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Vacances italiennes

Chapitre 2

Fritures et vin blanc

Erotique
Ma tête tourne déjà légèrement après avoir bu ces deux verres de vin un peu trop rapidement. La chaleur doit aussi y jouer un rôle crucial ; même si cette terrasse ornée de bleu ciel et de nappes en papier blanc participe à une illusoire fraîcheur. Enivré et plongé dans l’épisode lunaire que je viens de vivre, mon regard est dirigé vers l’horizon infini de cette région aux accents napolitains. Cette hypnose est interrompue par la délicatesse familiale du serveur qui vint déposer mon assiette tant attendue entre mes couverts. "Buon appetito", me dit ce malheureux serveur qui transpire à grosses gouttes dans sa tenue composée d’une chemise blanche à manches longues et d’un haut tablier noir. La terrasse est presque vide, mais les tables encore en pagaille m’indiquent qu’ils ont eu un service mouvementé. Nous sommes jeudi midi et en ce mois de juin, la saison est démarrée depuis peu pour les restaurants du coin. J’ai choisi celui-ci, car il offre la plus belle vue.
Le parfum de friture qui s’immisce dans mes narines me fait renouer avec ce sentiment de faim que l’alcool a mis de côté. Après avoir écrasé ma cigarette, je fais couler le jus des quelques tranches de citron qu’on m’a déposées dans l’assiette sur l’ensemble de mon plat. Enfin, ces délicieux petits mollusques et crustacés marins entourés de cette légère et croustillante friture se promènent dans ma bouche. Cette région offre une des variétés de citron la plus goûtue qui existe. Et ces notes acides viennent sublimer merveilleusement la chair généreuse de ce calamar ou encore de cette crevette.
Il fait bon vivre à Amalfi. C’est précisément cet apaisement que mon corps et mon esprit recherchaient depuis plusieurs semaines sombres. Le calme bercé par les notes de musiques traditionnelles sud-italiennes, la brise iodée qui vient adoucir l’agressivité des rayons de soleil et le vide de cette terrasse qui remplit mon cœur créent un cocktail de détails qui propulsent mes pensées vers ce visage. Cette merveilleuse femme m’a obligé de lui offrir mon sexe pour qu’elle y pratique ce que dans mes rêves les plus absurdes je n’ai osé imaginer. Je me suis peut-être endormi et mes songes m’ont propulsé vers cet imaginaire transcendant. Mais les sensations que j’ai vécues sont beaucoup trop réelles pour remettre en cause la véracité de l’évènement. Étrangement, en avalant ce petit poisson frit, mes souvenirs me recréent la sensation quand la douceur féminine de cette bouche a avalé mon sperme. Mon ventre se met immédiatement à danser une valse sensuelle. La reverrais-je un jour ?
Quel idiot j’ai été de ne pas courir vers elle plus immédiatement. J’aurais pu lui jeter un papier avec mon numéro dessus, ou directement mon téléphone, ça l’aurait obligé à me retrouver. Est-elle de la région ? Est-elle italienne ? Quel gâchis, cette femme m’a montré à quel point elle m’a désiré et je n’ai pas pu faire de même. Je noie rapidement ce sentiment de culpabilité dans la dernière gorgée de vin contenu dans mon verre avant de me resservir. La terrasse est à présent complètement vide, les serveurs commencent à nettoyer timidement les tables encore encombrées. Je suis seul, avec ma bouteille de vin et mon assiette. Quel bonheur, je ne veux plus quitter cet endroit. J’ai voulu appeler mon meilleur ami pour lui raconter ce qui venait de m’arriver, mais il m’a fait promettre que je n’utiliserai que très rarement mon téléphone et que j’essayerai de ne pas l’appeler pendant cette douce semaine italienne. Il a sûrement raison. Je lui résumerai cet épisode à la fin de ce voyage.
Et mon esprit divague sur d’éventuelles retrouvailles avec cette délicieuse femme, dans une nuit chaude à faire l’amour dans ces ruelles à la lumière dorée. Je n’ai pas pris l’initiative d’organiser des activités pendant ce séjour, laissant les opportunités contrôler ma destinée. J’ai pris la précaution de faire un rapide tour d’horizon pour avoir en tête les possibilités qui s’offrent aux touristes d’Amalfi, mais en étant dépendant des envies qui naissent le matin à mon réveil. J’ai écouté mes désirs jusqu’à maintenant et après ce déjeuner, ils ont prévu que je lise ce bouquin au bord d’une plage ou à la terrasse d’un café, agrémenté de spritz. Un joli programme dont je me réjouis, mais cet enthousiasme est légèrement annihilé quand je m’aperçois qu’il ne me reste plus que très peu de poissons dans mon assiette.
