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Vacances en Mayenne

Chapitre 1

découverte

Zoophilie
Bonjour.
Je m’appelle Freddy, j’ai trente-quatre ans. Je suis en couple avec Élisabeth (Élie), 32 ans. Petit bout de femme aux cheveux bruns et aux yeux verts. Nous nous entendons comme les « deux doigts d’une main.» sur pas mal de sujets, y compris sexuels.
Et c’est cette fusion que nous avons, qui nous a permis de découvrir une nouvelle facette de notre vie sexuelle. Laissez-moi vous raconter :Tout a commencé il y a deux ans. Je suis né en Mayenne et Élie voulait absolument voir les lieux de mon enfance. Personnellement, je n’y tenais pas trop car pour moi, la Mayenne est une région très rurale ou il n’y avait pas grand-chose à voir ou visiter. C’est ce qu’elle put observer quand je l’emmenais dans le village de mon enfance.
Un village de 800 âmes environ. Une église, une boulangerie-épicerie, un plan d’eau où se déroulait la fête estivale du village. Et voilà, on en a fait le tour. Même pas d’école au vu de la moyenne d’âge du village qui devait frôler les 60 ans. Mon père avait hérité de la maison suite au décès relativement jeune de mes grands-parents dans un accident de voiture et n’avait jamais voulu la vendre. Je devais donc prendre le bus pour aller à l’école dans la ville la plus proche à sept kilomètres de là.
La maison était à l’écart. On devait passer une voie ferrée à la sortie du village, prendre à droite 50 mètres plus loin et suivre la route sur 500 m. La maison était là ; ancienne ferme réaménagée en longueur (ou plutôt profondeur) avec une grange accolée qui servait d’atelier. Une cour en gravier sur tout le devant ou mon père me racontait ce à quoi j’avais échappé car lui, avait eu droit à des punitions à genoux sur ces graviers pendant de longues minutes. Puis un petit escarpement avec un passage de trois marches qui amenait sur un terrain qui servait de jardin. Mes parents avaient finalement décidé de la vendre une fois que j’eus mon bac et que je partis étudier dans une grande ville et les nouveaux propriétaires avaient maintenant placé une clôture tout autour du terrain.
Je décidais de me garer juste derrière la maison au bord d’un chemin. Je précisais à Élie qu’en suivant ce chemin sur un bon kilomètre, on arrivait à une ferme ou mes parents m’envoyaient régulièrement chercher du lait ou du beurre. Elle me demanda alors, d’y retourner à pied, histoire de faire une balade, vu qu’il faisait beau, et que je lui raconte des souvenirs d’enfance.
Mais j’eus quelques réticences car je me rappelai tout à coup que c’est dans cette ferme que la fermière me dépucela l’année de mes dix-neuf ans :C’était l’été de l’obtention de mon bac. Je venais leur dire au revoir du fait que j’allais étudier dans une grande ville. Je ne trouvais que la fermière Michelle (que j’appelai Mimi depuis tout petit). Elle était dans la grange à fourrage à faire de la place, car allait bientôt arriver le nouveau. Elle avait ôté sa blouse de travail qu’elle portait habituellement car il faisait chaud dans la grange. Elle avait donc juste une robe basique. Elle parut étonnée quand je l’avertis de mon départ et eut une attitude étrange le temps que nous discutâmes. Elle jouait avec les boutons du haut de sa robe et je pensais qu’elle voulait s’éventer suite à la chaleur mais elle me lançait un regard que je ne lui connaissais pas. Puis elle me lança de but en blanc :
— Écoute Freddo (c’est comme ça qu’ils m’appelaient) C’est pas comme ça que je le voyais mais si c’est la dernière fois qu’on se voit, j’ai une surprise pour toi.
Et alors que je ne m’en étais pas aperçu, elle avait déboutonné tout le haut et elle écarta son bustier. Elle m’apparut alors en soutien-gorge blanc basique. Puis elle fit tomber sa robe et se dévoila ainsi avec une culotte blanche. J’étais tétanisé. C’était la première fois que je me trouvais ainsi devant une femme. Mon sexe commençait à pointer sa tête vers le haut de plus en plus vite.
— Ne t’inquiète pas, le Robert est en ville et ne reviendra pas de sitôt. Tel que je le connais, il ira faire un tout au café avant de rentrer ce qui nous laisse le temps. Tu sais, je t’ai vu grandir, je t’ai vu devenir un homme et comme tu m’as dit que tu n’avais jamais eu de copine... C’est toujours vrai ?
Me demanda-t-elle.

