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Vacances de neige

Chapitre 9

Orgie / Partouze
VENDREDI

Les garçons sautent du lit. Pas le temps de songer à la bagatelle avec tout le travail qui les attend. Les filles grognent les cherchent en tâtonnant le lit et, comprenant qu’ils sont partis se blottissent l’une contre l’autre. — On vous laisse, sourit Marc. N’en profitez pas pour vous gnougnouter. — Nous quoi ? interroge Line à moitié endormie. — T’occupe ! Laisse-les dire, ils sont jaloux. — Oh ! Vous pouvez faire ce que vous voulez, précise Luc, mais venez pas vous plaindre si tout à l’heure sur la piste vos résultats sont médiocres.
— Embrasse-moi, réclame Marjorie une fois la porte refermée. — Mais… T’as pas entendu ? — S’il te plait…Line ne résiste pas au regard suppliant. Leurs lèvres se joignent. « Dire qu’avant je refusais les caresses de Marjorie », pense la jeune fille. La première elle introduit l’index entre les cuisses qui s’ouvrent…
— Mon dieu ! s’exclame Line. On dirait que tout le monde est levé ! Elle repousse Marjorie endormie, tête-bêche au-dessus d’elle. Après une toilette de chat elles retrouvent la troupe au réfectoire. Marjorie bâille, le bol en équilibre entre ses mains. Elle croise le regard moqueur de Marc et rougit. Vexée, elle s’empresse de finir de déjeuner et entraîne sa cousine.
Vexée, elle le sera encore plus à l’issue de la petite compétition qui voit les adolescents de sa classe faire mieux qu’elle à l’exception d’un, le moins sportif de leur catégorie. Line, elle, s’en tire avec les honneurs puisqu’elle se classe troisième de son groupe, mais n’est pas satisfaite car elle se jugeait plus forte que celui et celle qui l’ont devancée. Heureusement la ballade dans la neige profonde dissipe leur mauvaise humeur.
La troupe réintègre le chalet en fin de journée. L’air vif et le soleil ont eu raison de l’enthousiasme du départ. Tout le monde est fatigué et Bernard accorde une bonne heure de repos dans les dortoirs jusqu’au repas du soir au lieu des animations habituelles. La soirée se termine par la lecture du palmarès et la remise des médailles. Avant de donner le signal du couvre feu, Bernard passe de table en table, félicite les lauréats et console les autres. A la fin, il s’approche de Line et Marjorie. — Je suis désolé pour vous que vous n’ayez pas obtenus de meilleurs résultats, peut-être ne vous êtes vous pas suffisamment reposées la nuit pendant la semaine, n’est-ce pas ? Cela ne vous a pas permis de profiter au mieux des conseils de vos moniteurs. Les filles baissent la tête sous le reproche. Elles doivent reconnaître dans leur for intérieur qu’elles étaient encore à moitié endormies les matins sur les pistes et que l’après-midi, elles auraient préféré une bonne sieste au lieu de remonter sur les skis. Puis Line réfléchit que Bernard n’est pas étranger à leur fatigue. Elle se rebiffe et le défie du regard. — Vous êtes bien placé pour le savoir, non ? — Je ne le nie pas, aussi pour me faire pardonner, je vous invite toutes les deux à la petite fête organisée par l’équipe dirigeante. Par contre par discrétion vis à vis des autres pensionnaires, cette participation doit rester secrète. Je vous propose de rejoindre votre chambre comme les autres soirs et d’y attendre que je vienne vous chercher une fois la petite classe endormie. Êtes-vous d’accord ? Puis-je compter sur vous ?
— Oui Bernard, nous serons discrètes. — Bon, ben à tout à l’heure… Les enfants, crie-t-il pour couvrir le brouhaha, les enfants ! Nous voici arrivés au terme du séjour. J’espère que vous avez passé une bonne semaine et que vos parents seront satisfaits de vos mines ensoleillées. Demain rassemblement à huit heures pour le départ. Allez zou ! Au lit ! Tout le monde se lève en une joyeuse bousculade. Le directeur remarque avec un sourire que quelques garçons se concertent en lorgnant sur les filles. Il va falloir faire attention, devine-t-il. Il retient Luc et Marc qui voulaient suivre les cousines. — Venez m’aider… oui, n’ayez crainte, vous les reverrez.
