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Vacances, sexe et exhib.

Chapitre 8

Voyeur / Exhibition
La fontaine Mary-Rose

Joli réveil avec Pat, comme à l’accoutumée : un câlin, une fellation, il me prend comme ça simplement sans orgasme puis il m’interroge sur nos activités de la journée. Je lui parle de mon rendez-vous et de l’envie de me faire poser des piercings sans révéler ni où, ni combien. Il trouve que l’idée est excellente, surtout qu’il apprécie au plus haut point le piercing au nombril et le trouve particulièrement érotique ; il me propose de me les offrir. Pour les filles, je lui fais part de mon intention de les envoyer à la fontaine Mary-Rose ; il trouve l’idée simplement géniale. Après un gros bisou et une main aux fesses, il part au boulot, mais pas pour longtemps : bientôt les congés.
Au petit déjeuner, j’explique aux filles qu’aujourd’hui j’ai pas mal de choses à faire, dont une visite chez le gynéco. Elles ont le choix de m’accompagner – ce qui n’a rien de bien passionnant – ou de passer la journée ici, ou mieux : je leur prête ma voiture pour qu’elles puissent passer la journée dans un endroit charmant que je connais.
Après avoir rapidement débattu, elles optent pour la balade. Nous préparons un pique-nique tout en leur décrivant les lieux : cet endroit magique est à un quart d’heure en voiture de chez nous et s’appelle la fontaine Mary-Rose. Nous y allons pour flirter en empruntant les innombrables petits ponts. On peut aussi se rafraîchir les pieds dans l’eau saisissante du très vaste ruisseau. Il y a un chemin à gauche qui passe devant une cascade et arrive au lac ; on peut en faire le tour, et il y a des endroits un peu à l’abri des regards où nous avons déjà fait l’amour Pat et moi.
Les filles débordent d’enthousiasme à l’idée de passer la journée en amoureuses. Je leur confie un jeu de clefs voiture et maison afin qu’elles puissent être libres d’aller et venir à leur guise. Enchantées par cette attention sympathique, elles prennent la route avec ma voiture, guidées par le GPS. Je suis certaine qu’elles vont passer une magnifique journée. Moi, j’ai de quoi m’occuper. Je me prépare : robe, tanga, soutif, escarpins, et file avec la voiture de Pat chez le toubib ou le gynéco pour me faire poser un stérilet.
Chez le perceur, j’opte pour un vrai piercing nombril, un magnifique pendentif en or. J’ai eu un peu mal, mais je suis ravie du résultat ; j’en voudrais aussi un aux tétons et aux parties intimes. Après m’avoir mise en garde et renseignée sur les risques et la durée de cicatrisation, le professionnel me conseille d’en prendre des faux pour voir où les poser, et de le faire après l’été. J’achète des modèles simples et différents pour essayer. Je fais aussi les courses et rentre. J’ai hâte d’être à ce soir pour voir la réaction des filles, mais surtout celle de Pat ; je suis certaine qu’il va adorer.
Je suis de retour à la maison, ravie de ma journée. En attendant l’arrivée des filles, je me lance dans un essayage soigné et précis de mes acquisitions. Je passe un temps incroyable à me mirer sous toutes les coutures devant ma psyché. Je finis par positionner les piercings intimes aux petites lèvres, plus discrètes ; ceux aux tétons sont collés. L’ensemble me plaît énormément.Justement, j’entends ma voiture entrer dans la cour. Les filles arrivent, l’air un peu contrarié.
— Hello, Julie ! Bonne journée ? demande Élodie.— Excellente. Et vous ?— Toi, tu me la copieras avec ton joli coin ! s’exclame Tatiana.— Eh bien, ça ne vous a pas plu ? Qu’est-ce qu’il y a ? Un souci ?— On prend une douche et on te raconte ; mais je te préviens : tu vas nous le payer !— Eh bé… Je vous en montrerai des jolis coins, moi ! Tiens, Pat arrive.
Je suis toute excitée. Les filles à la douche, il va avoir la primeur du spectacle. Il arrive ; le bisou et la main aux fesses habituels. Le tee-shirt par-dessus la tête je me dévoile, offrant à mon chéri la vue de mon corps.

