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Vacances en italie

Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
Après une bonne nuit de sommeil j’ouvre les yeux, et le hasard joue en ma faveur, Sophie est déjà debout.
Après un bref passage à la salle de bain, je descends à la cuisine et la trouve en train de boire son café. Je me glisse derrière elle, enroule mes mains autour de son ventre et commence à l’embrasser dans le cou afin de lui dire bonjour. Comme la veille, ma main remonte sur sa poitrine que je commence à pétrir l’un de ses magnifiques seins.
— Mais tu es fou ! Quelqu’un pourrait arriver.
— Ça m’étonnerait ils dorment encore, je viens d’entendre Sylvain ronfler de l’autre côté de la porte. Mentis-je pour la rassurer
— Si tu penses qu’on va faire l’amour tu rêves. Dit-elle entre deux gémissements alors que ma main venait de se glisser sous son pyjama.C’est maintenant mes deux mains qui s’occupaient de sa poitrine, malaxant ses deux globes de chaires ou en faisant rouler ses mamelons entre mes doigts.
— Tu en es sûre ? Dis-je entre deux baisers dans son cou.
— Sûre et certaine ! Objectiva-t-elle en voulant opposer une résistance que nous savions tous
— Et juste une gâterie vite fait ?
— Mais qu’est-ce qui t’arrive au juste ? On dirait un adolescent en rut !
— Disons simple que notre petite aventure de cette nuit a cruellement manqué de pipe.
— Ce n’est pas une raison ! Tu imagines s’ils venaient à se lever ?
— S’il te plaît ! La suppliais-je tout en dirigeant doucement sa main vers mon sexe que j’avais discrètement sorti de mon pantalon.
Alors qu’elle refusait à nouveau mes avances, elle ne retira pas sa main. Bien au contraire, je sentais la peau ma hampe commencer à se redresser doucement dans un doux va-et-vient enivrant. Pendant ce temps-là, mes doigts avaient retrouvé les chemins de ses tétons que je caressais par-dessus son peignoir. Je sens qu’elle est nue sous ce dernier ce qui m’étonne.
— Eh bien ma chérie, tu t’es crue à la maison ? Jamais je n’aurais pensé que tu pourrais déambuler dans la maison dans une telle tenue. Moi qui étais excité, je le suis d’autant plus.
— Je vous signale jeune homme qu’avant de venir faire ce qui s’apparente plus à un harcèlement sexuel qu’à un “Bonjour ma chérie, tu as bien dormi ?”, j’étais simplement descendue boire un café vite fait, pendant que tout le monde dormait, avant d’aller prendre ma douche !
— Seulement entre-temps, ton beau gosse de petit-ami a débarqué te suppliant de lui faire une pipe que tu as acceptée.
Sa masturbation était de plus en plus appuyée, la cadence s’accélérait également.
— Tu fais chier, qu’est-ce qui m’a donc pris de sortir avec un obsédé ?
— Si je n’avais pas été un obsédé, la petite coquine que tu es se serait bien vite ennuyée.
— Tu m’énerves, dit-elle, alors qu’elle se levait de son tabouret pour s’agenouiller devant moi.
Au passage, je tirais sur la cordelière de son peignoir permettant à celui-ci de s’ouvrir. Elle me jeta un regard réprobateur mais cela n’alla pas plus loin, elle m’avait juste fait des grands yeux, plus pour la forme qu’autre chose. Elle avait le visage à hauteur d’une verge qui mourrait d’impatience d’être avalée.
Il semblait que finalement je n’étais pas le seul à avoir hâte de me retrouver dans sa bouche, enfin si je peux en croire la fougue avec laquelle ma virilité disparut entre ses deux lèvres. D’une main, elle accompagnait ses aspirations et ses mouvements de langue. Même si je sais qu’une part d’elle demeurait très excitée, une autre voulait également que cela se finisse vite.