Dans leur chambre, Line et Marjorie attendent sagement. Chacune s’interroge sans oser se confier à l’autre. Que leur réserve cette soirée ? Auront-elles le temps de s’amuser avec leur moniteur attitré comme la veille ? Elles entendent dans le couloir des pas des passages, des murmures étouffés. Que fait Bernard ? Pourquoi ne vient-il pas les chercher ? Enfin la porte s’ouvre. Le directeur leur fait signe de le rejoindre en silence. Elles le suivent à pas feutrés. Il les fait entrer dans son bureau. Elles ne reconnaissent pas les lieux. Elles n’avaient pas le souvenir d’une si grande pièce. La table de travail du directeur est poussée dans un coin. Trois canapés sont disposés autour d’un tapis. Le plafonnier est éteint et des lampes dans les coins diffusent une lumière tamisée qui accroît les ombres. Lucille toute mignonne en robe, est installée sur un canapé entre Louis, le cuisinier et Jean l’homme à tout faire. Luc et Marc se lèvent à leur approche et les conduisent chacune sur un canapé libre.
Bernard remplit des verres avec un liquide brun clair et les distribue à la ronde. Line manque de s’étouffer en avalant une trop grosse gorgée. L’alcool du punch la fait presque pleurer. — C’est pas à votre goût mademoiselle ? interroge Louis. — Oh si !… Rheu !… Rheu !… J’ai… J’ai été surprise. La quinte de toux passée, elle sirote le breuvage comme une petite chatte. Lucille se lève et fait passer des tranches de cake. Bernard rejoint Marjorie et Marc sur leur canapé. La conversation va bon train sur des sujets anodins. Les filles se décontractent. L’alcool rougit les pommettes et le niveau sonore monte insensiblement.
Au bout d’un moment les échanges entre canapés diminuent. Line se rapproche de Luc et Marjorie de Marc. Elles souhaitent rejoindre leur chambre en compagnie de leur cavalier. Lucille, elle, laisse ses deux voisins poser les mains sur ses cuisses tout en dialoguant avec Bernard. — J’ai l’impression que tout le monde s’endort. Allons, il n’est pas tard ! J’ai une idée pour agrémenter la soirée…Tout le monde reste suspendu à ses paroles. Il fait le tour de la pièce, satisfait d’avoir attiré l’attention avant de déclarer : — Je suggère que ces demoiselles nous régalent par un petit strip-tease. Exclamations outrées de Line et Marjorie, couvertes par les applaudissements des hommes. Lucille s’approche de Line la plus réticente et s’agenouille à ses pieds. — Allez, va ! Ce n’est pas terrible ce qu’on te demande, juste danser, je te montrerai, ensuite vous pourrez retourner dans vos chambres. La jeune fille hésite. S’il n’y avait pas le cuisinier et son aide elle accepterait avec plaisir, mais face à ces inconnus… Lucille qui la sent faiblir, se redresse et entraîne Marjorie au centre du tapis. — Montre à ta cousine que tu es plus courageuse qu’elle. La fille rougit d’être le point de mire de l’assemblée mais n’a pas le courage de se dérober. Luc pousse Line que Lucille tire par le bras. Bernard allume la chaîne stéréo préparée derrière sa table de travail et vient s’asseoir à coté de Marc. Les trois filles se mettent à danser. Peu à peu emportées par le rythme, les cousines se décontractent et laissent Lucille soulever leur t-shirt. En soutien-gorge, elles tournent autour de la monitrice et dégrafent la robe dans le dos et la font passer pardessus la tête. Luc se précipite pour la recevoir. Il ramasse les t-shirts et pose le tout sur la table de travail. C’est au tour des pantalons de ces demoiselles de rejoindre la robe. Les trois filles dansent un moment en petite tenue puis, Lucille tourne le dos à ses compagnes et leur fait comprendre d’ôter son soutien-gorge. Line défait la fermeture et Marjorie brandit le dessous comme un trophée qu’elle lance sur les genoux de Marc. La jeune femme fait mine de cacher ses seins avec les mains avant de caresser les épaules de ses voisines et faire glisser les bretelles sur leur bras. Quelques mesures plus tard, elle dépose sur les genoux de Marc les deux autres soutiens-gorges.
