Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 29 J'aime
  • 0 Commentaire

Vacances, sexe et exhib.

Chapitre 11

Voyeur / Exhibition
Destination inconnue.

Pat est en vacances ; je suis trop contente : il m’avait promis que nous allions partir cette année, sans me dire où. J’ai beau utiliser toutes les stratégies possible, rien n’y fait. Une tombe ; il ne lâche rien. Au matin de son premier jour de vacances, nous nous sommes levés un peu tard. Mon chéri nous a préparé un petit déjeuner royal – un brunch – et nous nous sommes installés dehors sous la tonnelle, nus comme d’habitude.
— Alors, les filles, vos petites expériences vous plaisent ? demande Pat.— Beaucoup ! Surprenantes et divines : un réel plaisir d’être en votre compagnie, vraiment, dit Élodie.— Merci beaucoup. Donc vous restez encore un peu ?— Bah, on va peut-être vous laisser tranquille ; on ne veut pas abuser de votre gentillesse.
« Oh, putain ! Elles ne vont pas se barrer, ces deux là ! Attends, je n’ai pas fini, moi ! »
— Hé, les filles, vous pouvez rester : c’est pas un souci. Au contraire… dis-je.— Ah, mais je ne leur demandais pas de partir ; c’était une constatation, parce que moi j’ai prévu… continue mon chéri.— T’as prévu quoi ? Il va le dire c’est sûr, j’interroge.— Surprise… ! N’insiste pas, ma chérie, je ne te dirai rien.— Et si à trois on te fait des gâteries, tu nous le diras, hein ? suggère Élodie toujours aussi curieuse et impatiente.— Et tu veux te taper Pat… Non mais, tu es folle ! Il te dit que c’est une S.U.R.P.R.I.S.E. Tu comprends le mot « surprise » ou pas ? vocifère Tatiana.
Oops ! Je crois que Tatiana est un peu, beaucoup, passionnément, à la folie jalouse : elle a failli la bouffer toute crue. Pas cuite, quoi !
— Bien, les filles ; quand vous aurez fini de vous bouffer le museau, vous le direz ; à moins que j’en prenne une pour taper sur l’autre.— Oh, regarde ce macho ! Tu oublies qu’on est trois filles et que tu es seul, réplique Tatiana.— Je ne prendrais pas ce risque, ma belle : il est pilier au rugby, et je n’ai pas dit que je suis avec vous. Si vous cherchez les emmerdes, à vous de voir ; moi, je tiens à ma santé.— Tu y tiens à ton gros, hein ! reprend Élodie.
— Vous vous égarez, les filles. Départ demain matin aux aurores. Compris ?
Un « Oui chef ! » général accueille son injonction.
— Mon chéri, si on ne peut pas savoir où l’on va, on peut savoir ce qu’on emporte comme vêtements ?— Rien, c’est bien.— On va au…— Oui : « on va au… », mais tu te tais. OK, ma chérie ?— Promis ! je lui réponds en lui sautant au cou.— Et, « au… », c’est où ? poursuit Élodie.— Bon, les filles, comme vous êtes invitées – et pour le coup MES invitées – donc, surprise.— Oui… Mais pourquoi nous, on ne peut pas savoir ? continue Élodie d’un air bougon.— Maintenant, tu attends. Elle est pénible à tout vouloir savoir avant tout le monde ! s’énerve Tatiana.
La soirée se passe dans une surexcitation générale. Comme je sais où l’on va, je trépigne d’impatience de partir. Les filles racontent notre journée et mes exploits dans le magasin de fringues, pour le plus grand plaisir de mon chéri qui nous avoue passer des moments inoubliables avec nous trois, « complètement fadas » comme il dit ; mais force est de constater que c’est un réel plaisir, surtout pour les yeux.
Lendemain matin à 6 heures, réveil au clairon. Tout le monde est debout ; il faut tout préparer. Je prête une valise aux filles qui y entassent toutes leurs affaires. Pour Pat et moi, une petite valise suffit.
