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Vacances, sexe et exhib.

Chapitre 7

Voyeur / Exhibition
Au resto

Après notre partie de zoophilie humaine, nous prenons place sur la terrasse ; je suis ravie de mes exploits et de tous ces moments de folie.
— Ce soir, resto ? Mais avant, apéro ! s’exclame Pat.
Un « ouiii ! » général approuve la proposition. Nous nous activons tous les deux. Les filles, après un plongeon dans la piscine, vont se doucher, puis Pat ; je n’ai pas le droit d’aller avec lui, et pourtant j’ai bien envie de lui faire une petite gâterie.Les filles reviennent habillées d’une robe courte un peu transparente laissant entrevoir leurs sous-vêtements.
— Je vais préparer mes affaires, si vous le voulez bien.— Non, on s’en occupe ; après tout, tu n’es pas mal comme ça ! Qu’en penses-tu Tatiana ?— Tu as raison, elle est très bien. Une douche, un coup de peigne, ça suffira.— Mais vous n’allez pas me laisser aller à poil au resto ?— Attends, tu te fous à poil sur les parkings, et pour aller au resto, non. Explique-toi.
Là, je suis franchement dans la mouise, je ne sais que répondre. Pat revient habillé d’un short et d’un tee-shirt.
— À la douche !
J’y vais. Les filles m’emboitent le pas. Je me douche, et je peux dire que je suis propre de partout. Coiffée, parfumée, je suis prête ou presque.
— Et je mets quoi ? Je ne sors pas toute nue !— Si, si, moi je te trouve très bien comme cela. Sur ton lit, c’est prêt. Tu vois ça avec ton homme, m’indique Élodie.
Je file dans la chambre. Sur le lit, une robe, c’est tout. Après tout, c’est mieux que rien. Je l’enfile ; en plus, c’est celle avec des pressions sur le devant : j’ai l’impression qu’elle ne va pas rester longtemps fermée… En trois secondes je suis habillée.
— Très bien. Tourne. Défais deux pressions en bas et une en haut, me conseille Tatiana.
Tout en défaisant les pressions, je montre mes pieds nus, le regard interrogateur.
— Parfait, tu es très belle ainsi ; et qu’est-ce qu’ils ont, tes pieds ? Ah, si c’est le manque de chaussures qui te dérange, tu peux en mettre si tu veux mais tu enlèves la robe ; c’est au choix : ou la robe, ou les chaussures. C’est un jeu, tu ne connais pas ? On va t’apprendre. Tu vas voir comme c’est rigolo. — Donc si j’ai bien compris, pour ce soir je n’ai le droit de porter qu’un vêtement.— En effet, mais aussi zéro ; tu vas aimer. En route ! Julie, tu ne bois pas ? — Non, je fais « SAM » au retour. Comme d’hab… !
Nous prenons la voiture de Pat, la BM plus spacieuse que ma 500, prétendument ; la réalité est que mon Marseillais de Pat veut se la péter : au volant, avec trois nanas dans sa BM… ! Et que je te fais visiter le port, et que je passe par ci, et que je te passe par là. Nous nous stationnons enfin sur un parking puis nous nous dirigeons vers l’entrée d’un resto, pas mal a priori. Je suis pieds nus avec mon unique robe ; un léger vent frais me caresse la minette, ce qui est particulièrement agréable.
Un charmant serveur nous accueille et nous dirige vers une table située un peu à l’écart et légèrement protégée des regards par quelque plantes. Dessus trône une pancarte marquée « Réservée ». De chaque côté de la table, des banquettes recouvertes de velours. Nous nous installons, Pat à côté de moi, les filles en face. Élodie, face à moi, me dévisage à m’en faire rougir. Elle me fixe de son regard taquin et malicieux ; je suppose qu’elle est en train de chercher une connerie à me faire faire. Plus rapide qu’elle, je lance :
— Et si on faisait un jeu ? On se regarde dans les yeux, et la première qui les baisse à un gage. D’accord ?— Plus un ; j’aime. OK pour le jeu. On fait quoi au juste ? me répond Élodie.— Simple : on se regarde dans les yeux toutes les trois ; la première qui les baisse a un gage. Pat arbitre et décide qui donne le gage. Ça vous va ?
Le visage d’Élodie s’illumine ; elle frappe des mains et sort un « Ouiii ! ». Nous voilà retournées à la maternelle ; il ne manque plus que le « Youpi ! » et c’est la totale.
