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Vacances naturistes

Chapitre 1

Jeudi à samedi

Inceste
Jeudi.Mon père est mort il y a maintenant quelques années et ma mère n’a pas refait sa vie. J’ai désormais 19 ans et je suis à l’université. Nous avions décidé ma mère et moi de partir en vacances ensemble, ce qui n’avait pas été le cas l’année précédente, celle de mes 18 ans donc. Mais le temps avait passé, et nous n’avions rien réservé. En ce début du mois de juillet, il devenait urgent de le faire.Ma tante était passée à la maison ce soir-là. Divorcée, elle dirigeait une petite agence immobilière qui marchait plutôt bien. Blonde, la quarantaine à peine entamée, c’était une femme sur laquelle les hommes ne pouvaient s’empêcher de se retourner. Elle était assez petite, bien en chair sans être boulotte. Elle avait une poitrine plutôt développée qu’elle savait mettre en valeur dans des décolletés qui étaient presque aussi osés que sa minijupe, vraiment des plus courtes. Très vite, la conversation se porta sur les vacances.
— Un peu tard pour s’y prendre maintenant, vous n’aurez aucun choix et ça vous coûtera au moins 30 % plus cher que le tarif moyen de haute-saison, déclara impitoyablement ma tante. (Elle avait raison et nous le savions. Nous aurions dû nous y prendre plus tôt.) Pourquoi ne viendriez-vous pas avec moi ? Je serai seule cette année.
Ma tante possédait un bungalow dans un camp naturiste de la région et y passait de nombreux séjours et week-ends, ce qui expliquait son bronzage impeccable que l’on devinait sans raccord. Ce n’était pas la première fois qu’elle nous invitait, mais ma mère avait toujours refusé. C’était une des différences entre les deux sœurs, ma mère était très prude, là où sa sœur était limite exhibitionniste. Je m’attendais donc à ce que ma mère refuse. Mais elle me surprit :
— Pourquoi pas, dit-elle ? Ce sera toujours mieux que d’atterrir dans le premier camping à qui il restera une place dont personne n’aura voulu ou encore de rester ici.
Il fut convenu de se retrouver à l’entrée du camp deux jours plus tard, en début d’après-midi. Pendant les 36 heures qui nous séparaient du départ, je n’arrêtais pas d’essayer d’imaginer ce qu’allaient être ces vacances. J’allais passer une semaine aux côtés de ma mère entièrement nue, elle dont je n’avais jamais ne serait-ce qu’entraperçu un bout de sein. Je ne pouvais pas en dire autant de ma tante qui ne portait pas toujours de soutien-gorge. Et lorsqu’elle se baissait, son décolleté bâillait, laissant apparaître, trop rapidement à mon goût, un sein ferme et bronzé. Disons-le clairement, je fantasmai sur ma tante. J’avais hâte d’y être.
Samedi.En début d’après-midi, nous nous fîmes connaître à l’accueil où une superbe blonde hélas habillée et s’expriment dans un français assez approximatif nota nos identités et l’immatriculation des deux véhicules. Je décidai qu’elle était hollandaise et me promis de croiser à nouveau sa route.Le bungalow possédait une grande pièce à vivre avec cuisine américaine, une chambre avec un grand lit, et une autre plus grande encore, avec un grand lit et visiblement la place pour en rajouter. La salle de bains était équipée d’une douche à l’italienne de belle taille. Elle ouvrait sur la pièce à vivre et n’avait pas de porte.
— Mes petits choux, dit ma tante, j’ai un léger contretemps. Je ne vais pas pouvoir rester aujourd’hui. Je suis sur une grosse vente sans exclusivité, qui se complique un peu. Je pourrais vous rejoindre mardi ou mercredi. Prenez vos marques sans m’attendre, je serai bientôt de retour.
Sur ce, elle nous fit à tous les deux un baiser sur les deux joues et repartit aussitôt, avant que ma mère ou moi ayons pu prononcer un seul mot. Inutile de dire que j’étais très déçu. Ma mère ne disait rien. Elle serrait les dents, je sentais sa colère monter.
