Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 122 J'aime
  • 6 Commentaires

Vacances en Mayenne

Chapitre 4

nouvelles expériences

Zoophilie
Clémence fit la moue quand elle nous vit entrer dans la cour. La tenant par la taille, elle ne put que nous suivre.
— Viens ! On va te présenter à la propriétaire des lieux. Dis-je.
Suite...
À ce moment apparut le berger allemand.Il sortait de l’étable et se mit à aboyer en s’avançant vers nous. En réponse à ses aboiements, on en entendit d’autres qui lui répondaient tout aussi fort. Clémence préféra s’arrêter quand Sultan s’approcha de trop près. Pour la rassurer, je restais à côté d’elle alors qu’Élie tenta une approche. Peut-être cherchait-elle à l’amadouer pour la suite ? Quand il vit Elie s’approcher, Sultan s’arrêta, et d’avancer, et d’aboyer, faisant jouer sa truffe, reniflant l’air. Peut-être reconnut-il Elie à son odorat, car il la laissa s’approcher. Elle lui tendit la main pour qu’il la sente. Le chien alors se mit à remuer la queue et commença à tourner autour d’elle en la reniflant les pieds et les jambes. Clémence en fut rassurée et repartit avec moi vers la ferme.
Mimi apparut par une porte de la grange. Elle ne portait pas sa blouse habituelle, juste une robe. Elle fut étonnée en voyant Clémence autour de mon bras.
— Bonjour, lui dit-elle.— Dis donc Freddo, ce serait-il que tu te sois décoincé depuis que tu es parti à la ville ?— Oui, on peut dire ça. Clémence, je te présente Mimi. Mimi, voici Clémence.
Elles se serrèrent la main. Élie et moi lui fîmes la bise.
— Alors ma jeunette, toujours pas changé d’avis ? Demanda-t-elle à Élie.— Non. Toujours partante.— Alors venez, je nous ai préparé un coin avec de la paille, ça sera plus confortable.
Clémence était curieuse de la situation, mais ne pipait mot.Sultan était à la fête. Sentant que quelque chose allait se passer, ou s’était déjà passé, il tournait autour d’Élie en lui reniflant les jambes de plus en plus haut, passant parfois son museau sous la jupe. Quand Élie le repoussait, alors il venait vers Clémence et se mettait aussi à la renifler de plus en plus haut. Sentait-il ce qui s’était passé tout à l’heure entre nous et le plaisir de ces femmes qui humectaient leurs entrejambes ? Clémence le rejetait gentiment et il retournait alors voir Élie en recommençant.
Mimi nous conduisait vers la porte la plus en retrait de l’étable d’où émanaient les autres aboiements. En entrant, on fut saisi par la fraîcheur des lieux. Du fait qu’il commençait déjà à faire chaud dehors, ici, il faisait juste bon. En nous habituant à l’obscurité due au contraste de la lumière extérieure, nous vîmes deux autres chiens attachés par une longue corde à un des poteaux de la grange.

Ils étaient visiblement jeunes, car ils sautaient et glapissaient comme pour nous souhaiter la bienvenue et que l’on vienne les délivrer. Un semblait être un labrador alors que le second semblait être un golden retriever.
— Je vous présente Ali et Baba. Ce sont les chiens de mes voisins. Ils viennent de partir en cure et me les ont laissés. Ils n’arrivaient pas à se décider lequel prendre quand ils étaient jeunes, alors ils en ont pris chacun un et me les laissent quand ils doivent s’absenter. Ils ne savent pas le bonheur qu’ils me procurent en me les laissant, me dit-elle en faisant un clin d’œil.

Clémence marqua sa surprise, car elle ne comprenait pas le sous-entendu, mais ne voulut toujours pas poser de questions.Élie s’approcha d’eux. Ils la laissèrent venir en remuant de la queue. Une fois qu’elle fut assez proche, ils lui sautèrent dessus en tentant de mettre leurs pattes sur ses épaules et de lui faire de grandes léchouilles. Élie tint un petit peu, mais finit par être déséquilibrée et tomba doucement en arrière, emportée par le poids des chiens. Ceux-ci en profitèrent et vinrent lui lécher le visage.
