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Vacances en famille au Cap d'Agde

Chapitre 3

Lesbienne
3 Devoirs de vacances Maud :Margaux et Mariel ont pris la route aux alentours de 6 heures du matin. Les filles, levées tôt pour les embrasser, ronronnent l’une contre l’autre sur un transat. On dirait deux amoureuses qui reprennent leur souffle après l’orgasme, c’est trop tentant, j’ai envie d’immortaliser la scène avec mon appareil photo. Elles sont toutes douées pour la littérature dans leur famille ; mon talent à moi, c’est l’image, je suis déjà bien contente d’écrire sans faire une faute d’orthographe à chaque ligne, qu’on ne me demande pas en plus d’avoir du style.Normal que la fatigue se fasse sentir, les filles ont passé une partie de la matinée à se courir après dans le jardin pour se filmer sous toutes les coutures, surtout au niveau des parties intimes. C’était chaud, on les aurait dit en train de tourner un film érotique. Qui sait, je ne suis peut-être pas si loin de la vérité. Margaux m’a prévenue, les cousines se montrent très affectueuses l’une envers l’autre, il se pourrait que la communauté lez compte deux nouvelles adeptes. Que Gwendoline et Juliette soient de la même famille ne doit pas m’inquiéter, j’ai reçu la consigne de laisser faire.La copine peut dormir tranquille, je préfère encourager les bonnes volontés que jouer les rabat-joies, surtout avec des novices aussi attirantes. Les filles sont majeures après tout, elles peuvent faire ce qu’elles veulent, je suis partante si elles ont besoin d’un coup de main ou de langue, les deux options me vont.  Un plan à trois ne serait pas pour me déplaire, il y a longtemps que ça ne m’est pas arrivé de dévergonder deux néophytes en même temps, et jamais des cousines, ça rend la situation plus alléchante encore. À leur âge, je préférais les femmes expérimentées.L’appareil photo ou la caméra ? La deuxième option m’inspire davantage, surtout avec un matériel à la pointe de la technologie, comme tout ce qu’achète Margaux. Mise au point simplifiée, réglage automatique de la luminosité, sélection rapide du zoom et de la profondeur de champ , enregistrement du son et de l’image sur DVD, la prise en main du caméscope numérique est facile. Si je ne réussis pas à capturer leurs émotions sur le vif, autant abandonner le métier de photographe de mode pour me lancer dans la nature morte.Je commence par les pieds entremêlés, puis les jambes enlacées, les cuisses galbées se contractent, preuve que les filles ont conscience de ma présence. Je m’avance pour faire un plan rapproché de leurs minous, la fente de Juliette baille entre les poils noirs coupés court, celle de Gwendoline ressemble à un abricot dodu appétissant sous un duvet plus clair. Par laquelle commencer si je devais choisir ? Heureusement, la nature m’a faite avec deux mains. Je remonte l’objectif de la caméra avant de succomber à l’envie de me glisser entre elles, les seins se frôlent, les tétons bandés prouvent que la situation les excite. 
♀♀
 
