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Vacances, sexe et exhib.

Chapitre 4

Lesbienne
Première initiation

La nuit fut excellente. Je me suis levée de bonne heure en même temps que mon chéri ; nous n’avons pas fait l’amour mais je l’ai sucé, assise par terre, pendant qu’il prenait son petit déjeuner. Il a éjaculé, j’ai avalé, j’ai bu mon café, il est parti travailler.
Les filles dorment encore. Je me douche puis, parfumée et coiffée, je prépare le petit déjeuner de ces demoiselles. Concentrée sur ma tâche, je sens tout à coup deux mains se poser sur me fesses – je sursaute – puis deux sur mes seins qu’elles caressent doucement, deux bises par deux bouches sur mes joues, deux têtes ébouriffées avec un joli sourire et un « Bonjour Julie… » Les voix sont douces et suaves. Elles sont arrivées derrière moi à pas feutrés. Les mains ont quitté mes seins pour venir caresser mon pubis. Je suis debout, agrippée au plan de travail ; j’écarte les jambes. Des doigts fouillent ma caverne, des langues font des ronds autour de mes tétons qui durcissent comme mon bouton. Et cette folle envie qui arrive me fait onduler, respirer fort, de plus en plus fort, tord mes entrailles et finit par me secouer comme une poupée de chiffon. Deux langues viennent chercher la mienne et jouent avec ; c’est bon, doux, tendre. Ces deux minois au large sourire me redisent « Bonjour, Julie. »
— Qu’est-ce qu’on fait aujourd’hui, Julie ? demande Élodie.
Je n’arrive pas à trouver mes mots ; je suis dans du coton, les jambes tremblante. Je m’assois.
— Eh bien, Julie, que t’arrive-t-il ? Un souci ? poursuit Tatiana.— Pouf… ! Je… Vous auriez pu prévenir.— Tu voulais des surprises, non ?— Euh, oui. La vache… euh… plage, ça vous dit ?— Oui, mais il faut acheter des maillots avant, dit Élodie.— Pas besoin : à poil, les filles, et pas d’histoires : vous l’avez fait devant Pat. Maintenant que le plus dur est fait, pique-nique à la plage naturiste.— Tu es folle ! On ne va pas se mettre…— … à poil sur la plage ? Si. Vous allez voir ; c’est facile, je vous expliquerai en route.
Elles déjeunent enfin ; il est dix heures du matin. Je prépare le pique-nique en leur demandant comment s’est passée la nuit. Je reçois de jolis compliments sur le calme de la chambre, la douceur de draps en satin. Le pique-nique est prêt ; les filles aussi. Direction la plage naturiste de Bonnieu- Martigues en voiture.
Arrivées à la plage :
— Bon, les filles, vous faites comme moi : vous vous déshabillez tout naturellement. Vous avez l’impression de vous exhiber, mais pour tous ici, vous êtes à la plage pour bronzer, pour vous baigner et nager, pas pour le sexe ; juste pour apprécier et être bien nues, tout simplement. Ce n’est pas plus dur que ça.

