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Vacances, Maman hollandaise et Camping

Chapitre 9

Amsterdam (2)

Lesbienne
Vacances, Maman hollandaise et Camping (9)
Amsterdam (2)


Du feu dans les yeux, une magnifique jeune femme fixait intensément du regard Clémence et ses yeux de biche, finement dessinés. Lentement, son visage s’approcha du sien et déposa un rapide baiser sur ses lèvres rouge-écarlate. Le froid du miroir ramena Clémence à la réalité, et horrifiée, elle se rendit compte qu’elle avait mis du rouge à lèvres sur la glace. Maladroitement, elle a effacé la trace à l’aide de ses doigts. Le cœur battant, la jeune Parisienne s’écarta pour s’admirer une dernière fois. Sous ses yeux se tenait une femme à la peau laiteuse dont la blancheur était accentuée par le contraste du rouge de ses lèvres et de sa tenue. Le reflet portait une petite nuisette rouge, presque transparente, complétée par des bas noirs et opaques. Les joues rouges, Clémence se trouva désirable…Il était temps. Le cœur battant la chamade et tremblante comme une feuille, la Française ouvrit la porte de la salle de bain de sa suite. Dans la chambre, la lumière était tamisée. À côté du lit king-size, une bouteille de champagne était déjà ouverte, deux flûtes et un petit bol de fraises attendaient patiemment leur heure. Le regard de la jeune femme passa rapidement à l’arrière-plan et un frisson parcourut son corps de haut en bas. Assise sur le lit, ses longues jambes galbées croisaient, Famke attendait son amante. Clémence se mordilla la lèvre de désir, son invitée était simplement vêtue d’un menu kimono en satin noir, noué nonchalamment, qui ne cachait presque rien de son corps divin. La mère de famille a relevé la tête en entendant l’arrivée de sa cadette, qui a aussitôt rougi comme une midinette dès que leurs regards se furent croisés. Désarmée par le sourire Colgate de sa belle, Clémence a baissé la tête par timidité. Famke a profité de cet instant pour prendre la bouteille et servir deux verres. Délicatement, elle a tapoté le bout du lit pour que son amante vienne la rejoindre. Mollement, la jeune femme s’est assise à ses côtés.— Comment tu me trouves ? Je te plais ? demanda Clémence nerveusement, en se triturant une mèche. Je l’ai acheté pour toi…— Tu es magnifique ma petite hoer, la rassura Famke en la dévorant des yeux. J’ai très envie de toi, que tu sois de nouveau mienne.
Clémence était écarlate. Sentant sa nervosité, Famke a attrapé galamment son menton. Yeux dans les yeux, elles se sont perdues dans les iris et toute trace d’appréhension a fini par disparaître. Quelques secondes plus tard, la mère de famille posait ses lèvres sur celle de Clémence, qui les accueillit avec volupté. Leurs cheveux s’entremêlèrent, les seins se tendirent… le baiser avait un agréable goût de fraise, il était doux, rassurant. — Dis donc toi ! Tu ne m’as pas attendu pour manger les fraises ! protesta amoureusement la cadette. — Je ne vois pas ce que tu veux dire… tenta de nier faussement Famke, un grand sourire espiègle sur le visage. Bon, j’avoue, je suis coupable. Je suis une mauvaise fille, mais tu étais tellement longue dans la salle de bain. Mais l’attente en valait la peine, tu es sublime ma petite hoer. Du coup, ce n’est plus les fraises que j’ai envie de croquer…— Tss, tu mériterais une bonne fessée. — Avec plaisir ! Tant que c’est toi qui me la donnes. Mais tu ne veux pas prendre un verre avec moi avant de passer aux choses sérieuses ? Clémence jaugea son amante, puis attrapa une fraise qu’elle mangea sensuellement sans quitter sa compagne des yeux. Son petit jeu marcha, car elle vit le corps de sa voisine trembler de désir et la pointe de ses seins faire une apparition contre le tissu du kimono. Délicatement, elle tendit une main pour que Famke lui offre une coupe de champagne. Ludiquement, elles croisèrent les bras pour trinquer. Elles finirent les verres d’un coup sec avant de se rouler une pelle mémorable où se mêlait maintenant l’odeur du champagne et des fraises sur les langues. Elles jouèrent quelques minutes, bataillant l’une contre l’autre, s’abritant même parfois dans les cavités buccales… Quant à leurs maîtresses, elles poussaient des gémissements de plaisir à chaque contact. Le souffle court, une chaleur dans le bas ventre et au bord de l’explosion Clémence a envoyé valser sa flûte sur le tapis et fougueusement, elle est montée à califourchon sur Famke. Une décharge électrique a parcouru tout son corps quand ses jambes sont entrées en contact avec la peau lisse de celles de son amante. De ses deux mains, elle a agrippé la crinière de la Néerlandaise pour venir lui rouler un patin énorme et bestial. Puis emportée dans son élan, Clémence tira d’un coup sec sur le peignoir de son amoureuse, pour s’offrir sa poitrine imposante et gonflée qu’elle est venue dévorer. Famke avait la tête en arrière, elle gémissait de plaisir sous les caresses. Clémence mordillait les seins, les léchait, les suçait, passant de l’un à l’autre selon ses