Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 67 J'aime
  • 4 Commentaires

Vacances de Noël avec Malya

Chapitre 7

Inceste
Chapitre 7 : Il va s’en dire que ma cousine et moi avons passé une nuit courte mais intense. Je ne me rappelle pas avoir passé un si bon moment avec une autre de mes conquêtes et ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé ! Il faut dire que Malya est insatiable. Elle ne cesse de demander de l’attention et du plaisir. Ma cousine ne semble pas être fatiguée après des heures et des heures de baise pourtant très satisfaisantes. Fort heureusement, je finis par trouver le sommeil pendant que Malya est dans les vapes après un orgasme ravageur quelques instants plus tôt. Je m’endors comme la veille avec une érection toujours présente enfoncée dans le sexe de mon amante.  J’apprécie cette habitude qui s’installe entre nous. Je ne vais pas le cacher, sombrer dans le sommil le sexe planté dans celui chaud et accueillant de sa cousine est sans doute la meilleure sensation du monde. Non, ce n’est pas vrai. La meilleure sensation est de pouvoir jouir en elle alors que ses muscles se contractent comme pour aspirer toute ma semence au plus profond de son être.  Le lendemain matin, je suis tout de même un peu inquiet de notre aventure d’hier soir. Ma mère nous a-t-elle vus ? A-t-elle compris ce qui se passait juste sous son nez ? Je ne suis pas certain que ma mère soit tombée dans le panneau malgré le fait qu’elle n’ait rien dit. Mon inquiétude disparait assez rapidement car mon attention est détournée par Malya en nuisette qui vient me rejoindre dans la cuisine. Je suis assis sur une chaise près de la table quand je la vois arriver d’un pas léger et inaudible.
— Tu ne m’as pas réveillée ?  -         Je ne voulais pas te priver d’un sommeil bien mérité. La nuit a été fatiguant et tu semblais avoir besoin de repos.  -         Hum… c’est vrai que tu as fait preuve d’une endurance surprenante, me dit-elle avec un petit sourire en coin et ce regard de braise que je connais trop bien désormais. -         Avec une jeune femme aussi charmante dans mon lit, c’est tout à fait normal.  -         Charmeur !
 Je n’ai pas le temps de réagir que Malya se jette sur moi, s’assoit sur mes genoux et m’embrasse avec passion en m’enlaçant. Cette réaction me touche beaucoup car je me rends compte que ma cousine a besoin de tendresse malgré nos ébats bestiaux. Je serre donc le corps de Malya avec douceur contre moi, caressant ses hanches et ses reins. Mes mains se baladent sans difficulté sous sa petite tenue et je suis ainsi libre de profiter de sa peau douce et chaude. Pendant de longues minutes, je parcours son dos de mes doigts. Ces caresses ont pour effet de lui provoquer quelques frissons. Ma cousine s’abandonne à moi et pose sa tête dans le creux de mon épaule.  Chaque caresse que je fais dans le creux de son dos crée une réaction chez ma cousine. Ses frissons sont plus forts, je comprends que cette zone est très sensible chez elle, je m’assure donc de m’en occuper avec une attention toute particulière. Dès que je passe ma main avec un peu plus d’intensité, Malya ressens le besoin de se cambrer et de m’embrasser avec force comme si j’allais l’abandonner là. J’avoue que j’apprécie énormément cette réaction chez elle car elle vient frotter ma verge contre son entre jambe bouillant.  Ce traitement fini par avoir raison de ma cousine. Une tache d’humidité fait son apparition sur la petite culotte de Malya alors que celle-ci ne peut maintenant plus s’empêcher de frotter son bassin contre le mien. Sa respiration est aussi plus profonde alors qu’elle ne sait plus quoi faire de ses lèvres partagées entre l’envie de m’embrasser sur la bouche ou dans le cou. Ses mains, jusque-là presque inactives, commencent à caresser mon torse et mes épaules. Ses doigts se crispent assez régulièrement sur mon T-shirt comme si elle essayait de se retenir de me l’arracher et de se laisser complètement aller au plaisir. 
— Salaud…
 Malya n’arrive pas à ajouter quoi que ce soit, sa respiration s’accélère au rythme de ses mouvements de bassin. Je peux sentir qu’elle tente de résister au désir et à ses propres pulsions. De mon côté, je ne peux m’empêcher d’accompagner ses mouvements qui m’excitent aussi au plus haut point. 
— Tu n’es vraiment pas croyable, tu le sais ? me demande Malya alors qu’elle tire sur mon T-shirt pour le retirer. Tu me pousse à faire des choses alors que je n’en avais pas envie il y a quelques minutes… -         Je ne t’oblige à rien, tu peux arrêter tout de suite si tu en as envie, lui dis-je alors que j’attrape ses deux fesses en même temps pour accompagner son mouvement. 
 Mon piège se referme, je sais qu’elle ne pourra pas se séparer de moi avant d’avoir joui au moins une fois. Lors de la nuit précédente j’ai appris quelque chose de très important sur ma cousine : elle ne peut plus me résister dès que je prends son postérieur à pleine main et que je le pétris avec ferveur. 