Élie les caressa en les laissant faire, mais Sultan passa derrière eux et se remit comme tout à l’heure à lui renifler les jambes, mais ne se gênant pas ce coup-ci aux vues de la position d’Élie d’aller directement lui renifler la culotte. Élie comprit sa mauvaise situation, mais ne put faire grand-chose, plaqué au sol par les deux autres chiens.
Tout à coup, elle subit une décharge électrique. Elle venait de sentir la langue de Sultan au travers de son string. Elle s’immobilisa alors que Sultan lui remit une couche. Elle sentait cette langue râpeuse humidifier son string. Puis, comme elle ne bougeait toujours pas, Sultan commença à la lécher de plus en plus en tentant de faire passer sa langue baveuse sous le minuscule vêtement.

Nous étions là : Mimi, Clémence et moi à regarder sans savoir trop ce qui se passait, car les deux gros chiens nous masquaient, ce que faisait Sultan. Celui-ci avait fini par ses coups de langue, par libérer le minou d’Élie et tentait de la lui faire rentrer dans son antre qui commençait à dégouliner de plaisir. Celle-ci avait écarté ses jambes pour lui laisser l’accès plus facile.
Elle se laissait aller à ce contact râpeux et humide qui maladroitement, de par ces lapements rapides et répétés, lui faisait faire du yoyo avec son plaisir. Car alors qu’elle se sentait partir quand la langue caressait le clitoris, son plaisir reculait quand le chien repartait lécher ses cuisses avant de réapparaître encore plus fort quand il revenait à l’assaut de son sexe.
Les autres chiens continuaient de maintenir Élie au sol et de lui faire des léchouilles, mais nous finîmes par comprendre ce qui se passait quand Élie commença à crier sa jouissance tout en levant les jambes afin d’offrir son sexe tout entier à Sultan. Clémence semblait subjuguée par ce qui se passait quant à Mimi, une de ses mains avait remonté la robe pour finir dans sa culotte et gesticulait sans gêne. Élie finit dans un râle de plaisir et finit par baisser ses jambes, faisant reculer Sultan. Celui-ci recula et se remit à tourner autour d’eux en gesticulant sa queue.Élie chassa les deux autres chiens et se redressa.
— Oh ! Mon Dieu, quel pied et quel coup de langue ! Dit-elle.— Quoi ? Tu veux dire que c’est le chien qui t’a fait hurler de plaisir ? S’exclama Clémence.— Si tu savais ? Tu devrais aussi essayer.
Clémence fit la grimace, rien que d’entendre Élie lui en parler. Les chiens eux n’arrêtaient pas de tourner en rond en remuant de la queue, car toujours attachés et fixant les deux femmes. Sultan, lui, vint renifler sous la robe de Mimi qui s’était réajusté. Celle-ci ne le chassa pas, mais alla vers les deux autres pour les libérer. Aussitôt, comme avec Élie, ils lui sautèrent dessus. Mimi les repoussa gentiment et se positionna à quatre pattes.
Les chiens, comme Sultan avant, vinrent à leur tour lui tourner autour tout en lui reniflant les jambes et s’insinuaient sous la robe. Clémence les regarda faire sans dire un mot. Elle vit Mimi relever sa robe, la laissant le cul à l’air dans sa culotte. Les chiens se relayaient en tournant pour lui lécher l’entrejambe.
Sultan lui s’était approché de nous et tentait de s’infiltrer sous la robe de Clémence. Elle le repoussait régulièrement, absorbée par le spectacle de Mimi, mais Sultan, persévérant, revenait sans cesse. La culotte et les cuisses de Mimi finirent par être trempées de par la salive des chiens. Ils se suivaient l’un après l’autre pour tenter de passer sous le tissu, mais sans y parvenir.
Alors Mimi finit par baisser la culotte et là, les chiens commencèrent à devenir fous. Celui qui était en position derrière elle pour la lécher restait longtemps au grand dam de l’autre qui tournait de plus en plus vite autour d’elle en jappant et voulant prendre sa place.
Admirant le spectacle, je passai une main sur les fesses de Clémence à travers le tissu. Elle sursauta de surprise, car très captivée par ce qui se passait devant, mais me laissa faire. Élie s’était rapproché de nous et chassait elle aussi Sultan du mieux qu’elle pouvait. Je passais ma main sous la robe de Clémence pour lui caresser les fesses à nu alors qu’Élie en profita pour lui caresser un sein. Mimi commençait à haleter sous les coups de langue des deux compères qui n’arrêtaient pas de se succéder derrière elle.