Je ne pus qu’acquiescer en déglutissant, incapable de prononcer un mot.
— Alors laisse-moi t’en faire devenir un vrai.
Et elle saisit ma main qu’elle porta à sa poitrine. Pour la première fois, je touchais une femme, sa poitrine en l’occurrence, à travers son sous-vêtement. Elle passa ensuite ses mains dans le dos et l’enleva. Me laissant caresser son sein. La peau était douce comme une peau d’abricot. La pointe se mit à durcir sous ma main et je pus le pincer assez rapidement la faisant soupirer d’aise.
— Tu peux sucer, tu sais.
Je devais paraître gauche mais m’empressai de suivre ses directives. Je saisis son sein dans ma main et dirigeai ma bouche vers son téton. Ne sachant pas quoi faire, je me mis à aspirer.
— Eh ! Je suis pas une vache à traire, vas-y doucement, sers toit de ta langue et de ta bouche, s.

C’est alors que je sentis sa main sur ma braguette. Adroitement, elle défit rapidement mon pantalon qui tomba à terre. Puis sa main caressa mon membre à travers mon slip.
— Ouh... C’est bien trop tendu tout ça. On va calmer le jeu.
Elle s’agenouilla pour se présenter devant mon sexe encore emprisonné. Puis elle descendit mon slip faisant apparaître mon sexe au garde à vous. Elle le saisit d’une main pour faire un ou deux va-et-vient. Ses mains étaient chaudes, son toucher presque maternel. Puis, elle fit quelque chose que je ne m’attendais pas aussi vite : elle me prit en bouche. Mon Dieu, j’étais au nirvana. Quelles sensations...
Certes j’avais vu des films sur le sujet, mais là, c’était la réalité. Sa bouche était chaude, humide, sa langue titillait mon gland me procurant des secousses électriques à chaque passage. C’était trop beau, trop de nouvelles sensations me submergèrent. Alors je fermais les yeux et avant que je ne puisse dire quelque chose mon sperme jaillit et éclaboussa le fond de sa gorge. Plusieurs giclées lui remplirent la bouche. Il me semblait que jamais je n’avais lâché une telle purée dans mes masturbations. Mimi n’avait pas reculé et prenait toute ma semence jusque-là dernière goutte. Quand je rouvris les yeux, elle me regardait et, avec un grand sourire, déglutit tout ce qu’elle avait en bouche en deux ou trois gorgées.
— Voilà qui va te détendre pour la suite.
Puis elle se releva. Elle baissa sa culotte pour m’apparaître dans toute sa nudité. Jamais je n’avais vu de femme nue devant moi et je la trouvais belle. Elle saisit une nouvelle fois ma main et la posa sur son sexe. Il était touffu mais malgré cela, je sentis une certaine humidité au centre. Sa main par-dessus la mienne me guida.
Elle me la fit glisser de haut en bas un doigt dans sa fente humide puis en remontant le fit s’attarder sur une protubérance qui la faisait soupirer encore plus fort. Sous la pression, la peau se décalottait pour me faire caresser une petite boule dure que je devinais être son clitoris. N’étant cependant pas un nigaud, je me mis à le lui caresser bientôt sans l’aide de sa main qui se repositionna sur mon sexe pour lui redonner de la vigueur. Je restais ainsi sur son clito pendant au moins cinq minutes la faisant lâcher des râles de plaisir. Puis, je m’enhardis à descendre dans sa fente encore plus humide qu’avant et ayant trouvé l’entrée de sa grotte secrète, y introduis un doigt. Pour la première fois, je doigtais une femme.
