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Vacances en italie

Chapitre 5

Orgie / Partouze
De retour de randonnée, la soirée avait été plutôt calme ainsi que les deux jours qui suivirent. Sylvain et moi préférions laisser de temps aux filles pour s’habituer à ce qu’il venait de se passer car si nous voulions réitérer l’expérience, il ne fallait surtout pas les brusquer. Cela faisait maintenant cinq jours que nous étions en vacances, nous étions jeudi soir et après une journée de tourisme dans les environs, les filles nous demandèrent de passer une soirée tranquille dans à la villa pour changer de nos quotidiennes sorties nocturnes de ces derniers jours.
Confortablement installés dans le petit salon de jardin non loin de la piscine, nous avions pris l’apéro pendant près de deux bonnes heures. Nous avons ensuite mangé tout en continuant de déboucher quelques bouteilles de vin locales. Nous n’étions pas ivres même si nous commencions à sentir les uns comme les autres les effets de l’alcool.
— Si vous commencez à fatiguer n’hésitez pas à aller dormir car il est vrai que le bord de la piscine est plutôt agréable à cette heure-ci et j’aimerais bien y passer du temps avec Thibault. Dit Sophie en faisant un clin d’œil à Louise.
Cette dernière se mit à rougir à la suite de cette remarque. Quant à Sylvain, il ne se laissa pas démonter et répliqua :
— Ne te préoccupe pas de nous et fais comme si nous n’étions pas là! Vous ne serez pas dérangés. C’est promis. Enfin, encore faudrait-il que tu oses, quoi.
Sophie a toujours été très manipulable, de par son esprit de compétition et son impulsivité. Il suffisait simplement de la mettre au défi pour en obtenir ce que l’on voulait et ça Sylvain le savait. Même si J’avais d’emblée compris où il voulait en venir, encore faudrait-il que Sophie entre dans son jeu.
— Parce que tu crois on en aurait pas les couilles. Tu sais si Thibault et moi le voulions vraiment, on ne se gênerait pas ! Rétorqua Sophie du tac au tac. — C’est ce qu’on dit lorsqu’on a peur ! Titilla Sylvain.— Fais pas le malin où tu vas le regretter ! S’énerva-t-elle.— Je ne regretterai rien moi c’est toi qui parles pour ne rien dire.
Bien entendu, l’échange n’en demeurait pas moins bon enfant. Malgré tout Sophie n’était pas prête de se dégonfler. Elle se leva et se dirigea vers mon siège où elle s’assit à califourchon, sur mes jambes, avant de flirter avec moi de manière éhontée et suggestive comme le ferait une adolescente amourachée qui bécoterait son jules sur les bancs publics.
— Waouh ! Un bisou avec la langue, trop hallucinant ! S’exclama ironiquement Sylvain. — Vas-y fais mieux, toi qui es si fort ! Rebondit Sophie.— Challenge accepté! Dit-il en tirant Louise par le bras après s’être levé et positionné devant elle.
Une fois debout face à lui, il saisit Louise par le bras et enroula le sien autour de sa taille pour la coller à lui. Une fois cela fait, il commença à lui dévorer le visage tout en glissant sa main sous le t-shirt de sa femme afin de lui caresser la poitrine. Tout aussi stupéfaite que moi, cette dernière demeura passive devant l’assaut de son compagnon.
— Un pelotage de nibard sous les vêtements on se croirait dans un porno ! Je suis trop impressionnée. Et dire que c’est moi l’ado.
Sylvain, piqué au vif, décida alors d’aller un peu plus loin. Pour se faire, sa bouche quitta celle de Louise et sans dire un mot, il souleva les bords de sa blouse qu’il fit passer par-dessus la tête de cette dernière. Désormais en soutien-gorge, Louise arrêta son partenaire qui s’apprêtait à partir à nouveau en direction de ses lèvres.
— Attends mon amour, on va lui prouver que nous sommes les plus forts !
Tout en disant cela, elle glissa ses mains dans son dos et dégrafa le sous-vêtement. Les seins à l’air, elle empoigna Sylvain par le col et l’attira en direction de sa poitrine sur laquelle il se jeta avant de commencer à lui sucer ses petites pointes déjà bien tendues.
Pour ma part, je bandais comme jamais car c’était la première fois que je pouvais enfin me délecter de la vue de ses magnifiques collines aux aréoles rosâtres qui me faisaient fantasmer depuis la première matinée de nos vacances.
— Alors vous avez décidé de la jouer à deux contre un ? Dans ce cas, on va équilibrer la balance, viens par ici mon chéri.
Sans dire un mot de plus, elle se releva, me saisit par le bras et me tira pour que je me mette debout à mon tour. Une fois fait, elle m’entraîna en direction des transats.
