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Vacances de neige

Chapitre 10

Orgie / Partouze
VENDREDI (SUITE)

Bernard très à l’aise, quitte sa chemise. — Les hommes, je pense que par égards envers ces dames, nous devrions faire comme elles et nous déshabiller. Luc et Marc se regardent, sourient et se débarrassent de leurs vêtements imités par Jean. Louis hésite. Un regard impératif de Bernard le décide. Il exhibe une toison drue, presque une fourrure qui couvre la poitrine et le ventre sans discontinuité avec les poils pubiens. Le directeur remplit les verres. Tous ont compris que la fête n’est pas terminée et s’efforcent de profiter des quelques instants de répits avant la reprise des hostilités.
Lucille qui perçoit la gêne du cuisinier honteux de sa pilosité l’attrape par le bras. — Viens ici mon gros nounours, viens me montrer que tu sais être aussi vaillant que ces deux godelureaux. Le cuisinier flatté d’être choisi par cette jolie fille s’empresse de la suivre sur son canapé. Elle s’installe les cuisses écartées, ouvrant une chatte luisante. — Allez mon gros, défonce-moi ! Il astique sa verge de quelques coups de poignet et approche le gland de l’orifice dans lequel il s’enfonce d’un coup de rein. — Aah ! Oui ! Baise-moi, baise-moi fort ! Encouragé par l’exemple, Jean pose son sexe sur la paume de Line. La jeune fille qui rêvait en contemplant Lucille, est surprise. Elle va la rejeter quand elle rencontre les yeux implorants de l’aide cuisinier. — S’il vous plaît…Elle regarde ce qu’elle tient en main. C’est une queue longue et fine, facile à sucer qui ne distendra pas sa bouche. Elle décalotte le gland et y pose les lèvres. Non, ça ne va pas, elle est mal placée. Elle grimpe à genoux sur le canapé et attire Jean sur le coté. Ainsi elle pourra s’appuyer sur les accoudoirs, juste à la bonne hauteur. Elle reprend la verge et la lèche sur toute la longueur. Marc ne résiste pas et grimpe derrière elle sur le canapé. Les fesses rebondies qui remuent devant ses yeux sont une trop forte invitation. Malgré les signes de dénégation de Line qui ne veut pas lâcher son trophée, il tartine le cul de cyprine et enfonce le dard dans le petit trou. — Aah ! Non !… Pas là ! — Trop tard ma belle ! Epinglée la jeune fille s’efforce d’oublier la douleur dans son postérieur en s’activant sur la queue qui encombre sa bouche.
Bernard fait sucer quelques minutes sa verge à Marjorie. Dès que la lance est parfaitement rigide, il place la jeune fille dans les bras de Luc et leur cède la place sur le canapé. Il maintient la raideur par des caresses le temps que le garçon prenne position entre les cuisses de Marjorie. Il s’approche des fesses nerveuses, les écarte et tourne autour de l’anus d’un bout de doigt enduit de salive. — Que… qu’est-ce que tu fais ? Luc tente de se dégager. Bernard le coince contre la jeune fille. — Ne bouge pas, tu vas faire mal à la demoiselle … Là… Tu vas voir… Tu en redemanderas… han !
— Ouille ! — Décontracte-toi… Oui… Reprends ton travail… Oui, baise Marjorie ! Aaah ! Luc sent le désir revenir. Par chance il était enfoncé jusqu’à la garde dans le vagin quand Bernard s’est introduit. La douleur dans son cul diminue. La double sollicitation sur la verge et dans son cul, le fait trembler. Il ne pensait pas que cela serait si bon. Il commence à aller et venir. — Oui, l’encourage Bernard, tu as compris…Fin du deuxième round. Lucille entraîne les filles dans le cabinet de toilette attenant au bureau. Luc n’en revient pas de ce qui lui est arrivé, se faire enculer tout en baisant Marjorie ! Et il a aimé ça ! Il serait prêt à le refaire sur-le-champ… Euh… Pas tout de suite admet-il en lorgnant sur sa virilité paresseuse.
Bernard repasse les tranches de cakes sur lesquelles les hommes se jettent. — Eh ! Il faut en laisser à ces dames ! — Pas de problème, je vais chercher un autre cake, déclare Louis en s’extrayant péniblement de son canapé. J’avais prévu. — T’y vas comme ça ? A poil ? s’étonne Jean. — Bah ! Il n’y a personne dans les couloirs à cette heure. Quelques instants plus tard, le cuisinier revient portant une assiette pleine de tranches découpées. Les filles qui sortent au même moment du cabinet de toilette s’empressent de se restaurer. Bernard remplit les verres.