C’était tout aussi chaud et humide que sa bouche quand elle y avait introduit mon sexe. Mais aussi, cela avait l’air vivant ; je sentais des contractions qui semblaient vouloir emprisonner mon doigt. De par la position, je ne m’étais pas introduit beaucoup et commençais à caresser la paroi vaginale avant. Elle partit dans des soupirs de plaisir m’encourageant à continuer et à y introduire un second doigt qui y pénétra comme dans du beurre. Peut-être la chance du débutant, mais j’avais trouvé son point G et en moins de deux minutes, elle jouit dans ma main. Quelle fierté alors de la sentir ainsi s’abandonner dans mes bras. Mais elle se ressaisit rapidement. Elle me demanda alors :
— Tu es prêt pour le grand saut ?
Devinant le but de ses paroles, je ne pus que lui faire signe de la tête. Elle me prit par la main et m’emmena vers un tas de bottes de paille. Elle monta, s’assit sur une botte surélevée en écartant les jambes et m’invita à la pénétrer. Mon sexe qui s’était redéployé y entra tout entier. De nouveau l’extase de sentir mon sexe dans cet antre chaud et vivant.
Je commençais à aller et venir mais ces sensations me firent une nouvelle fois éjaculer en moins de trente secondes. Je fus tout penaud en me sentant me déverser en elle et quand elle le sentit, elle s’exclama :
— Oh le puceau, il a recommencé. Eh mais tu ne vas pas te défiler couillons.
Elle ne me laissa pas le temps de me ressaisir et m’empoigna mon sexe ramolli et le masturba. Puis elle redescendit pour le prendre en bouche et me l’astiquer pendant 10 minutes afin de me faire reprendre forme. Ma jeunesse aidant, le résultat fut plus qu’honorable et elle prit appui sur la botte de paille me montrant son postérieur :
— Allez ! Viens-y par ce côté-là.
Elle écarta ses fesses m’invitant à la pénétrer en quasi levrette. Mon sexe la pénétra après plusieurs tentatives et s’enroba de mon sperme encore chaud à l’intérieur. Dans cette position, je pus admirer son derrière ainsi que son anus au-dessus de mon sexe lubrifié de blanc. Elle avait mis sa main par en dessous et se satisfaisait sur son clitoris. Je l’avais saisie par la taille et commençais un pilonnage régulier. Je pus ce coup-ci tenir sur la longueur pendant au moins cinq minutes et la fermière tout en se masturbant repris son pied une seconde fois me faisant par les contractions vaginales venir une troisième fois en elle.
— Oh bon Dieu, cette fois était la bonne.
Dit-elle en se redressant. « Mon pauv vieux Freddo. C’est vraiment dommage que tu partes, tu as beaucoup de potentiel. Y a pas beaucoup d’hommes qui viennent trois fois tu sais ? J’t’en aurais appris des choses. J’espère que ça t’a plu ? »

