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Vacances d'été en famille.

Chapitre 3

Maman a le feu au cul

Inceste
C’était la première fois de ma vie que je baisais dans une piscine, et je dois avouer que pour cette occasion, j’avais fait particulièrement fort puisque la femme que j’avais niquée n’était autre que Nadine, ma mère. Il est vrai que nous nous étions excités mutuellement tout l’après midi, tant et si bien qu’en regagnant la maison que mes parents avaient louée pour les vacances, la tension sexuelle était à son comble. C’était particulièrement le cas pour maman qui supportait très mal d’avoir été privée de partie de jambes en l’air depuis plusieurs jours en raison de l’absence de mon père "officiellement" retenu à son boulot.
Jusqu’à ce jour, j’avais toujours considéré ma mère avec le respect que tout bon fils doit à sa génitrice et je n’avais jamais eu la moindre pensée inconvenante la concernant. Mais notre séance d’emplettes dans un luxueux centre commercial de la région avait bien dégénéré et maman avait mis entre parenthèses tous ses principes d’éducation en me faisant du rentre-dedans. C’est pourquoi dès que je l’avais rejointe à poil dans l’eau fraîche et bienfaisante du bassin, elle avait attrapé ma bite qu’elle avait branlée avec application jusqu’à lui faire atteindre la taille et la raideur désirées afin de l’introduire dans sa chatte brûlante.
Bien que je n’aie que dix-neuf ans et quelques mois, j’ai déjà eu un certain nombre d’expériences amoureuses mais je n’étais encore jamais tombé sur une nana aussi affamée. Même Stéphanie, sa copine divorcée, qui m’avait invité à passer la soirée chez elle la veille de l’épreuve de maths du bac, s’était montrée moins chaude que ma mère. En répondant à l’appel de la chair dans la piscine, j’avais mis ma queue dans un sacré engrenage, et cette chère Nadine était bien disposée à pomper toute mon énergie quitte à transformer mes juteuses boules poilues en raisins secs.
Dans un premier temps, j’ai trouvé plutôt jouissif le fait de lui défoncer tous les orifices avec la fougue de ma jeunesse même si je subodore que nos voisins proches ne partagent pas mon avis car j’ai découvert, en la baisant, que ma mère est fort démonstrative lorsqu’elle prend du plaisir. Mais la deuxième nuit, mon gland était devenu de plus en plus irrité après que j’eusse limé ma chaude maman pendant des heures. J’avais éjaculé au moins cinq fois dans ses fourreaux intimes dont deux dans son trou du cul. Et heureusement pour mon chibre, son oeillet est plutôt bien alésé. Je suppose que ce sont les conséquences d’une pratique assidue de la sodomie avec ses amants plus ou moins occasionnels puisque d’après Nadine elle même, mon paternel n’est pas un fervent adepte de ce type de rapports.
Ce qui m’inquiétait particulièrement, à l’issue de cette partie de baise débridée, c’est que la veille, mon père nous avait laissé entendre qu’il ne nous rejoindrait pas avant plusieurs jours. Je pensai donc qu’il était urgent que je trouve une solution pour épargner mon système reproducteur mis en danger par l’appétit sexuel de ma mère.
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Le lendemain de cette nuit de folie, maman est de nouveau en pleine forme, prête à remettre le couvert, mais j’ai bien l’intention de laisser mes bijoux de famille au repos. C’est pourquoi, lorsque la femelle en chaleur réclame la saillie à son étalon, je me lance aussitôt dans un cunnilingus marathon au cours duquel je l’envoie au septième ciel à plusieurs reprises avant d’enchaîner sur un fist fucking qui la fait s’évanouir de plaisir. Je profite de ce calme éphémère pour proposer à maman de faire un tour à Nice, et notamment d’aller voir un film au cinéma lors de la séance de l’après midi. Et j’ajoute en espérant la convaincre:— Ensuite nous irons flâner et prendre un verre dans la vieille ville avant d’aller dîner sur la plage.
J’ai peur que ma mère me réponde qu’elle préfère profiter de la piscine et du vaste lit de la suite parentale pour s’éclater avec moi mais elle trouve finalement ma suggestion recevable et elle disparaît un bon moment dans la salle de bains pour se préparer.