Au bout de quelques minutes, il s’essuie les lèvres du revers de la main. — Marjorie ma toute belle, je n’ai pas encore eu le plaisir de caresser ton cul ce soir. Que dirais-tu de pallier ce manque ? La jeune fille fait la moue. Elle a déjà été sodomisée par Jean. Remettre le couvert avec Bernard et sa grosse queue ne la tente pas. — Je… je suis fatiguée…— Allons, allons ! l’encourage Lucille. Une grande fille comme toi ? Il n’est pas question que tu nous laisses tomber, n’est-ce pas Line ? L’interpellée fait la grimace. Elle aussi aimerait se coucher. — Tst ! Tst ! Tst ! C’est mal récompenser Bernard de vous avoir invité. Et que vont penser de vous Louis et Jean si vous les snobez ? Allez, allez ! Un peu de nerf ! La monitrice, pousse Marjorie dans les bras du directeur et Line dans ceux de Louis. Elle-même attire Luc à ses cotés. — A ton tour ! Montre-moi que tu as des ressources ! Jean regarde autour de lui, hésite puis se dirige du coté de Louis et Line.
Marc reste seul au milieu de la pièce. — Vas aider Luc, propose Bernard. Lucille saura vous satisfaire tous les deux. — Non ! s’insurge celle-ci. Pas ensemble. Qu’il attende son tour ! — Encule Luc alors !… Oui, encule-le pendant qu’il baise, insiste-t-il devant le regard d’incompréhension. Bernard place Marjorie sur le canapé, le cul proéminent. Il caresse la raie et le pourtour de l’anus. La jeune fille serre les lèvres sur le gémissement de plaisir. — Là ! Bien… Tu es une bonne fille… Je vais te faire jouir…Il interpelle Marc toujours au milieu du salon. — Marc ! Qu’est-ce que t’attends ? Le déluge ? Je te répète qu’il aime çà ! Ne me dis pas que c’est la première fois que tu trempes ta quéquette dans un trou du cul ! Non, mais la première fois avec un homme ! Il s’approche de Luc couché sur Lucille. Le garçon a entendu la conversation et attend plein d’espoir que son copain se décide. — Tu… tu veux ? balbutie Marc. Luc grogne et enfouie la figure dans la poitrine de Lucille en tendant les fesses en arrière. Il soupire de satisfaction lorsque des mains écartent les lobes. Dopé par ces caresses, il se redresse un peu, empoigne sa verge et la promène sur le sexe de la jeune femme. — Ouii ! gémit celle-ci. Elle attire Luc qui s’enfonce dans un vagin déjà bien rempli. Marc n’a plus de scrupules. Il salive sa paume pour lubrifier sa queue et la présente face au trou convoité. Il attend l’instant où Luc commence à reculer pour appuyer. — Aaah !…
— Bon, marmonne Bernard, ces trois là sont casés, je vais pouvoir m’occuper de ma petite partenaire... Tiens ! Suce-moi, ordonne-t-il à Marjorie, ça rentrera mieux. La jeune fille tourne la tête et embouche le dard qu’on lui présente. Bernard soupire de contentement. Cette fille à une bouche délicieuse ! Un instant l’idée de poursuivre la fellation, le tente. Non, elle a aussi un cul adorable dont il veut retrouver la douceur. Il récupère sa verge et l’enfonce entre les fesses que la jeune fille a tendu à l’extrême. — Aaah ! Il donne trois coups de rein avant de s’arrêter brusquement. — Ah non ! Pas ça !… Jean ! Non ! L’homme à tout faire du chalet a approché sa longue queue des fesses de Line qui chevauche Louis étendu sur le dos sur le canapé. — Elle est trop jeune pour une double pénétration… quoique…Le faible diamètre de l’engin en question devrait faciliter les choses, pense-t-il. — Bon, d’accord, admet-il, mais attention ! Si tu lui fais mal, tu peux faire tes valises et tu n’es pas prêt de trouver un job dans les environs. — Je vous promets de faire attention patron, affirme Jean tout heureux de la permission. Il prépare sa victime en chatouillant l’anus puis en introduisant une phalange. Line grogne de plaisir tout en s’agitant sur la queue de Louis. Tout à coup Jean la pousse en avant. Elle s’écrase contre la poitrine velue du cuisinier. — Oh ! — Line ma chérie, avertie Bernard, laisse-toi faire, décontracte-toi. Il ne te veut que du bien, mais si tu as mal, s’il force trop, n’hésite pas à prévenir, il s’arrêtera. Tu as bien compris ? — Ou… oui. Sur leur canapé, les trois moniteurs ont cessés tous mouvements et contemplent fascinés la longue verge s’approcher du petit trou brun et commencer à pénétrer. — Ça va mon chou ? s’inquiète Bernard. — Ou… oui… Ooh ! — As-tu mal ? — No… non… Aaah ! soupire-t-elle quand elle sent le pubis de Jean buter contre ses fesses. — Louis, et Jean, faites attention, allez-y en douceur. — Ou… oui pa… patron. Les deux hommes coordonnent leurs mouvements. Line supporte avec courage le tiraillement qui distend son ventre. Jamais elle n’aurait imaginer ça : deux queues qui la pénètrent ! Dire qu’elle était vierge la semaine dernière ! Bernard rassuré pour la suite recommencer de limer Marjorie impatiente de jouir. Marc se retire de quelques centimètres juste pour permettre à Luc de reculer, avant de se renfoncer et pousser le garçon contre Lucille. Il envie la jouissance manifeste de son copain, heureux d’être pris en sandwich. « Faudra que j’essaye » se promet-il. Chacun s’enferme dans sa bulle de plaisir, indifférent aux gémissements et exclamations des autres...