Après avoir méticuleusement scruté les alentours et quelques hésitations, elles finissent par adopter la nudité intégrale. Pour le moment, elles optent pour la position sur le ventre (il faut laisser le temps aux choses de se faire). Je leur propose de leur mettre de la crème solaire avant qu’elles ne passent du blanc au rouge-écrevisse, et je me fais un réel plaisir de leur étaler la crème sur le dos, les fesses, puis le ventre, les seins, le pubis ; enfin, sur tout le corps de ces deux naïades.
Progressivement, elles changent de position, d’allongées à mi-couchées en appui sur les coudes, puis assises en tailleur, la vulve exposée à la vue de tous sans complexe. Suit la baignade, le moment des plus agréables : nager nues, un pur délice avec cette sensation de liberté. Plus de vêtements gênants, rien que la peau caressée par le soleil, le vent et l’eau.
Je leur explique que si je les ai emmenées là, c’est pour les aider à assumer leur corps, pour qu’elles le montrent tout simplement. Pour jouer au jeu de l’exhibition, il faut aimer son corps, ne pas avoir peur de le montrer pour que le jeu soit un réel plaisir, sinon cela devient une contrainte et ce sera un échec avec d’amères déceptions, et le projet avortera de lui-même.
Il commence à faire très chaud, aussi je leur propose une baignade dans de l’eau fraîche, selon les indications affichées au poste de surveillance : 29° dans l’eau pour 32° à l’extérieur. À ma grande surprise, elles se lèvent et se dirigent vers l’eau avec un déhanchement à faire bander tout un régiment. Je les suis, et plouf ! L’eau est excellente, rafraîchissante malgré sa température. Au fond, le spectacle est divin : rochers, algues, et poissons qui slaloment entre les feuilles des posidonies. Le bain dure très longtemps. Nous jouons, plongeons et batifolons ; nous nous amusons comme des gamines.
De retour à la maison, une douche et un plongeon dans la piscine, histoire de se dessaler, et petite sieste quand je leur propose un rafraîchissement.
— Les filles, voulez-vous un rafraîchissement ?
Sans même lever les yeux, Tatiana me répond :
— Avec plaisir, petite salope.
Mon cœur vient de faire boum. Pas le boum de la chanson, mais celui qui en temps normal m’aurait fait me retourner pour voler dans les plumes de l’espèce d’abruti qui m’aurait sorti ça. La phrase de Tatiana tourne dans ma tête et me broie le bas-ventre. Un nouveau jeu ?
— Pardon ? réponds-je, histoire de voir.— Tu as bien compris ce que je viens de te dire. À genoux ! Les mains dans le dos, et vite !— Mais pourquoi tu me parles comme cela ?— Tu veux jouer ? En toi, il y a deux personnalités : Julie la belle, douce, tendre et amoureuse, mais il y a aussi la Julie dépravée, celle qui se fout à poil en public et qui se masturbe au téléphone avec sa copine Élodie pendant que j’ai le dos tourné. N’est-ce pas, Mademoiselle Boulette ? Et ça, vous allez me le payer toutes les deux. Mais avant tout, va nous préparer des rafraîchissements ; et vite !
Cette condition me va à merveille ; depuis le temps que j’espérais qu’un jour cela m’arriverait… Je file dans la maison préparer les boissons. Je suis toute mouillée. Je passe mes doigts sur ma chatte ; j’ai envie de me faire jouir maintenant, mais non, il faut que je fasse le service.
— C’est bien, ce que tu nous as servi. Tu peux t’asseoir avec nous.— Merci, Tatiana, tu es trop bonne de m’autoriser à m’installer avec vous.— Tout d’abord, merci pour la plage, nous avons beaucoup aimé. Nous y retournerons ; ta leçon était parfaite. Tu nous aides pour l’exhib, et on te transforme en véritable soumise nymphomane. Et nous allons te faire les pires misères…— Super ! C’est d’accord. Tope là !— Très bien. Commence par nous raconter ton après-midi. Mets-toi sur le transat assise en tailleur, qu’on puisse bien voir ta chatte de petite salope, et tu vas te caresser en même temps. Mais interdit d’arriver à l’orgasme. Si tu es bien sage jusqu’à la fin, tu auras une récompense.
Je m’installe sur le transat, les filles sur la balancelle. Je suis assise en tailleur, les jambes bien écartées, dans une position la plus impudique possible pour qu’elles puissent admirer le spectacle de ma vulve déjà dégoulinante de cyprine.
Elles veulent jouer avec moi ? OK ! Moi aussi je vais jouer. J’ai bien l’intention de les emmener vers l’orgasme. Je commence mon récit les yeux fermés. Je me replonge dans ce passé tout proche pour revivre cet évènement. Nue sur le transat, le soleil me chauffe le dos, et les mains posées sur les genoux je débute mon récit :
— Pour me donner la réponse à la question qui était de savoir si oui ou non vous vouliez qu’on s’amuse ensemble, comme convenu j’ai appelé Élodie qui m’a dit de me mettre toute nue et de me caresser. Au début je fus surprise, et ensuite terriblement excitée ; alors je l’ai fait.
