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Vacances italiennes

Chapitre 3

Erotique
La fraîcheur de l’eau que je viens de me jeter au visage me revigore énergiquement. J’ai légèrement somnolé sur le chemin de retour, faute sûrement du vin ingurgité pendant ce copieux repas au soleil, ou peut-être cette matinée chargée d’un point de vue physique et émotionnel. Et il faut dire que les mouvements de bascule du Vespa dans les petites rues romantiques du village sont similaires au balancier d’un berceau. Une deuxième gifle aqueuse ne peut que me faire du bien. Je me déshabille pour intégralement changer ma tenue. J’ai beaucoup transpiré, cette chaleur est soutenable, mais diaboliquement présente. Je fais un pas en arrière pour me regarder dans le miroir. J’ai énormément minci. Je maigris toujours en période estivale, car je mange moins, mais il faut que je m’avoue que j’ai accentué la pratique sportive depuis que je me suis séparé de ma femme.
Je n’ai pas spécialement envie de voir du monde, mais je n’ai pas non plus le désir de m’enfermer chez moi et de bondir de série en série immobile sur mon canapé. Nous avons la chance dans ma région, d’avoir une géographie qui se marie parfaitement au beau temps presque omniprésent à la fin du printemps. Alors je suis souvent allé courir, j’ai souvent joué au football. Tout ça agrémenté de quelques exercices qui aident à sculpter un modeste, mais généreux corps, qui aime traduire mon amour envers les bonnes choses, et surtout envers l’alcool. Je n’ai jamais été véritablement en surpoids, mais je n’ai jamais trouvé mon corps idéalement sexy, jusqu’à aujourd’hui. Je ne comprends pas pourquoi j’attire les femmes, mais aujourd’hui j’ai un indice. Je coucherais bien avec moi. L’esprit est taquin, il me fait penser des choses qu’habituellement je suis loin de prétendre. Mais il faut dire que le destin l’a plutôt aidé en ce qui concerne le domaine du "tu es attirant".
Et si j’étais une femme ? Je trouve ça amusant de m’imaginer avec une paire de seins, beaux et symétriques. Bronzés et rigides. Que c’est beau une femme ! La fleur la mieux travaillée de l’existence. Cette fluidité de courbes, exacerbées ou non, sont une voluptueuse ode à l’esthétisme que seule la nature sait maîtriser si bien. Je me suis souvent demandé si j’étais homosexuel. Un homme aussi est très beau, et avec la dose de charisme que l’on peut trouver chez certains, je comprends qu’ils deviennent à ce moment irrésistible. La voix, les mains, l’expression du visage peut provoquer de véritable chaleur dans le ventre et vous emmener vers un imaginaire torride et viril à souhait.
Je vous aime les hommes, aussi, mais vous ne pourrez jamais m’enlever cette fidélité aux femmes. Je me suis parfois amusé à m’imaginer sucer le sexe d’un homme, mais c’est incomparable avec la sensation de voir une femme au bout de sa bite se torde de plaisir, se hérisser de bonheur et se baigner dans l’érotisme qui me parle le plus. Le sexe est beau, qu’il soit pratiqué par un homme et une femme, deux hommes, deux femmes ou un mélange poétique de tout ça. C’est une véritable prose bénéfique au psychisme de l’être humain. Est-il si important pour ce domaine de rentrer dans une catégorie ? Moi je suis hétéro, moi je suis homo, moi je suis bi. Je n’ai qu’une chose à vous dire, faites l’amour avec ce qui vous plaît, et faites-le comme ça vous plaît, et vous atteindrez sûrement la paix la plus orgasmique qu’on puisse connaître.
