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Vacances imprévues

Chapitre 2

proposition indécente

Avec plusieurs femmes
Voyage imprévu 2Alors que je reprenais mes esprits, j’ai réalisé que ces deux aventures avaient été sinon programmées, au moins envisagées auparavant. Les deux filles étaient complices, d’ailleurs beaucoup plus que je ne le pensais.
Jusqu’à notre arrivée à Bastia, j’ai eu plusieurs fois l’occasion d’avoir des relations avec ces deux coquines, sans savoir finalement ce qui m’arrivait. J’avoue que j’étais surpris du manque de marque de jalousie lorsque je descendais dans ma cabine en journée avec l’une ou de nos joutes la nuit, avec l’autre ; bien au contraire, car j’étais souvent la cible de leur plaisanterie, parfois même très coquines. Complices, elles l’étaient.
Notre escale à Bastia fut l’occasion pour moi d’avoir information sur la vie habituelle de ces deux coquines. Béa était amoureuse d’un médecin, marié et sa situation se résumait à des rencontres à la sauvette, mais sans lendemain, elle le savait, mais son amant savait la combler, ce qui pour l’instant lui suffisait. Anna par contre a eu beaucoup plus de réticences à se confier. Elle se disait heureuse en ménage, puis m’a annoncé qu’en réalité, son amour était une femme, qu’elle vivait ensemble depuis quelques mois, qu’elle souhaitait garder la possibilité d’ avoir des relations avec un homme (elle venait de le prouver), mais que sa compagne avait du mal à le concevoir. Finalement, deux situations un peu compliquées pour elles. Puis me, fixant pour voir ma réaction :
— pour ton information, sache que nous avons toutes les deux, ensemble, des relations lesbiennes, même ici dans le bateau, même si tu ne t’en ais pas aperçu, tellement tu bavais sur nos corps pleins de charmes.
Partant d’un grand éclat de rire, ravies de leurs annonces, elles se sont tendrement enlacées, avant de venir contre moi et ajoutant : », mais ne crois pas que tu vas nous délaisser pour autant »Le reste du séjour s’est déroulé dans la même ambiance, tantôt l’une tantôt l’autre venait me rejoindre pour passer la nuit, mais aussi se livrait sans aucune gêne, entre elles à ces amours que l’on dit saphiques. J’avoue qu’une soirée, alors qu’elles avaient envahi ma cabine pendant mon quart, je suis redescendu les voir, pensant être discret. J’ai pris beaucoup de plaisir à les voir se faire l’amour. Par contre, le lendemain matin, j’ai eu le droit à une petite remarque.
» tu n’es pas très discret ; si tu veux nous voir, dis-le-nous, nous sommes d’accord et ensuite nous aurons ta peau, car tu devras nous satisfaire toutes les deux. » Puis un franc éclat de rire les a secoués.
A notre retour au port, la vie a repris sa cour, avec pour moi un manque évident, même si lors de leur venue, nous avions toujours cette relation ; j’aimais les faire jouir et elles aimaient manifestement s’offrir à moi. Quelques mois plus tard, Isa m’a présenté un jeune interne, avec qui elle avait envie de vivre. Très rapidement, j’ai pu l’apprécier et quand ils m’ont annoncé leur projet de mariage, je les ai embrassés tous les deux, heureux de ce dénouement. Évidemment, nos relations sexuelles se sont arrêtées.
Pour Anna, la situation devenait plus compliquée et lors de sa venue, même si elle continuait à me faire l’amour avec moi, je voyais bien qu’il y avait un problème, sans doute avec sa compagne. Il m’a fallu du temps, de la persuasion, mais aussi beaucoup d’amour pour qu’enfin elle se livre.
