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Vacances italiennes

Chapitre 1

Premiers jours au village

Erotique
L’air qui vient frapper mes joues est semblable aux caresses de ma mère quand, petit, elle m’aidait à m’endormir. Le soleil dynamise confortablement ce décor. À gauche, de belles montagnes vertes, à droite, la Méditerranée vêtue de sa resplendissante robe bleue. Je ne suis pas quelqu’un de prétentieux mais je pense que ce modèle de Vespa des années 70 blanche nacrée et moi, collons parfaitement à cet environnement. Nous formons un formidable couple épanoui, amoureux, rayonnant. Deux moitiés qui se collent à la peau et se complètent. Quand les histoires d’amour se terminent, c’est vrai qu’une des façons d’en guérir c’est quand on trouve celle d’après. Ce contexte m’aide à oublier la précédente, et je suis bien content de vivre tout ça. Certes, il manque cet aspect physique, sensuel et même parfois érotique d’une relation avec un être humain. Mais autant se contenter de ce qu’on a, plutôt que de penser à tout ce qu’on pourrait avoir.
J’ai pris quelques semaines de vacances sur les côtes amalfitaines pour me vider la tête, boire le soleil et manger de délicieux plats de poissons. Je suis arrivé hier dans la soirée et il faut dire que l’enthousiasme précoce de cette nouvelle relation avec l’environnement a été drôlement efficace, jusqu’à ce qu’elle m’évoque mon ex-femme. Cinq années à exister, à me dédier et à tout donner à ce que je croyais être mon âme sœur. Elle avait débuté sur les chapeaux de roues, nous faisions l’amour partout, tard dans la nuit, à la vue des gens ou dissimulés dans la voiture, dans les toilettes des bars et des boîtes de nuit. Les émotions agréables virevoltaient ici et là, venant assaisonner la vie à la perfection. Quant aux péripéties qui se sont installées, mieux vaut ne pas leur prêter attention, elles se sentiraient si importantes qu’elles pourraient se dire que je ne retiens que celles-ci.
Mes pensées s’estompent alors que je suis à nouveau concentré par ce qui m’englobe. Cet air iodé, ces couleurs italiennes au loin, je m’approche d’Amalfi, le village où je passe mes nuits. Cette érotique petite crique de maisons enchevêtrées aux couleurs estivales est un humble havre de détente aux accents de guitare classique. Les deux cappuccini que j’ai bus avant cette excursion motorisée parfument encore mon haleine. Mais il est bientôt treize heures et depuis mon arrivée, je rêve d’une de ces fritures de calamars et de petits poissons sur une terrasse ensoleillée qui se marient parfaitement avec du vin blanc. C’est ainsi que j’ai pris le chemin de retour pour succomber à cette envie presque capricieuse. La vue joue à cache-cache et me fait profiter de son esthétisme en jaillissant entre les virages comme une éclaboussure d’eau fraîche sur le visage. Plusieurs plateaux panoramiques sont disposés le long de la route comme un buffet de chefs-d’œuvre à volonté.
Je décide de m’arrêter sur celui qui m’attire le plus. Il est vide, placé sur la convexité d’un tournant, il offre la vue sur mon village à ma gauche, sur la vaste étendue d’eau salée en face de moi, et sur ce paysage montagneux d’un vert accueillant à droite. Je m’assois sur le banc pour fumer une cigarette contemplatrice après avoir mis mes écouteurs. Il faut idéalement choisir le son qui circulera dans mes oreilles. Et quoi de mieux que le cliché pour satisfaire un dilemme de ce genre. De vieilles chansons de variété italiennes prouvent leur efficacité après seulement quelques secondes. Je suis même surpris de fermer les yeux par moments avec cette vue toujours imprégnée dans mon esprit.
Cette rêverie a fait que je n’ai pas entendu pas la voiture qui vient de se garer proche de ma vespa. Et encore moins la personne qui est maintenant assise à l’autre bout du banc. La surprise me fait avoir ce stupide réflexe de regarder cette femme avec un visage ébahi comme si elle était malvenue. J’arbore donc un sourire d’excuse aussi maladroit qu’authentique. Je ne m’attends pas à ce que cette ténébreuse brune me le rende avant qu’elle remonte le devant de sa robe beige pour croiser ses délicates longues jambes. Elle porte des espadrilles aux talons légèrement compensés, qui malgré la simplicité du design rendent les chevilles et le bas des mollets de ce mirage érotiquement majestueux. Mais rapidement, et sûrement avec trop de précipitation, je me replonge dans ce panorama pittoresque. Je ne suis pas un artiste mais je suis sensible à la beauté et je suis persuadé que ce moment ferait une splendide photographie.