— Allez Thibaut on va leur montrer qui sont les couillons.
J’avais l’impression que nous nous trouvions tous les quatre dans une voiture, sur une piste de glace et que nous avions perdu les commandes du véhicule nous entraînant dans un dérapage nous faisant perdre le contrôle total. Je n’étais pas sûr de comprendre ce qu’il se passait mais quoi qu’il en soit je la suivis docilement, très impatient de savoir jusqu’où elle était prête à aller. J’eus très vite ma réponse car une fois arrivés au lieu-dit, elle me colla contre le rebord de la chaise longue. Sans dire un seul mot, elle abaissa sur mon short avant de me pousser dans le but de m’allonger sur le relax.
La verge à l’air et bien tendue, elle s’installa entre mes jambes écartées et après avoir jeté un regard victorieux en direction de nos amis, elle goba mon sexe, m’arrachant, au passage, un gémissement sous les effets de ses coups de langue additionné au spectacle que m’offraient nos amis. Ces deux derniers avaient d’ailleurs les yeux écarquillés, ils n’en revenaient pas, moi non plus d’ailleurs. Elle qui avait été à moitié convaincue par la gâterie dans les bois, me suçait désormais sans vergogne devant le regard ébahi des amoureux. Sans doute parce qu’il la voyait si facilement manipulable, Sylvain se décida d’en rajouter une couche.
— Tu penses que je vais te prendre au sérieux avec juste une pipe ? Il n’y a rien de bien folichon dans tout ça ma grande, il y a de cela deux jours, on l’a fait tous les quatre, ensemble.
Elle arrêta sa session, se releva et se tourna vers Sylvain.
— On appelle ça des préliminaires imbécile et je ne fais que commencer. D’ailleurs au lieu de fanfaronner occupe-toi plutôt de ta femme crétin !
Sur ces paroles, elle releva les pans de son paréo, écarta le rebord de son bikini et vint s’asseoir sur ma verge. Alors qu’elle commençait à prendre son plaisir sans se préoccuper de moi comme si je n’étais qu’un jouet, elle fixait toujours mon ami avec défiance souhaitant certainement l’inciter à en faire de même. Cela semblait fonctionner car Sylvain et Louise vinrent s’approcher de nous. Elle s’allongeait sur le transat d’à côté. Une fois sur le dos, cette dernière releva le bassin et Sylvain lui ôta son minishort et son string dans la foulée ce qui fit qu’elle était désormais complètement nue.

Elle commençait à gémir instantanément lorsque Sylvain glissa son visage entre ses cuisses. Elle poussa même un cri aigu lorsque sa langue effleura son petit bouton de plaisir. Ses soupirs se mêlaient aux miens. Nos respirations étaient saccadées en chœur. En fermant les yeux, on aurait pu croire que nous nous faisions l’amour. J’avais une vue imprenable sur le corps, si attirant de Louise, je me trouvais à une longueur de bras de sa poitrine et je devais me faire violence afin de ne pas le tendre. Je craignais que cette caresse soit mal perçue par les filles, car au fond je savais que Sylvain n’aurait pas demandé mieux car il faut dire que si je me hasardais à caresser sa femme, il pourrait également en faire de même.
Sophie aussi semblait vouloir profiter du spectacle, c’est donc dans ce but qu’elle fit demi-tour et me chevauchait maintenant en amazone inversée. Ses va-et-vient étaient de plus en plus expansés sa poitrine ballottait dans tous les sens si bien qu’elle se tenait les seins au travers son bikini. Son paréo, bien trop encombrant avait fini par rejoindre le sol. Mon côté pervers faisait que j’avais très envie que mon ami profite également du plaisir de découvrir le corps dénudé de ma femme et c’est pour cela que je profitais que Sophie me tourne le dos pour défaire le nœud qui protégeait ses magnifiques globes de chairs des regards indiscrets. A peine les deux bouts de ficelles furent séparés, qu’elle lui fit rejoindre son paréo.
Sur son transat, malgré le plaisir qu’elle prenait grâce à la langue de Sylvain, Louise devait sans doute être lassée de son rôle de spectatrice car elle repoussa son amant, le releva et le déshabilla. Assise sur le rebord du siège, avec Sylvain debout juste devant elle, la coquine se trouvait à une hauteur parfaite pour prodiguer quelques caresses buccales à son partenaire de jeu. Elle ne se fit d’ailleurs pas prier et d’une seule traite, elle goba l’entièreté du sexe au bord de l’implosion de mon ami et commença à le sucer dans d’énormes bruits de bouches. Tout en faisant glisser sa langue le long de la hampe de Sylvain, elle faisait rouler ses testicules entre ses doigts. Quant à moi, je tenais toujours ma partenaire par les hanches qui, toujours empalée sur ma tige, montait et descendait sur cette dernière en ne ratant pas une miette de ce qu’il se passait à quelques dizaines de centimètres de nous. J’avais déjà senti mouiller Sophie, heureusement pour moi d’ailleurs, mais de mémoire je ne me souvenais pas qu’elle ait déjà été aussi trempée.