— Qu’est-ce que tu mets pour faire la route, mon chéri ?— Short et marcel, c’est bien. Et toi ?— Short, et rien dessous ? — Si tu veux. Dans ce cas, toi, pareil : rien dessous.— OK, mais je pensais plutôt mettre un maxi tee-shirt avec rien en dessous.— Tu es folle, ma chérie !— Folle de toi, oui ; et de sexe aussi, je l’admets. Désolée, mon chéri.— Tout compte fait, c’est pas mal, ton idée…
Un bisou, la voiture chargée, et les filles sont enfin prêtes. Oui, « enfin », car le temps de se doucher, de se pomponner, de choisir la tenue qui va bien, nous aurions eu le temps d’arriver là où l’on va. Des Parisiennes, quoi… Elles arrivent souriantes et tout en beauté ; j’aime. Hé, les filles, vous avez vu ? Vous avez +2 « J’aime » d’un seul coup. Xstory ne sait pas le faire, ça, deux « J’aime » d’un coup. Bon, bref. Je les regarde les coquines : shorts déchirés ras du cul – ou plutôt ras la moule – et débardeurs : waouh ! Canons, les gonzesses !
— Julie, tu n’es pas encore habillée ? me demande Tatiana.— Si ; pourquoi ? C’est pas bien, ça ? je réponds en soulevant mon tee-shirt.— Un peu juste, non ? Il y a de la route, paraît-il.— Justement ; c’est pour jouer à un jeu pour passer le temps en route. — Et quel jeu ? Parce que te connaissant, il faut s’attendre à tout avec toi.— Vous verrez. Moi, je vous conseille de mettre autre chose : une robe qui tient toute seule. Vous savez, la robe bustier, par exemple.— Bon, OK.
Elles se changent et nous partons avec la BM de mon chéri, moi devant, les filles derrière. Derrière moi, Élodie. Pat au volant avec trois belles gonzesses, je peux vous dire qu’il va se la péter sévère ! Nous sommes sur l’autoroute en direction de l’Espagne ; je jubile car je sais où l’on va. Élodie, toujours aussi curieuse, demande :
— Au fait, Julie, tu nous à parlé d’un jeu tout à l’heure ; c’est quoi ? Raconte-nous.— Vous voulez y jouer ? OK, c’est simple. Le but, c’est d’avoir le plus possible de coups de klaxon et d’appels de phares de la part des routiers.— Euh… oui ; et comment on fait pour les faires klaxonner, tes routiers ?— Tu n’as pas une idée, ma pauvre fille ? ironise Tatiana.— Facile. Je vous explique : quand on arrive à la hauteur d’un poids lourd, Pat ralentit, et nous on se fout à poil en se caressant ou pas. Et si le mec ou la nana klaxonne et met un appel de phares, on marque un point. On fait chacune notre tour, et celle qui gagne a droit à un gros câlin par les deux autres. Je vous montre ?— T’es pas bien, mais vas-y. Ça m’étonnerait que ça marche, ton truc… doute Tatiana.
Aussitôt j’ôte mon tee-shirt, et j’allonge un peu mon siège à l’approche du premier camion. Pat ralentit ; je vois distinctement le chauffeur. Je lui fais un coucou de la main et me caresse. Nous restons à sa hauteur quelques secondes, puis Pat accélère. À ce moment-là, le chauffeur envoie un grand coup de klaxon et un appel de phares.
— Alors, les filles, convaincues ?— Ah oui ! Moi, je le fais. Et toi, ma chérie, tu le fais aussi, hein ?— Eh bien, pour une nana qui voulait à peine montrer un bout de fesse il n’y a pas si longtemps, tu me surprends de plus en plus, ma puce.— On n’avait pas dit qu’on voulait se surprendre et de faire des trucs de fous par amour ? demande Élodie à Tatiana.— Si, c’est vrai. Je t’aime, mon amour.— Bon, les filles, quand vous aurez fini de vous bisouiller, on pourra jouer, à moins que vous attendiez qu’on arrive à destination. Et puis mon Pat, vous allez le mettre dans un état pas possible.— Dis, Julie, ce ne serait pas plutôt ta main qui est en train de le mettre dans un état pas possible, comme tu dis ?
Merde, elles viennent de me piquer. Élodie, placée juste derrière moi, enlève sa robe. Nous passons le premier camion ; elle se caresse. Klaxon : donc +1 « J’aime ». J’ai pris un carnet, fait quatre colonnes : trois à nos initiales et une pour les camions. Je comptabilise. Un camion plus un coup de klaxon = 1 point. Non, un « J’aime ». La formule est simple :
Un camion + rien = 0 « J’aime ».Un camion + 1 coup de klaxon = 1 « J’aime ».Un camion + 1 coup de klaxon + 1 appel de phares = 2 « J’aime ».