Son sexe s’était ouvert en grand et les chiens insinuaient leurs langues partout où ils pouvaient. On pouvait le voir reluire de salive sur toute sa longueur. Ma main s’était glissée par-dessous Clémence et je pus constater que le spectacle ne la laissait pas de marbre tant son sexe était humide. Elle s’accrochait à moi d’une main et à Élie de l’autre pour ne pas défaillir. C’est quand je cherchais Sultan du regard que je le vis derrière nous. Il regardait ma main bouger entre les cuisses de Clémence tout en sentant de sa truffe les effluves qui en émanaient. Il me regarda en remuant de la queue histoire de dire :
— Je peux y aller maintenant ?
Clémence subjuguée par ce qu’elle voyait semblait tétanisée. Élie me regarda et je tentais de lui faire comprendre par signe discret de la langue de lui faire un cunni. Élie comprit et se positionna entre les jambes de Clémence. Alors que j’avais encore deux doigts dans son vagin trempé, je sentis le souffle chaud puis la langue d’Élie se mettre en action. Je sentis un tressaillement de la part de Clémence, puis je la vis respirer plus rapidement.

C’est alors que le labrador, tandis qu’il était derrière Mimi pour la lécher, prit l’initiative de lui monter sur le dos. Il commença par donner quelques coups de bassin avant de redescendre. Aussitôt ; le second le remplaça. Il grimpa sur Mimi et lui aussi, se mit à donner des coups de bassins. Mais redescendit aussi vite que l’autre. Ils se succédèrent ainsi cinq ou six fois. Ce n’était pas sans remarquer que les fesses de Mimi luisaient un peu plus que tout à l’heure et que les deux chiens avaient leur sexe à moitié sorti de leurs fourreaux. Le labrador revint à la charge et se remit en position. Il recommença à donner des coups de reins quand on entendit Mimi lâcher un râle de surprise et de plaisir.
— Oh oui ! Tu y es mon chien. Reste en maman, vas-y maintenant, continue...
Le chien, s’entendant encourager par la fermière se mit à donner des coups de reins frénétiques comme lorsqu’on avait vu Sultan la veille. Ses pattes glissaient sur les jambes de Mimi pour prendre appui, mais n’en relâchaient pas moins ses efforts. C’était vraiment un labourage. Les mouvements de bassin du chien étaient très rapides. Il semblait glisser régulièrement avant de se repositionner par ses pattes de derrière en sautant légèrement. Mimi partait au septième ciel.
— Oh oui ! C’est bien mon chien continue ! Ahh ! Ahh ! Remplis ta maîtresse ! Ummmh ! Hummm ! Vas-y encore !
Clémence ne détournait pas le regard et fléchissait parfois les jambes de par le plaisir que lui procurait Élie qui était toujours à son affaire. Élie voyait Sultan toujours derrière, attendant son tour. Elle pensait toujours à son pari et se disait que si elle ne voulait pas le perdre, alors il fallait que Clémence s’habitue au chien. Puis elle comprit pourquoi je lui avais demandé de se mettre par en dessous de Clémence.
Alors elle recula sa tête et tout en maintenant Clémence par les fesses, elle invita Sultan à s’approcher. Celui-ci, comprenant l’invitation approcha son museau. Il renifla quelques secondes l’entrejambe avant de sortir sa langue. Il lapa une première fois et ne voyant aucun refus quelconque, commença à lécher le sexe dans son intégralité, se repaissant de la cyprine et des fluides qui en émanaient.
Élie recula sa tête, sortant ainsi de sous la robe et me regarda. Elle avait le pourtour de la bouche trempée et me souriait.Clémence, toujours absorbée par Mimi en train de se faire mettre par le labrador mit un certain temps à réaliser que quelque chose clochait. Son plaisir sous les coups de langue d’Élie n’était plus le même. Sa langue s’insinuant plus souvent dans son vagin, la faisait chavirer sans compter que lorsqu’elle passait sur son clitoris, sa texture rappeuse, différente du début l’électrisait à chaque passage. Elle baissa la tête pour s’apercevoir qu’Élie regardait ce qui se passait sous la robe. Elle eut un moment de panique comprenant la situation, et c’est à ce moment précis que Sultan la fit jouir.
