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Vacances insolites

Chapitre 2

Dimanche a

Hétéro
Après une grasse matinée bien méritée, j’ouvris enfin les yeux. En bas, tout le monde semblait déjà réveillé, seule Emilie dormait encore à mes côtés. Je la regardais dormir paisiblement, elle était si belle, il ne fallait surtout pas qu’elle apprenne ce qui s’était passé durant la nuit. Il s’agissait d’une erreur malencontreuse qui avait dérapé trop loin et qui n’allait pas se reproduire, du moins je l’espérais. Préférant la laisser dormir, j’enfilai un pantalon et descendis rejoindre le reste de la bande qui petit-déjeunait dans le salon.
À table, mon premier regard se posa sur Agathe en qui je pensais trouver un peu de complicité après la nuit que l’on venait de passer, mais il n’en fût rien, elle me salua comme à son habitude et replongea son regard dans son bol de céréales. Je n’avais quand même pas rêvé ?! Il y a quelques heures, c’était bien ma queue qui était à la place de sa petite cuillère ?! Peut-être avait-elle choisi de faire elle aussi comme si rien ne s’était passé. Elle avait raison, cela serait d’autant plus facile de passer à autre chose. Léo me salua en me lançant « alors comme ça, on sait plus reconnaitre sa femme ». Visiblement, Tristan leur avait déjà expliqué l’erreur que nous avions commise et cela fit bien rire Léonard qui poursuivit :
— Heureusement que tu n’as pas échangé avec Aurore, sinon je t’aurais peloté tout pareil. Je répliquai aussitôt :— Des quelques grincements et gémissements que j’ai pu entendre hier soir, je doute qu’il n’y ait eu que pelotage. Piqué au vif, il changea de sujet et le petit-déjeuner se poursuivit dans la bonne humeur. Emilie nous rejoignit vers 11h30, déjà en maillot. Nous étions dimanche, aussi il n’y avait pas grand-chose à faire aux alentours et nous n’avions toujours pas testé la piscine ni le jacuzzi. Toute l’équipe suivit son exemple et dix minutes plus tard, nous étions tous à l’eau.
La piscine était plutôt grande pour une piscine privée et recouverte d’une structure en plexiglas pour la garder au chaud. À l’extérieur de ce dôme allongé se trouvaient les transats et le jacuzzi. Il faisait déjà 30°C dehors, aussi la chaleur du jacuzzi allait attendre et j’allais plutôt me rafraichir en faisant quelques longueurs. Régulièrement, je cherchai à capter le regard d’Agathe en vain, elle m’ignorait, j’espérais ne pas l’avoir blessée.
Puisque ma maîtresse d’une nuit ne m’accordait aucun regard, c’est vers une autre que j’allais jeter le mien, et quoi de plus logique pour cela que ma copine. Emilie était ravie d’être enfin à l’eau, en m’approchant, elle plongea sous l’eau pour me saisir par le pied et me faire tomber à la renverse. Pour me venger, je fonçai sur elle et entamai mon fameux supplice des chatouilles. Sous l’eau, sa peau était à nu et mes chatouilles n’avaient plus de frontières. Les guilis s’adoucirent peu à peu pour donner place à des caresses et mon attaque devint un câlin de plus en plus sensuel.
Nos jambes s’enroulaient les unes contre les autres, et Emilie prit un malin plaisir à venir frotter son genou contre mon sexe qui commençait à durcir. Dos aux autres dans un coin de la piscine, mon corps cachait celui d’Emilie, aussi personne ne pouvait voir que mes doigts commençaient à caresser le sexe de ma copine à travers le maillot. Son excitation était enivrante et s’il n’y avait pas eu les autres, j’aurais volontiers arraché ce bout de ficelle rouge qui lui cachait la chatte pour la baiser sauvagement contre le rebord.
Alors que mes doigts allaient passer sous la culotte, Agathe nous appela à l’autre bout de la piscine : « dites les amoureux, quand vous aurez fini de vous bécoter, j’aurais besoin d’aide pour faire à manger ». Je fus frustré que ce petit jeu s’arrête là, mais la bienséance ne nous aurait pas permis d’aller beaucoup plus loin. Toutefois, nous avions prévu de manger des pâtes au beurre, aussi j’étais surpris que Agathe ait eu besoin d’aide pour cela. Toutefois Emilie, après un dernier bisou à mon intention, fila se sécher pour la rejoindre. Le reste de la journée fut bien rempli, bronzette, promenade et apéro, si bien que la nuit fût vite tombée.