Juliette :On ne connaissait du Cap d’Agde que les lumières du village au loin la nuit tombée, vues du jardin. Ça fait du bien de sortir un peu, l’habitude est synonyme d’ennui, trop mortel pendant les vacances. Maud a choisi un restaurant près du port, les touristes ne piétinent pas encore les platebandes de la clientèle locale en terrasse. Gwendoline lève le bout de son nez couvert de chantilly de sa coupe glacée, je voudrais lécher la crème, mais des mecs à une table plus loin nous matent avec insistance, inutile de provoquer. Une question me travaille.– Comment c’était ta première fois ?Maud prend son temps, à la recherche d’un souvenir visiblement heureux toujours dans un coin de sa tête ; certains marquent davantage que d’autres, comme les caresses entre Gwendoline et moi jeudi dernier. Maintenant, j’ai envie de faire l’amour pour de bon, la cousine aussi.– Elle s’appelait Anne, on était en deuxième année à l’école des métiers du cinéma à Lyon. Il faut savoir qu’il y a douze ans, les histoires entre nanas étaient mal vues, plus que maintenant.Ça devait être terrible quand on entend les insultes d’aujourd’hui.– D’accord, mais concrètement, vous avez fait quoi ?Là, je sens la copine de maman au bord de l’apoplexie. Ce qui nous intéresse, c’est la réalité de l’instant, le sexe. Ça peut paraître long, deux semaines, c’est vachement court quand on a tout à apprendre. On sait que les lesbiennes s’embrassent partout, qu’elles se lèchent le minou. Comment, c’est l’intérêt de la question.– Toutes les femmes sont différentes, il n’y a pas de manuel. Le mieux est de suivre son instinct en restant à l’écoute de l’autre.Mouais, la réponse ne veut rien dire. Le serveur nous interrompt le temps de poser les cafés sur la table. J’étais contente de sortir, je suis pressée de rentrer, on va le faire ce soir, c’est obligé. Gwendoline se penche sur la table. Par souci de discrétion ? Oui, plutôt par provocation avec ses seins nus par l’échancrure de la chemise. J’en profite pour caresser sa cuisse d’une main distraite sous la table.– Tu pourrais nous montrer, t’as bien des photos, gronde la cousine d’une voix trop rauque pour passer inaperçue.Maud, poussée dans ses retranchements, imagine qu’elle va s’en sortir en buvant son café. Je préfère la prévenir, on ne la lâchera pas avant d’avoir obtenu satisfaction.– Attention, c’est bouillant.Trop tard, ou la copine l’a fait exprès pour se donner bonne figure. Vu comment elle nous a filmées toute la journée, ça m’étonnerait qu’on soit les premières, on aurait dit la bande annonce d’un film porno. Ce qui nous intéresse maintenant, c’est de connaître la suite du scenario, d’aller au bout de l’histoire avant mon départ. Maud est bien foutue, je n’ai rien contre si elle veut le faire avec nous. Gwendoline ? C’est elle qui en a parlé, un plan à trois la branche bien.– J’ai peut-être un DVD dans mes affaires, il faut que je vérifie.
Et bien voilà ! Il suffisait de demander. 
♀♀
 
Maud :Heureusement, on a eu l’intelligence de se brosser les dents en rentrant de la soirée au resto, le film nous a mis les nerfs en pelote à toutes les trois. Une heure et demi à se retenir, j’ai cru que les filles ne tiendraient jamais le coup. La caméra à la main, je les file jusque dans leur chambre, pourvu que la lumière soit assez forte. Elles acceptent ma présence, il aura suffi d’une journée pour les apprivoiser. Ce n’était pas forcément dans la poche avec la différence d’âge.Les vêtements volent, le déshabillage mutuel prend des allures de chahut, le trouble me gagne. Pourquoi on ne voit jamais l’émoi de la première approche dans les films ? C’est beau, les producteurs devraient laisser des femmes tourner les pornos lesbiens, ils y gagneraient une nouvelle clientèle. La nervosité traduit l’excitation, qu’est-ce qui les retient, Margaux m’a raconté.Les cousines se font face, à genoux sur le lit. Gwendoline en chemise, Juliette en tee-shirt, les deux portent encore leur slip. Ma présence les empêche de se laisser aller, mais je n’ai pas envie d’aller me soulager seule dans ma chambre, ce serait dommage de ne pas profiter de la situation.La caméra oubliée, je relève Gwendoline pour la coller le dos au mur, prenant soin d’éviter tout geste brusque. Je soulève la liquette au raz du cou gracile. Un simple non et on arrête là. La belle me laisse faire, son souffle s’accélère. Sa cousine n’en perd pas une miette, anxieuse, son tour viendra ensuite.– C’est mignon tout ça. Après avoir observé la silhouette gracieuse, je palpe un sein ferme, puis l’autre, ça tourne vite à la caresse. Gwendoline se pince les lèvres pour retenir un soupir.– Mets-toi à côté, soulève ton tee-shirt.Juliette s’exécute, la tension nerveuse tend les traits sous les cheveux noirs coupés court. Je lui fais subir le même traitement, pas de jalouse. Puis je recule pour prendre la caméra, décidée à jouer.– Enlevez vos fringues.L’assurance qu’elles ont affichée au resto a disparu. Les hauts tombent, suivis par les slips. Les cousines se dévisagent, c’est touchant de les voir éviter l’objectif.– Embrassez-vous.Un smack, un deuxième, je m’attendais à mieux.– Sensuellement, avec la langue.Les filles obéissent timidement, c’est encore loin de me satisfaire.– Caressez-vous les seins en même temps.Dans un mime quasi-parfait, les cousines se touchent, la palpation maladroite les fait rire convulsivement, une nervosité qui disparaîtra avec l’habitude. Les seins réagissent, à la manière de beaucoup, elles ont appris à tirer un obscur plaisir de la sollicitation de leurs tétons.La caméra retombe dans l’oubli. Je les observe un instant à l’œil nu, puis, n’y tenant plus, j’entreprends leur minou. Les filles restent tétanisées, les bouches béantes collées l’une à l’autre. Elles mouillent déjà, moi aussi, l’inverse m’aurait étonnée. J’explore les vulves tandis que les coquines caressent leurs seins avec entrain.Emportée par mon désir, je commence à les limer lentement, puis plus vite, de plus en plus profondément. Bientôt, elles se baisent sur mes doigts en se manipulant le clito d’une main, aucune ne veut abandonner la poitrine de l’autre. 
♀♀
 