Au bout de quelques minutes, j’aperçus une ombre à l’entrée de la cuisine, je tournais la tête discrètement et aperçu quelques mètres de nous, nos amis qui nous observait en silence sylvain la main dans le décolleté de Louise et cette dernière caressant le sexe de mon ami au travers son short.
L’îlot central de la cuisine était au beau milieu de la pièce. L’entrée, quant à elle, se trouvait trois mètres en contrebas, sur notre gauche. De là où se trouvaient nos amis, ils me voyaient de dos mais légèrement de profil. Et donc si l’angle de vue était correct, ils devaient avoir une vue imprenable sur le corps exposé par le peignoir ouvert de Sophie qui n’avait toujours pas remarqué leur présence.
Cela ne durera pas bien longtemps car remarquant que je n’étais plus concentré à 100 % par notre petit dérapage matinal. Sophie chercha la raison ma distraction et se rendit compte que nous n’étions désormais plus seuls. Elle me lança un regard terrifié se figeant quelques secondes, sans pour autant retirer mon sexe au bord de l’explosion de sa bouche.
Ensuite, je ne saurais vraiment expliquer pourquoi, elle reprit sa fellation, préférant sans doute faire comme si elle n’avait rien vu.
Elle fut bien vite libérée de cette situation cocasse car l’excitation provoquée ce que nous étions en train de vivre était telle que je finis par craquer et me répandre à l’intérieur de sa bouche. Elle avala tout sans se faire prier, referma instinctivement son peignoir et se releva rouge comme une pivoine.
Quant au petit couple de voyeurs, Louise s’était rhabillée tant bien que mal et Sylvain peinait à dissimuler l’érection qui déformait son short.
Les filles n’étaient pas à leur aise contrairement à Sylvain et moi qui étions arrivés à une étape importante de notre mission même si pour donner le change, nous faisions mine de l’inverse. Nous voulions que les deux couples soient surpris et c’était chose faite.
Nous nous installions à table, en silence, attendant que l’une ou l’autre prenne l’initiative de la parole. Alors que nous nous attendions à les voir contrariées, bizarrement ce qui n’était pas le cas. Finalement, Sophie se décida à entamer les discussions.
— Je voulais nous excuser pour ce matin, Thibault a insisté mais je n’aurais pas dû accepter. J’espère que cela ne vous mettra pas mal à l’aise et que ça ne gâchera pas nos vacances.
Sylvain et moi savions ce n’était pas notre tour de parler. Alors nous restions assis en silence.
— T’en fais pas, il n’y a pas de mal à se faire du bien, c’est moi qui suis gênée de vous avoir surpris. On aurait même dû vous faire signe pour montrer qu’on était là au lieu de rester planqué comme des ados. Répondit Louise.
— Il n’empêche que vous m’avez vue nue !
— Si cela peut te rassurer, hier quand vous êtes montés dormir nous avons également fait des bêtises au bord de la piscine, vous auriez très bien pu nous prendre. C’est le risque quand on fait des bêtises, tout ça pour dire qu’il n’y a pas de malaise.
Sylvain et moi, nous n’osions toujours rien dire et nous regardions en nous pinçant les lèvres. Si elles avaient su que c’était un coup monté...
— En fait, pour jouer la carte de l’honnêteté, hier soir en fermant les tentures, on vous a vus.
Louise éclata de rire, suivie de peu par Sophie.
— À croire que nous ne sommes pas très doués les uns les autres dit Sophie.
— C’est à se demander pourquoi se cacher ajouta Louise en rigolant à nouveau.
— Exactement rétorqua Sophie. Ce qui eut pour effet de clore cette conversation.
Plus tard, Sylvain et moi, sans les femmes, fîmes le bilan la situation. Nous étions satisfaits de la tournure des événements. Les filles n’avaient pas trop mal pris le fait d’avoir été surprises, cela ne les dérangerait pas plus que ça. Nous allions pouvoir tenter l’expérience de cette fameuse pipe à quatre lors d’une randonnée dans les bois prévue le lendemain.
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