Pour la première fois depuis le début, je parvins à lâcher un « oh oui ! » De satisfaction.
— Allez files maintenant. Faut que j’avance avant le retour du Roger.
Nous reprîmes nos affaires et nous rhabillâmes. Elle remit sa culotte sans prendre la peine de se nettoyer alors que je voyais du sperme couler de par son sexe le long de ses cuisses. Puis elle remit son sous-tif et sa robe.
Une fois remis aussi mes affaires, je voulus lui faire une bise pour lui dire au revoir mais elle me prit la tête et me roula une pelle. Mélange de langue baveuse au goût de sperme.
— File je te dis !
Et je partis.

C’était ma première fois.
Comment repartir vers cette ferme en occultant cette anecdote à Élie ?? Nous partîmes cependant la main dans la main sur ce chemin campagnard.
En attendant, je lui racontais que derrière tel talus, il y avait un gros rocher avec un gros tas de ronces devant qui donnaient de grosses mûres à la fin de l’été pour d’excellentes confitures. Ou alors, toute cette rangée de châtaigniers sur une haie. On ramassait en automne les châtaignes avec botte et gant pour ne pas se piquer. Puis on se faisait des soirées en les faisant flamber au feu de bois dans une poêle trouée avec des amis. On nappait la table pour cela de vieux journaux car bonjour la suie... Ou encore notre chien qui avait pris l’habitude en été de s’en aller faire trois kilomètres pour se baigner dans un étang avant de revenir trempé en sentant cette odeur de chien mouillé insupportable...
Bref, cette ballade me faisait malgré tout le plus grand bien à me remémorer tous ses souvenirs. Je l’avais saisie à la taille en continuant de flâner. Elle portait un chemisier blanc et une jupe volante et je l’avais vu mettre un ensemble de dessous blancs en fine dentelle et cette vision plus la sensation de sa peau à travers le tissu me donnait des idées mal placées. Mais je me retenais et voulais profiter du moment car il y a des instants où on se sent tellement bien que l’on aimerait qu’il dure éternellement.
Nos pas lents cependant nous firent arriver à la ferme que je lui avais décrite. C’était une ferme de vaches laitières. Le Roger et la Michelle avaient la quarantaine à cette époque. Je l’accompagnais parfois quand il changeait les vaches de champs. Ils n’avaient pas d’enfant et vivaient avec les parents du mari qui continuaient de les aider dans les tâches de tous les jours.
Si je faisais un rapide calcul, le couple était proche de la soixantaine maintenant et cela faisait bien seize ans maintenant que je ne les avais pas vus. Et en arrivant devant la ferme, c’est comme si j’avais réellement fait un bon de vingt ans en arrière.
La ferme, la cour gadoueuse, les étables, rien n’avait l’air d’avoir changé.
Même ces odeurs de « nature » étaient toujours là. Quel choc cela me fit. Élie remarqua mon état et me demanda si tout allait bien. Je la rassurais en lui expliquant ce qui m’arrivait. Je me revoyais tout gamin avec mon pot au lait, aller demander à la fermière ou la grand-mère de bien vouloir me le remplir et elles qui me rappelaient à chaque fois de ne pas en boire ou en renverser sur le chemin du retour.
Enfin. Il fallait bien revenir à la réalité. J’avais bien grandi maintenant.
Élie me demanda si les fermiers se souviendraient de moi. Je lui répondis : « Comment veux-tu que je le sache ? » (Et j’espère bien que non me surpris-je à penser...)
— Eh bien, allons les voir ? — Tu crois que c’est raisonnable ? Ils doivent bosser maintenant.— Oui mais regarde, il y a une porte ouverte là-bas, donc ils doivent être là.— Mais ici on est à la campagne. On n’a pas l’habitude de fermer les portes. Même les animaux rentrent parfois à l’intérieur. D’ailleurs, je crois me rappeler que je ne l’ai jamais vu fermée celle-là ; même si cela donne sur leur cuisine. — Eh bien allons-y. Je suis sûr que cela leur fera plaisir de te revoir.
Et elle me prit la main et s’avança.

Je ne pus que la suivre et nous avançâmes jusque-là porte ou je toquais la peur au ventre. Pas de réponse.Je m’enhardis à m’avancer comme j’avais l’habitude de faire quand j’étais gamin et pareil, nouveau choc. La cuisine était telle que je me la rappelais. Même la vaisselle avait l’air de ne pas avoir changé. Mais personne de présent. Je lançais :
— Eho ? Y a quelqu’un ?
Pas de réponse. Bon, ils devaient être aux champs ou quelque part dans la ferme. Je décidais avec Élie d’aller vers le laboratoire où ils avaient l’habitude de me donner le lait ou le beurre. Mais pareils. Personne. Élie me demanda d’aller voir aux étables.

Je lui dis « OK ! Mais après, on s’en va s’il n’y a toujours personne. »
— D’accord me répondit-elle.
On s’approcha alors de l’entrée d’une des étables visiblement vide quand on entendit du bruit de la grange à foin qui jouxtait le bâtiment. Je pris la main d’Élie et l’emmena vers la porte d’entrée. Cependant, en s’approchant, on ralentit car le bruit s’était en fait transformé en gémissements relativement caractéristiques de ce qui pouvait se passer entre un couple. On se regarda avec Élie interloqué de ce qu’on entendait mais nous continuions d’avancer doucement. Nous entendions maintenant ce que la femme disait :
— Oh oui... vas-y... bourre-la bien ta maîtresse... encore, bien au fond oui... — Eh bien, l’air de la campagne tient la jeunesse. me susurra Élie dans le creux de l’oreille avec un sourire en coin.

