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Vacances de Noël avec Malya

Chapitre 1

Inceste
Chapitre 1 :Avant de commencer l’histoire, je me présente : je m’appelle Antoine et j’ai 19 ans. Je suis assez grand (1m85 environ) et plutôt athlétique même si je ne pratique plus de sport depuis quelques mois. J’ai des cheveux bruns courts et des yeux verts. Maintenant que vous avez en tête mon image, nous pouvons passer au récit. Cette année, lors des vacances de Noël, mon oncle et ma tante ont décidé de partir en vacances rien qu’à deux durant deux semaines. Leur travail étant très difficile, ces vacances en amoureux sont pour eux indispensables. Ils ont donc contacté mes parents pour qu’ils s’occupent de leur fille, Malya, âgée de 18 ans à peine. Bien entendu, mes parents acceptent leur requête. De mon coté, je ne suis ni ravi ni déçu de ce changement de plan pour mes vacances. Malya et moi avons toujours été en bons termes même si elle et ses parents habitent à plus d’une centaine de kilomètres de chez nous. Quand nous étions plus jeunes, Malya et moi étions assez proches mais avec le temps et la distance, nous nous sommes peu à peu perdus de vue. Ces vacances sont donc une occasion de reprendre contact et de redevenir amis comme autrefois. C’est donc au début du mois de décembre que Malya débarque accompagnée de ses parents. Ces derniers ne restent pas très longtemps, juste le temps d’un café, avant de repartir pour leurs vacances tant attendues.
Je fais donc la connaissance de ma cousine qui, il faut le dire, a beaucoup changé depuis notre dernière rencontre il y a deux ans. Elle a grandi et s’est fort embellie. Malya est mince, trop peut être. Elle a des cheveux bruns longs qui lui arrivent à hauteur des épaules. Son physique s’est bien développé aussi car elle arbore désormais une jolie poitrine. Je ne saurais en dire la taille mais je dirais que ses seins tiendraient parfaitement dans mes mains. Je ne devrais pas penser cela de ma cousine… Son postérieur est mis en valeur par un mini short presque indécent. Elle porte un décolleté jaune très provocateur qui ferais chavirer le cœur de tous les hommes peu importe leur âge. Il n’y a pas à dire, ma cousine est de toute beauté, une véritable bombe.
— Salut Antoine, me dit-elle avec un sourire à couper le souffle. Comment vas-tu ?— Très bien et toi ?— Ça va super ! Je suis toute excitée d’être ici !
Je me fais sans doute des idées mais son sourire semble s’être élargit quand elle m’a répondu. Je l’embrasse sur la joue pour lui souhaiter la bienvenue et prends sa valise pour la monter à l’étage. Je lui demande de me suivre pour que je lui indique où elle va dormir durant ces deux semaines.
— Comme nous n’avons pas de chambre d’amis, tu vas occuper la mienne, lui dis-je. Tu verras, le lit est très grand donc tu t’y plairas.— Et toi, m’interroge Malya, où vas-tu dormir alors ?— Dans le salon, sur le sofa.— Je ne suis pas d’accord. Si le lit de ta chambre est si grand, nous n’aurons qu’à le partager. Je ne vais pas t’obliger à dormir dans le salon tout de même !— Mais ça ne me dérange pas, lui répondis-je en riant. Ce n’est pas la première fois que je dormirai dessus, quand je rentre d’une soirée un peu arrosée je n’ai pas trop souvent le courage de monter les escaliers alors je dors dans le salon.— J’insiste quand même, me dit-elle. Soit on partage ton lit, soit c’est moi qui dort sur le sofa !
Je la regarde droit dans les yeux et je comprends que je ne la ferai pas changer d’avis. Dans ma famille, ça a toujours été comme ça, les femmes sont têtues et il est vain de vouloir s’opposer à leur volonté. J’acquiesce donc d’un signe de la tête et l’emmène dans ma chambre. Elle est ravie d’avoir obtenu ce qu’elle voulait. Je pose donc sa valise dans un coin de la chambre et lui dis qu’elle peut poser ses affaires dans la garde robe. J’y ai fait de la place en vue de son arrivée.
— T’es vraiment un amour, merci !
Un peu gêné, je ne sais pas trop quoi répondre alors je ne dis rien et quitte la chambre afin de la laisser s’installer. Durant toute l’après-midi, Malya et moi avons discuté. J’apprends qu’elle va poursuivre ses études et qu’elle cherche à prendre son indépendance. Elle a donc trouvé un travail en tant que serveuse dans une petite brasserie et cherche actuellement un appartement dans la région afin d’être plus proche de l’université et ainsi éviter de devoir faire des dizaines de kilomètres chaque jour pour aller en cours. Je trouve ça marrant car je suis moi même à la recherche d’un appartement mais pour des raisons différentes. En effet, je suis assez proche de l’université depuis chez moi mais cela fait déjà quelques mois que j’aspire à une certaine indépendance vis-à-vis de mes parents. Peu de temps avant le repas du soir, Malya part prendre une douche tandis que je regarde une série sur mon ordinateur portable dans ma chambre. Elle a sans doute oublié ce détail car lorsqu’elle sort de la salle de bain, elle n’a sur elle que sa serviette. Elle entre donc dans la chambre avec ce seul vêtement. Dans notre surprise à tous les deux, Malya fait à moitié tomber sa serviette ce qui me permet de voir, sans que je ne le veuille vraiment, la totalité de son corps totalement nu.
