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Vacances, Maman hollandaise et Camping

Chapitre 1

Lesbienne
Vacances, Maman hollandaise et Camping


Clémence avait l’impression de vivre un rêve éveillé, elle avait quitté les embouteillages et la grisaille parisienne pour les plages turquoise de la Méditerranée. Mojitos, soleil, alcool, amis, que demander de plus ? Débrouillarde, la jeune femme avait trouvé le bon plan parfait : un petit camping avec sa plage privée, à seulement deux heures de vol de l’aéroport « Paris/Beauvais ». D’ailleurs, de nature espiègle, elle se délectait toujours avec malice en observant la tête des touristes qui se rendaient compte en débarquant qu’ils étaient plus à Beauvais que Paris. S’imaginer débarquer au pied de la Tour Eiffel pour se retrouver en Picardie, le choc était rude. Les visages défaits procuraient un fou rire permanent à la jeune femme. Mais pour le moment, il n’était pas question de parler retour, mais de profiter des vacances.
Les journées idylliques s’enchaînaient au rythme des baignades, des dégustations de pastèques le midi, de shopings et matage d’abdominaux cachés sous les lunettes de soleil l’après-midi et de soirées alcoolisées le soir. Et ce soir ne dérogeait pas à la règle, Clémence et ses amis avaient déjà liquidé de nombreux shooters. Maintenant, c’était la bouteille de Martini qui coulait à flots. L’ambiance était drôle et chaleureuse, voire légèrement grivoise.
Clémence croisait les doigts, espérant de tout son cœur que la prochaine carte qui allait sortir de la pioche serait une dame et qu’elle lui permettrait de gagner la partie et d’échapper au gage... Son amie retournait lentement la carte, faisant durer le suspense et en corrélation palpiter le cœur et monter le cardiogramme de la jeune touriste. Enfin, la carte se retourna, et roulement de tambour : un valet de trèfle... perdu.
— Le Gage, le gage ! hurlait la petite assemblée.
Clémence poussa un soupir, légèrement rougissante, mais légèrement échauffée par l’alcool ne se déroba pas. Délicatement, elle fit tomber sa robe et se retrouva en petite culotte et brassière sous les rires. Elle prit une inspiration, et sous les acclamations de la petite assemblée, ouvrit la porte du Mobil-home pour réaliser son gage : « faire le tour du Mobil-home en sous-vêtement ».
Un petit frisson dû au vent la parcourut, la jeune Française allait commencer son tour, espérant le boucler le plus rapidement possible pour pouvoir remettre sa robe et retourner boire. Grisée par l’ambiance, l’effet vacances, et les bienfaits de la boisson, elle ne souciait guère de s’exhiber. Sa pudeur parisienne avait disparu, avalée par les kilomètres. Elle n’avait que faire de se faire voir en petite tenue, au pire, ça ferait une histoire drôle de vacances à raconter autour de la machine à café.
Et pour être honnête, il ne lui fallut même pas une minute pour avoir une histoire à raconter, car bien que minuit passé, sa voisine, une mère de famille hollandaise faisait des heures supplémentaires, en lisant tranquillement sur son transat. Elle haussa un sourcil en voyant Clémence, puis se replongea dans son livre quand elle vit la Française courir, ayant bien compris au vu des bruits et de l’ambiance de quoi il en retournait. Quant à Clémence, elle accomplit son tour avec bravoure, puis retourna faire la fête avec ses amis.
Le lendemain matin, en se rendant à la plage, Clémence rougit en apercevant sa voisine accompagnée de ses enfants, l’alcool s’étant estompé, elle avait légèrement honte. Mais la femme ne prêta pas attention au groupe de jeunes. Clémence, cachée sous sa frange, en profita pour l’observer. Comme la plupart des femmes du Plat Pays, elle était grande, très grande, musclée, de longues jambes galbées interminables, mais pour casser le cliché, elle était brune. Elle semblait charismatique, avenante, protectrice, lettrée au vu de ses lectures. La séance espionnage fut interrompue quand le mari de la femme arriva et embrassa tendrement sa moitié. Clémence détourna le regard par pudeur et accéléra le pas pour aller profiter de la plage et bronzer.