Pendant la danse, Bernard s’est plusieurs fois levé et a écouté à la porte avant de se rasseoir. Il rassure d’un sourire les participants. — Continuez, vous êtes adorables, n’est-ce pas messieurs ? Personne n’a le front de le contredire. Effectivement, les trois poitrines dénudées attirent les regards des mâles présents. Luc trouve que les seins de Line sont les plus jolis, plus gros que ceux de Marjorie mais moins volumineux que ceux de Lucille qui balancent au rythme de la danse. La monitrice se tient entre les deux filles. Elle leur prend les mains pour les porter à sa taille. Les cousines mettent plusieurs secondes à comprendre qu’on leur demande d’ôter la mini culotte dernier rempart de la vertu de leur compagne. Line se lance. A genoux elle fait descendre le sous-vêtement sur les jambes, les chevilles. Lucille soulève un pied et l’autre, et Line peut lancer à Luc le bout de tissu que le garçon s’empresse de poser sur la table à coté des autres affaires.
Bernard interrompt Lucille qui voulait rendre la pareille à ses voisines. — Un instant s’il vous plait. Avant de continuer, je crois nécessaire d’effectuer une visite au dortoir des filles. Pendant la danse j’ai cru entendre des pas dans le couloir et je ne serais pas étonné que des garnements passent outre mon interdiction le dernier soir. — Tu crois qu’ils oseraient ? s’étonne Marc. Tu les as pourtant menacés. — De quoi ? De les renvoyer ! La punition est sans effet maintenant puisqu’ils partent demain. Luc, Marc et Lucille, filez au dortoir et remettez de l’ordre… Pas la peine, enfile juste ta robe, dit-il à jeune femme qui prenait son slip… Revenez vite, on vous attend. Marjorie et Line ne savent où se mettre quand les trois jeunes gens les quittent. — Venez ici vous deux. Elles s’avancent tremblantes. — J’ai vanté vos capacités à Louis et Jean qui sont impatients que vous leur fassiez une démonstration… Revenez ! ordonne-t-il devant le mouvement de recul… Plus vite que ça ! Il empoigne Marjorie par le bras et la force à s’agenouiller devant le cuisinier. — Occupe-toi de Louis !… Ne m’oblige pas à me mettre en colère. — Je… je veux pas, pleurniche-t-elle. — Mais si mais si ! — Je… Je le di… dirai à ma mè… mè… mère. — Chiche ! Je lui raconterai comment je t’ai surprise dans le lit des moniteurs. On verra ce qu’elle en pensera… Ah ! Je vois qu’on devient raisonnable, sourit-il quand Marjorie, mâtée descend la fermeture de la braguette, tu adoreras sa queue… Viens ici toi, ordonne-t-il à Line. Suce-moi comme tu as appris à le faire. La jeune fille s’agenouille sans un mot et prend la queue raide qu’il lui tend…
Les trois moniteurs écoutent à la porte du dortoir des filles. Luc glisse la main sous la robe de Lucille et remonte le long des fesses. — Ça suffit, grommelle la jeune femme. Il insiste, une tape sur le bras le dissuade. — Bon, ça va j’ai compris. — Chut, écoutez. Ils tendent l’oreille. Des gloussements étouffés leurs parviennent. Bernard n’avait pas tort, les filles ont de la visite ! — Entrons sans faire de bruit. — Attends, j’éteins dans le couloir. Le trio se glisse dans la vaste chambre. Dans la pénombre ils distinguent vaguement les ondulations des couvertures. Luc allume le plafonnier. — Hiii ! Un garçon tente de s’échapper mais il s’empêtre dans son pyjama descendu sur les chevilles et s’étale sur le sol. Trois autres garnements essayent sans succès de se cacher sous les couvertures et sont délogés par les moniteurs. Ceux-ci sourient à la vue des fesses nues des filles et des verges qui s’abaissent rapidement. — C’est du propre ! Vous n’avez pas honte ? Les garçons remontent leur pantalon de pyjama tandis que les filles se recroquevillent sous les couvertures. — Vous allez entendre Bernard ! Il ne sera pas content quand nous lui raconterons, menace Lucille qui s’attire un regard étonné de la part des deux moniteurs. — S’il vous plaît… ne dites rien… on le fera plus… On retourne dans notre dortoir, supplient les gamins. Les filles ne disent rien. — Vous avez de la chance que ce soit nous qui fassions la ronde de surveillance ce soir…Lucille fait mine de quémander l’assentiment de Luc et Marc et poursuit : — Peut-être qu’on pourrait pas lui dire, qu’en penses-tu Luc ? — Je suis d’accord, mais à condition que ces quatre là rejoignent illico leur dortoir. Allez zou ! Qu’on vous voit plus. Pour plus de précaution on vous accompagne pour contrôler que vous êtes bien au lit. Les garnements filent sans demander leur reste. Luc et Marc abandonnent Lucille qui sermonne les filles et s’assure que les draps ne sont pas maculés de taches suspectes.