Jeux de société au programme de la soirée, cartes, dés et mimes étaient au rendez-vous. Même si j’étais plus friand de poker, ce soir-là, c’est au tarot que je pris plaisir à éclater mes trois compagnons et le duo Léaurore qui jouaient ensemble (le tarot se jouant à cinq). Emilie étant une très mauvaise perdante, elle prit la mouche d’être ainsi coiffée au poteau, mais prit sa revanche au Perudo, un jeu de dés où elle excellait.
Enfin quand ce fut le tour des mimes, nous allions faire trois équipes de deux, mais pour éviter les conflits, les couples devaient se séparer. Emilie fut donc en duo avec Léonard, Tristan avec Aurore, et je me retrouvai donc avec Agathe. Il s’agissait de faire deviner des œuvres célèbres (films, livres, tableaux ...). Si ma connaissance était plutôt bonne, mes mimes en revanche laissaient à désirer. Pour vous donner un exemple, je tentai de faire deviner avec humour le tableau « ceci n’est pas une pipe » (la trahison des images) de Magritte en mimant donc une fellation (une pipe). Je fus si mauvais que tout l’auditoire était persuadé que je me lavais les dents et quand je mimai une pipe, à tabac cette fois-ci, ils n’avaient plus que les mots Sherlock Holmes à la bouche et mon Magritte n’apporta aucun point à mon équipe, mais un bon rire général lorsque la réponse fut dévoilée.
Tristan et Aurore qui formaient le meilleur binôme remportèrent la victoire et tout le monde gagna le droit d’aller se coucher puisqu’il était déjà minuit et qu’une longue journée nous attendait le lendemain.
Une fois au lit, je m’assurai avant d’éteindre que c’était bien Emilie qui était à mes côtés et plongeai ensuite la pièce dans le noir total. Repensant à la piscine de cet après-midi, je commençai à câliner Emilie en espérant reprendre là où nous nous en étions arrêtés un peu plus tôt dans la matinée. Elle mit rapidement fin à mon délire avec la phrase « s’il te plaît, j’ai mes règles qui commencent, je ne suis pas d’humeur » autant dire que nous n’allions pas baiser ce soir ni les deux ou trois soirs suivants. Résigné, je m’endormis.
La piscine revint à moi en rêve, je voyais le maillot de bain rouge une pièce de ma femme moulant parfaitement son sexe et remontant sur ses seins dont on voyait les tétons pointer à travers le maillot. En remontant un peu plus, je constatai que c’était Agathe qui portait le maillot et dont j’admirais les courbes. L’eau avait disparu et cette chimère mi-Agathe mi-Emilie descendait maintenant mon short de bain pour en dégager mon sexe. Je voyais à genoux, Agathe me lécher la bite pour la faire durcir. Une sensation de chaleur et de douceur m’envahissait, mais je sentais mon rêve pourtant si agréable se dissiper peu à peu pour laisser place de nouveau à l’obscurité de la réalité.
Pourtant la sensation de douce chaleur ne s’estompa pas, le temps que je retrouve mes esprits, je réalisai que ma fellation que je pensais fictive était bien en train d’avoir lieu sous la couette.Par réflexe, je tâtai la place du lit à ma gauche, horreur, elle n’était pas vide. Emilie dormait encore à mes côtés. Aussi qui était en train de me lécher le sexe ? Cela ne pouvait être qu’une seule personne, Agathe !
— Bordel, qu’est-ce que tu fous ?! lui demandais-je en chuchotant.
Elle prit le temps de faire glisser sa langue de bas en haut avant de me répondre avec malice :
— Je suis venue te montrer comment mimer une pipe !
Sans que je n’eusse le temps de dire un mot, elle reprit de plus belle sa fellation. La situation était à la fois très inconfortable et extrêmement agréable. La chaleur de sa bouche sur ma bite était divine, mais à vingt centimètres d’elle, il y avait ma petite amie qui dormait. Agathe lâcha de nouveau l’os qu’elle rongeait pour relever la tête :
— Je me suis dit qu’on pourrait poursuivre là où on s’était arrêté hier soir, si je ne m’abuse, tu me dois encore un orgasme.