— J’aurais dû m’en douter, grinça-t-elle. Elle nous invite et elle se barre comme ça, sans prévenir. C’est bien son style. J’aurais dû me douter d’un coup fourré comme celui-là. Elle est insupportable !
J’essayai de la calmer, sans grand succès. Décidément, les vacances commençaient bien.
— Bon OK, c’est peut-être un peu cavalier. Mais ce n’est pas une raison pour nous pourrir les vacances. Alors, voilà ce que je te propose : on fait comme tu veux. Soit on reste, soit on repart tout de suite et on cherche autre chose. C’est comme tu veux. Après tout, on en sera au même stade qu’il y a deux jours.

Ma mère ne dit rien pendant un temps qui me parut très long. Elle serrait les mâchoires et respirait fortement. Je pense que c’est mon allusion au fait que nous n’avions pas de plan B qui la décida.
— D’accord. On reste. Si on repartait maintenant, elle dirait que je n’ai pas osé rester sans elle. Que je suis trop coincée. Trop dépendante d’elle. Mais... Mais peut-être que je déciderai de repartir dès qu’elle reviendra. Histoire de lui montrer que nous aussi on peut être sans gêne.
Tout cela était nouveau pour moi. Je n’imaginai pas la rivalité qui existait entre les deux sœurs. Assez proches physiquement, elles étaient très différentes au niveau du caractère. De deux ans la cadette, ma tante était extravertie, à l’aise partout et avec tout le monde. Ma mère était plus réservée, pour ne pas dire effacée. Cet antagonisme devait remonter du temps où elles étaient adolescentes, voire même petites filles. Je ne les remerciais pas de m’impliquer dans leurs histoires. Nous défîmes nos bagages, ce qui alla assez vite : lorsque vous prévoyez de passer une semaine en plein été dans un camp naturiste, votre garde-robe est quasiment limitée aux habits que vous portez sur vous lors de votre arrivée.
— Tu prends la chambre, je prends le dortoir ? demandai-je.— Pas question, la chambre, c’est la sienne et je ne veux pas la partager avec elle lorsqu’elle reviendra, si elle revient bien un jour. Tu peux la prendre si tu veux, ajouta-t-elle perfidement.— Non, je la laisse aussi. On se partage le dortoir donc ?— Le lit est grand, ça ira bien comme ça.— On va faire les courses ?— Maintenant ?— J’ai entraperçu une espèce de supérette en arrivant, mais je n’ai aucune idée d’à quelle heure elle ferme.— J’ai emmené de quoi faire une salade pour ce soir, dit-elle, et j’ai des céréales pour le petit-déjeuner. Mais il n’y avait plus de lait à la maison. Tu n’as qu’à aller en chercher et noter les horaires.— Tu ne viens pas avec moi ?— Euh... Non. Je vais en profiter pour ranger nos affaires.
Vu le très faible volume des dites affaires, cela ne devrait pas lui prendre plus de cinq minutes. Mais je décidai de ne pas insister.
— D’accord, comme tu veux.
Je baissai mon short et mon slip, puis enlevai mon tee-shirt. Elle me regarda faire, un peu décontenancée.
— Nous sommes dans un camp naturiste, lui rappelai-je. Inutile de se faire remarquer le premier jour en se baladant habillé au milieu de tous les autres à poil.
Elle ne dit rien, me tendit le porte-monnaie pour les courses. Le petit commerce offrait un choix plutôt éclectique, bien que limité. J’emportai deux bouteilles de lait et une de pineau des Charentes et pris note des horaires. 10H00-13H00 et 17H00-20H00. En fait, elle venait juste de rouvrir. En début d’après-midi, il ne devait pas y avoir foule. Et là, à 17H00 un peu passé, ce n’était pas la grande affluence non plus. J’étais le seul homme, entouré de quelques femmes mûres. La plus jeune devait avoir le triple de mon âge. Soit c’était l’heure qui voulait ça, soit c’était un camp réservé au troisième âge. Je ne m’attardais donc pas à la supérette et me promis de revenir à une autre heure. Je fis un large détour pour retrouver le bungalow de ma tante, histoire de me familiariser un peu avec les lieux. Je croisais bientôt deux jeunes filles sans doute un peu moins âgées que moi, qui ne manquèrent pas d’échanger à l’oreille une remarque qui les fit rire.