— Waouh ! Oh con ! Ah oui, tu es trop belle. Et là aussi ! s’enthousiasme-t-il en me touchant les tétons.— Mon chéri, tu aimes ? Et là ? je lui demande en lui montrant les faux bijoux intimes.— Tu t’es fait…— Percée ? Non, pas encore, mais je voulais voir ta réaction avant.— C’est pas mal du tout ; j’aime beaucoup. Si tu veux en mettre, je ne suis pas contre.— Et toi, mon chéri, si je te le demandais, tu en mettrais aussi ?— Pourquoi pas ? Si c’est pour te faire plaisir, je dis oui. Mais où ?— Là, et là… je lui dis en lui pinçant les tétons et lui attrapant le sexe.— Faut voir, ma chérie.
Je lui explique que les filles sont rentrées mais ont l’air un peu contrarié, puis nous échangeons un sourire ainsi qu’un énorme baiser car nous pensons la même chose. Les filles font leur apparition en maxi teeshirt, détendues souriantes.
— Ça va mieux, les filles ?— Oh, la vache, tu as mis des piercings ! C’est pas mal au nombril, c’est sexe. Les tétons, faut aimer, perso pour les autres. Et après, il n’y en a plus ? interroge Tatiana.— Si.
Je leur montre ceux de mes petites lèvres.
— Ah oui… Mais dis-moi, ça doit faire vachement mal ? s’inquiète Élodie. — Pour le moment, ceux-là sont faux ; il n’y a que le nombril qui est vrai. Il est beau, n’est-ce pas ?— Mouais… C’est pas pour moi, je te les laisse, répond Tatiana avec une moue. — Bon, pas grave. Et vous, cette balade, c’était comment ?— Gênante, dit Tatiana.— Ah bon ? Racontez-nous ça, je ne comprends pas, fais-je innocemment.— C’est ça, oui ! s’insurge Élodie.— Allez, le temps que Pat se change, on prépare l’apéro et vous nous racontez ça.
L’apéro est prêt en même temps que mon homme douché apparaît en maxi tee-shirt. Nous nous installons. L’apéro est servi, et en avant pour leur histoire.
— Bien ; vous nous racontez votre journée ou pas ?— C’est très délicat, en fait, précise Élodie.— Qu’est-ce qu’il vous est arrivé ? Vous vous êtes fait piquer en train de bronzer à poil, c’est ça ? Allez… Je suis impatiente de savoir. — Bon, OK ! Nous sommes parties. Élodie a conduit à l’aller, et moi au retour ; elle est vachement bien, ta voiture : souple, nerveuse. Bien. Vraiment bien ! Le GPS, nickel : il nous a menées pile au bon endroit. Comme tu nous l’as dit, l’endroit est magnifique. On s’est baladé dans la forêt et escaladé les rochers, puis nous sommes passées sur les petits ponts où quelques amoureux s’embrassaient tendrement.
Elles nous racontent s’être laissé emporter par ce paysage de rêve ; après une longue balade autour du lac, elles sont revenues vers la cascade. Allongées sur l’herbe et bercées par le chant des oiseaux qui couvrait à peine le bruit de la cascade, les caresses sont venues toutes seules.
Tatiana avait embrassé Élodie tendrement, baiser transformé rapidement en une fougue dévastatrice pour leur chevelure, une main posée sur un sein à peine protégé par le seul tissu de sa robe légère. Les langues joueuses, les caresses dans le dos de Tatiana, les tétons durcis avaient attisé de plus en plus le désir charnel, l’envie qui fait monter de plus en plus la température des corps et des esprits. Les mains ont passé sous les robes pour aller palper avec délicatesse les doux fessiers nus sous les robes courtes, si courtes qu’elle ont fini par remonter de plus en plus haut sur leurs cuisses encore blanches. Les doigts ont apprivoisé les minettes encore à l’abri des regards, protégées par de minuscules pièces triangulaires de tissu rouge pour l’une, noir pour l’autre. Ils se sont infiltrés sous ce tissu pour aller constater de plus près que le flux du désir était bien présent et pour l’intensifier par de judicieux doigtés. Les minuscules strings ont glissé le long des jambes nues et frémissantes, puis ils ont disparu dans la nature.
À moitié nues, les belles ont savouré cet instant magique et annonciateur d’ébats passionnés et fongueux. Élodie, couchée sur le dos, la robe remontée jusqu’à la taille, les jambes ouvertes, a laissé sa chérie goûter à son jus au goût suave ruisselant de sa fente rosée. La belle Tatiana s’est délectée avec gourmandise de ce doux breuvage et, partageuse, elle a passé sa jambe par-dessus son amoureuse pour également lui faire goûter au sien dans un 69 effréné. Inconscientes du danger de se faire surprendre, elles ont poursuivi leurs ébats.
Sous la chaleur torride, un rafraîchissement aurait été le bienvenu ; aussi, après une inspection visuelle des lieux attestant qu’aucune âme ne viendrait troubler ce jeu saphique, elles ont décidé de plonger nues dans la rivière alimentée par la cascade. Le froid saisissant de l’eau a calmé les ardeurs, hérissé le duvet de leur peau et fait pointer leurs tétons.