Sylvain, avait toujours été beaucoup plus téméraire que moi et ne pouvant plus résister, il tendit le bras en direction de la poitrine de Sophie. Malheureusement pour lui, cette dernière lui tapait sur les doigts avant que ces derniers n’arrivent à destination.
— On ne touche pas ! Pas aujourd’hui, on profite seulement avec les yeux ! Ordonna Sophie essoufflée par l’effort physique qu’elle endurait.
D’un signe de tête Sylvain approuva. Pendant ce temps, Louise venait d’enlever le sexe de son petit ami de sa bouche.
— Idem pour toi ! me dit-elle. Tout en se levant afin d’allonger Sylvain dans la même position que moi. — OK ! répondis-je simplement.
Malgré la frustration de ne pas pouvoir parcourir le corps de la petite amie de l’autre, Sylvain et moi n’aurions jamais pensé possible d’en arriver là aujourd’hui. Et cela nous plaisait largement à la vue des regards que nous nous lancions afin d’exprimer notre satisfaction. Nous étions tous deux allongé nos sexes plantés dans le bas-ventre de nos femmes. Savourant la douce tout le plaisir que ses dernières nous procuraient. Soudain, il me fit un signe de la tête me faisant comprendre qu’il était temps que nous reprenions les choses en main et joignant l’acte au geste, il se releva et mobilisa Louise pour qu’elle se retrouve à quatre pattes. Il vint se positionner juste derrière elle et dans un coup de reins sec, il s’enfonça dans la grotte d’amour déjà bien ouverte et trempée de sa femme. Sophie et moi décidâmes, sans un mot de les imiter.
L’ambiance était maintenant à celui qui ferait gémir le plus fort sa partenaire n’hésitant pas à donner le maximum de nous-mêmes au son de nos bourses claquant sur les fessiers de l’exutoire à notre excitation. Le visage écrasé contre les petits matelas, les filles hurlaient leur plaisir à pleins poumons lorsque Sophie se redressa et se tourna dans ma direction.
— N’oublie pas mes fesses. Me supplia-t-elle.
Répondant à sa demande, sans sortir de son vagin détrempé, je glissais mon pouce à l’intérieur de l’anus de ma partenaire afin de préparer ce dernier à accueillir mon gourdin très bientôt. Bien entendu, je faisais tout cela sous le regard halluciné de Sylvain. Mon corps me faisant signe de ne pas trop traîner et donc sans trop attendre tout en devant forcer malgré tout un peu le passage, je sortis de son puits d’amour pour entrer dans son petit trou en étoile. N’étant pas complètement dilatée, Sophie poussa un petit cri de douleur lorsque j’entrais dans ses entrailles. Pour ma part, je restais immobile quelques instants afin de laisser à son magnifique petit cul, le temps de s’adapter à la présence de ce corps étranger. Une fois plus à l’aise, je commençais à me faire aller doucement entre ses fesses augmentant progressivement le rythme.
Ne sachant trop que faire, dans la mesure où aucune demande particulière n’émanait de la part de Louise, Sylvain continua sa douce besogne, laissant transparaître malgré tout, une mine légèrement frustrée. Nous continuâmes donc comme ça pendant encore quelques instants jusqu’à ce que je n’en puisse plus et remplis la petite grotte sombre de Sophie d’une quantité étonnamment impressionnante de sperme. Quasi simultanément, Sylvain déchargea plusieurs salves de semences dans le bas-ventre de sa femme. Le plaisir était immense, mes jambes étaient sur le point de flancher. Une atmosphère érotique et la tension sexuelle embaumaient la terrasse. Une fois le temps de la jouissance des couples passé, nous sortîmes de nos petits nids douillets. Mon ami observant de son côté le cul de ma belle dégoulinant de mon jus alors que du mien je me délectais de la vision de la si belle chatte de Louise toujours bien ouverte et débordante du sperme de mon ami. J’avais hâte qu’il s’agisse bientôt du mien.
Sophie ayant retrouvé ses esprits, finit par plonger dans la piscine pour profiter de la douce tiédeur de l’eau en cette belle soirée d’été. Je ne tardai pas à la rejoindre et fus vite suivi de nos amis et c’est dans cette ambiance décontractée que nous profitâmes d’un bain de minuit totalement nus et, surtout, bien mérité.
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