On arriva à la porte. D’un regard, on s’entendit pour passer la tête et regarder ce qui se passait. Mais là ! Quel coup de tonnerre ! Je restais stupéfié par ce que je vis. Incapable de bouger, de détourner le regard, quelque chose d’incroyable s’offrait sous mes yeux. Et la scène qui continuait de se dérouler...
— Oh oui... continue Sultan... encore... encore... ça vient... je le sens... remplis-moi...
La fermière était là, à quatre pattes, la robe et blouse retroussées, la culotte coincée entre les mollets, la tête baissée et les yeux fermés à exprimer son plaisir par des paroles d’encouragement à un berger allemand qui la chevauchait avec ardeur en donnant de furieux coups de bassin comme si sa vie en dépendait. Elle était de dos de trois quarts et ne pouvait donc nous voir à la porte en train de les regarder. Le chien était collé à elle visiblement bien enfoncé et s’excitait comme pas permis en ne cessant de bouger ses pattes arrière qui griffaient la fermière pour rester en position.
— Oui... oui... continue... je te sens en moi... remplis-moi... vas-y...
Et cela continuait... au bout d’une ou deux minutes, je finis par regarder Élie. Je ne sais ce que je vis dans son regard. Entre envie et dégoût, entre peur et plaisir, je ne savais pas vraiment. Mais moi, ce qui me surprit, c’est que je m’étais mis à bander. Voir ce couple insolite, entendre ces paroles de plaisir que même Élie lâchait rarement, me faisait avoir une trique d’enfer.
On se pencha de nouveau pour voir car les râles de plaisir augmentaient. J’en profitais pour me coller à Élie pour lui faire comprendre ce que je ressentais mais elle ne se défit pas. Au contraire, elle mit une main derrière son dos pour me masturber à travers mon bermuda. Visiblement, malgré l’étrangeté de cet accouplement, cela ne semblait pas la perturber plus que cela, voire l’émoustillée si elle agissait ainsi de la main.La fermière avait fini par s’écrouler par-devant, laissant son derrière surélevé. Le chient restait maintenant immobile planté en elle. Mais le plus surprenant, c’est qu’elle jouissait sans interruption :
— Ouuiiiii... aaahhhhh... c’est biennn... encore... Aaaahhhhhh... Remplis encore... Oui.........
Puis un dernier « aaaaahhhhhhhhhhhhh » qui sembla l’achever et la laisser inerte. Elle restait là, immobile, les bras ballant par terre avec la tête qui reposait dessus. Le chien lui ne bougeait plus. On entendait et voyait son halètement rapide causé par l’effort et on voyait sa langue pendante avec de la bave qui coulait sur le dos de la fermière. Cela dura un long moment jusqu’à se poser la question de savoir si tout allait bien.
Je dis à Élie que j’allais y jeter un œil pour nous rassurer quand le chien nous entendit. Il est vrai que maintenant un certain silence régnait et je n’y avais pas prêté attention. Le chien commença à gesticuler pour sortir de la position en commençant à aboyer. Je ne comprenais pas pourquoi il n’arrivait pas à se détacher de la femme. Celle-ci sursauta et commença à prendre peur, certainement de la position où elle était. Elle cria de douleur plusieurs fois lorsque le chien voulut sortir de force avant d’y arriver. On vit alors une giclée de liquide transparent sortir de son sexe et s’écouler par terre. Le chien une fois libéré se retourna et courut vers nous en aboyant comme un forcené. Nous, tétanisé par cette situation, n’avions même pas cherché à partir pour nous éclipser. Ce qui fait que le chien se retrouva vite devant nous à continuer de nous aboyer dessus et nous empêchant maintenant toute retraite.
Il jouait vraiment son rôle de chien de garde et nous dûmes attendre deux ou trois minutes avant d’entendre la fermière arriver.
— Sultan ! Suffit ! et le chien d’obéir en s’asseyant devant nous.