Elle lâcha un « AAAAAHHHHHHHHHH ! » En fermant les yeux et Élie put voir deux ou trois jets de quatre ou cinq secondes de son jus s’expulser comme si Clémence pissait son plaisir. Sultan qui s’était reculé revint aussitôt à la charge et se remit à la lécher comme pour nettoyer tout ça. Clémence voulut s’extirper de ce piège, mais Élie la tenait fermement par les fesses et moi par la taille.
— Non ! Non ! Pas le chien ! Je vous en prie !
Mais elle se débattait sans grande conviction et le chien en dessous, faisait bien son travail, car maintenant, Clémence haletait de plus en plus.
— Non : hahhh ! Il ne, faut, pas, aahhh ! Non !, ohhhhh ! C’est pas possible, huuuummmm, non. Je ne dois, paaaas... Ahaahhhh. C’est, hhhuummm...
Elle cherchait à lutter contre le plaisir que lui procurait Sultan. La grange résonnait aussi des cris de jouissance de Mimi :
— AAAhh ! Oui mon chien, aaahhhhh. Tu me fais jouiiirr. Aahhhh, continue de remplir ta maîtresse, aahhh. Je jouis... Ahhhhh, c’est booon...
Le chien derrière elle avait donné un dernier coup de reins avant de s’immobiliser. Et comme hier, Mimi continuait d’exprimer sa jouissance.
— Oui. C’est bien. Vide-toi en moi, vide tout, aaaahhhhhh, encore, aaaaahhhhhhh...
Élie s’était retourné pour regarder la scène avec grand intérêt, Clémence ne se débattant plus. Le golden s’était approché d’elle, mais comme elle était toujours à genoux, il ne put rien faire d’autre que de lui lécher le visage en remuant de la queue. Élie le caressa, mais curieuse, toujours dans la pensée de son pari, passa la main en dessous. Elle la positionna sur le sexe du chien qui avait repris sa place dans son fourreau et commença à le malaxer.
De mon côté, mon sexe encore emprisonné me faisait horriblement mal. J’entrepris de ma main libre de baisser et ôter mes vêtements afin de lui laisser toute l’amplitude dont il avait besoin.Élie finit doucement par extirper le sexe du chien. En fait, c’était la première fois que j’en voyais un. Tout petit dans son fourreau, il commençait à doubler de volume en dehors. Une hampe tachetée et violacée avec une tête qui se terminait en pointe.
Pendant ce temps, Clémence avait fermé les yeux et avait cessé de lutter contre ses appréhensions.
— Aahhhhhhh, hhuuummmm... Ooohhh. Mon Dieu, c’est trop booonnnn... Je lui pris la main la plus proche et la posa sur mon sexe tendu. Comme par réflexe, elle s’y accrocha et me masturba.
— Ohhh. J’en peu, pluuuus, aaaahhhh, c’est trop. Booonn, aaaahhhhh. Je viens. Je viens, aaaahhhhhh...
Et plus elle partait, et plus sa main s’accélérait sur mon sexe. Entendre ses deux femmes jouir sous les assauts des chiens faisait monter la sauce rapidement.

Mimi venait de crier son ultime cri de jouissance quand Clémence à son tour se libéra ce coup-ci, consciente de ce qui la faisait jouir. En même temps que son râle de plaisir, aussi fort que celui de Mimi :
— AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH !!!!
On put entendre son jet aussi fort qu’un jet de pisse et durer, durer, je dus la retenir à la taille tant sa jouissance étant forte, lui faisait fléchir les jambes alors que sa main se crispait sur mon sexe freinant la montée de mon propre plaisir. Une fois calmée, Sultan voulut revenir à la charge, mais Clémence resserra les jambes qui flageolaient alors que je continuais de la soutenir. Mal positionnés, nous nous déplaçâmes vers quelques bottes de foin à côté de Mimi où on put s’asseoir.Nous pûmes alors observer Mimi. Le labrador était toujours enfiché en elle. Il était descendu de son dos, mais son sexe restait empalé. On pouvait observer, chose bizarre, qu’une grosse boule à la base était à l’intérieur de Mimi et ce n’était pas ses boules qui pendouillaient bien au-dehors. Cette boule obstruait l’entrée et le chien ne pourrait se détacher sans que Mimi ne crie de douleur à ce qu’il semblait. Aussi, celle-ci ne bougeait pas et semblait attendre que cela se fasse naturellement.