Elle avait pris la décision de se marier avec Marie, avec pour Anna la promesse de ne plus avoir de relations avec un homme ; en gros, comme c’est souvent le cas chez les lesbiennes. Si Anna avait accepté, pour elle se posait le problème de la maternité, car elle voulait absolument un enfant, mais de façon naturelle : elle voulait se faire engrosser. Quelque temps plus tard, elle m’a présenté sa compagne, une très belle fille, assez masculine dans son comportement et ses tenues, mais aussi très sympathique et très cultivée. Très vite, le courant est passé entre nous et plusieurs fois, nous avons soit fait des sorties bateaux ensemble, soit organisé quelques soirées entre amis. Petit à petit, elle s’est ouverte, elle si d’habitude assez renfermée. Elle avait eu un homme dans sa jeunesse et comme pour Anna, les relations s’étaient mal terminées, ce qui l’avait écartée des fréquentations masculines. Et c’est à cette époque qu’elles s’étaient rencontrées.
Lors d’une venue sur le bateau, toutes les deux, j’ai bien vu qu’il y avait une grande tension entre elles ; j’ai attendu qu’elles veuillent bien se libérer et la surprise fut énorme. Pour moi après un regard vers Isa, c’est Anna qui a pris la parole :
— Voilà notre problème : nous avons décidé de nous marier, tu le sais, mais Marie, tout comme moi, veut un enfant ; elle m’a proposé de faire une adoption, ou une fécondation, mais pour moi, cela ne peut que se faire naturellement et finalement, Marie est d’accord ; par contre, comme tu as pu le voir, elle est très exclusive et elle ne conçoit pas plus, comme moi, avoir une aventure avec un homme, d’où notre problème qui nuit à notre amour, puis un grand silence.— Oui, je le comprends bien, mais je pense que vous trouverez un accord, limité dans le temps, mais pour cela, je n’y peux rien.
Pendant un long moment, Marie est restée muette, puis prenant Anna dans ses bras, elle s’est lancée :
— je commence à bien vous connaître et je vous apprécie ; bien entendu, je suis au courant de vos relations privilégiées avec Anna, mais cela ne me gêne pas, car pour moi, c’est peut-être cela qui va m’aider. Après de multiples discussions, nous en sommes venues à un accord : je voudrais que ce soit vous me fécondiez, pour deux raisons : je vous fais confiance et je sais que ce ne sera qu’une relation passagère et de plus, pour l’enfant, il aura la présence d’un homme dans le foyer, comme un grand-père.
Je reste abasourdi par cette proposition, mais la suite me tombe sur la tête :
— Et comme Anna n’est pas votre fille, rien n’empêche que ce soit vous le géniteur ; de plus, comme je suis très jalouse et que je ne veux pas qu’un autre homme l’approche, cela me convient. — Je crois qu’il va vous falloir revenir à la réalité les filles ; il n’est pas question que je vous engrosse, même si votre proposition vous convient ; mon âge, le vôtre sont déjà des obstacles, et même si Anna n’est pas ma fille, je ne me vois pas lui faire un enfant. Quant à toi Marie, tu es très belle et je reconnais que cela ne me gênerait pas de te faire l’amour, mais n’oublie pas que tu es lesbienne et non pas bi, ce qui compliquerait notre relation ; donc vous voyez, trop de points négatifs. Mais le point positif est que vous êtes de belles filles et que cela ne sera pas difficile de trouver un beau garçon qui saura vous faire un enfant.
Sur ce, pour ne pas entendre leurs protestions, je suis sorti de la cabine. C’est Anna qui la première est venue à ma rencontre :
— je sais que cette proposition peut te paraitre saugrenue, mais pour nous, elle est vitale ; c’est sans doute la seule façon de sauver notre couple, car les autres solutions ne nous conviennent pas et de plus, provoquent des disputes. Je t’en prie, réfléchis bien et malgré tes résistances, réponds de façon positive à sa demande.
Me déposant un baiser, elle rejoint Marie, qui je l’entends pleure. La fin du voyage a été beaucoup plus tendue, car plusieurs fois, Anna est revenue à l’attaque et Marie s’était à nouveau refermée sur elle-même, restant le plus souvent dans sa cabine. À notre arrivée au port, les deux filles m’ont embrassé furtivement et sont parties sans un mot, ce qui m’a laissé bien malheureux.
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