— Je suis désolée ! J’avais oublié que tu étais là, s’écrie-t-elle rouge de honte tandis qu’elle ramasse tant bien que mal sa serviette à ses pieds.— Oh non, je… balbutiai-je en détournant rapidement le regard, j’aurais dû aller dans le salon.
Je traverse la chambre pour sortir et croise ma cousine enrobée dans sa serviette. Durant le repas, il est difficile pour nous deux de nous regarder droit dans les yeux. Mes parents nous demandent même si nous nous sommes disputés mais Malya assure que non. Pour oublier l’incident survenu plus tôt, je propose à Malya d’aller dans ma chambre et de choisir un film sur mon ordinateur portable le temps que je débarrasse la table. Elle accepte vivement ma proposition et disparait en un instant dans les escaliers menant à l’étage. Je la rejoinds quelques minutes plus tard, elle est assise en tailleur devant mon ordinateur et regarde la longue liste de films que je possédais.
— Tu as du mal à choisir ? Lui demandé-je.— Oui, répond-t-elle en fronçant les sourcils, il y en a tellement que je n’ai pas vu.— Dans ces cas-là, il n’y a qu’une seule solution !— Laquelle ?— Mets-en un au hasard !
Malya rit de bon cœur et me fait de la place pour m’asseoir auprès d’elle. Comme elle est montée dans la chambre avant moi, elle a pu enfiler son pyjama tranquillement. De mon coté, ce passage est un peu plus gênant car je dors habituellement en caleçon. Elle m’assure que cela ne la dérange pas.Cependant, elle refuse de me dire quel film elle a finalement « choisi » et on se glisse alors sous la couverture pour se mettre à l’aise. Il ne me faut pas très longtemps pour découvrir le film en question et je dois dire qu cela me déstabilise lorsque je comprends. Le film n’est autre que « 50 nuances de Grey ». Rien de plus gênant à regarder en présence de sa cousine avec qui l’on est censé dormir durant les quinze prochaines nuits dans le même lit. Je ne comprends pas trop les intentions de Malya et j’ai très peur de me faire des idées. Je reste donc impassible et je m’accroche au film sans prêter attention à ma cousine. Sans m’en rendre compte, cette chipie s’est approchée de moi discrètement et est maintenant collée à moi. Son pyjama n’est pas non plus du genre très neutre bien au contraire. Sa nuisette ne cache rien de son corps que je peux admirer sans efforts. Elle ne porte qu’une culotte en dessous. Lorsque je le remarque, je sens immédiatement dans mon caleçon que je suis à l’étroit. Et les choses ne s’améliorent pas le moins du mode. Au fil des scènes assez chaudes du film, je sens le corps de ma cousine se coller de plus en plus contre moi. A présent, elle a sa tête posée sur mon torse et une main posée sur mon ventre à une distance terriblement proche de mon entre-jambes. J’ai peur à l’idée qu’elle ne descende plus bas avec sa main mais, heureusement, elle ne bouge plus jusqu’à la fin du film.
— Alors, tu as aimé ? Me demande-t-elle innocemment en se redressant un peu.— Euh… oui, on peut dire ça. Et toi ?— J’ai adoré. Je rêve d’avoir un homme pour me faire ce genre de choses…
Elle me dit ça avec un petit sourire en coin qui peut signifier beaucoup de choses. Nous nous apprêtons à dormir quand je quitte le lit en prétextant devoir aller à la toilette. Bien entendu, je ne suis pas arrivé à cacher mon sexe tendu dans mon caleçon en sortant de la chambre. En réalité, je me cache dans les toilettes afin de me masturber et ainsi relâcher la pression accumulée durant la soirée.A mon retour dans la chambre, Malya s’aperçoit immédiatement que la protubérance formée un peu plus tôt dans mon caleçon a rétrécit. Cependant, l’idée qu’elle ait compris ce que je viens de faire m’excite énormément. La tension remonte si vite que je me sens déjà serré au bas ventre au moment de me glisser dans mon lit.
— Bonne nuit, dis-je à Malya avant de lui tourner le dos pour éviter de lui montrer ma bosse compromettante plus longtemps.— Fais de beaux rêves, cousin, me répond-t-elle avant de se tourner de l’autre côté.
Je pens que les événements perturbants sont terminés pour la soirée mais ce n’est pas l’avis de Malya. Visiblement, elle n’arrive pas à s’endormir. Elle gigote tellement que je finis par lui demander ce qui ne va pas.
— Je n’aime pas qu’on se tourne le dos, ça me donne l’impression que tu me fais la gueule, dit-elle.— Mais ce n’est pas le cas, assuré-je étonné.— Je sais ! Mais ça me donne cette impression et ça m’empêche de dormir.— Et comment veux-tu que l’on dorme alors ?— Tourne toi dans l’autre sens, vers moi !
Je me retourne donc dans le lit afin de lui faire face et attends qu’elle se recouche ce qu’elle fait tout de suite. Nous sommes donc face à face et Malya semble heureuse. Elle a, comme à son habitude, son sourire charmeur aux lèvres. C’est en voyant son regard pétillant que je comprends qu’elle va me donner du fil à retordre pendant ces vacances…
Note de l’auteur : Comme j’écris très lentement, je compte poster les chapitres suivants avec quelques semaines d’écarts afin de ne pas varier les périodes d’attente ! Pour ceux qui ont apprécié, sachez que les chapitres 2 et 3, qui sont beaucoup plus chauds, sont déjà terminés mais qu’ils peuvent subir quelques modifications en fonction des commentaires et des avis sur ce premier chapitre. 
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