Au fur et à mesure j’embellis et agrémente mon récit de détails croustillants. Je joins le geste à la parole en me caressant partout. J’ouvre rapidement les yeux et constate que deux regards sont fixés sur moi ; elles boivent mes paroles. Je jubile : je suis sûre que les filles sont en train de mouiller comme des folles ! Je m’adosse au dossier incliné du transat et me caresse les seins, le ventre, le nombril (hum, je voudrais bien un piercing) ; je sens que si je continue, je vais arriver à l’orgasme. Je continue mon récit.
— Élodie m’a dit de rentrer mes doigts en moi ; je l’ai fait, et j’ai un terrible orgasme ; et elle aussi.— Quoi ? Élodie, tu t’es branlée au téléphone avec cette salope ? Vous allez me le payer toutes les deux ! fulmine Tatiana.— Mais…— Toi, continue !—Après, Pat est arrivé. Je lui ai dit que vous arriviez. On a tout préparé et nous sommes allés faire des courses. Pat m’a laissée sortir en short hyper moulant et débardeur sans rien dessous ; j’étais contente, car normalement il n’aime pas. Ensuite nous nous sommes arrêtés à la brasserie…
Et je raconte tout le reste.
— Et ça t’a plu ? me demande Élodie.— Oui, beaucoup.— Tu as vu ça, Tatiana ? Cette petite pute qui se fout à poil devant tout le monde ! Lève-toi et viens nous sucer la chatte pour ta peine.
C’est la première fois que je fais ça, faire plaisir à une autre femme ; et deux, du coup. Je vais leur faire ce qui me ferait plaisir. J’aime bien les massages des pieds.
Deux filles, quatre pieds, et moi deux mains. Je masse les pieds avec application comme si je les enduisais de crème, puis mes doigts remontent le long de leurs jambes en effleurant à peine leur peau lisse et douce. Ils courent le long de leurs cuisses jusqu’à rencontrer un fin morceau de tissu en dentelle masquant à peine la forme de leur fente.
Je les regarde de temps en temps pour évaluer l’effet produit. Elles se tiennent par la main, épaule contre épaule, les yeux dans les yeux, bouche contre bouche. Je tente une intrusion indiscrète sous le tissu ; leur pubis aussi lisse que leur fente m’invite à poursuivre mon exploration. J’enlève de force le tissu gênant en le faisant glisser sous leurs fesses puis récupère deux strings humides qui volent au loin.
Pas un bruit ; seul le chant des oiseaux qui gazouillent rompt le silence.Je suis déjà dans un état d’excitation avancé.
Je reprends mon exploration et tente d’infiltrer un doigt dans l’entrée de leur caverne qui s’ouvre doucement. Un regard : elles se sont enlacées, s’embrassent amoureusement. J’ai le champ libre. Sous leur tee-shirt, je remonte du nombril jusqu’à leurs seins. Je les palpe, les malaxe ; un pincement à leurs tétons les fait vibrer et gémir, puis du bout des doigts je redessine leurs seins en faisant des cercles autour, et enfin je redescends vers leur ventre, leur pubis et leur intimité devenue très humide.
Les cuisses s’écartent : l’invitation est réelle. Je vais explorer leur caverne : les ondulations de leur corps et l’accélération de leur respiration sont suffisamment explicites. Elles me caressent les cheveux, les lèvres, m’offrent leurs doigts que je suce et tète avec délice et volupté. Elles avancent leur bassin sur le bord de la balancelle pour que je glisse sans difficulté deux doigts en elles. Elles me prennent le poignet pour que je les enfonce encore. J’affine mes mains. Elles forcent. Mes doigts fins et longs entrent doucement. Elles gémissent, les tee-shirts volent, elles se prennent mutuellement les seins, s’enfoncent sur mes mains. Elles ondulent de plus en plus, leur vagin se contracte, je sens les secousses de leur orgasme : il est fort, je le sais.C’est fini, je retire mes mains et me lèche les doigts. Le goût est indéfinissable, mais subtil.
Elles me caressent les cheveux, la bouche, les yeux puis bondissent. Tout va très vite. Elles m’attrapent par les bras et me couchent sur le transat. Élodie me prend la tête et me roule une pelle d’enfer tandis que Tatiana m’écarte les cuisses de force ; ses doigts entrent en moi. Élodie me prend les seins en me les broyant littéralement et me pince les tétons. Je gesticule dans tous les sens. Elle force encore ; sa main me pénètre et bouge en moi. L’orgasme arrive tel une tornade. Il me fait mal, je suis secouée par les spasmes, je me cabre, décolle les fesses et retombe comme une masse, la main de Tatiana toujours en moi. Cette main bouge à nouveau, cette fois en un mouvement de va-et-vient rapide. J’ondule, je crie, et un nouvel orgasme arrive, aussi puissant que le précédent. Je me tords de bonheur.
Je m’apaise et ouvre les yeux. Au-dessus de moi, leur visage, leur sourire satisfait, et des regards coquins. Des larmes de bonheur coulent sur ma joue. Je me redresse, les prends par le poignet et les entraîne vers la piscine pour un plongeon rafraîchissant.

[ à suivre ]
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