impulsions érotiques. Elle était prise de gloutonnerie, sa salive recouvrait maintenant presque toute la poitrine de la Néerlandaise, qui pointait plus que de raison, conduite au bord de la félicité. — Continue, continue… murmura dans un souffle rauque sa dulcinée en agrippant les cheveux de Clémence. Ne voulant pas rester en reste, l’aînée glissa ses mains pour parcourir le corps de son assaillante. Elle parcourut ses hanches, ses courbes, ses fesses, puis après avoir exploré le corps de long en large à coup de caresses, elle posa sa main droite sur le haut de la cuisse de son bourreau du soir et remonta tout doucement jusqu’à son entrejambes. Le pouce sur la cuisse, les autres doigts allèrent se coincer sous la nuisette, contre le string déjà bien souillé d’humeur féminine. Elle appuya un peu plus fort, ce qui saisit Clémence d’un spasme qu’elle écrasa sur le mamelon gauche de Famke, qui allait garder une trace de morsure pour le reste de la nuit. — Doucement ma belle. — Ce n’est pas de ma faute ! Tu me rends cinglée, tellement tu me fais mouiller, soupira Clémence. Ivres, en transes, les deux femmes décidèrent de passer aux choses sérieuses. Clémence défit totalement le peignoir de sa belle et la poussa sur le lit. Elle alla la rejoindre et gourmande enfourna sa tête entre ses cuisses. L’odeur de Famke était puissante, forte, animale. Oubliant toute trace de préliminaire tant son excitation était forte, Clémence engouffra sa langue d’un coup dans la fente ruisselante de cyprine. La femme hurla de plaisir. — Exquise ! ta chatte est absolument exquise, minauda la Française entre deux coups de langue.Soudain, Clémence sentit des dents cognaient contre sa peau, Famke était en train de lui retirer son string avec ses dents. Elle manqua de s’étouffer dans la chatte de sa victime, quand elle sentit la langue chaude et chatouilleuse de Famke venir jouer avec son clitoris. Elle sortit la tête quelques secondes pour hurler son plaisir avant de retourner lécher la vulve de ses rêves. Pendant quelques minutes, les deux femmes se firent un soixante-neuf animal. Telles des cannibales, elles se dévorèrent mutuellement le fruit défendu, s’abreuvant de son nectar aphrodisiaque. Elles mouillaient abondamment, chacune plus ouverte que l’autre. Mais ce n’était pas assez pour éteindre le brasier ardent en elles. D’un mouvement souple, Famke a brisé l’étreinte buccale pour venir se coller entre les jambes ouvertes de Clémence. Là, front contre front, frange contre mèche rebelle, elle lui a mordu la lèvre érotiquement jusqu’au sang. Un petit goût de métal est venu s’ajouter aux saveurs de fraises de champagnes et de mouilles des salives issues des baisers torrides saphiques. La Néerlandaise, complètement perdue dans sa luxure a léché les gouttes rubescentes qui ont perlé sur le menton. Ne se contrôlant plus et parallèlement à l’action de sa langue et de ses dents, elle est venue frotter son sexe comme une folle contre celui de Clémence. Les vulves détrempées se sont croisées et recroisées sous les cris de leurs propriétaires respectives. Les deux femmes étaient en sueur et meuglaient de plaisir, ondulant vigoureusement l’une contre l’autre. Clémence avait la tête en arrière, les yeux révulsés, couinant des : « encore, encore » ou autre « oui », pendant que ses mains martyrisaient les fesses rougies de sa baiseuse, qui ne comptait plus les traces de griffures et autres vestiges laissés par ses ongles finement manucurés. Elle voulait la pousser de plus en plus loin en elle, que son sexe se mélange encore plus au sien, qu’ils ne fassent plus qu’un. Famke n’était pas en reste dans l’ivresse, en plus d’impulser le rythme de leur ébat à coup de bassin, sa bouche se perdait dans le cou et les seins de Clémence, donnant naissance à de multiples traces de suçons. Dans un élan de lucidité, elle constata tout de même que Clémence s’était mise à crier de plus en plus fort et de manière rapprochée, traduisant qu’elle était au bord de l’orgasme. Excitée par le son de sa partenaire, Famke accéléra encore et se frotta avec encore plus de vigueur. Quelques secondes plus tard, ce fut l’explosion, les deux amantes jouirent en même temps dans des râles et des rugissements à réveiller tout l’hôtel. Le bassin toujours collé, elles se fixèrent intensément quelques secondes et Famke caressa tendrement la joue de sa bien-aimée et lui essuya quelques larmes de jouissances avant de s’effondrer sur le dos à ses côtés. Dans les draps en batailles, les corps rougis, marqués et en sueur, les deux femmes tentèrent de reprendre leur souffle. Leurs poitrines se soulevant en harmonie. Délicatement et amoureusement, elles croisèrent leurs jambes, puis Clémence vint blottir sa tête contre la poitrine de sa douce. Délicatement, celle-ci lui caressa tendrement les cheveux. Ce fut dans cette position et sans s’en rendre compte que les valentines s’endormirent, finissant ainsi la première nuit de Clémence à Amsterdam.
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