Lorsqu’elle a terminé, je la vois revenir vêtue d’une mini jupe évasée marron qui ne cache pas grand chose de ses belles cuisses bronzées et d’un top dos nu blanc sans manche largement décolleté sur ses seins fermes et opulents dont les tétons pointent de façon indécente sous le tissu léger. Force est d’avouer qu’avec ses sandales marrons à brides et talons de treize centimètres, ma mère est une femme sacrément bandante, mais je fais en sorte de ne pas y penser.
C’est maman qui conduit la voiture lorsque nous allons à Nice. Lors du trajet, elle évoque ses souvenirs de jeunesse acquis lors de séjours familiaux effectués dans la région et, lorsque nous arrivons dans la grande ville, elle me fait une proposition.
— Je connais une petite salle d’Art et d’essai pas loin du centre. J’y allais avec tes grands-parents lorsque nous séjournions sur la côte. J’étais adolescente à l’époque et je me demande si le cinéma existe encore.
Une fois la voiture garée, nous nous rendons à la fameuse salle et en voyant la devanture, je constate que les gérants n’ont pas dû faire beaucoup de travaux depuis la dernière fois que ma mère y est allée. Même le film projeté n’a pas dû changer, me dis-je en voyant l’affiche. Il s’agit en effet d’un vieux navet érotique italien des années soixante-dix interdit aux moins de seize ans. Les deux actrices principales, une rousse flamboyante et une brune au regard de braise, étaient à l’époque dotées de formes plantureuses et de chevelures opulentes.
Curieusement, maman ne trouve rien à redire à la programmation et nous faisons la queue devant la caisse en attendant que la séance précédente se termine. Je remarque derrière nous un grand type costaud et basané qui semble trouver ma mère très à son goût. L’homme frisé et moustachu porte un costard beige, une chemise rouge largement ouverte sur son poitrail velu et des mocassins marron. Nadine ne tarde pas à se rendre compte de l’intérêt du type pour ses belles formes largement dévoilées et elle ne s’offusque nullement de ses regards insistants. Au contraire, elle lui sourit lorsque le gars lui fait un grand clin d’œil. Je ne peux alors m’empêcher de penser que les vacances ont un effet un peu trop stimulant sur la libido de ma mère.
Une fois dans la salle, maman se dirige tout au fond et s’assoit en milieu de rangée. Lorsque je vais pour m’installer à sa droite, elle me demande de choisir un siège un peu moins proche d’elle en prétextant que je verrai mieux l’écran ainsi.Je n’y crois pas une seconde mais je comprends vite qu’elle a une idée derrière la tête et je suppose que le type qui l’a matée ostensiblement dans la file d’attente n’y est pas étranger.
Je choisis donc un fauteuil pas trop défoncé situé une rangée devant la sienne lorsque je vois l’homme se diriger vers le fond de la salle. Ça ne loupe pas: il choisit la place juste à gauche de celle de ma mère et se met aussitôt à discuter avec elle. Celle-ci apprécie visiblement sa conversation riant de bon cœur à chaque occasion. De son côté, le mec ne se gêne pas pour tripoter le bras et l’épaule de ma mère dès qu’il le peut. Lorsque les lumières s’éteignent, il enroule aussi sec son bras autour du cou de sa voisine et s’enfonce profondément dans le fauteuil. Nadine penche la tête vers l’homme et lui murmure quelques mots avant que ses lèvres se joignent à celles du mâle. C’est ce qu’on appelle une drague express.
Le film commence et de temps en temps, je jette un coup d’oeil derrière moi. Au bout d’un moment, le mouvement du bras gauche de ma mère me laisse supposer qu’elle a commencé à branler la queue de son voisin, et quelques minutes plus tard, je la vois pliée en deux avec le visage collé sur les cuisses du gars. Les mouvements de sa tête et de sa main me font comprendre que maman a remisé toute pudeur et qu’elle suce goulûment la queue offerte. L’air de rien, le type en profite pour dénouer les bandes de tissu qui maintiennent le dos nu de Nadine autour de son cou et lorsqu’elle se redresse pour reprendre son souffle, elle se retrouve les nichons à l’air. Ça n’a pas l’air de la perturber plus que ça. Le type lui masse énergiquement la poitrine de la main gauche tout en fourraillant dans son string de la droite et en l’embrassant à pleine bouche.