Gwendoline :Putain ! C’était puissant de nous laisser branler par une inconnue. On a récupéré joue contre joue sous le regard tendre de Maud, cette dernière n’a même pas pris la peine de se déshabiller. Quel âge peut-elle avoir ? Entre 35 et 40 à vue de nez, plutôt bien foutue, une blonde naturelle qui aime les femmes, tout dans son comportement le confirme. Je la soupçonne de n’avoir jamais couché avec un mec. La voix profonde dénonce la force de caractère, rien de plus normal pour une photographe de mode habituée à diriger des modèles.– Vous savez que vous pouvez jouir plusieurs fois de suite, et éprouver des plaisirs différents. C’est vachement épanouissant.Je l’ignorais, Juliette aussi sans doute. Il faut dire que la masturbation, ça sert à faire retomber la tension d’habitude, comme un exercice censé nous aider à mieux dormir, qui nous laisse parfois frustrées, faut le reconnaître. Entendre Maud vanter les avantages de la baise entre nanas réveille un désir que je pensais éteint pour la nuit, plus prenant. Sans y penser, je me surprends à effleurer le bras de la cousine dont le soupir chatouille mon oreille.L’odeur doucereuse de l’excitation imprègne la chambre, les émanations de stupre nous enivrent, vivement la suite. Maud, décidée à profiter de la situation jusqu’au bout, s’allonge entre les jambes de Juliette dont tout le corps se met à trembler. Elle a compris ce qui l’attend. Je suis curieuse, qui ne le serait pas à ma place, je change de position, une joue contre celle de la copine, l’autre collée à la cuisse de la cousine.Une langue glisse lentement sur la fente de bas en haut, puis une deuxième fois plus appuyée. Juliette sursaute, je m’attendais d’abord à... j’ignorais à quoi m’attendre en fait. Maud écarte les replis pour mieux mettre sa langue dedans, la cousine ondule du bassin, aux anges. Maud s’arrête soudain.– Tu veux la goûter ?J’écarquille les yeux, sonnée par la proposition. Bien sûr j’en ai envie, mais ça va un peu trop vite pour moi. Pas le temps de répondre, une main enserre ma nuque, et je me retrouve devant le minou de la cousine qui gronde d’impatience.– Sa mouille est délicieuse, tu vas voir.C’est bien ce qui me fait peur. La pression sur mon cou m’oblige à poser la bouche sur le fruit de Juliette, pareil à un abricot éclaté d’où s’échappe une odeur enivrante.– Lèche-la, mets ta langue dedans.J’obéis, poussée par la main autoritaire. Ça fait bizarre de brouter un minou, surtout celui de la cousine. Ce n’est pas désagréable, un peu salé mais pas amer. Et puis si elle mouille, c’est que ça l’excite. Je m’applique à la satisfaire. Comprenant que plus rien ne m’arrêtera, Maud relâche la pression sur ma nuque.– C’est bien, baise-là avec ta langue. 
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Juliette :Oh la vache ! C’est... c’est trop bon de me sentir fouillée comme ça, meilleur qu’avec les doigts. J’aurais déjà pris mon pied si Maud ne nous avait pas donné du plaisir avant. La garce titille mon clito de la pointe de la langue pendant que Gwendoline continue de me lécher. Tout se brouille soudain autour de moi, plus rien n’existe que la sensation de bonheur absolu.
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