Je suis fasciné par ces personnes si virtuoses dans leurs pratiques sexuelles. J’aimerais leur dire "aidez-moi, emmenez-moi avec vous dans votre univers, je veux que ce que vous faites me plaise", mais est-ce que je respecterais vraiment ce que je viens de penser précédemment ? Je suis fasciné par la curiosité, et il faut dire que la mienne a une tendance hyperactive, mais j’ai toujours manqué de courage pour assumer mes envies, toujours avec l’humble conviction de changer ça tout en évitant de faire du mal à ceux que j’aime, et qui m’aiment.
La femme a une place beaucoup trop importante dans mes désirs. Je veux tomber amoureux de toutes celles que je croise. Leur dire qu’elles sont merveilleuses, pétillantes, ravissantes. Que leur voix est une mélodie sans prétention qui vaut mille instruments. Que leurs gestes sont aussi délicats que la toile d’un voilier voguant sur une mer paisible. Que leurs corps définissent le mot élégance, le mot délicat, le mot raffiné, et qu’il m’a hypnotisé déjà plus de cent fois. C’est ainsi que je regagne ma forme d’homme dans le miroir, en m’apercevant qu’une érection prononcée s’est créée pendant que je me perds dans mes pensées. J’observe mon sexe rigide, imprégné de veines qui ressemblent à une carte aux routes sinueuses.
Brièvement, des bribes de souvenirs me font penser à quand il était enfoui dans la bouche de cette mystique brune, brillant de salive. Elle était somptueuse. La blonde était très belle, mais cette brune était beaucoup plus "mon style". Je semble peut-être un peu trop influencé par mon attirance envers les coupes de cheveux courtes. Elle ressemblait à une version moderne de ma mère. J’ai souvent entendu dire que l’on peut être attiré par une version 2.0 de notre génitrice, ce n’est pas Oedipe qui dira le contraire. Mais complexe ou pas, il s’avère que cette brune, en plus d’être esthétiquement "à mon goût", suçait divinement bien.
Je suis bien nu. Je veux le rester. J’ai subitement l’idée de chercher si des plages naturistes existent dans le coin. Je vais donc m’installer sur ma terrasse ombragée avec mon ordinateur pour faire mes recherches et fumer une énième cigarette. C’est assez compliqué de trouver ce qui pourrait éventuellement combler mon désir, mais il s’avère qu’il existe une petite crique à environ trente minutes de mon village où il est habituel de se baigner nu, sans que ce soit officiel. J’ai trouvé ça dans les profondeurs d’un forum italien libertin. Sans hésiter, j’enfile mon maillot de bain, une chemise à fleurs assez ample, je prépare mon sac à dos avec une crème solaire que je n’utiliserai sûrement pas, une serviette, mon livre et mon appareil photo avant de prendre mon casque puis sortir de mon appartement.
En arrivant dans la rue pavée, juste avant de traverser pour rejoindre mon scooter, une voiture rouge me passe devant, la même voiture rouge que la brune, et j’ai à peine le temps d’apercevoir sa coupe de cheveux qui reste gravée dans ma mémoire. Le geste du bras qu’elle fait avant de tourner à droite m’indique que c’était bien elle, et qu’en plus de ça, cette garce m’a reconnu et ne s’est pas arrêté. J’adore ce jeu. Ça ne fait que retarder ma demande en mariage. Je mets mes écouteurs avant d’enfiler mon casque, chose interdite, mais je ne peux pas faire autant de route sans la moindre mélodie dans mes oreilles. J’opte pour une compilation de musiques traditionnelles italiennes. Toujours ce fameux cliché, toujours aussi efficace.
Cette mer, surplombée par les routes montagneuses sur lesquelles je circule, est toujours aussi divine. J’aime la mer autant que cette brune. C’est en la regardant que sa beauté me saute inévitablement aux yeux. Même si je la connais, elle n’est pas aussi authentique dans mon imagination. Son bleu, mon esprit n’arrive jamais à le reproduire à l’identique. Et ses mouvements, comme la bouche de l’inconnue sur mon sexe, peuvent se vanter de procurer une excitation presque similaire. Mes pensées virevoltent dans ce bain de sensualité. Je ne pense qu’au sexe, et je ne m’y attendais pas. En partant, j’ai embarqué plusieurs bouquins. Je comptais sur eux pour stimuler mon imaginaire aventurier, ou que des réflexions profondes sur les comportements humains se déclenchent spontanément, sur l’amour ou encore le bien, le mal, la vie, la poésie, les histoires personnels de chacun, la nourriture, le beau, le voyage.