Ma chemise bleu ciel rentrée dans mon short marron s’accorde plutôt bien avec la tenue de la personne sur ce même banc. Et que dire de nos deux véhicules qui représentent divinement les balades méditerranéennes. La décapotable rouge vient sublimer le pouvoir séducteur de ma Vespa blanche et inversement. Malgré mes lunettes de soleil qui diminuent la luminosité, le mouvement de l’ombre à ma gauche me fait sortir de mes pensées. La brune s’est levée et s’est placée en face de moi. Je la fixe et, pendant un moment, j’ai peur qu’un filet de bave s’écoule de ma bouche. Elle est somptueuse. Sa robe est d’une simplicité extrême, conçue pour que sa petite poitrine soit accueillie dans un décolleté épuré, sublimé par un collier doré. Sa peau mate est décorée de taches de rousseur assez foncées. J’ai envie de lui arracher ses lunettes pour voir la couleur de ses yeux. Son visage n’est ni rond ni pointu mais géométriquement hypnotisant.
C’est ainsi que je prends l’initiative d’enlever mes écouteurs pour savoir ce que me veut cet être divin et d’arrêter d’être comme dans un musée à contempler ce tableau attrayant. Grâce à une sensuelle vivacité, elle me bloque le bras pour m’empêcher de terminer mon mouvement et me faire comprendre de continuer à écouter ma musique. Le contact de sa main décorée de tatouages et de bagues fait circuler un fluide chaud dans l’ensemble de mon corps. A ma grande surprise, il déclenche une érection instantanée que dans mon short aéré je suis dans l’impossibilité de dissimuler. Que me veut-elle ? Qui est-elle ? Je voudrais lui poser la question mais je ne pourrai pas entendre la réponse alors je joue le jeu en continuant à la fixer à travers ses lunettes, en ayant l’espoir de deviner la couleur de ses yeux. Après avoir attaché ses cheveux bruns presque noirs, qui lui tombent au niveau des épaules, elle commence à descendre lentement pour finalement s’agenouiller devant moi.
Suis-je dans un film ? Une mise en scène ? Est-ce possible que cette femme se soit arrêtée ici pour me faire une fellation ? Non, ce n’est que mon esprit pervers qui, en manque de sexe, imagine les scénarios les plus fantasmatiques pour assouvir cette soif d’érotisme et me donner de quoi me masturber ce soir en rentrant. Est-ce déjà arrivé à d’autres hommes qu’une femme merveilleuse et inconnue s’assoit près d’eux en pleine nature et qui, sans dire un mot, leur englobe le sexe de sa bouche parfaitement dessinée ? Je ne suis pas fou, elle est à genoux et attrape les boutons de mon short tendu par mon sexe gorgé de sang. Dois-je lui dire d’arrêter ? Je n’ai pas peur qu’on me voie, je dois même dire que la possibilité qu’on nous surprenne participe à cette énergique érection. Tout est réuni pour que j’éjacule au moment où elle déposera ses lèvres sur mon gland. Je sens déjà mon liquide séminal tacher mon caleçon qui maintenant découvert est refroidi par la légère brise ambiante.
Elle va me sucer. Puis-je laisser faire ? Et si on l’avait forcé ? Et si elle cherchait à se venger de son mari infidèle ? J’ai certains dilemmes qui se chamaillent avec mon éthique mais je ne veux pas entraver mon excitation. Je veux que mon sexe soit plus dur que jamais pour cette femme qui m’offre là un fantasme inaccessible.
Elle sort mon sexe, le regarde et sourit. J’espère que ce n’est pas mon imagination qui me joue des tours mais j’ai l’impression qu’elle apprécie la taille de celui-ci. Subtilement, elle lèche le haut de mon gland pour y récupérer ce fameux liquide séminal qui s’est écoulé, malgré moi, à cause de tout cet épisode folklorique et inimaginable. Elle continue de toucher mon sexe avec sa langue, elle le lèche pour le faire briller au reflet de ce soleil qui vient de passer le zénith. Les pulsations de celui-ci sont presque monstrueuses, il se gorge encore de sang, moi qui pensais qu’il en était déjà plein. Une fois qu’il est entièrement couvert de sa précieuse salive elle met sa bouche au-dessus pour y faire tomber une grosse quantité. C’est chaud. Elle descend son visage sur mon pénis pour en mettre une partie dans sa bouche. Un frisson immense circule dans mon corps, dans ma tête. J’ai le souffle coupé, le ventre noué. Mes jambes sont cotonneuses. Sa bouche est délicate.