La soirée était bien avancée, le Malibu coulait à flots, Clémence croisait de nouveau les doigts, mais ce coup-ci, elle était optimiste, elle n’avait besoin que d’un dix pour gagner. Et bien sûr, un 7 de cœur se dévoila sur la table.
— Le gage ! Le gage !
De nouveau, la robe de Clémence glissa au sol. De nouveau, elle prit une grande inspiration, ouvrit la porte et tomba nez à nez avec sa voisine qui lisait son roman. De nouveau, la femme haussa un sourcil, mais contrairement à hier, la mère de famille ne se replongea pas dans son roman, mais posa ses yeux verts sur Clémence et la fixa sans rien dire. Les deux femmes s’observèrent, puis Clémence baissa les yeux par timidité. Elle entreprit alors son tour. En regardant par-dessus son épaule, elle se rendit compte que la femme ne perdait aucun de ses mouvements. Clémence rougit sur place, son cœur s’emballa et une chaleur inconnue monta en elle.
Le lendemain, la soirée était bien avancée, le rhum orange coulait à flots, Clémence n’avait besoin que d’un 7 pour gagner, un 6 de pique se dévoila.
— Le gage ! Le gage !
Un sourire se dessina sur les lèvres de Clémence, quand son regard se posa sur sa voisine dans son transat, fidèle au rendez-vous. Contrairement aux jours précédents, la Néerlandaise avait troqué son livre pour un verre de vin. Clémence était clairement devenue son spectacle du soir, son attraction nocturne. Les deux femmes se fixèrent silencieusement, se jaugeant l’une de l’autre, un sourire sur les lèvres. Mais contrairement à la veille, Clémence ne baissa pas les yeux. En réaction, la femme lui adressa un baiser de la main, ce qui déclencha le tour de Clémence. Prise d’une pulsion de gamine, Clémence passa lentement devant le transat, déhanchant ses fesses plus que de raison.
Le lendemain, la soirée battait son plein, les mojitos coulaient à flots, Clémence croisait les doigts, elle n’avait besoin que d’un six pour gagner. Secrètement, elle espérait tirer un cinq ou moins. La carte se révéla être un 3 de trèfles.
— Le gage ! Le gage !
De nouveau, la robe de Clémence glissa au sol, mais contrairement aux autres jours, elle avait troqué sa traditionnelle culotte par un petit string noir accompagné de son plus beau soutien-gorge. Trop ivres, ses amis ne virent même pas la différence. Le cœur battant la chamade, la jeune femme ouvrit la porte. Un grand sourire se dessina sur son visage, quand son regard croisa celui de sa voisine, toujours fidèle au rendez-vous. Pour la première fois, la femme brisa le silence, en poussant un petit sifflotement admiratif. Radieuse, Clémence en profita pour s’étirer devant sa spectatrice et lui offrir son corps sous toutes les coutures. En réaction, la Hollandaise fit glisser son doigt le long de son short en jean, au niveau de son entrejambe et l’effleura. Les yeux de Clémence s’écarquillèrent, et rouge comme une pivoine, elle arrêta ses étirements et prise de panique, se sauva faire son tour.
Cette nuit-là, Clémence ne dormit pas beaucoup. Ses songes étaient hantés par la vision de la mère de famille se caressant délicatement à travers ses vêtements devant le spectacle qu’elle lui avait offert, et il ne fallait pas se le cacher, elle l’avait délibérément offert. Elle avait un peu honte, elle qui aimait les garçons venait d’allumer une femme et une mère de famille qui plus était. La Française se réveilla en sueur le lendemain, son pyjama foutu en l’air par une immense trace humide au niveau de l’entrejambe. Un immense feu intérieur couvrait en elle. Le manège nocturne ne pouvait plus durer ou Clémence allait devenir folle, et ne plus avoir de pyjamas à se mettre...
Le lendemain, la soirée battait son plein, les vodkas tonic coulaient à flots. Clémence croisait les doigts, elle n’avait besoin que d’un as pour gagner, elle n’avait aucune chance de gagner. Et pour la première fois, elle gagna... Non je rigole, bien évidement qu’elle a perdu, elle n’a jamais eu la main heureuse aux cartes.
— Le gage ! Le gage !
De nouveau, la robe de Clémence glissa au sol. Comme la veille, elle portait un petit string, mais ce coup-ci, elle était topless, elle comptait sur son petit 90C en forme de poire pour faire la différence... Elle prit une grande inspiration et en tremblant comme une feuille, la jeune ingénue ouvrit la porte.
La femme était encore là, et comme Clémence, elle avait perdu quelques couches de vêtements. La Néerlandaise avait gardé son maillot de bain deux pièces. De nouveau, les deux femmes s’observèrent pour se jauger. Clémence décroisa ses bras pour offrir ses seins à la vue de son aînée. Elle afficha un sourire radieux et se passa la langue sur les lèvres, ce qui déclencha une chair de poule instantanée dans tout le corps de Clémence, qui se mordit la lèvre.
Clémence s’offrit de nouveau en spectacle. Alors qu’elle s’étirait, faisant rebondir ses petits seins en rythme, la Néerlandaise écarta son bas de maillot de bain et écarta lascivement ses jambes, offrant un pubis foisonnant à la vue de Clémence qui écarquilla les yeux. La jeune allumeuse ne pouvait plus s’en détourner, comme hypnotisée. Clémence se mit alors en route, mais elle ne fit pas le tour du Mobile-home comme les jours précédents, mais prise de frissons, elle alla rejoindre sa voisine, et se mit à genoux entre les longues jambes de la femme qui la faisait vibrer depuis tant de jours. Elle voulait voir de plus près, le trésor qui lui faisait perdre le contrôle de tous ses sens.
Sou ses yeux, se dressait un pubis foisonnant, et une vulve s’ouvrant délicatement, comme ouverte par le regard de la jeune femme. Soudain, un frisson parcourut Clémence quand une main entra en contact avec sa peau, la faisant sortir de sa torpeur. La Néerlandaise lui caressait la joue. En croisant le regard de Clémence qui remonta sur son hôtesse, la femme dit avec un fort accent : « now, embrasse la pussy, petite hoer ».
Un mélange rauque et sensuel de diverses langues, ce qui fit frissonner Clémence et finit de la subjuguer, elle qui entendait pour la première fois la voix de la femme qui la faisait fantasmer. Elle n’avait plus qu’une chose à faire... obéir à cette injonction.
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