Je vérifiais que je n’avais pas conservé mon slip et que je n’étais pas en érection. Rien de particulier à signaler de ce côté-là. J’en déduisis qu’elles devaient être encore plus jeunes que ce que leur anatomie pouvait laisser penser. Elles ne devaient pas avoir atteint les seize ans. Dommage parce qu’elles étaient plutôt bien roulées, mais trop immatures pour moi.
Je mis le lait et le pineau au frigo puis me mis à la recherche de ma mère que je ne voyais dans le salon.
— Tu es où ?
Elle sortit alors de notre chambre, drapée dans un paréo. Elle s’était changée, mais n’avais pu se mettre nue. Cela ne m’étonna pas. Je savais qu’elle était très timide, limite prude. En fait, ce qui m’étonnait le plus était qu’elle ait accepté de passer une semaine dans un camp naturiste.
— Ça va ? m’enquis-je.— Oui, pourquoi me demandes-tu ça ?
Je me lançai :
— Je pensais te retrouver dans l’uniforme local...
Le silence s’installa. Puis elle se décida :
— Il faut que je te dise quelque chose. Je ne suis pas très à l’aise avec la nudité.— Pourquoi avoir accepté la proposition de ta sœur, alors ? On aurait pu aller ailleurs. On aurait bien fini par trouver quelque chose de sympa.— Mais parce que je voudrais en finir avec ce blocage. Tu comprends ?
Oui, je comprenais, mais ne voyais pas très bien où ça nous menait. Allait-elle rester toute la semaine enfermée dans le bungalow ? Ou sortirait-elle habillée, ce qui mettrait les autres mal à l’aise ?
— Ça te gêne que je sois nu ?— Oh, non, pas du tout. En fait, mon problème c’est le regard des autres.— L’enfer, c’est les autres, disait Sartre, pontifiai-je. Le regard des autres te gêne.— Je me dis qu’ils me jugent, me critiquent. « Elle est trop vieille, elle est trop grosse, etc. ». Oui, je crains le regard des autres. Même le tien, même celui Lydie (sa sœur.) — Je vois... Alors à moi de te convaincre qu’aucun regard posé sur toi ne saurait être critique. Tu veux bien te déshabiller ?
Elle voulait bien. Elle se leva du canapé et défit son paréo.Un peu plus grande que sa sœur, elle avait les mêmes rondeurs, que ce soit au niveau de la poitrine ou des fesses. Elle avait de belles jambes, ce que je n’avais jamais pu constater, ses jupes étant beaucoup plus longues que celles de sa sœur, comme si le tissu qui manquait sur les cuisses de la cadette finissait sur les jambes de ma mère. Sa toison pubienne tirait sur le châtain clair, comme ses cheveux. Lydie était plus blonde, mais à mon avis, elle se faisait teindre. Je me promis de vérifier ce point fondamental lorsqu’elle arriverait.
— Tu es très bien roulée, lui dis-je. (J’employai à dessein un vocabulaire un peu familier pour dédramatiser mon jugement : je ne voulais pas qu’elle ait l’impression que je la draguais.) Tu peux être sûre que tout homme que tu croiseras pensera la même chose que moi.— J’ai des seins trop gros, protesta-t-elle. En plus, ils commencent à tomber !
Je focalisai mon attention sur sa poitrine. Ses mamelles étaient effectivement de belle taille et prenaient leur aise sur son torse. Mais elles étaient loin de s’avachir. Au centre de ses aréoles se dressaient des tétons d’un rose-rouge plus soutenu. Pour tout dire, j’adorais ce que je voyais.
— Si tes références sont les mensurations des mannequins anémiques qui arpentent les podiums, je confirme que tu as une poitrine plus développée. Mais crois-moi, les hommes préfèrent largement tes formes généreuses que ces planches à pain.— Parce que tu es un expert des préférences mâles, maintenant ? ironisa-t-elle.— Déjà, je sais ce que moi je pense. Tu es très belle et très sexy. Et puis tu sais, avec les copains, on ne parle pas que de foot...— Ça, je m’en doute.— Tu as de très beaux seins, et je les adore, dis-je en déposant un petit baiser sur son aréole.— Eh ! protesta-t-elle.— Désolé, je n’ai pas pu m’en empêcher. Ils sont si beaux. Je t’ai fait mal ? m’enquis-je, un rien hypocrite.— Bien sûr que non, tu ne m’as pas fait mal. Mais ça ne se fait pas. Je suis ta mère, pas ta petite copine !— Bon, si tu veux. Je prendrai sur moi. Laisse-moi examiner le reste de ton anatomie.