Élie, quant à elle, était tout à son affaire de curiosité. Elle s’était approchée de nous, puis s’était baissée pour voir ce qu’il y avait en dessous du chien qui l’avait accompagné. À genoux, elle décalotta une nouvelle fois le chien qui avait rangé son instrument. Le sexe violacé ressurgît et Élie se mit à le masturber doucement. Elle crachait dans sa main pour que cela ne soit pas douloureux pour le chien, mais très vite, le vit sembla prendre vie.
En même temps que l’on voyait des contractions, il se mit à cracher du liquide. Élie s’en imprégna la main, ce qui lui facilita la masturbation. Clémence une nouvelle fois fut subjuguée par ce que faisait Élie. Cette fois, et malgré l’insistance de Sultan qui cherchait une nouvelle fois à renifler sous sa robe, elle restait jambe serrée. J’entrepris cependant de lui remettre sa main sur mon sexe et elle recommença sa masturbation douloureusement interrompue quelques minutes plus tôt.
Le golden commença à haleter et avoir la langue pendante pendant qu’Élie s’occupait de lui. Les contractions du sexe canin étaient régulières et rapides. À chaque fois, une petite quantité de liquide était expulsée par la pointe et Élie s’en imprégnait les mains pour le masturber plus facilement.
Toujours curieuse, elle voulut goûter ce liquide à la source, mais n’y arrivant pas correctement, elle se mit à quatre pattes pour pouvoir passer en dessous. Elle put ainsi mettre sa tête et sa bouche à l’extrémité du sexe du chien et commencer une fellation.
Elle recevait ainsi régulièrement ce liquide expulsé du sexe dans le fond de sa bouche alors qu’elle faisait des va-et-vient dessus. Ce liquide était chaud, n’avait rien à voir avec le goût du sperme et différent de la cyprine que pouvait dégager une femme. Il avait un goût bien à lui et indéfinissable, mais pas désagréable. Elle continua ainsi, se remplissant la bouche avant soit d’avaler, soit de l’ouvrir pour laisser le liquide s’échapper et couler avec un filet de salive en plus.
Mimi commença à gémir, car le labrador commençait à donner des signes d’impatience et voulait s’extirper en donnant des coups de bassin. Pendant ce temps, Sultan avait fait le tour derrière Élie et commença à lui lécher le derrière. Certes surprise, elle le laissa faire. Comme tout à l’heure, il lui écarta le morceau de tissu qu’elle avait encore avec la langue pour mieux lui fourrager son sexe ruisselant. Élie prit quelques secondes pour cependant lui faciliter la tâche en baissant son string sur ses mollets et Sultan put revenir à la charge.
Élie reprit le sexe du golden en bouche et commença une pipe en règle, avalant ce coup-ci tout ce qui en sortait. Clémence activait toujours sa main sur mon sexe alors que j’entrepris de lui ôter sa robe. Je lui libérais les seins en premier et commençai à les malaxer, lui libérant quelques soupirs de plaisirs.
Mais alors que Mimi lâcha un léger cri de douleur, on vit le labrador enfin s’en détacher. Aussitôt une grosse quantité de liquide s’échappa de son sexe dans des bruits incongrus qui nous fit rire Clémence et moi. Mimi resta ainsi quelques minutes pour reprendre ses esprits alors que le labrador resta derrière elle pour lui nettoyer tout ce qui sortait de son sexe.

Chose incroyable à nos yeux, le sexe du chien avait plus que triplé de volume. Il était encore plus gros que ce qu’Élie avait en bouche. Comme si le vagin de Mimi avait fonctionné comme une pompe aspirante.
Mais Élie ne put rigoler avec nous, car, toujours avec le sexe du golden en bouche, elle sentit Sultan sauter sur elle et avant qu’elle ne puisse réagir, certainement plus entraîné que ses compères à faire la chose, il mit quatre ou cinq rapides coups brefs avant de trouver son trésor et de s’y engouffrer d’un coup. Elle lâcha l’appendice qu’elle avait en bouche et resta bouche ouverte sous l’assaut du berger.