Mes automatismes curieux me font tourner la tête quand j’entends le serveur arriver sur la terrasse et prononcer une phrase en italien qui est clôturée par un sensuel "grazie" d’une voix féminine.
C’est une blonde, à la crinière ensoleillée, qui porte un large t-shirt blanc qui ne couvre pas ses épaules bronzées. Il est rentré dans une courte jupe bleue qui décore à merveille de longues jambes dorées, conclue par des talons compensés en toile et aux couleurs marines. Elle porte un large chapeau de toile et des lunettes de soleil brillantes, ce qui ne me permet pas d’observer idéalement son visage, mais sa démarche assurée et sans prétention m’interdit de dévier du regard. L’ample t-shirt ne me permet pas de me perdre dans sa poitrine, mais la courbe de cette jupe, formée par ses fesses bombées, est vertigineuse. Mes yeux me remercient d’avoir pris l’initiative de les y déposer quand elle m’a tourné le dos pour aller s’installer sur une des tables à peine débarrassée par le serveur. Curieusement, elle ne s’installe pas précisément face à la vue que donne la terrasse sur la baie un peu plus loin comme j’avais décidé de le faire à ma table, elle s’installe de profil.
Le serveur lui apporte immédiatement la carte et elle commande dans un italien parfait un Negroni. Plutôt audacieux, pour l’heure et la chaleur. Elle se tient bien droite sur sa chaise pour lire le menu, me laissant la chance d’admirer un peu plus cette courbe lombaire dessinée par la nature avec la plus grande des grâces. Elle pose le menu et se tourne vers la vue. La teinte blonde et lumineuse de ses cheveux m’éblouit presque, une chance d’avoir gardé mes lunettes de soleil ! Elle recule son dos sur son siège et croise ses jambes. Je comprends que le restaurant, malgré l’heure tardive, ait accepté cet être magistral pour quelques minutes de service supplémentaires. L’irrésistible physique de cette femme vaut la peine de fournir un peu de travail en plus, uniquement pour le bonheur oculaire qu’elle offre.
Quand on lui apporte son Negroni, elle commande en même temps une simple mozzarella accompagnée de tomates fraîches de l’agriculteur du coin, juteuses et brillantes comme sa peau. Je ne sais plus où ranger mon regard quand il croise le sien après avoir restitué le menu au serveur. Je n’ai cessé de la scruter depuis qu’elle est arrivée sur cette terrasse et elle a forcément dû le ressentir. Malgré la chaleur, ce sourire qu’elle esquisse ne peut pas être une illusion, il est orienté vers moi, seul client de cette terrasse. Je fais semblant de regarder mon assiette qui est finie depuis un petit moment maintenant. Le serveur profite d’être sur la terrasse pour venir me débarrasser et prendre ma commande pour le café qui allait clôturer mon repas. Cette fois, c’est moi qui, après avoir demandé "un macchiato" au serveur, tourne la tête vers cette mystérieuse blonde qui n’a pas dévié ses yeux de ma table.
Elle accentue un peu plus son sourire avant de regarder à nouveau au loin. Mon visage est figé, je dois avoir une d’expression niaise, étonnée et certainement pas attirante. Je ressens tout de même une certaine tension dans nos échanges. Et voilà que mon esprit naïf de trentenaire en quête d’aventures sexuelles reprend du service et vient stimuler mon imaginaire pervers. Pourtant, je viens de vivre il y a peu de temps un scénario des plus fantasmatiques qui soient. Mais je ne peux m’empêcher de désirer le corps de cet ange couleur or. Pour me reconcentrer sur la réalité, je décide d’aller me laver les mains, qui sont particulièrement grasses, en attendant qu’on m’apporte le café. La salle de bain a des carreaux blancs et bleus, de la même couleur que le reste du restaurant. Des hublots ronds font pénétrer les rayons du soleil, ce qui rend la pièce très lumineuse pour une banale pièce d’eau. J’entreprends de me sécher les mains grâce au sèche-main proche d’un des hublots.