Cette cascade bouillonnante et attirante est devenue un espace de jeu ; elles se sont faufilées entre la paroi rocheuse et l’eau qui coule à flots pour tenter de se placer dans le courant d’eau froide afin de profiter d’un massage improvisé d’hydrothérapie. L’eau avait fouetté les corps avec force, des épaules aux fesses ou des seins au bas des cuisses suivant la face exposée, si bien que ce massage glacé mais ô combien délicieux avait réveillé l’envie de s’aimer tout simplement.
Un rapide coup d’œil : toujours personne. Vite, direction la berge, et aussitôt allongées sur les serviettes elles ont repris leurs bisous, leurs câlins. Les bouches, les tétons, les seins, le ventre, le pubis, l’entrecuisse ont fait l’objet de toutes les attentions réciproques jusqu’au moment où l’instant tant désiré arriva. Il se produisit simultanément dans les deux puits d’amour, faisant vibrer les corps secoués par un orgasme puissant, puis il s’évanouit progressivement, de doux baisers servant de clôture à cet acte d’amour.
Un bain frais leur aurait fait du bien, alors elles se sont redressées pour aller une fois encore se baigner, mais un bruit de branches cassées sous des pas se sont fait entendre. Une silhouette avait disparu derrière les arbres. Des cris. Elles étaient prises de panique : les avait-on découvertes en train de faire l’amour, entièrement nues dans cette nature ? Qui était-ce ? Une, ou plusieurs personnes ? Des hommes, des femmes, des enfants ? La honte avait monté en elles ; le rouge aux joues, elles se sont habillées aussi vite qu’elles l’ont pu, ont ramassé leurs affaires et se sont enfuies pieds nus par le chemin, poursuivies par ce qu’elles ne savaient pas définir mais qui leur causait de la frayeur.
Arrivées à la voiture, elles se sont engouffrées à l’intérieur, tremblantes de peur, ont verrouillé les portières et ont regardé dehors. Rien ! Et si cela avait été juste un animal, une biche ou un cerf qui passait par là ? Ou tout simplement une branche tombée d’un arbre ? Elles sont parties dans un éclat de rire – un rire nerveux, celui du ridicule d’avoir eu la trouille – puis elles se sont embrassées et ont pris le chemin du retour.
Voilà la réalité de cette aventure.
— Donc, vous avez fait votre première exhibition ; et toutes seules, en plus. Vous n’avez plus besoin de nous, alors ?— Oh si ! Tu vas nous faire découvrir des trucs. Mais dis-moi : à ta fontaine Machin, il n’y a pas de voyeurs, des fois ?— Je ne sais pas ; nous n’avons jamais rien fait là-bas, que nous promener.
« Menteuse, Julie ; tu y vas en secret pour te foutre à poil et te baigner : tu sais qu’il y a parfois des voyeurs. Chut, il ne faut pas le dire… » Je crois que ma conscience vient de me gronder ; j’aurais voulu voir ça.
— Les filles, ce n’est pas bien grave ; et puis vous vouliez vous exhiber, donc c’est fait. Vous voulez aller plus loin ou pas ?— Oui, faites-nous découvrir ; mais rien avec les mecs, d’accord ?— Pas de souci, les filles : j’ai Julie ; elle me suffit largement. Vous avez ma parole.
Je leur prépare un punch un peu corsé, histoire de les dérider encore un peu plus.
— Les filles, vous ne voulez pas vous caresser un peu pour voir ? Un petit test pour la suite.— Là, maintenant ? T’es pas bien ! On va… proteste Élodie.— Vous caresser, si ! Exercice d’exhib, leçon trois. En route, les filles ! j’ordonne.— Oui, oui ; comme nous n’avons pas vu votre balade, je veux bien un petit aperçu, poursuit Pat.— Bon, OK, mais vous le faites aussi, rétorque Tatiana.— OK. Tout le monde à poil !
Je suis ravie de cette situation car je voudrais que mon chéri soit moins bestial par moments, qu’il mette plus de douceur. Je les observe, ma tête dans le creux de son épaule en le caressant tendrement de son torse à son sexe sans le masturber ; juste des caresses. Leurs baisers sont doux, tendres et sensuels comme j’aime ; je voudrais tant qu’il soit ainsi par moments… Les filles continuent leurs caresses, vont et viennent d’un endroit à l’autre de leur corps ; j’ai l’impression qu’elles savent exactement où poser leurs doigts, leur lèvres.
Avec mon homme, nos regards se croisent ; le fond de ses yeux scintille, une étincelle m’appelle. Nos lèvres se rapprochent, se touchent, s’ouvrent. Le baiser est tendre, amoureux, doux. Je suis comme sur un nuage, le temps s’arrête ; je suis bien, trop bien. Ma main posée sur le membre de Pat, notre baiser est interminable ; le spectacle extrêmement érotique des filles est un pur bonheur. Pat me serre dans ses bras. Je ne peux plus bouger. Son baiser devient fougueux ; il se contracte, et à la surprise générale éjacule tout simplement. Il est un peu gêné ; les filles et moi pouffons de rire, surprises par ce qu’il vient de se passer.

[ à suivre ]
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