Disant cela, je me glissai derrière elle et la serrai dans mes bras. Mes mains étaient posées sur son ventre, à relativement bonne distance à la fois de ses seins et de sa toison. Puis je m’accroupis, mes mains glissant sur ses hanches. Mon visage était désormais à la hauteur de ses fesses. Sa taille s’évasait sur un fessier de toute beauté, généreux sans être trop volumineux, et visiblement bien ferme. Ce magnifique arrière-train était prolongé par des jambes plutôt longues et assez musclées. Rien à redire à ce que j’avais sous les yeux.
— Tu as un magnifique postérieur, lui dis-je en déposant un baiser furtif sur une fesse.
Cette fois, elle ne prit pas la peine de protester, mais elle remua son popotin comme pour chasser une mouche importune, ce qui eut comme effet de mettre à nouveau mon visage en contact avec son anatomie. Je ne me plaignis pas.
— Voyons le reste, dis-je en faisant pivoter son bassin. J’avais désormais son vagin à moins de cinq centimètres de mon nez. Sa toison châtain clair était taillée de façon à ne pas déborder d’un éventuel maillot. Elle dégageait complètement sa fente. Ses petites lèvres sortaient un peu de celle-ci. J’avais une envie folle d’y poser mes lèvres, mais je m’abstins. J’étais sûr que là, elle exploserait. Je murmurai en face de son pubis :— Tu es vraiment très sexy.
Les mains toujours posées sur ses hanches, je me dépliai, mon nez frôlant au passage la pointe d’un de ses seins. J’étais plus grand qu’elle. Je me penchais en avant et la pressais contre moi. Ses seins se plaquèrent sur mon torse. Je sentais mon sexe se redresser. Je murmurai au creux de son oreille :
— Tu es vraiment une femme magnifique. Tu n’as pas à t’inquiéter du regard des autres. La seule chose qu’ils penseront est qu’ils aimeraient bien te serrer dans leurs bras.— Que tu dis, beau parleur.
Je fis glisser une main sur ses reins, à la limite de sa raie, et la pressais un peu plus vers moi. Elle ne pouvait ignorer mon début d’érection. Elle posa ses mains sur mes épaules, m’écarta un peu et posa son regard sur ma verge semi-rigide.
— Je suis désolé, lui dis-je. Tu es trop sexy.
Elle aurait pu se fâcher, mais n’en fit rien. Elle conclut simplement :
— C’est mignon...
Je décidai de pousser mon avantage. Je conservai mes mains autour de sa taille et la poussai vers la porte.
— Viens, allons affronter le monde. Tu vas exciter la convoitise des hommes, et moi, leur jalousie.— Tu racontes n’importe quoi.
Mais elle me suivit. Je ne lâchais pas sa taille, et elle finit par poser à son tour son bras autour de la mienne. Elle ne semblait pas craindre le regard des autres. Nous croisâmes un homme d’une quarantaine d’années, qui nous suivit un instant des yeux. Je lui murmurai à l’oreille :
— Littéralement, ça s’appelle faire tourner les têtes.— Moi ? Pas du tout, protesta-t-elle. C’est toi qu’il dévisage.— Ben voyons... Un homosexuel, donc. Tu vas bientôt me faire croire que ta sœur a acheté un bungalow dans un camp où il n’y a que des homos. C’est fou ce que c’est crédible.
Je lui pinçais une fesse, et elle se tortilla sans lâcher ma taille. Je raffermis mon étreinte et nous reprîmes notre marche.Vint une femme d’à peu près le même âge. Peut-être la compagne de l’admirateur précédent. Elle n’était pas trop mal foutue, mais je n’allais pas dire ça à ma mère.
