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Vacances d'hiver

Chapitre 1

Inceste
Bonjour,
Je suis, depuis quelque mois, une fidèle lectrice de ce site et l’histoire qui m’est arrivée a beaucoup été influencée par mes nombreuses lectures.Voilà je me présente : Amandine 19ans, 1,74 m pour 53 kg, on me dit mince, mais la génétique de maman m’a offert une généreuse poitrine, un 85D ; j’ai longtemps eu des complexes, mais j‘en fais ma force maintenant. Mes cheveux sont châtains, lisses et longs et ma peau est plutôt claire.Mes parents sont divorcés depuis sept ans et, pour ces vacances d’hiver, je vais les passer avec mon papa. Les vacances alternées des régions nous permettent de profiter du chalet de mon oncle.Quand je dis chalet, je devrais plutôt dire un Mazo, un grand, il est un peu à l’écart des autres habitations.Il fait environ cinq mètres sur cinq et une mezzanine est aménagée de deux petites chambres. Une, avec un lit de 140cm et l’autre avec deux lits jumeaux, que j’occupe.Depuis plusieurs semaines, je sens en moi une grande envie que malheureusement je ne pensais pas assouvir ; je passe la semaine avec mon papa. Il s’appelle David, il mesure 1,76 m pour environ 80 kg, brun, dégarni, il pratique souvent le footing et d’autres sports, qui ont sculpté sa silhouette musclée.Ça fait trois jours, que nous profitons de la neige qui est tombée en abondance et du soleil ; je prends soin de mon bronzage quand nous décidons de faire une pause sur le bord des pistes ou sur une terrasse de café. J’ouvre ma veste et j’écarte les côtés pour laisser passer le soleil sur mon cou et mon visage. Je sens le regard de mon père se poser sur moi ; je dois dire que mon t-shirt thermolactyl blanc, que je porte sans soutien-gorge laisse voir mes tétons pointer. « J’adore la sensation de ma poitrine qui tangue sur les pistes et, comme j’ai dit plus haut, j’ai ma libido qui me travaille et j’ai envie de provoquer ». Il me dit, sans avoir quitté du regard mes seins : « je vois que tu aimes bien les piercings »car j’ai, en effet, des piercings sur mes deux tétons et mon nombril. Comme il me regarde sans retenue, je lui souris et prends mes piercings entre mes doigts pour tirer dessus.Je lui avoue avoir même un tatouage au bas du dos et que s’il est sage je lui monterai tout ça.Plus tard dans la soirée, en prévision de notre sortie au restaurant, je propose à mon père de prendre sa douche en premier pour me permettre d’écrire une carte postale à maman. Je suis bluffé, il sort de la douche avec seulement la serviette enroulée sur la taille, chose qu’il n’a jamais faite jusqu’à maintenant et, quand il monte dans sa chambre par l’échelle de meunier, je vois presque son entrejambe.A mon tour pour la douche, je prends soin de moi plus que d’habitude et décide même de me faire le maillot ; je taille tout cela en un petit filet. Pour ma sortie, je décide de faire comme papa ; ça sera seulement la serviette, mais vu sa longueur, si je la bloque sur ma poitrine, je sais qu’en haut de l’échelle, mon père verra toute mon intimité, mais je suis prête à lui faire ce cadeau. Je referme la porte de la salle de bains derrière moi.Je bouillonne de l’intérieur, mais je n’en mène pas large ; mon papa est assis à ma place et il m’interpelle à mon passage « tu n’as pas dit que si j’étais sage je pouvais voir ton tatouage ? ». Je rêve, il me demande de me voir déshabillée. OK, avec son autorisation je vais lui en donner pour son argent ; je me retourne à 180° et défais le nœud de ma serviette que je viens d’ajuster à ma taille ; je place mes mains pour cacher mes seins dégagés, je lui fais face et m’approche ; arrivée à moins d’un mètre, je fais un demi-tour et défais encore une fois le nœud de ma serviette pour faire glisser un peu la serviette et laisser apparaître mon tatouage en bas du dos ; je sens son doigt le toucher. Voilà, en plus de me voir dans le plus simple appareil, il veut me toucher. Ok, encore un cadeau. Je me retourne, il est en face de moi, je lui dis avoir fait le piercing du nombril pour mes dix-sept ans et il vient le toucher. Il me regarde dans les yeux et me dit « et quand as- tu fait sur les seins ». « Pour mes dix-huit ans » ; tout en lui disant, je laisse tomber mes bras le long de mon corps et je me retrouve la poitrine à sa disposition.Il n’ose rien faire, il regarde et me dit. Ta maman avait les mêmes, j’adorais les masser.