Elle apparut par la porte redonnant quelques coups de la main sur la blouse.
— Qu’est-ce que vous faites là ! Qu’est-ce que vous voulez ? dit-elle sans quasi nous regarder. S’occupant d’agripper le collier du chien. C’est à ce moment-là que je la reconnus. Elle n’avait pas beaucoup changé de ce que je me rappelais d’elle. C’était bien la femme du fermier, Mimi. Pourtant, jamais je ne l’avais vu dans une telle position durant ma jeunesse. C’est quand elle croisa mon regard que je la sentis défaillir. Qu’elle passa par toutes les couleurs de peau avant de finir rouge comme une tomate. Elle m’avait certainement elle aussi reconnu.— Bonjour, s.— Bonjour, s.— Vous me reconnaissez ?
Elle acquiesça juste de la tête. « Comment ne pas reconnaître mon Freddo » me lança-t-elle » et elle vint me faire les bises continuant d’épousseter sa blouse.
— Nous étions de passage pas loin, et je voulais montrer à mon ami les lieux de mon enfance. Notre ancienne maison, votre ferme avec les vaches. Nous ne voulions pas... par contre... Comment vous, te dire... te mettre dans l’embarras. — Pourquoi ? Comment-ça ?
Me jeta-t-elle d’un air interrogateur.
— Ben... toi... le chien... C’est pas ce qu’on voulait... — Oh mon Dieu ! Vous m’avez vue ? Mais c’est pas grave ça. On est dans la nature ici, faut bien se faire du bien d’une façon ou d’une autre. Ça vous a pas choqué au moins ? — Ben si, un peu, surtout dans cette position. — Quoi cette position ? Je te l’aurais bien apprise, moi, si t’étais pas parti aussi vite c’t’été là.
A mon tour de passer rouge pivoine... et à ma tête...
— Quoi ? Tu luis as pas dit ? Ce pauv’ nigaud, c’est moi qui l’ai déniaisé le petiot. dit-elle à Élie.

Celle-ci me regarda interloquée. Je ne pus que lui faire un mouvement d’épaule pour lui faire comprendre que c’était la vérité.Je répondis « oui mais ça fait plus de quinze ans maintenant, les choses ont bien changé »
— Ah ça pour sur, ça a bien changé.— Allez vient le Freddo avec ta p’tite femme. On va s’en boire un pour se rappeler tour ça. et elle partit vers la cuisine.

Je reconnaissais bien là son franc parlé. Qui dit les choses comme elles viennent sans se préoccuper des fioritures.On se laissa conduire dans la cuisine de la ferme. Elle sortit trois verres (les arrondis avec les deux traits comme on trouvait dans les écoles ou les hôpitaux) et une bouteille de derrière quelques autres sans marque définie. Elle servit les trois rasades et but le sien cul sec. Élie toussota quand elle but une gorgée et je dus me retenir quand je bus le mien. D’après la couleur, cela devait être un calva d’ici, fait maison pour sûr. Mimi nous resservit laissant Élie déguster le sien.
— Alors mon Freddo, qu’est-ce que tu deviens ?
Je luis racontais alors en raccourcie ma vie d’étudiant et de travailleurs et ma vie avec Élie. Puis ce fut moi qui interrogeai :
— Et le Roger, quand est-ce qu’il rentre ? — Le Roger, là où il est, y rentrera plus, s.

On s’excusa et lui exprimâmes nos regrets.
« Vous inquiétez-pas. Ça fait ben longtemps maintenant que le sultan l’a remplacé. Vu que personne voulait reprendre la ferme, y m’ont laissé toute seule. Et je puis vous dire, c’est qu’il assure. Pas comme les jeunots qui viennent à la va-vite. N’est-ce pas le Freddo ? J’espère qui s’est rattrapé le petiot depuis sa première fois ? Demanda ? T-elle à Élie.
« J’vous rassure, il tient la route maintenant. » lui répondit-elle.
— Ah ben j’voudrais bien voir ça dit Mimi en rigolant, parce que je m’en souviens, il avait du bon jus. Et copieux avec ça. Trois fois qu’il est venu mais en moins de dix minutes...
Élie s’esclaffa : « mais alors, c’est que ça n’a pas changé, c’est toujours pareil » rigola-t-elle de concert avec Mimi.Les deux femmes se tapaient du pied sur mon sujet et cela commençait à m’échauffer. Élie ne perdait rien pour attendre.
— Si je peux vous proposer, essayez sultan. Vous verrez, y a rien de comparable. Ah si. 2 c’est mieux qu’un qui disent et c’est bin vrai. Avec son père au sultan. J’en ai passé des soirées d’hiver avec ces deux-là et au moins, eux, y savent vous remplir le bocal. C’est pas juste trois gouttes comme ton homme. Eux, y te remplissent jusque ras bord. Et pas qu’une fois... Et pour le pied... j’vous raconte même pas.— Oui, on a vue, s.