Le golden se sentant libéré, s’avança et se coucha pour se lécher lui-même le sexe. Élie m’apparut alors face à moi, yeux fermés, bouche ouverte, le berger au-dessus d’elle la besognant comme jamais je ne pourrais le faire. Elle avait enfin ce qu’elle voulait et cette vision de mon Élie prise par ce chien me fit décharger dans la main de Clémence.
Élie ouvrit les yeux au moment où je lâchais la sauce inondant mon torse et la main de Clémence. Elle n’eut même pas la force de me faire un sourire.
— Ahhh mon Dieu. Ohhhh...
Elle referma les yeux pour se concentrer sur cette nouvelle expérience. Le sexe du chien faisait de rapides incursions en elle et touchait toutes les parties de son vagin. Celui-ci commençait, semblait-il, à se réchauffer, lui procurant de drôle de sensation. Le plaisir en tout cas était bien là et montait, croissant.
— Aahhhhh, aaahhhhh. Huuuummm...
Le chien continuait sa frénésie, tout heureux de pouvoir saillir une nouvelle femelle. Élie étant plus petite que Mimi, il avait plus de facilité à donner ses coups de reins et perdait moins l’équilibre. Ce qui fait qu’il pouvait s’enfoncer encore plus entièrement que le labrador dans Mimi qui commençait tout juste à se relever. En entendant Élie, elle se retourna pour la voir se faire fourrager par Sultan.
— Oh non, tu aurais dû attendre que je te prépare, c’est trop tard maintenant...
On se demanda Clémence et moi ce qu’elle avait voulu dire. Inconsciemment, Clémence avait nettoyé sa main poisseuse sur le seul tissu qu’elle avait à porter de main, c’est-à-dire sa robe. Elle regardait toujours fascinée Ellie en train de se faire saillir et prendre son pied avec Sultan.
— Ohhh. Oouuuui, aaahhh, mon Dieeuuu. Aaaahhhh...
Elle sentait le sexe de Sultan fourrager le sien comme aucun homme n’avait fait. Il semblait grossir au fur et à mesure de ses intromissions comme pour épouser la forme de son vagin. Il semblait aussi que, comme le golden, il libérait sa semence translucide lui donnant cette impression de chaud à l’intérieur. Toutes ces nouvelles sensations la faisaient chavirer.
— Aahhh, ouuuiiii, ouuuiiii, ouuuiii. Aaaahhhhh, je jouu, uiiis, je jouu, uiiisss...
Elle avait toujours la tête relevée, les yeux fermés, grimaçant comme jamais sous la puissance de sa jouissance. Ses seins ballottaient en dessous dans son chemisier sous la cadence effrénée de Sultan. Puis elle hurla : « AAAAAAAHHHHHHHHHHHHH »
Cela semblait être un cri de douleur. Sultan s’était arrêté de gesticuler après avoir donné un dernier coup de reins qui semblait avoir déclenché ce cri.
— Ne vous inquiétez pas. Dit Mimi. Sultan vient de lui rentrer son nœud. Voici ce qui arrive quand on n’est pas préparé.

Je vis une larme couler sur le visage d’Élie qui s’effondra, posant sa tête sur ses bras, ce qui ré-haussa son derrière. Alors que je voulus me lever pour aller à ses côtés voir ce qui n’allait pas, elle lâcha.
— Oh p. Oh mon Dieuu. C’est encore mieuux, aaaahhhh. Ouuuiii. Il me rempliiiittt, aaahhhhh. C’est fabuu, leux, ooohhhhhhh...
Le sexe du chien lui remplissait maintenant entièrement son vagin. Il semblait même toucher, immobile, l’entrée de son utérus lui procurant des spasmes de plaisirs particuliers à chaque giclée qui s’en échappait. Celles-ci étaient, ce coup-ci, perceptible et semblait plus conséquent comme si en fait le chien déchargeait sa semence, et non plus le liquide transparent, en elle et ne s’arrêtait pas. La chaleur prenait de plus en plus d’ampleur dans ses entrailles et l’impression de remplissage était de plus en plus forte par la pression exercée par le liquide.