Un coup d’œil dans la salle : il n’y a pas grand-monde. Je pense que personne ne nous regarde, alors je me lance. Je défais lentement une à une les pressions de mon encolure avec un regard sensuel, je me lèche les lèvres avec gourmandise, ouvre à peine mon décolleté quand :
— Perdu, Élodie : tu viens d’essayer de regarder ses seins.— Non !— Si ! reprend Pat. Tatiana, tu lui donnes un gage.— OK. Enlève ta culotte ! ordonne Tatiana.— Non mais, tu es folle, toi ! Je ne vais pas retirer mon string ici, pas question ! Si c’est ça…— Si c’est ça… ? Rien du tout, ma chérie. Tu veux jouer ? Alors tu joues, sinon c’est moi qui te l’arrache. Au choix !
Élodie peste, rumine un truc incompréhensible entre ses dents ; je comprends un vague « … payer ».
— Et je fais comment ? Je vais aux toilettes ?— Non, non, pas question : tu le fais ici et maintenant. Passe tes mains sous ta robe, allez ! Tu attrapes la ceinture de ton string et tu fais glisser le tout, voilà. Tu tortilles un peu du cul ; mieux que ça encore. Tu te soulèves les fesses pour passer dessous, et hop ! C’est fait ? Facile, non ? Je suis une bonne conseillère, non ? je lui dis.
Elle s’active, rouge comme une tomate. Elle fronce les sourcils, attrape le vêtement posé au sol, nous le montre, le roule vite en boule et vlan ! dans le verre de Tatiana.
— Non mais, t’es pas bien, toi ! rugit Tatiana en récupérant le string et le mettant vite dans son sac.— On continue ? Élodie, prête ? je coupe.— Et si je perds ?— Ce sera le soutif ! je lui réponds.
Nous nous fixons à nouveau dans les yeux. J’écarte doucement un pan de ma robe, puis l’autre. À ce moment le serveur arrive pour prendre la commande ; vite, je les rabats. Mon cœur bat à cent à l’heure. Il repart avec la commande ; je le suis du regard pour être certaine qu’il n’y a plus de risques (et mater son cul aussi). Je recommence et découvre un bout de sein. Élodie tient bon, me fixe du regard à m’en donner des frissons. Je continue de me découvrir, les tétons à l’air.
— Tatiana ! Perdu !— Bien vu, Pat, merci. Tatiana, tu me vires ton soutif et ton tanga ; je vais t’apprendre ! s’exclame Élodie.
Tatiana fronce les sourcils : enlever un soutien-gorge en public sans éveiller les soupçons n’est pas chose facile. Trois paires d’yeux assistent à cet effeuillage ; je dois dire que cet instant est délicieux. Tatiana passe ses mains dans son dos pour dégrafer le sous-vêtement. De la main droite elle attrape la bretelle gauche par l’ouverture de la manche de chemisier – qui par bonheur n’a pas de manches – et la fait glisser le long du bras. Même opération pour l’autre bretelle, et l’objet sort par dessous le chemisier, libérant sa poitrine heureuse de prendre l’air. Je vois distinctement la pointe de ses tétons et ne manque pas de le faire remarquer :
— Alors, ça pointe ?
Tatiana, rouge de confusion, avale une belle gorgée de son apéro, sans doute pour se donner du courage pour la suite ; car il y a une suite…
— La suiiiiiteeeeeeeeeeeeee ! s’exclame Élodie.
Pour seule réponse avant de continuer, Tatiana dégrafe aussi le soutien-gorge d’Élodie. J’ai l’impression qu’elles prennent goût à ce jeu extrêmement érotique ; un passage sur le short de Pat m’indique que lui aussi apprécie au plus haut point ce spectacle. Une caresse, un regard accompagné d’un joli baiser le confirment. Tatiana se tortille sur la banquette, se penche en avant, se soulève, et le tanga noir à dentelles se retrouve bien évidemment dans le verre vide d’Élodie.
— Alors, les filles, ça fait quoi d’enlever ses dessous et de se retrouver à poil sous la robe ? Vous savez que vous êtes super sexy comme ça, les filles ? leur demande mon chéri.— Peut-être, mais c’est chaud… reprend Élodie. Et ton chéri n’enlève rien, lui ?— Bah ! Pour les mecs, ce n’est pas évident. À moins de mettre une robe ? continue Élodie.— Je le vois bien déguisé en fille ! Une fille rugbyman, c’est un peu space… je réponds.
Mes pieds nus caressent les leurs, puis les mollets et remontent jusqu’à leurs cuisses pour arriver à leur chatte chaude et humide. Pour les allumer encore plus, j’ouvre l’encolure de ma robe, dévoilant mes seins et mes tétons que je malaxe avec tous les mouvements de langue possibles pour rendre la situation extrêmement excitante. Comme le serveur nous apporte le plat, je referme tout et le remercie d’un large sourire et de mon décolleté plongeant.