Un nouveau coup de tonnerre !! Sans me concerter, Élie demande de vive voix à Mimi de s’essayer à la zoophilie ? Je n’en crois pas mes oreilles ?? Mais qu’est-ce qui lui passe par la tête ??
Élie me regarde : « ben oui, quand tu l’as vue se faire monter par le chien, cela t’avait bien excité non ? Maintenant, imagine que c’est moi ? »Son raisonnement n’était pas faux, j’avais bien apprécié la scène mais l’imaginer, elle, saillie par ce chien, j’avais débandé de suite...
— Toppe là ma fille, rétorqua Mimi. Mais pas aujourd’hui, le sultan, il faut qu’il se repose. C’était la deuxième fois qu’il me montait aujourd’hui. Il lui faut des forces. Revenez demain ? J’aurai peut-être même une surprise pour vous. Tu verras ma petite, tu regretteras pas. — Allez ! Filez maintenant, j’ai du boulot à finir avant ce soir. Ça m’a fait plaisir de te revoir Freddo. À demain.
Vindicatif et autoritaire, nous ne pûmes que nous lever pour quitter la pièce.
— Moi aussi ça m’a fait plaisir Mimi. et on se fit les bises.

Nous quittâmes la cour et reprîmes le chemin vers la voiture. Je bouillais intérieurement. Qu’est-ce qui lui a prit de dire cela. Jouait-elle la provocation ? Me reprochait-elle de ne pas lui avoir tout dit sur mon dépucelage ? Au vu du résultat, elle devrait se douter que l’on ne s’en vante pas. D’ailleurs, je ne lui avais jamais posé la question sur le sien. Aurait-elle aussi des choses à me cacher ?Elle dû sentir ma perplexité car elle me dit :
— Eh ! Te vexe pas mon amour. Je ne vais pas virer ma cuti pour ne penser qu’aux animaux. Mais au vu de la puissance de son orgasme, il fallait que je saisisse l’occasion. Franchement, ça me fait rêver.— Eh oh, dis-le tout de suite que tu simules tant qu’on y est.— Non, c’est pas ça, tu me satisfais rassures toi, mais là, ça semblait être quelque chose de différent. Tu as remarqué ? Elle jouissait alors que le chien ne bougeait plus, et pas juste deux secondes ; ça semblait ne plus s’arrêter... — Ça veut dire quoi tout ça ? Madame veut essayer ? Madame veut se faire mettre par un toutou pour connaître la jouissance extrême ? — Ben quoi, oui. Pour tout t’avouer, j’ai une amie qui m’a dit avoir tenté l’expérience et qu’après ça, elle n’avait qu’une hâte, c’était de recommencer. Et avoue, elle t’a bien excité la fermière, la Mimi quand elle se faisait monter. Ça te rappelait des souvenirs ?
Et elle posa sa main sur ma bosse naissante du devant de mon bermuda. Je la laissais faire.
— Non, tu sais bien qu’un rien suffit à un homme pour se mettre en forme. Tu le sens bien d’ailleurs.— Oui et ça se tend bien on dirait. Il voudrait s’échapper que ça ne m’étonnerait pas.— C’est toi qui as les clés. et je lui fis un bisou dans le cou en même temps que je lui mis une main aux fesses »

On s’arrêta alors de marcher pour s’embrasser fougueusement. Sa main branlait mon sexe avec une certaine frénésie que je ne lui connaissais pas, pendant que je lui malaxais les fesses et qu’une de mes mains partie en dessous de sa jupe pour mieux apprécier sa partie charnue. Puis, elle se baissa pour libérer le membre turgescent et le prit en bouche. Je lui saisis la tête pour lui imprimer les va-et-vient et mon sexe devint vite recouvert de bave. Puis elle se releva.
— Viens, trouvons un petit coin tranquille. je remballais mon engin, excité par la perspective à venir et on franchit un petit passage d’un talus pour arriver dans un petit champ à l’herbe pas très haute.