Nous commençons nos exhibitions à tour de rôle. Les camions défilent, les « J’aime » aussi, et les commentaires de plus en plus grivois car je peux vous assurer que quand des filles commencent à parler de cul, les mecs, à côté, ce sont des minets. Voilà une heure que l’on roule. Pat propose une halte ; nous acceptons.
Sortie station-service de Lunel. Nous nous stationnons. Vite rhabillées, nous sortons de la voiture. J’ai envie de pisser, mais pas que : je suis trempée ; il faut que je fasse un brin de toilette. Nous pénétrons dans la boutique, je file vers les toilettes. C’est bien ma veine : il y a la queue. J’attends ; j’observe si on me regarde car mon tee-shirt est un peu transparent. Mon regard se pose sur deux femmes qui chuchotent je ne sais quoi. C’est sûr, elles parlent de moi en me dévisageant. Leurs yeux montent et descendent ; là, c’est bon : elles parlent de moi. Je vais leur rentrer dedans lorsque je me dis « Cocotte, n’oublie pas que t’es à poil dessous. Si tu bouge trop… » Bon, je croise les bras sur mes seins pour cacher la pointe de mes tétons saillants et je fixe d’un regard dur les deux mégères qui, comme par hasard, détournent la tête.
Enfin mon tour. J’entre dans les toilettes, trempée de mouille, excitée par notre exhib, et lève mon tee-shirt. Non, je l’enlève directement. Le dos appuyé à la paroi, je me touche le sexe, je m’électrise toute seule. J’ai envie, je n’en peux plus… Je me masturbe fort, et en un rien de temps c’est l’orgasme. Je suis pliée en deux, les fesses contre la paroi, une main en appui sur celle d’en face, les dents serrées à m’astiquer le bourgeon. Je m’effondre sur la cuvette, fais ce que j’ai à faire, me rhabille et sors.
Dans le miroir en face de moi : moi, rouge comme une pivoine ; il faut que je me passe un coup d’eau et me lave les mains. Je m’approche de la rangée de lavabos, prends celui qui est libre et me lave les mains et scrutant via le miroir si personne ne me regarde derrière. Je mets mes mains en forme de coquille, les remplis d’eau ; un coup d’œil, et hop ! je plonge mon visage une fois, reprends de l’eau deux, trois fois. Mon tee-shirt est mouillé ; tant pis.
Une jeune femme prend le lavabo d’à côté et penche sa tête vers moi.
— Vous savez que vous avez un beau cul ? me dit-elle avec un large sourire complice.
Le rouge me monte aux oreilles. Vite, je sors. La femme me suit et me susurre :
— Euh, pardon, mais vous êtes nue en dessous, n’est-ce pas ?
Elle m’emmerde, en parlant poliment.
— Oui. Ça vous gêne ?— Non, non. Je vous envie, c’est tout.— Faites pareil, alors !— Je ne peux pas ; mon mari…
Surprise ! Il est con, ce mec ; elle est vachement bien gaulée en plus.
— Quoi, il ne veut pas ? Il est con ou quoi ? Avec le cul que vous avez !— Bah, il est un peu coincé…— Tu sais quoi ? Tu as un tee-shirt comme le mien ? Autrement, il y en a là (je montre un portant avec dessus des maxi tee-shirts). Tu vas à ta voiture ; elle est où ?— Là-bas, à côté de la noire.— La BM ? C’est celle de mon mec. Va en acheter un et rejoins-nous là-bas.
Je retrouve mes trois compères, leur explique mon aventure, sauf les toilettes. La jeune femme nous rejoint. Nous sortons, moi mon café à la main, l’autre dans celle de Pat ; les filles discutent avec la fille. Nous arrivons près de la voiture du couple ; son mec nous toise. La fille ouvre la malle arrière de la voiture (une Peugeot, c’est marqué dessus ; moi et les bagnoles, ça fait deux : je sais que nous, c’est une BM ; j’en entends assez parler, de la BM…) ; elle pose le tee-shirt, et hop ! En un éclair, le short et le débardeur sont arrivés dans le coffre. La nana est à poil ; elle enfile le maxi tee-shirt. Élodie lui dit :
— N’oublie pas : s’il pose des questions, tu ne réponds pas ; tu lui fais un beau sourire sexy, tu lui masses la queue. Quand vous êtes sur l’autoroute, tu vires le tee-shirt, tu le suces à fond, et après tu restes à poil. Et ce soir, tu as intérêt à assumer ! Je t’ai mis mon numéro ; tu nous diras.