Même à travers celui-ci, la vue est époustouflante. Je suis perdu dans cette immensité marine quelques secondes et très rapidement je repense à mon expérience sur la plateforme panoramique, puis de manière très rapide ma vision alterne avec l’autre dessin succulent de cette blonde qui sirote son negroni sur la terrasse. Je suis tellement perdu dans mes pensées que je n’ai pas entendu que quelqu’un était rentré dans la salle de bain. En me retournant, mes yeux se perdent dans les siens. Ils sont bleu ciel, ce bleu ciel qui s’accorde parfaitement avec le bleu de sa jupe et s’accommode parfaitement avec sa chevelure agrémentée de mèches "rayon de soleil". Elle me fait le même sourire qu’elle a esquissé sur la terrasse, mais ne le quitte pas pendant qu’elle s’approche de moi. Cette démarche lente et érotique déclenche instantanément une splendide érection dans mon short, qui n’était pas spécialement préparé à tout ça.
Nous sommes face à face, le visage très proche, elle ferme les yeux et sa respiration est de plus en plus lente et profonde. Cette vision rapprochée me montre tous les détails de ce portrait qui ne comporte aucun défaut. Des joues légèrement creusées, des pommettes arrondies, des sourcils fins et presque châtains. Ses lèvres roses ressemblent à une friandise d’enfant que l’on suce des heures. Son parfum est fleuri et frais, comme son t-shirt blanc. Qu’est-ce qu’il est encore en train de se passer ? Quelle est cette ville ? Je suis complètement déconnecté de la réalité. D’abord cette brune, puis maintenant cette blonde, responsable de cette immense bosse qui s’est formée dans mon short.
Il était impossible d’imaginer que ce séjour prenne cette tournure. En réservant cette chambre, jamais mon esprit n’avait pris en compte l’éventualité que j’ai des rapports sexuels. Soyons honnêtes, j’avais embarqué quelques préservatifs au cas où le destin m’offrirait un chouette épisode. J’étais amplement satisfait par la recherche d’apaisement, je voulais uniquement me séparer un peu du train quotidien que je vivais à Nice pour revenir à l’essentiel, à cette Italie que j’apprécie tant et qui me détend. J’avais foi en ma sincérité, car en partant ce matin, je n’avais pas embarqué de préservatif. Vais-je vraiment vivre un second fantasme en quelques heures ? Elle ouvre les yeux et les baisse vers mon avant-bras qu’elle caresse du dos de sa main. Mes poils se hérissent, ce qui accentue le coin droit de son sourire. Elle fait courir sa main sur le long de mon bras pour remonter jusqu’à l’arrière de ma nuque et plonger son regard au fond du mien.
Il est moelleux, accueillant, rassurant et surtout très excitant. Je ne peux plus me contrôler, je l’ai assez laissé faire. Je prends l’initiative d’attraper ses hanches pour coller son bassin contre mes parties intimes et me perdre dans un baiser délicat les premières secondes et fougueux par la suite. Je la sens me pousser vers la droite en prenant bien la précaution de frotter son pubis contre le mien. Elle m’oriente vers les portes en bois bleu pour y tourner le verrou une fois que nous sommes dans les toilettes. Tous les gestes s’accélèrent dans une sensualité toujours aussi somptueuse. Elle caresse mes cheveux noirs de ses longs doigts aux ongles manucurés de couleur chair. A la manière d’un plongeur artistique, je me jette dans son cou et de ma main gauche, j’attrape son sein droit qui est très large et pulpeux. Ce geste déclenche un feulement feutré de la part de la blonde.
Je descends délicatement son t-shirt blanc pour découvrir sa poitrine qui n’est pas soutenue par un soutien-gorge et ne porte pas de traces de bronzage. Je regarde ses seins presque ridicules de symétrie. Ils sont idéalement ronds, ses tétons pointent déjà de manière à ce que je ne puisse résister à les sucer langoureusement. Elle profite de mon dévouement au niveau de sa poitrine pour glisser une de ses mains à l’arrière de mon short et venir parcourir mes fesses jusqu’à caresser la surface de mon anus avec la plus grande affection. L’autre main cependant est plus violente, car elle l’utilise pour appuyer sur l’arrière de mon crâne et venir coller mon visage contre ses deux nuages moelleux. Comme je n’ai pas pu rendre la monnaie de la pièce à la brune, je tiens à offrir un orgasme de la même envergure à cette nouvelle inconnue qui m’offre une euphorie sexuelle indescriptible.