Lucille et les deux moniteurs se retrouvent à la porte du bureau de Bernard et s’immobilisent devant le spectacle qui s’offre à eux : Marjorie à quatre pattes entre Louis qu’elle gratifie d’une sucette et Jean qui présente une verge droite entre ses fesses, et Line à genoux entre les cuisses de Bernard, la tête allant et venant sur la hampe. — Fermez la porte, invite le directeur… Alors ? Pas de dégâts ? — Non, le rassure Lucille, rien d’irrémédiable. Ils n’avaient pas dépassé le stade du touche-pipi. — C’est ce que je pensais, minutage parfait. Ils ont eu le loisir de s’amuser un peu et d’enrichir leurs souvenirs de vacances et votre intervention a eu lieu à temps pour que nous puissions les rendre la tête haute à leurs parents. Bon, assez discuté de ces garnements. Lucille ma jolie remets-toi s’il te plait dans la tenue qui était la tienne avant cet intermède… Et toi, ordonne-t-il à Line qui avait interrompu sa sucette, continue tes bons offices… Oui… Aah !… Ouiii !
Luc ôte la robe de Lucille. Marc enlace la jeune femme et l’embrasse tout en patouillant son corps de ses mains avides. Il la pousse vers le canapé libre où ils s’affalent. Luc un peu vexé caresse le dos de Line puis ôte la culotte que la jeune fille avait gardée jusque là. Il caresse l’entre jambe et enfonce un bout de doigt dans le petit trou. — Non… pas là… s’il te plait, supplie-t-elle. — Hé ! Ne t’arrête pas ! ordonne Bernard qui remet le gland dans la bouche. Luc s’empresse de baisser son jeans et son slip. Pour faire plaisir à la jeune fille, il ouvre les lèvres intimes des doigts et présente son sexe à l’orifice du vagin. — Mmmh ! gémit-elle la bouche pleine quand le gland pénètre sans effort. Marjorie est ballottée entre ses deux cavaliers. Louis accompagne la sucette en la maintenant par les cheveux pendant que Jean à genoux derrière ses fesses la sodomise à grands coups de rein. Les respirations s’accélèrent, les gémissements couvrent les bruits incongrus de sucette et clapotis dans des orifices remplis de mouille.
— Aaarrggh ! Le premier Louis éjacule dans la bouche de Marjorie qui, surprise ne peut avaler qu’une partie du sperme dont le surplus coule de ses lèvres. Jean ahane comme un forcené et s’écroule sur le dos de la jeune fille. Marc gémit et à son tour déverse sa semence dans le vagin de Lucille. Seuls résistent Bernard et Luc qui sous les regards envieux des trois hommes, s’efforcent de retarder la montée de la jouissance. Le directeur n’en peut plus, Line s’en aperçoit et active sa sucette. Elle avale le gland et titille le méat du bout de la langue. L’effet est immédiat. — Aaarrggh ! Bernard prend la jeune fille par les cheveux et l’oblige à pomper le sperme qui se déverse contre le palais. Elle déglutit en plusieurs fois et ressort une verge ramollie mais propre de sa bouche. Satisfaite, elle s’abandonne à son plaisir d’autant que Luc caresse sous son ventre le clitoris. — Aaah !… Ouiii !… Ooh !… Ouiii ! Dopé par ces petits cris, le jeune homme amplifie ses vas et viens. Encouragé par Marc et les autres il accélère. Un dernier gémissement qui s’apparente plus à un rugissement et il s’effondre épuisé. Lucille le pousse sur le coté et entraîne Line sur le canapé où Marjorie les rejoint. A deux elles cajolent la jeune fille qui peine à retrouver une respiration normale.
A suivre...
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