Mais mon esprit est accaparé par ces derniers événements frôlant la pornographie. Salaud de destin qui a orchestré toute cette manigance.
Dans les écouteurs, le GPS me dit de quitter cette route surélevée pour prendre à droite et entamer une descente aux épingles répétées, avant de m’ordonner de garer mon véhicule pour finir la route à pied. J’obéis. Il y a quelques voitures garées à l’endroit où j’abandonne mon Vespa, que je glisse entre les autres deux roues disposés côte à côte. J’entame un petit sentier qui est essentiellement composé de pierres et de gravier sur le début, et qui dans un dégradé fluide de matériaux, devient de plus en plus sableux. Je décide d’enlever mes écouteurs avec l’espoir d’entendre les vagues mourir sur une plage, et comme après avoir frotté une lampe aux allures orientales, mon souhait se réalise. Mon corps se fait avoir par ce bruitage et il en oublie presque la chaleur environnante. L’hypothèse que la mer ne se trouve plus très loin est rapidement vérifiée après quelques mètres.
La plage est très peu peuplée, les gens sont très éloignés physiquement, bien que leur intimité soit complètement révélée. Le forum disait vrai. Cet endroit suspendu réunit ceux dont le corps n’est pas à divulguer à la population environnante. Je décide d’installer ma serviette proche de l’eau, faisant dos à l’ensemble des personnes présentes sur cette plage aux allures de mirages. Je me déshabille, sentant quelques regards se poser sur moi. Illusion ou réalité ? La réponse restera indéfinie, ne pas me retourner m’excite un peu, et augmente même mon estime. L’eau est chaude. Ma sensibilité déduit qu’elle doit approcher les vingt degrés, ce qui pour une mer méditerranéenne estivale est autant remarquable que logique. La sensation de se baigner nu est bien moins paradoxale. Il s’agit d’un mélange de liberté et de conquête. D’extase et de vulnérabilité. De lâcher-prise, complet.

Ce fameux lâcher-prise, que je recherche depuis ma naissance, et qui depuis ce matin joue avec mes habitudes, avec mes moments, avec mon existence. Comme si j’étais dans une dimension où tout fantasme prend vie. Fallait-il que j’imagine deux femmes me rejoindre dans l’eau et me toucher, être émerveillé par leurs corps à la peau luisante d’eau salée pour que cela advienne ? Fallait-il que je pousse mon esprit à créer ce scénario et pour qu’il se réalise ? Non, évidemment que non. Depuis ce matin, je n’ai absolument rien construit.
Mon regard est attiré par un couple qui atterrit dans mon champ visuel gauche, ce qui interrompt brièvement mes pensées. D’autant plus que la femme de ce jeune couple me fixe avec insistance. Je suis gêné, je m’empresse de vérifier que son partenaire ne me fusille pas du regard, mais il est bien trop occupé à se nourrir de l’esthétisme visuel de sa partenaire, châtain, pétillant, et qui semble avoir un petit piercing au téton. Je tourne la tête, et m’amuse nerveusement avec l’eau devant moi. Je regarde mon sexe, car j’ai à l’instant eu cette petite sensation de début d’érection. Vous savez, ce frisson dans le bas-ventre qui vous indique "je me prépare au combat". Erection que je veux à tout prix éviter, car l’eau est à peine au-dessus de mes genoux, et ce duo, j’en suis sûr, s’en serait sans nul doute aperçu.