— Belle poitrine, bien que moins attirante que la tienne, mais surtout des fesses en gants de toilette. Rien à voir avec toi, ni pour le plaisir des yeux ni pour celui des mains.
Disant cela, je lui caressai une fesse. Elle me donna une tape sur la main et reprit ma taille. J’avais repéré un bar lors de ma visite à la supérette. Nous nous installâmes en terrasse. Je commandai deux mojitos. Elle protesta :
— Un mojito ? Tu veux me saouler ?— Détends-toi, nous sommes officiellement en vacances depuis aujourd’hui. Ça se fête.
La jeune fille qui avait pris ma commande nous apporta les boissons. Elle devait être un peu plus âgée que moi, brune, les cheveux longs et un beau cul.
— Rien à dire côté postérieur. Moins sexy que le tien, mais parfaitement acceptable. Non, ce qui cloche, c’est la poitrine. Je ne me risquerai pas à la caresser. C’est un coup à se planter des échardes dans les mains. Cette fille, c’est une planche !
Elle pouffa. Je me penchai à son oreille :
— Alors que toi, tu as une magnifique paire de seins sur laquelle il n’y aurait aucun risque de se faire mal.— Tu as l’intention de me décrire les défauts de toutes les femmes que nous croiserons ?— Non, pas toutes. Je t’épargnerai les sexagénaires et les mineures. Elles partent de trop loin. Seulement les 18 à 50 ans. Jusqu’à ce que tu sois bien convaincue que tu es la plus belle.
Nous sirotâmes ainsi notre cocktail tout en devisant sur ceux qui s’installaient au bar ou passaient devant. J’avais tourné ma chaise de façon à être à côté d’elle, pas en face. Elle se tenait de façon décontractée, les jambes légèrement écartées, si bien que j’apercevais sa fente. Je posai bientôt ma main sur sa cuisse, à la limite de son pubis, presque chastement. Elle ne tarda pas à en faire de même. Je lui glissai mes remarques sur la gent féminine dans le creux de l’oreille, ce qui me permettait de me pencher sur elle à chaque fois. Nous restâmes une heure ainsi, détendus et complices, puis elle sonna la retraite. Sur le chemin du retour, je passai à nouveau mon bras autour de sa taille, et elle en fit de même. Ce n’était pas le plus pratique pour marcher. Cette étreinte et les tongues nous donnaient une démarche chaloupée qui mettait régulièrement en contact nos deux corps. J’adorai ça. J’aimai la toucher.
Nous fîmes un sort à la salade sur la terrasse, puis nous rentrâmes avant que les moustiques n’arrivent. J’ignore s’il y en avait cette année, mais les moustiquaires aux fenêtres témoignaient que cette éventualité n’était pas à exclure. Il n’y avait pas de télé, mais ma mère avait apporté plusieurs livres et un recueil de mots croisés. Moi, j’avais embarqué ma liseuse. Nous décidâmes de lire au lit. Nous nous allongeâmes sur le drap. Ma mère replia une jambe, dégageant ainsi largement la vue sur sa vulve. Je posai une main sur son bassin, sans trop m’approcher de son intimité, et essayais de me concentrer sur ma lecture. Une heure passa, au cours de laquelle nous n’échangeâmes que peu de paroles. Je promenai ma main sur sa peau, en évitant d’être trop intrusif, si bien qu’à aucun moment, elle n’intervint. Je mourrai d’envie d’empoigner à pleine main un de ses seins ou de poser mes doigts sur ses petites lèvres, mais je me contentais de ces presque chastes attouchements.
Elle finit par bredouiller :
— Je crois que je vais m’endormir.
J’éteignis alors les deux lampes de chevet. Elle était sur le côté, me tournant quasiment le dos. Je posai à nouveau ma main sur son ventre, lui déposai un baiser dans le cou et lui murmurai :
— Bonne nuit, M’man.— Bonne nuit mon chéri, répondit-elle en remontant ma main juste sous ses seins, et en se serrant un peu plus vers moi. Son fessier était désormais en contact étroit avec mon sexe qui n’avait pu s’empêcher de réagir. Je mis un temps certain avant de plonger à mon tour dans les bras de Morphée, savourant cet instant précieux où je tenais le corps nu de ma mère dans mes bras.
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