Je décide de l’écarter un peu sur le côté pour déposer son voluptueux corps contre le mur avant de m’agenouiller et de lever sa jambe gauche pour déposer son talon sur la cuvette des toilettes. En remontant sa jupe moulante, le spectacle arrive très rapidement, car elle ne porte pas de culotte non plus. Je dois faire un léger effort pour ne pas exclamer ma surprise en apercevant immédiatement son sexe tondu d’où sort très légèrement son bouton clitoridien. Sans hésitation, je dépose mes lèvres sur sa chatte chaude et déjà humide pour l’embrasser tendrement. Mais je n’ai pas trop de temps à perdre pour un préliminaire trop travaillé, je veux la faire jouir dans les règles, mais le plus rapidement possible. Ma langue se faufile entre ses grandes lèvres, écarte les petites pour que j’accède rapidement au clitoris et que je prenne à pleine bouche le sexe de ce physique à l’esthétisme transcendant. Ses cuisses sont fines et musclées, toujours avec le même teint bronzé.
Bronze-t-elle complètement nue ? Je dépose ma main gauche sur son ventre pour sentir sa respiration. Sa cyprine commence à couler de plus en plus en même temps que les mouvements de son bassin augmentent. Elle frotte littéralement son sexe mouillé contre ma bouche. Je la laisse faire et en profite pour me concentrer sur une succion baveuse de son clitoris. Ses jouissements sont de plus en plus forts et de plus en plus rapprochés. Son ventre danse de manière anarchique. Je décide de pénétrer sa chatte trempée avec deux de mes doigts. C’est brûlant. Je lui masse la paroi avant de son vagin tout en continuant à lui sucer ce bouton à l’infinité de terminaisons nerveuses. Je le sens gonfler entre mes lèvres. Sa cyprine commence maintenant à couler le long de mon cou. De ses mains érotiques, elle me masse et me tire sensuellement le cuir chevelu, dans une coordination minutieuse avec des passages plus intenses de ma langue sur sa chatte gonflée.
Je commence à ressentir sur mes oreilles les tremblements de l’intérieur de ses cuisses, se contractant frénétiquement au fur et à mesure que la blonde lâche prise et que l’orgasme monte. Pour faire durer un peu plus le plaisir, je détache un peu ma bouche pour lécher la globalité de son sexe et reprendre un petit peu ma respiration, mais je n’ai que quelques secondes avant qu’elle ne replaque mon visage sur son entrejambe. Les jouissements sont de plus en plus intenses, de plus en plus bruyants. Je malaxe sa fesse gauche pour lui dire de faire moins de bruit, mais surtout pour palper ce galbe à la fois rigide et onctueux. Elle ne résiste plus, elle appuie encore plus fort mon visage et se perd dans une longue jouissance de satisfaction. J’ai à disposition encore quelques instants pour accentuer encore plus cet orgasme qui a failli me faire éjaculer à mon tour.
Elle serre ses cuisses, ce qui me permet uniquement quelques moelleux coups de langue qui s’éteignent délicatement dans de discrètes convulsions érotiques, accompagnées de tendres gémissements. Les muscles de ses cuisses libèrent mon visage et elle me tire par la chemise pour me faire remonter au niveau de sa bouche et m’embrasser amoureusement. Elle lèche du bout de sa langue le coin de mes lèvres et descend au niveau de mon cou pour lécher le nectar qui a coulé de son sexe. Elle regarde la bosse toujours proéminente de mon short pour y déposer voluptueusement la paume de sa main comme pour s’excuser, me regarde avec le même fameux sourire qui se dessine minutieusement sur son visage et dépose sa bouche sur la mienne avant de sortir des toilettes. Je baisse la cuvette pour m’y installer et l’observer. Elle est en face de moi, de dos, elle se regarde dans le miroir pour se recoiffer légèrement et vérifier que ses vêtements ne trahissent pas un ébat sexuel.
Son reflet me regarde une dernière fois, cette fois si c’est moi qui lui souris en essayant d’imiter le sien. A travers cette glace elle me salue de la main, et s’en va.
Quand j’entends la porte claquer, je me lève et me dirige vers le même lavabo qu’elle a utilisé pour me rincer le visage et le cou. Quelle curieuse expérience à nouveau ! Mais que faire maintenant ? Son plat est sur la terrasse et mon café m’attend. Je vais continuer de jouer le jeu avec le destin. Je regagne ma table où mon café y est posé. Je m’allume une cigarette en la regardant déguster sa mozzarella. Cette fois-ci je n’ai pas peur que mon regard croise le sien. Je bois mon "macchiato" d’une traite, prends une dernière grosse bouffée de ma cigarette avant de l’éteindre dans le cendrier en verre et aller payer ma note. Sans la regarder. Mon scooter est garé en bas de la terrasse. J’ai envie de me baigner dans cette immense mer, mais il faut que j’aille chercher un maillot dans mon appartement, car je n’en ai pas pris. Me voilà en direction de mon éphémère domicile.
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