C’est dans ces petits détails de l’existence que je m’aperçois que ma force mentale est parfois équivalente à celle d’un bout de bois qu’on met au feu et qui se dit "non, je ne brûlerai pas".
Je demande à mon regard de ne pas aller vers la gauche, mais impossible. Il va se poser à nouveau sur ce duo divinement dessiné. Il me fait face maintenant, et main dans la main, il se dirige vers moi. Il se regarde et parle, avec un sourire en coin. J’observe un peu mieux leurs silhouettes. Elle, elle n’est pas très grande, elle n’atteint probablement pas le mètre soixante, mais ses dimensions ont des proportions qui me percent l’œil. Ma vue ne m’a pas fait défaut, il y a bien un piercing sur le téton gauche de son petit sein qui tient probablement dans ma paume. Un ventre plat, qui par la réflexion solaire sur la mince pellicule d’eau présente, dessine idéalement ses légers abdominaux. Une chatte toute lisse. Lui est tout aussi remarquable. Il est bien plus grand, même plus grand que mon mètre quatre-vingt, et bon sang, il est dessiné comme un dieu.
Pourquoi diable sa copine m’a regardé avec autant d’insistance, alors qu’elle a à ses côtés un mâle aux apparences "vitruvienne".
Ça y est, mon érection n’est plus contrôlable, il est temps de s’enfoncer et de s’assoir délicatement dans l’eau et faire comme s’ils ont simplement entamé une balade dans ce sens. Bon sang, la voie semble pourtant libre dans l’autre direction. Je les sens s’approcher. Le bruit de l’eau créé par leurs mouvements vers l’espace avant ou vers l’espace arrière, selon ma sensibilité auditive. Fonce-t-il vers moi ?
— Hey, hello.
Je pouvais m’y attendre. Je pouvais m’y attendre ?
Sa voix est doucement rauque, elle fume des cigarettes, c’est certain, mais pas tant que ça. Ils s’assoient à côté de moi. M’expliquent qu’ils sont australiens, qu’ils n’ont même pas trente ans, ils sont en vacances ici pour la première fois. Ils font une sorte de road-trip italien. Chose très romantique et à la mode. Et ce cliché leur va divinement bien.
On parle de nous, ils me parlent de leur rencontre et leurs voyages. Je leur raconte vaguement mon histoire, premièrement car je ne veux pas trop les déranger, deuxièmement car mon anglais est loin de me permettre des envolées lyriques. Et pour mettre un bon coup à ma concentration linguistique, je sens leurs corps se rapprocher du mien, notamment celui de la fille. Elle a sa main gauche posée sur son petit ami, mais ses jambes commencent délicatement à s’emmêler aux miennes. Le toucher d’une peau nue sur une autre me provoque toujours une vibration agréable, et rajoutée à ça la fluidité d’une eau salée, me voilà parti pour la lutte la plus compliquée de ma journée, celle de me battre contre mon système nerveux et empêcher que mon sexe se gorge de sang une bonne fois pour toutes devant ces inconnus. La mission échoue très rapidement. Mon bas-ventre est moelleux, cotonneux, et je sens le regard de la complice se poser sur mon membre qui grossit sous la surface de l’eau.
Je suis pourtant pris dans la conversation avec lui, plutôt intéressante, sur son métier de coach sportif, et de son projet d’applications de suivis, banales et révolutionnaires à la fois. Mais mon sursaut met un terme à la conversation. Elle pose sa main droite en plein sur mon adducteur, et assez proche de mon entrejambe. Je tourne la tête rapidement vers elle, en même temps que le teint de ma peau devient écarlate. Je bégaye, et en croisant son regard, je m’aperçois qu’elle a un sourire plus que torride. Il me semble même apercevoir un pincement de lèvres dans ma panique visuelle. Je cherche du réconfort vers l’homme, mais ce lâche n’a que faire de la solidarité masculine à cet instant précis. Il est bien trop occupé à regarder cette scène et à contempler la main de sa compagne s’approchant de mon sexe, pour l’empoigner.