— Humm… Tu as gagné, prends-moi.
 Il ne m’en faut pas plus pour me faire passer à la vitesse supérieure. Je serre fort Malya contre moi alors que je me relève. Tenant ma cousine dans mes bras, je la dépose sur la table de la cuisine. Très rapidement, je lui retire sa culotte ainsi que sa petite nuisette avant de retirer mon pantalon dans lequel je me sens terriblement à l’étroit.  Bien que j’ai très envie de pénétrer Malya avec force et passion sans attendre, je me fais violence pour m’arrêter à temps. J’ai très envie de faire durer le plaisir le plus longtemps possible et surtout de faire atteindre des sommets à mon amante brûlante de désir. Au lieu de prendre ma chère cousine comme elle s’attend à ce que je le fasse, je décide de m’agenouiller devant elle afin d’avoir mon visage à hauteur de son sexe. Je peux ainsi sentir les effluves qui s’en échappent et qui me mettent à l’épreuve de ne pas me redresser. Malya, toujours avide de plaisir, passe sa main dans mes cheveux alors que mon visage s’approche lentement de son sexe humide de désir.  Comme la veille, j’inflige un véritable supplice à ma cousine qui tremble de plaisir sous les assauts de ma langue. Ses doigts se resserrent sur ma tête, venant serrer quelques cheveux sur le point d’être arrachés. Je sens que Malya n’en peut plus, elle commence à se déhancher frénétiquement à la rencontre de mes lèvres. Sa jouissance se rapproche à toute vitesse. Dans son plaisir, elle resserre les cuisses sur ma tête qui se retrouve presque coincée contre son sexe. Mais je décide de me tenir à mon plan.  Au moment où Malya atteint le point de non-retour, je cesse toute activité avec ma langue et me redresse si vite que ma cousine n’a même pas le temps de protester. En un instant je me retrouve le sexe planté dans le fourreau de Malya qui jouit sans s’arrêter. Cette pénétration surprise bien qu’attendue a eu l’effet escompté. Ma cousine explose et crie son plaisir dans toute la maison alors que ses jambes se sont refermées sur mes hanches et me poussent à la pénétrer le plus profondément possible. 
— Haaaaaaaaan ! Oui ! C’est trop ! C’est trop bon ! crie-t-elle de toutes ses forces. Ne t’arrête pas ! Continue ! Tu me fais jouir comme jamais !
 Ne comptant pas en rester là, je pilonne Malya de toutes mes forces. Telle une lionne, Malya enfonce ses ongles dans mon dos. Je ne m’en offusque pas, le plaisir que je lui donne et celui que j’ai en ce moment même est bien trop fort. Malgré les minutes qui passent, Malya ne semble pas se calmer de son orgasme ravageur. Elle en redemande d’ailleurs. Toujours agrippée à moi comme si elle voulait fusionner nos deux corps  fiévreux, elle se déhanche à la rencontre de mon sexe. Dès que je tente de ressortir un peu de son antre, elle se rapproche de moi et contracte tous ses muscles pour m’en empêcher. Cette danse enfiévrée m’excite tellement que j’attrape le postérieur de Malya et la soulève de la table.  L’excitation totale ne me fait même pas ressentir le poids de ma cousine dans mes bras. Je suis trop focalisé sur les coups de boutoirs que je donne à la diablesse se trouvant collée à moi pour y faire attention. Je soulève en rythme le corps de ma cousine qui ne cesse de gémir alors que son visage se trouve à quelques centimètres du mien. Nous sommes si proches l’un de l’autre que nos fronts se touchent ainsi que nos nez par moments.  Le désir de l’embrasser est trop fort et visiblement c’est un désir partagé car elle avance son visage au même moment que moi. C’est le seul instant où nous rompons le contact visuel entre nous. Bien qu’endurant en temps normal, je ne résiste plus face à une telle situation. Nous avons eu pas mal d’ébats excitants en seulement quelques jours Malya et moi mais je dois avouer que celui-ci est le plus torride d’entre tous. Je ne me retiens pas plus longtemps et j’explose à mon tour dans le sexe de ma cousine qui crie de toutes ses forces lorsqu’elle sent ma semence se répandre dans son antre chaude et enfin rassasiée. Je la dépose à nouveau sur la table.
— Oh oui, je te sens couler en moi, c’est bon… -         Je n’ai pas su me retenir plus longtemps, c’était si bon. -         Je n’en reviens pas qu’on ait fait ça sur la table de la cuisine ! rit Malya tout en serrant ses jambes plus fort sur mes hanches.
 Je ne comprends plus trop ce qui se passe entre ma cousine et moi. Nous nous sommes toujours bien entendus mais jamais je n’avais pensé en arriver là avec elle. Et bien qu’au début de notre relation je n’avais qu’une attirance physique pour elle, ce n’est plus vraiment le cas maintenant. J’ai comme l’impression d’être connecté avec elles, avec ses pensées. Malya me regarde droit dans les yeux en souriant tendrement. Je ne peux m’empêcher de lui sourire à mon tour. Je peux voir dans son regard qu’elle ressent la même chose que moi.  Aujourd’hui, notre relation vient de passer un cap que nous n’aurions jamais pu imaginer il y a encore quelques jours…
Diffuse en direct !
Regarder son live