La fille monte dans la voiture, dit un « Roule ! » autoritaire à son mec, nous envoie un clin d’œil, puis la voiture démarre.
Nous remontons dans la voiture ; les filles on interverti leur places. Pat a à peine démarré que Tatiana est déjà à poil. Je comptabilise les scores : pour le moment, c’est Élodie qui gagne, mais elle a deux fois plus de « J’aime » que moi. Normal : elle le faisait deux fois sur trois pour qu’à la fin nous ayons fait notre exhib autant de fois chacune. C’est reparti ; les camions défilent, et les « J’aime » aussi. Maintenant, quand c’est le tour de Tatiana, Élodie lui suce les seins, et forcément elles ont des appels de phares en plus. Je vois le panneau de sortie « Agde - 10 km » ; il est temps de prévenir les filles. Je comptabilise les « J’aime » : nous en avons autant ; par contre, c’est Tatiana qui gagne, et moi je suis la dernière.
— Bon, les filles, on arrête le jeu ; on est presque arrivés.— On va où, alors ? Et qui c’est qui a gagné ?— C’est Tatiana qui gagne, et toi, Élodie en second. Mais vous avez triché : vous avez fait des trucs en plus.— Bon, les filles, vous savez ce qu’il vous reste à faire en arrivant ! Le pied, les filles ! jubile Tatiana.— OK, on fera ça sur la plage, je propose.— Sur la plage ? Tu es folle ! Mais où est-ce qu’on va ?— Vous avez entendu parler de plages du cap d’Agde ? — Les plages qui sont très chaudes ? On a vu un reportage à la télé ; et tu veux qu’on…— Qu’on se gouine, oui ! Vous allez voir les mecs bander et se branler en nous regardant baiser.— Mais on va se faire agresser… Ah non, pas question ! proteste Élodie.— Hé, les filles ! D’abord, pour la sécurité, on a Pat. Pas vrai, mon chéri ?— Pas de souci, les filles : je veillerai. De toute façon, les mecs ne sont pas méchants ; ce qu’ils veulent, c’est mater et se branler. Donc si vous ne demandez rien, il ne se passera rien. Par contre, si vous en sucez un, là, c’est la douche de sperme assurée ; à vous de voir. Pour le reste, rien à craindre.— Bon, si Pat le dit, je lui fais confiance. Dis, ma puce, on tente ?— On l’a dit, on le fait ! Je t’aime très fort.
Et nous voilà repartis pour une séance de bisous des plus fougueux. Je caresse la cuisse de mon chéri ; lui aussi est content, vu la taille de son sexe… Nous échangeons un sourire complice. Par contre, son histoire de douche de sperme, ça me trotte dans la tête ; ça doit être plutôt bizarre comme truc.
Nous arrivons au cap d’Agde. L’entrée dans le village naturiste a rendu les filles totalement muettes. Pat stationne la voiture sur le parking de l’hôtel, et nous nous présentons à l’accueil.
Nous sommes reçus par une hôtesse habillée très sexy ; Pat récupère les clefs des chambres. Nous avons une suite à deux chambres avec salle de bain commune ; tiens, on se croirait dans le château de Dame Erika ! Nous montons voir les chambres et nous rafraîchir. Avec les filles, nous nous installons au balcon de l’une des deux chambres pour admirer le paysage ; nous constatons que tous les gens sont nus, ce qui ne manque pas de provoquer des remarques de la part des filles
— Vous nous avez bien piégées, tous les deux ! me reproche gentiment Tatiana.— Non : « aidées » serait plus exact, vous ne trouvez pas ?— Et on va faire quoi ? demande Élodie.— Mon chéri, les filles demandent le programme !— J’arrive. Mettez-vous en tenue ; on va s’installer sur le balcon.
Docilement, nous nous exécutons.
— Julie, dis-nous ce que vous avez prévu ? demande Tatiana.— Ma pauvre, je n’en sais rien. Je ne suis au courant de rien ; j’ai juste compris dans la voiture. Pour moi aussi, c’est une découverte.— Vous êtes déjà venus ici ? Parce que c’est très chaud, d’après ce qu’on a pu voir à la télé.
Pat arrive, nu comme nous, avec un plateau garni d’un seau à champagne, de flûtes et de gâteaux. Il verse le champagne, tend une coupe à chacune, prend la dernière et s’assoit.
— Les filles, on trinque à ce week-end que nous allons passer ensemble. Tchin-tchin !

[ à suivre ]
Diffuse en direct !
Regarder son live