— Lucille, occupe-toi de Line s’il te plait, ordonne Bernard quand calmés après l’explosion finale, ils peuvent à nouveau parler. La fatigue se fait sentir. Ils gisent tous affalés sur les canapés. Lucille rassure Bernard d’un sourire en remorquant à sa suite Line un peu vaseuse hors du cabinet de toilette. — Lucille ma jolie, j’espère que... — Sois sans crainte, l’interrompt-elle, j’ai gardé ma chatte pleine pour toi. — Je te remercie. Allons terminer la nuit dans ma chambre ma douce. Vous pouvez rester ici jusqu’au matin, vous autres. Je viendrai réveiller Louis et Jean à six heures qu’ils aient le temps de préparer un bon petit déjeuner. — Bien patron.
Une fois le directeur et la monitrice partis, Line s’assied à coté de Louis. Jean les rejoint. — Tu nous en veux pas, dis, s’inquiète le cuisinier. — Non, admet-elle en déposant un baiser sur la joue rugueuse. Vous avez été tous les deux très gentils. — Tu me rassures. Tu sais… C’est la première fois. — Moi aussi, renchérit Jean. Ça a été une expérience inoubliable. — Oui, inoubliable renchérit Louis. Ces compliments font plaisir à la jeune fille qui serre les deux hommes contre elle. Sur un canapé voisin, Luc et Marc entourent Marjorie. Ils la pelotent lui arrachant des gloussements de satisfaction. Prise au jeu elle empoigne les verges. — Oh ! s’exclame-t-elle surprise de les sentir gonfler et raidir. Vous en voulez encore ? Pour toute réponse Luc l’embrasse sur la bouche et se prépare à se glisser entre ses cuisses. — Ah non ! C’est mon tour ! rouspète Marc qui le tire en arrière. Moi aussi je veux essayer. — Essayer quoi ?… Ah ! — Ben quoi ? Pourquoi il n’y en aurait que pour toi ? — Calme-toi, je veux bien. Laisse-moi juste tremper ma quéquette dans le con de Marjorie pour l’enduire. — Je t’en prie. La jeune fille a écouté sans la comprendre la conversation. Elle attire Luc contre elle et est toute déçue de le voir se dégager après trois coups de rein. — Oh ! — Je laisse la place à Marc, explique-t-il. Celui-ci s’enfonce dans l’orifice humide. — Aaah !… Pourquoi tu continues pas ? s’étonne-t-elle devant l’immobilisme du garçon. — Une minute ma chère, la renseigne Luc qui s’avance. Marjorie ma chérie, peux-tu lui écarter les fesses ? — Oh ! Tu veux ?… Pendant que… — Oui, je veux l’enculer pendant qu’il te baise. S’il te plait, aide-moi. Amusée, elle tire sur les lobes et ressent le frémissement qui parcourt le garçon lorsque la verge pénètre. — Oh que c’est drôle ! Les deux moniteurs coordonnent leurs mouvements comme ils l’avaient fait tout à l’heure avec Lucille.
Sur le canapé voisin, Line assiste à l’étreinte tout en se laissant caresser par les deux hommes. Ses mains s’aventurent sur leurs cuisses, remontent vers l’aine à la rencontre des sexes. Celui du cuisinier reste mou, par contre Jean retrouve la forme. Les prouesses des deux moniteurs lui donnent des idées. — Tu sais, murmure-t-il à la jeune fille, j’aimerais te faire l’amour. — Encore ? Mais vous m’avez…— Je t’ai juste enculée, je voudrais te baiser maintenant. — Oh non ! Pas tous les deux à la fois ! Louis sourit. — T’as rien à craindre de moi, tu sais, je… je suis fatigué. — Ce n’est rien. Soulagée, elle le console d’un baiser sur la joue. — Mais tu peux continuer à me caresser, j’aime bien, ajoute-t-il quand elle lâche la queue flasque. Elle reprend la limace souple qu’elle triture entre ses doigts. — Merci, murmure-t-il.— Je peux ? s’inquiète Jean. Sans lâcher le sexe de Louis, elle se penche en arrière et écarte les genoux. L’homme à tout faire prend place entre les cuisses. Il promène le gland sur les lèvres du sexe, sur le clitoris, avant de s’enfoncer dans le vagin impatient de le recevoir…
Aucun des participants n’a le courage de se lever pour éteindre les lumières une fois le calme revenu, et ils s’endorment tous dans les bras les uns des autres…
A suivre
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