— That’s so huge, dit-elle avec un accent qui mérite qu’on la plaque contre un mur pour la pénétrer frénétiquement, pour qu’elle répète cette phrase sans cesse.

Fier de mon anglais basique, qui me permet parfaitement de savoir de quoi elle parle. Pendant ce temps, le coach sportif lui s’approche de sa dame, et plonge ses mains entre ses jambes. Ils se mettent tous les deux à branler ce qu’ils ont sous la main. Lui son clitoris, elle mon pénis.
Cette scène surréaliste m’aurait normalement mis très mal à l’aise. Je me souviens de mes pensées devant le miroir il y a à peine une heure. Mais aussi fou que celui puisse paraître, mon esprit balaye le manque de courage habituellement présent quand il s’agit de passé à l’acte. Il faut dire que le "destin" n’est pas vraiment entre mes mains. Et quand je parle de "destin", ce n’est pas une métaphore décrivant mon "huge" pénis. Je me contente alors de profiter de ce que l’existence propose comme scénario.
Il se regarde, s’embrasse, il n’y a plus de conversations, qui je suis sûr aurait pu durer des heures. Le tableau est insensé. Je suis dans une crique, entouré d’un couple australien bronzé et musclé, en plein milieu de la mer Méditerranée, avec le ciel sans une once de nuage. Mais j’ai très peu de temps pour me laisser voguer à dépeindre ce scénario.
Elle s’approche de moi et m’embrasse. Appétissant. Puis c’est à son tour, il s’exécute et m’embrasse. Surprenant. J’ai déjà embrassé des hommes. Mais jamais pendant que la partenaire de celui-ci me branle. Surprenant, je disais.
J’ai déjà éjaculé aujourd’hui, mais la scène torride avec la blonde au restaurant m’a laissé "sur la béquille". Alors je sens mon sperme très rapidement monter dans mon urètre. Mon pénis se gonfle, je commence à avoir la respiration haletante, et tous les deux posent leurs regards sur mon sexe.
— Finger her pussy, me dit-il droit dans les yeux. Je m’exécute. Et pendant qu’il continue à branler son clitoris, j’insère mes deux doigts dans son vagin bien plus chaud que l’eau environnante. J’adore la sensation d’insérer des doigts dans un vagin sous l’eau. C’est voluptueux, c’est une atmosphère particulièrement fluide. Toute cette stimulation sensitive me permet de me déconcentrer un peu de cette main chaude et serrée autour de mon sexe, et de retarder un peu mon éjaculation. Mais à son tour, la petite femme commence à émettre des sons de plus en plus torrides et rapprochés. On parle souvent de la stimulation visuelle qui participe à l’orgasme masculin, mais je vous assure que trop souvent on délaisse celle auditive.

Mon sperme va sortir. Là, en plein milieu de l’eau, en plein milieu de notre triangle érotique, en pleine mer Méditerranée. Et seulement pour la deuxième fois de la journée. Seulement ? C’est amusant ce que fait le sperme dans l’eau. On dirait une épaisse fumée blanche et opaque. Mais je ne peux observer trop longtemps cette divertissante et hypnotisante image, car la fille passe lentement sa main, telle une cuillère, pour en récupérer un peu, et le mettre dans sa bouche une fois l’eau salée filtrée entre ses doigts. Elle avale, embrasse son copain, m’embrasse et me pousse en arrière. J’entends quelques ricanements sexy pendant que j’ai la tête sous l’eau, et quand j’en ressors, le joli monsieur me lance un :
— Come with us.
Avant d’être tiré par la main de sa complice vers l’extérieur de l’eau. Ce n’était donc qu’une carte de visite ?

Je me retrouve assis dans le sable, ma bite avec à la pointe de son gland un filet de sperme dansant comme un serpent devant son fakir.
Je me lève, me retourne, et remarque qu’il me surveille, vérifiant si je les suis.
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