Je lui prends la main et la pose sur mon sein. Il me dit qu’il ne peut pas, que je suis sa fille.Je réponds que ça ne me dérange pas ; dans le vestiaire de mon club de volley, le jeu des filles est de me palper les seins quand elles passent à côté de moi et que même mon entraîneur, qui à 32ans, a déjà tiré sur mes deux tétons et que si lui a pu les toucher, toi tu as mon accord.Il me masse depuis 30 secondes avec ses mains et me dit qu’il pourrait passer toute la nuit comme ça ; il me demande d’aller m’habiller, le resto ne va pas nous attendre ; je fais signe « oui » avec la tête, mais il manque son dernier cadeau, la montée de l’échelle ; je pourrais monter comme ça, avec les seins à l’air, mais je me retourne, remonte la serviette à la hauteur de la poitrine et entame une lente escalade en sachant qu’il a une vue imprenable sur mon entrejambe.Arrivée dans ma chambre, je ne sais pas comment m’habiller, on serait en été une robe sans rien dessous aurait fait l’affaire, mais il doit faire -10° dehors ; je décide de mettre mon Jeans moulant, avec un top moulant lui aussi, et rien dessous.Nous sommes de retour vers 23h, la soirée s’est passée tout à fait normalement, hormis les jeunes de la table voisine qui n’ont pas arrêté de mater mes seins. Un petit verre de génépis chacun en guise de digestif et nous avons rejoint nos chambres respectives après un bisou devant ma porte. 1 h 30 indique mon réveil et le froid me fait frissonner ; ça fait au moins dix minutes que je grelotte, je passe ma main sur le chauffage et rien ; j’essaie d’allumer la lumière, mais je reste désespérément dans le noir. Je décide d’aller voir papa dans sa chambre, j’enfile un string et un petit débardeur à fines bretelles car, comme vous l’avez deviné, je dors nue. Je me sers de mon portable comme lampe, je frappe deux petits coups sur la porte et j’entre, j’appuie sur l’interrupteur et mon père me dit que cela ne sert à rien ; il est sorti dehors et un voisin lui a dit qu’une coulée de neige avait cassé un poteau, mais qu’il serait réparé cette nuit.« Papa, j’ai froid et je n’arrive pas à me réchauffer, je peux dormir avec toi ? »
Il me dit qu’il est gêné ; il est nu sous sa couette, je lui dis que moi aussi je dors nue mais qu’il ne s’en fasse pas, je recherche juste à me réchauffer et avec mon portable je passe la lampe sur moi pour qu’il puisse voir que je suis habillée, de pas grand-chose, mais il y a un petit peu de tissu.Je me glisse sous sa couette du côté droit du lit ; il fait chaud, je me positionne sur le côté en lui tournant le dos. Je lui demande s’il ne veut pas me réchauffer ; quelques secondes plus tard, il est collé à moi, la chaleur commence à venir, je sens qu’il est gêné par sa main, je vais à sa recherche, je la glisse le long de mon corps et la plaque sur mon ventre. Cinq à dix minutes sont passées et je sens qu’il ne dort pas ; ma main est toujours sur la sienne, je la fais descendre un peu, je la passe sous mon t-shirt et remonte sur mon sein ; je la lui laisse dessus ; très vite commencent les caresses ; je sens mon vagin qui s’humidifie, son sexe qui se raidit et vient cogner sur mes fesses ; je lève la jambe et son sexe tel une catapulte vient buter sur mes lèvres ; je la rabaisse et coince son sexe.Je sens ses petits mouvements de va-et-vient entre mes jambes, je passe ma main libre sur ma fesse et tire sur mon string, je lève ma jambe, la couette me résiste, mais suit et avec la main je vais chercher le sexe ; j’essaie de le masturber, mais la position n’est pas pratique, je le guide dans mon vagin.Les mouvements se font plus rapides et plus longs, ma cyprine coule le long de ma jambe, tant je suis excitée, je sens l’orgasme venir, je ne peux plus bouger, mes jambes tremblent et j’explose.Je me suis allongée sur le ventre pour reprendre mes esprits ; maintenant je dois m’occuper de sa jouissance. Debout sur le lit, la lune diffuse une petite lumière tamisée dans la chambre ; je peux voir qu’il me regarde, je me défais de mon haut et le jette au sol, je retire mon string et lui mets dans la main, je prends la couette et la jette aussi au sol, papa est nu au milieu du lit, son sexe à demi bandé ; je me penche pour la prendre en bouche et, très vite, elle reprend toute sa forme, elle fait dans les 20 cm et mon défi est de faire une gorge profonde, que j’arrive vite à réaliser.
Un petit moment de répit et je m’assois à califourchon, je guide le sexe dans mon vagin et, les mains sur les genoux, j’imprime une bonne cadence de va-et-vient et, comme par magie,la lumière s’éclaire dans la chambre ; éblouie et surprise, je le regarde dans les yeux et, comme si de rien n’était, je pose mes mains sur son torse et continue mes mouvements jusqu’à notre jouissance commune.Je le laisse sortir et, avec ma bouche, je nettoie le sperme sur sa verge et, tel un tube de dentifrice, je fais remonter le sperme en pressant le long du sexe ; une bonne quantité arrive au sommet, je la pose sur ma langue, je me retourne pour la lui montrer et j’avale.J’éteins la lumière, j’attrape la couette ; papa est couché sur le dos, je m’allonge à côté de lui et fais glisser la couette sur nous.

Fin…
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