J’ai cette sensation qu’on me branle avec un linge soyeux, humide et d’une chaleur si réconfortante. Je me sens aimé dès que mon sexe glisse à nouveau entre ses lèvres. J’ai envie de l’arrêter, de l’embrasser, de la demander en mariage, de lui faire un enfant maintenant ; pour me garantir qu’on me sucera ainsi jusqu’à la fin de mes jours. Mais elle a pris l’initiative, je vais la laisser faire, je vais la laisser faire ce qu’elle a entrepris, jusqu’au bout. De toute manière, je ne tiendrai pas longtemps et je n’éjaculerai pas dans sa bouche, je ne la connais pas. Sa langue se balade comme sur un terrain qu’elle connaîtrait depuis toujours. Elle sait parfaitement comment sucer mon gland, comment lécher mes testicules. Elle lève la tête un instant pour me regarder, tout en continuant à me branler. Je ne peux résister un instant d’embrasser cette bouche à la lèvre supérieure légèrement relever, surplombée par un mince nez tacheté.
Ce baiser est rempli de salive, il est sensuellement parfait. Elle sent bon. Elle appuie une de ses mains sur ma poitrine pour me pousser à nouveau au fond du banc et pour que je regagne une position confortable. Je me suis autorisé à lui passer la main dans ses cheveux en prenant soin de ne pas la décoiffer et, de temps en temps, lui caresser légèrement la joue avec le dos de mes doigts. Elle est d’une douceur encore inconnue à ma sensibilité. Une onctuosité que je découvre au fur et à mesure qu’elle passe ses mains sur mes cuisses et qu’elle réalise ses indescriptibles va-et-vient avec sa bouche. Le moment que je redoutais monte à pleine vitesse. Les pulsations frénétiques de mon sexe s’accélèrent. La musique gagne toujours plus de perfection contextuelle. Je n’ai même plus le temps d’observer autour de moi, ce paysage presque oublié de par le rêve éveillé que je vis. Je suis obnubilé par cette robe beige qui ondule à mes pieds.
Je ne m’étais pas encore attardé sur sa chute de reins qui laisse apparaître des rondeurs fluides. Sa robe était plongeante à l’arrière, ce qui me permettait de dévaler cette vertigineuse courbe de mes yeux. Quelques grains de beauté étaient parsemés sur ce dos musclé et d’une couleur mate si chaleureuse que je ne peux plus contenir mon éjaculation qui doit être massive. Je n’ai plus eu de rapport depuis maintenant plusieurs mois et je ne me suis pas masturbé depuis quelques jours. Je prends l’initiative de la repousser délicatement par l’épaule lorsque je sens la chaleur de mon sperme à la racine de mon sexe. Elle refuse de se retirer et amplifie même ses mouvements de tête pour englober un peu plus mon pénis à chacun de ses va-et-vient. Ma respiration est haletante mais je ne peux l’entendre. Je ne peux plus retenir la poussée de mon sperme qui ne demande qu’à exploser au fond de sa gorge.
Tout comme cette jouissance profonde que je ne peux retenir quand mon sperme parcourt mon urètre Elle arrête quelques secondes ses mouvements de tête pour accueillir ma semence dans sa gorge. Mes sensations sont extrêmes, à la limite de l’implosion, notamment quand l’appel d’air qui m’indique que l’inconnue a dégluti. Avaler mon sperme, moi qui suis aussi un inconnu à ses yeux. Dans ses délicats derniers allers-retours, elle vide complètement mon sexe de tout le sperme qui avait été préparé pour l’explosion.
Elle avale une dernière fois avec mon sexe en bouche, ce qui me fait sursauter légèrement. Elle remet mon pénis dans mon caleçon, ferme mon short avant de se lever pour déposer délicatement ses lèvres sur les miennes, alors que j’ai les yeux entrouverts. Je suis épuisé et en dehors de la réalité. Je vois son ombre s’en aller sans pouvoir intervenir. Dans un mouvement précipité, j’enlève mes écouteurs, je me lève et me tourne vers la voiture qui a déjà le moteur en marche. Mon onomatopée pour l’interpeller est masquée par l’accélération de la voiture qui disparaît rapidement dans les virages, accompagnée d’un geste d’au revoir de ce délicieux bras bronzé. Je remets mes écouteurs et m’allume une autre cigarette pour me remémorer ce qui vient de se passer. La mer me sourit, le soleil m’enveloppe, le vent me caresse. Il est temps d’aller manger. J’ai hâte de me raconter ce qui vient de se passer autour d’un verre de vin et de ce plat de fritures.
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