisine. Nadine pousse un petit cri satisfait quand je commence à titiller son bouton turgescent. Tout en prenant garde à la route, je remercie mon père d’avoir opté pour un véhicule à boîte automatique qui me permet de garder ma main droite disponible pour faire du bien à ma passagère. Maman gémit de plus en plus bruyamment alors que mon annulaire vient de rejoindre les deux autres doigts dans son vagin trempé. Elle crie littéralement et j’accélère le mouvement jusqu’à ce qu’elle jouisse en arrosant le fauteuil d’un copieux jet de cyprine.J’extirpe ensuite délicatement mes phalanges de la grotte accueillante, permettant à Nadine, qui a les yeux clos et se laisse baigner par le plaisir que je viens de lui procurer, de recouvrer ses esprits.
Nous roulons en silence jusqu’à ce que je gare la voiture à l’emplacement situé devant notre maison de location. Pendant que maman ouvre la grille permettant d’accéder au petit jardin ombragé, je récupère les sacs de nos achats que je vais déposer dans le séjour. Sans se préoccuper de moi, ma mère se déshabille intégralement et enfile rapidement ses mules à talons avant de sortir dans le plus simple appareil pour se diriger vers la piscine.
— Dépêche toi mon amour, me dit elle en quittant la pièce. J’ai envie de nager un peu avec toi.
Je ne sais trop sur quel pied danser mais je finis par me mettre à poil, moi aussi, pour aller piquer une tête.
Dès que je me trouve dans l’eau fraîche, Nadine vient se coller à moi et attrape ma bite qu’elle se met à branler d’une main tout en entourant mon cou avec son bras libre.
Elle dépose un rapide baiser sur mes lèvre et approche sa bouche de mon oreille avant de murmurer doucement. — C’était délicieux ce que tu m’as fait dans la voiture mon chéri. Mais j’ai encore le feu au cul et ce coup-ci, j’aimerais bien avoir quelque chose de plus consistant entre les cuisses.
Je me dis alors qu’il est trop tard pour reculer et, de guerre lasse, je laisse la femme qui m’a mis au monde choper ma queue toute raide et l’introduire lentement dans sa foufoune béante.
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