— Aaahhhhh, je jouuuiiiiiisss, je jooouuuiiiiiiissss, je jooouiiiiiissss, n’arrêtait-elle pas de répéter.— Je jooouiiiiiii. Jejouiiiiiiiisss. C’est fab, uuulleeeeuux. Oh mon diiiiieeeeeeuuuuu... ça n’arrêeeettteee paaasss... ohhhhhhhh, aahhhhhhhh, c’est trrooooooppppp. Aaaahhhhhh, je jooouuiiiiisss enncccoooooooore, aaaaaaahhhhhhh !Je n’en croyais pas mes yeux et mes oreilles. Jamais je ne l’avais vu dans un tel état. Mais le pire, c’est que cela me faisait bander à mort. Mon sexe était redevenu droit comme un I et dur comme rarement il ne l’a jamais été, bien que je venais d’éjaculer.
— Aaaahhhhhh. Je joooooouuuuuiiiiiiiiiiisssss, aaaaaahahhhhhhhhhhhhhh...
Puis plus rien. À part une respiration rapide, plus rien ne sortit de sa bouche. Elle semblait partie dans un autre monde, son visage exprimant une béatitude que rarement je n’avais pu lui donner dans ces moments intimes de notre relation. Et encore, j’avais mis un certain temps pour y arriver alors que ce chien y était arrivé du premier coup.
Je n’y tenais plus. Mon sexe dur comme un roc me faisait mal à rester inactif. Je regardais Clémence qui détacha enfin son regard d’Élie. Elle avait la main enfouie sous sa robe. Je n’avais même pas remarqué qu’elle se donnait du plaisir en les observant. Alors je la fis se lever et prendre appui sur les bottes de foin en la penchant en avant. Je lui relevais le bas de la robe et lui écartais les jambes avant de m’introduire sans préliminaire.
Clémence cria sous le coup, surprise de la rapidité avec laquelle j’entrais dans son vagin, mais, étant déjà parfaitement lubrifié, cela ne fut pas douloureux. Je commençais alors à la besogner. Comme hier, lorsque j’avais pris Élie dans le champ. J’y allais à fond, le spectacle m’ayant excité comme jamais. Je labourais le sexe de clémence comme rarement je n’avais labouré un sexe de femme. Mon pieu était rigide et imposant. Je butais sur son utérus à chaque poussée, lui faisant lâcher des cris de plaisirs:
— Aaahhh. Ahhhh. Aaahhhh...
Étant venu juste avant, mon ardeur était à son maximum. Le mode endurance actionné. Je la besognais encore et encore. Je l’entendis jouir deux fois puis trois fois avant que ses pulsations vaginales ne me fassent éjaculer au plus profond de son antre en la faisant jouir une quatrième fois sous mes coups. On était en sueur. Clémence, après un instant, se releva et me regarda. On éclata de rire tous les deux. Je la saisis par la taille et l’embrassai sur la bouche. Je lui roulais une pelle comme pour la remercier de ce qu’on venait de faire.
— Et bin mon Freddo, t’es plus endurant que la dernière fois qu’on a fait ça. Me rétorqua Mimi.
Clémence me regarda d’un œil interrogateur.
— Je lui répondis juste : c’était ma première fois...
On en revint à Élie qui semblait sortir de sa torpeur, toujours arnaché à Sultan. Celui-ci, toujours accroché à son dos haletait à vive allure et de la bave coulait sur le chemisier trempé maintenant et déchiré par endroit dans le dos par les griffes.
— Il faut que je la prépare, sinon elle sera déchirée, dit Mimi « Il faut que vous mainteniez le chien en elle. Il ne faut pas qu’il essaie d’en sortir avant que je revienne.
Disant cela, elle sortit de la grange, suivie par le golden. Sultan, lui, voyant sa maîtresse partir, voulut lui aussi la suivre. Il descendit d’Élie, mais nous le retînmes pour ne pas qu’il tire de trop. Juste le fait de descendre avait déjà fait mal à Élie. Heureusement, nous n’attendîmes pas longtemps. Mimi revint avec l’autre chien en tenant quelque chose dans un torchon.
— Maintenez le chien, et évitez qu’il bouge de trop.