Aussitôt Élie se mit à quatre pattes et retroussant sa jupe pour me montrer son fessier me lança :
— Allez mon toutou, viens montrer à ta maîtresse ce que tu sais faire.
« Je ne relevai pas l’affront mais m’approcha cependant et alors qu’elle regarda vers l’avant, je me défis de mon bermuda, m’approcha de son fessier, lui déchira sa culotte d’un geste rageur et m’enfonça en elle sans prémices. Elle lança un cri de douleur alors que je commençais déjà à la labourer. Je ne sais pourquoi, mais ce petit jeu me donnait une vigueur toute nouvelle. D’ailleurs, sa douleur avait vite disparu aux râles de plaisir qu’elle émettait plus que d’accoutumée.
Cela m’encouragea à la besogner plus vite encore. Élie jouit très rapidement mais je ne m’arrêtais pas là. Si elle en voulait, elle allait en recevoir, j’avais bien compris le message. Elle m’avait atteint dans ma fierté de mâle. Je la maintenais à la taille et mon sexe, enduit de son plaisir, coulissait jusqu’à la garde. On entendait le claquement des fesses à chaque assaut. Élie repartit rapidement dans son plaisir qui allait crescendo. Et moi tout d’un coup de repenser à Mimi se faisant prendre par sultan. L’entendre jouir de cette façon me rappela la scène ou le chien, tout comme moi, la martelait par-derrière. Élie jouit une seconde fois et faillit m’emmener avec elle tant son vagin comprimait mon sexe.
Je parvins à me contenir et continua à la besogner. Je trouvais dans son plaisir une nouvelle force pour accélérer la cadence mais pour aussi m’apercevoir que je ne tiendrais plus longtemps sur la distance. Je la sentis soudain se masturber le clitoris. Elle repartit dans son plaisir encore plus fort qu’avant et n’arrêtait pas d’en redemander en me lançant des insultes :
— Oui... vas ? Y... remplis ta maîtresse... viens mon chien... Encore.....
Je n’en pouvais plus et lançais mes dernières forces dans une ultime cavalcade quand elle céda la première en lançant un cri de jouissance rarement entendu. Cela était si fort en intensité que je jouis à mon tour en elle enfoncé entièrement pour bien me déverser au fond de son vagin à bout de force.

Les bras d’Élie avaient lâché, et elle était penchée en avant encore soudée en moi. Je reprenais mon souffle et mes esprits avant de me retirer lentement. Elle ne bougea pas, restant dans cette position, et mon jus commença à s’échapper de sa fente qui faisait des bruits obscènes.Mon Dieu. J’étais crevé. Je ne sais pas combien de temps avait duré notre cavalcade, mais j’étais en sueur. Pour sûr, c’est pas tous les jours que je ferai cela. Élie finit par s’allonger dans l’herbe sur le côté en lançant un gémissement de satisfaction toujours plongé visiblement dans le plaisir que je venais de lui octroyer. Elle aussi mit un certain temps à émerger. Elle me regarda en train de reprendre doucement ma respiration avec un air de remerciement.
— Ben mon salaud... Tu vois, je savais que ça t’exciterait de me voir chevaucher. Humm... qu’est-ce que tu m’as mis... j’en ai les jambes qui flageolent encore. — Oui ben compte pas sur moi pour faire le beau. J’t’en mettrais moi de « mon toutou... » ne m’appelle plus jamais comme ça tu veux bien.— Oh ce qu’il est susceptible. C’est dommage, j’aimerais bien que tu me montres comme ça plus souvent maintenant... — On verra ça, pour l’instant, il faudrait songer à rentrer, on a réservé et il va être l’heure.— Mais je ne peux pas y aller comme ça, tu m’as arraché ma culotte et j’en ai partout sur les cuisses maintenant.— Tu te nettoieras dans la voiture, on a des lingettes. Pour le reste, il fait beau, t’en as pas besoin de ta petite culotte. lui fis-je en lui donnant une tape sur les fesses.— Mais tu sais que j’aime pas être nue en dessous. — Quoi, tu veux aussi que j’enlève mon boxer ? Tiens ! Voilà. T’es contente ?
Et je l’enlevai avant de remettre juste mon short.
— On peut y aller maintenant ? Ça m’a donné faim.
Elle se releva en grommelant mais nous prîmes la direction de la voiture. Pendant que je conduisais, elle se nettoya l’entrejambe et les cuisses. Nous parcourûmes une trentaine de kilomètres avant d’arriver malgré tout en retard sur la réservation au restaurant situé à cinq cents mètres de notre hôtel.
Quand elle descendit de la voiture, elle était de nouveau pimpante et nous rigolions de cette après-midi.
À suivre
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