Sous la table, Pat a pris possession de mon intimité ; ses doigts glissent sur ma fente et à l’entrée de mon écrin. Mes pieds avancent encore et encore. Les filles s’agrippent au bord de la table tout comme moi, et le plaisir m’envahit dans un orgasme léger. Les filles ont du mal à rester de marbre ; un sourire crispé me fait penser qu’il se passe quelque chose en elles.
Le serveur dépose notre dessert avec toujours le même sourire complice et un « Bonne continuation ! » enjoué.
Élodie appelle le serveur, demande quatre cafés en lui attrapant le bras et lui chuchote quelque chose à l’oreille. Il me regarde, étonné, puis s’éloigne. Élodie se penche au-dessus de la table.
— Tu te rappelles de Fran dans « Papillon de nuit » ? Tu vas aller aux toilettes. Le gentil serveur t’y attend ; tu vas lui offrir un joli pourboire sous la forme d’une belle pipe, et tu reviens avec la preuve dans ta bouche.
Alors là, elle y va fort ! Je regarde Pat, cherchant du secours auprès de lui ; mais rien, il n’a pas entendu ou il fait semblant. Je suis certaine qu’ils sont complices. Je me lève, la robe ouverte. Personne en vue. Je suis excitée et décide de faire une exhib d’enfer. Je marche un peu, me retourne vers eux, ouvre ma robe en grand et me caresse la chatte ; demi-tour, je leur offre mon cul et je file vers les toilettes. Le cœur battant, je pousse la porte et me retrouve nez à nez avec le beau serveur appuyé au lavabo.
Je ferme la porte à clé, me débarrasse de ma robe et attrape ses mains pour qu’il me caresse ; il le fait avec plaisir et attention. Son membre tendu et confiné dans le pantalon ne demande qu’à prendre l’air : je défais la ceinture puis le bouton, fais glisser la fermeture Éclair et extrais l’engin que je dois sucer jusqu’à en récupérer le liquide. Je m’agenouille et lui fais une rapide fellation jusqu’à ce que son liquide m’inonde la bouche. C’est chose faite. Je me rhabille et retourne rejoindre les autres ; les cafés sont servis. Élodie m’interroge du regard ; en réponse, je laisse couler un filet de sperme dans ma tasse.
— Pat, tu as vu ta salope de nana ? Il faut qu’elle bouffe toutes les queues qu’elle trouve !— Mouais… Après tout, si elle aime. Tu as aimé, ma chérie ?— Tu veux goûter ? Il m’en reste.— Non merci.
Il caresse ma chatte inondée. Le serveur revient un plateau entre les mains ; Pat continue, et je me tords de plaisir pendant que le serveur dépose quatre petits verres remplis d’un liquide couleur citron. Je n’en peux plus, avec ses doigts qui entrent en moi… Je lui attrape le poignet pour qu’il enlève sa main, mais il est plus fort que moi. Je ne sais pas comment me mettre. Je croise le regard des filles : il est comme leur sourire, amusé et ravi de cette situation.Le serveur me regarde avec un large sourire et déclare :
— Tenez, c’est offert par la maison ; vous pouvez boire, c’est au citron. Et merci, Mademoiselle ; bonne fin de soirée.
Pat et les filles le remercient, et moi, toujours en conflit avec ces doigts qui jouent avec moi, je n’en peux plus. Mon chéri, qui vient de me plaquer contre le dossier de la banquette avec un baiser fougueux, fouille de plus en plus mon intimité et me fait arriver à un orgasme de folie.
J’avale mon café d’un trait, et derrière le verre de digestif au goût de citron. Un peu d’air me ferait du bien. Nous sortons, largement remerciés par le serveur.
La voiture est à une cinquantaine de mètres ; je prends un peu d’avance, dégrafe ma robe, déverrouille les portières, et au moment où je me retourne je la laisse glisser au sol pour me retrouver entièrement nue. Au loin, des gens sortent du restaurant ; je ne sais pas s’ils me voient, mais ils regardent dans notre direction. J’ouvre la portière à chacun et prends le volant, la robe roulée en boule à mes pieds. Je traverse la ville. Dans la voiture, l’ambiance est euphorique ! Les filles rient en commentant la soirée. Je roule vers la maison, satisfaite de mes exploits – un peu hard, je dois l’admettre – mais les filles m’ont plus que surprise.Nous arrivons ; j’ouvre le portail, toujours aussi nue.
Nous prenons un dernier verre et rions encore. Je suis fatiguée, éreintée par cette journée.Nous allons nous coucher ; je n’ai plus envie de faire l’amour, et je m’endors comme une masse.

Pub : « Une femme a un milliard de choses à faire chaque jour, et ce soir je prendrais bien cinq minutes de pure douceur avant de dormir avec « Perle de sperme ». Slurp… Slurp… »
[ à suivre ]
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