Elle s’assit au niveau de la jonction du couple anachronique puis ouvrit son torchon. Dedans, une motte de beurre. Elle en prit un morceau qu’elle enduisit à la partie légèrement sortie du sexe du chien. Puis, elle prit le sexe qu’elle utilisa comme un gode en l’enfonçant et en lui faisant quelques va-et-vient. Puis elle recommença l’opération deux ou trois fois, ce qui permit de « graisser » la jonction des deux sexes.Alors Mimi demanda à ce qu’on lâche un peu Sultan. À côté de sa maîtresse, il ne bougeait plus guère.
— Heureusement dit-elle, parce que son nœud est encore un peu gros.
Au bout de cinq minutes, il commença à montrer des signes d’impatience en commençant à tirer son bassin pour sortir son sexe. Mimi l’aida en écartant comme elle pouvait les lèvres vaginales. Des bruits incongrus s’entendirent de nouveau alors que du liquide saumâtre soudain jaillit. Cela libéra certainement une pression interne, car alors, le nœud de Sultan sortit, libérant enfin Élie qui s’effondra sur le sol. Le sexe de sultan en sortant était monstrueux par sa grosseur. Presque encore plus gros que celui du labrador.
Je m’approchai de son visage :
— Oh mon amour. Si tu savais. Me dit-elle.— Cette impression de remplissage qui n’en finissait pas et cette délivrance à l’instant. J’ai joui sans avoir la force de crier.
Sultan qui avait fini de se lécher son sexe, vint derrière elle pour tenter de nettoyer son méfait, mais Mimi l’enleva doucement. On l’aida à se relever.
— Bon allez ! Venez ! On va se manger un p’tit quelque chose avant de remettre le couvert, dit Mimi.— C’est pas de refus, répondit Élie.— En effet, j’ai un petit creux, répondis-je aussi.— Installez-vous là, sur les bottes de paille, je reviens de suite.
Et comme tout à l’heure, elle partit, suivie de ses trois compagnons à quatre pattes. On s’installa comme on put avec Clémence qui réajusta sa robe alors que je restais seul nu.
— Allons, les filles, il fait chaud et on est à la campagne. Enlevez-moi ça s’il vous plaît.
Clémence eut quelques réticences, mais comme Elie ôtait son chemisier et sa jupe, elle se sentit obligée de faire comme nous. Elle enleva sa robe qu’elle plaça en dessous d’elle, car elle n’aimait pas le piquant de la paille. On eut l’idée d’y mettre les plaids pour que ce soit plus pratique.
— Comment vas-tu ma belle, demandais-je à Élie.— Mieux. Manger me fera du bien.
Elle me regarda avant de m’embrasser goulûment.
— Eh bien, que me vaut cette fougue ?— Je ne veux pas que tu croies que je vais te laisser tomber maintenant que j’ai connu l’extase.— Merci pour cette précision, répondis-je « c’est vrai que j’ai eu peur un moment ».

Elle me regarda d’un air interrogateur, ce qui me fit pouffer de rire. Comprenant la plaisanterie, elle se décrispa.
— Et toi Clémence ? Comment ça va ? Demanda Élie.
— Eh bien, je suis étonné par tout ce que je viens de voir et découvrir. Je ne m’attendais pas à ça quand je me suis levé ce matin...— Moi non plus, rassure-toi. Mais en tout cas, c’est cent fois mieux que ce qu’on m’avait raconté. Et de ton côté, tu as eu l’air d’apprécier l’expérience ?— À vrai dire, je ne voulais pas que ça aille si loin, mais il est vrai qu’ils sont experts de leurs langues à ce que j’ai vu et vécu.— Prête à aller plus loin ?
Élie ne perdait pas le nord et ne voulait pas perdre son pari.
— Je ne sais pas. Franchement, c’est pas que, mais quand même, se faire saillir par un chien...— Tu avais l’air excité pourtant quand tu observais Élie se faire monter. Je t’ai même pris la main dans le sac ou mieux, dans le vagin si je puis dire.— Voir une femme jouir m’a toujours fait de l’effet. Et ta queue m’en a fait aussi, mais, aller au-delà...
Sur cette entrefaite, Mimi revint avec un grand panier. Elle sortit un gros pain, des charcuteries et quelques fruits. Cette collation frugale nous remit vite d’aplomb. On discuta avec Mimi du bon vieux temps en racontant quelques anecdotes où je n’étais pas en très bonne posture et pour finir, elle raconta ma première fois de puceau. Cela fit bien rire les filles.
À suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live