À partir de cet instant, les rares spectateurs présents dans la salle et déçus comme moi par le porno soft diffusé à l’écran, peuvent aller mater du sexe bien hard au fond de la salle. Car bien vite, maman se retrouve torse nu face à l’homme qu’elle chevauche avec entrain. Je me rapproche alors discrètement et vais m’asseoir sur un siège de la rangée du fond situé à quelques mètres de ma génitrice. Avec son string tiré sur le côté et sa jupe relevée au dessus de la taille, elle est empalée sur l’énorme bite du gars qui la maintient fermement par la taille en la faisant coulisser sur son dard. Maman a les yeux fermés et gémit sous les assauts du mâle en rut qui souffle comme un phoque et finit par lâcher la purée dans le con écartelé de Nadine. Peu après, ma mère se tend comme un arc submergée par un terrible orgasme.
Un type s’est rapproché du couple et, debout dans la travée du fond, il se branle en matant le spectacle. Lorsqu’il comprend que la femme vient de prendre son pied, il accélère le mouvement et ne tarde pas à décharger sur les beaux nibards bronzés de ma mère. Même si la scène à laquelle je viens d’assister m’a filé une sacrée trique, j’évite de sortir ma queue pour me branler à mon tour car mon membre n’est pas encore tout à fait remis de mes exploits de la nuit précédente. Le basané soulève alors sa conquête pour extraire son dard de la chatte dégoulinante puis il repose ma chère mère sur son fauteuil. Pendant qu’elle récupère doucement de son orgasme, il range tant bien que mal sa queue dans son futal puis il arrache le string de sa maîtresse qu’il enfonce dans sa poche avant de disparaître. En me voyant approcher, le branleur s’éloigne à son tour.
Je vais donc m’assoir à côté de maman et je prends un mouchoir en papier pour essuyer ses seins et sa chatte souillée avant de l’aider à remettre son dos nu. Malgré l’obscurité, je peux sentir qu’elle est quelque peu désorientée et je lui propose de partir. Elle se saisit de son sac et nous quittons la salle le plus discrètement possible.
Une fois dehors, je me dis qu’il est temps d’appeler mon père à la rescousse car sinon maman risque de se choper une saloperie et de finir au gnouf pour atteinte aux bonne moeurs. Comme elle est désormais sans culotte, nous repassons par la voiture pour récupérer le bas de maillot qui se trouve dans un sac dans le coffre puis nous nous dirigeons vers la terrasse d’un bar.Je profite ensuite du fait que maman est assise à la table d’un bistrot pour m’éloigner et passer un coup de fil à mon vieux. — Salut papa. C’est Alexis. — Salut fiston. Ça va ? Tout se passe bien ?— Pas vraiment. Je ne voudrais pas te forcer la main, mais à mon avis, il faut que tu te pointes rapidement parce que maman est en train de partir en vrille totale. — C’est à dire...— Et bien, elle se comporte comme la pire des nymphos et j’ai peur que cette histoire finisse mal. — Merde! Ta mère a toujours été plutôt chaude et j’avoue que c’est ce que j’appréciais au début chez elle et puis comme tous les couples, on s’est calmé.
Mon père réfléchit un court moment avant de reprendre. — Au bout d’un moment, j’ai eu envie d’aller voir ailleurs et ta mère a fait de même ce qui, soit dit en passant, ne nous a jamais empêché de baiser chaque jour quand nous le pouvons. Mais depuis quelques mois, Nadine est carrément devenu intenable. J’ai beau la sauter toutes les nuits, et son collègue la tirer encore plus souvent à son boulot, elle n’est jamais rassasiée. Pour te donner un exemple, quand nous sommes partis en week-end prolongé, il y a un peu plus d’un mois, on s’est arrêté pour faire une pause sur une aire d’autoroute. Et bien on n’a pas pu repartir avant que madame ait visité la cabine d’un routier bien monté.
Je ne peux m’empêcher de faire part de ma réprobation à mon père.— Bon sang! Tu aurais pu m’en parler. Figure toi que ça fait plusieurs jours que je baise ta femme comme une bête mais visiblement ça ne lui suffit pas. — Tu déconnes ?? — J’aimerais bien, mais non. — T’es vraiment un salopard. — Un salopard peut-être, mais un fils de salopard sûrement! C’est de ta faute après tout; si tu t’étais occupé de ton épouse légitime au lieu d’aller sauter une nouvelle pouffiasse et que tu ne m’avais pas privé de vacances avec mes copains, rien de tout ça ne serait arrivé.
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