Certes, j’avais joui deux fois en elle la veille, et seul mon cunni l’avait fait jouir elle, mais j’avais pensé que cela était désormais derrière nous et que nous allions désormais continuer comme si rien ne s’était passé, mais visiblement, elle ne l’entendait pas de cet avis.Je commençai à craindre pour mon couple et rassemblai toutes mes forces pour tenter de mettre fin à ses manigances :
— Mais enfin ça suffit, on ne va quand même pas baiser à côté d’Emilie, je n’eus pas le temps de terminer ma phrase qu’elle plongea ma queue tout au fond de sa gorge, ce qui me cloua le bec immédiatement.— Tu as raison, rejoins-moi dans le salon dans cinq minutes, me proposa-t-elle avant de disparaître aussi discrètement qu’elle n’était arrivée.
J’étais abasourdi, je venais de tromper ma petite amie, presque malgré moi deux nuits de suite. Et ma maîtresse me proposait de pousser plus loin le vice. Ma raison m’implorait de ne pas y aller, mais comment se rendormir quand on sait qu’une chienne vous attend en bas ? Sans compter que si je ne descendais pas, elle était capable de revenir me chercher. Il fallait que je descende et tente de calmer ses ardeurs avant que la situation ne dégénère.Le salon était plongé dans l’obscurité, seul l’escalier était éclairé par la lumière de la lune traversant la porte-fenêtre. La pièce était vide, aussi je cherchai Agathe timidement :
— Tu es là, chuchotais-je.
Allongée sur le canapé, tout son corps était dissimulé dans l’ombre et ce n’est que lorsqu’elle se releva que je pus constater qu’elle était là et qu’elle était nue, entièrement nue. Baignée dans la lumière bleutée de la lune, je pris pour la première fois le temps de déchiffrer son corps, ses formes. Ses fins tétons pointaient dans ma direction, elle était magnifique. Aussi lorsqu’elle m’ordonna « viens me prendre », mon sang ne fit qu’un tour. D’une main, je la saisis sous la nuque et de l’autre, j’attrapai son sexe, elle était trempée, elle avait probablement imaginé cette petite escapade nocturne depuis un moment déjà. Ses lèvres vinrent à la rencontre des miennes et alors que je la doigtais, nos langues s’entremêlaient. Je la plaquai contre moi, glissai ma main sur ses fesses et l’embrassai passionnément dans le cou, descendant progressivement jusqu’à ses seins.
Alors que ma main gauche la doigtait depuis plusieurs minutes maintenant, et que ma langue léchait intensément ses tétons, ma main droite tenta une incartade en direction de son anus, mon majeur fut plutôt bien accueilli puisqu’elle me laissa caresser les abords de sa douce rondelle, d’un geste habile, je récupérai un peu de cyprine coulant le long de son entrejambe pour lubrifier un peu plus l’orifice, mais alors que mon doigt allait entrer, son corps se crispa et je l’entendis étouffer un cri contre mon épaule avant de se laisser retomber dans l’ombre du canapé.
J’avais rééquilibré les compteurs, deux jouissances chacun, nous étions quittes. Mais à peine remise de ses émotions, Agathe pivota sur le canapé de sorte à se retrouver en travers de l’accoudoir. Dans cette position, le haut du corps était allongé sur le canapé et ses pieds reposaient sur le sol, ses fesses dans ma direction.
— Tu ne vas quand même pas t’arrêter en si bon chemin, viens me baiser, je sais que t’en meurs d’envie.
Ce que nous étions en train de faire était mal, mais elle avait raison, je la désirais plus que tout à cet instant. Après avoir baissé mon caleçon, j’approchai doucement mon gland de sa rondelle préalablement lubrifiée et commençai à enfoncer l’entrée lorsqu’elle m’arrêta :
— Non pas par là, je ne l’ai jamais fait.
Même si cela m’attrista, j’allais donc me contenter de son vagin. J’étais tout de même rassuré de constater que même cette salope avait ses limites. Je descendis donc d’un étage et insérai mon pénis dans son sexe qui l’accepta cette fois-ci sans la moindre résistance. J’entamai alors un doux va-et-vient faisant ainsi roucouler de plaisir Agathe. Son vagin avait le goût de l’interdit et je pris un pied dément à la baiser en levrette contre le rebord du canapé.J’accélérai progressivement le rythme, quand soudainement, je stoppai net. À trois mètres de moi, la porte de la chambre d’Aurore et Léo s’ouvrit et ce dernier en sortit. N’ayant nulle part où me cacher, la bite encore dans Agathe, je restai immobile. Mais Léonard se tourna et m’interpela « ah, salut Théo »...
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