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Vacances sur la côte avec ma mère

Chapitre 1

Inceste
Ma mère s’appelle Mona. C’est un belle femme brune de trente-sept ans à la peau mate et aux longs cheveux noirs et bouclés. Mona mesure 1m65. Elle a un cul magnifique, des seins en poire dotés de gros tétons qui pointent fièrement sous ses chemisiers et des jambes admirablement fuselées qu’elle prolonge généralement par des talons d’au moins 12 cm. Je m’appelle Mickaël, je suis fils unique et je vis seul avec Mona depuis que mes parents ont divorcé l’année de mes seize ans.
Le jour de mes dix huit ans, j’étais seul à la maison avec maman et celle-ci avait voulu que ce jour anniversaire reste à jamais gravé dans ma mémoire. Nous avions un peu bu pendant le dîner et nous n’arrêtions pas de rire et de nous chamailler. Puis nous avons commencé à danser. D’abord quelques rocks aux rythmes plus au moins soutenus. Après le célèbre Rock around the clock des Comets, je commençais à manquer d’air. Alors, naturellement je décidai de changer le CD et, avec l’accord de Mona, j’optai pour un disque comportant exclusivement des slows parmi les plus emblématiques.
Avant d’entamer une danse langoureuse, j’attrapai la main de Mona puis je passai mon bras droit autour de sa taille ce qui la fit frissonner brièvement.Peu à peu, maman se rapprochait de moi me fixant avec son regard enamouré. Je finis par lui rendre sa main pour placer la mienne sur sa hanche généreuse. Mona posa sa tête sur mon torse et entoura ma taille de ses jolis bras fins. L’odeur de son parfum me troublait et me faisait tourner la tête. Je me mis à bander au contact de son corps souple et nerveux.
Je pouvais sentir la chaleur du sexe de ma mère à travers l’étoffe légère de sa jupe et, sans que je comprenne comment c’était arrivé, je me retrouvai en train de l’embrasser à pleine bouche. Sa langue explorait tous les recoins de ma cavité buccale. Sa chatte était brûlante de désir et elle se frottait impudiquement contre ma queue qui n’avait pas attendu ce contact pour devenir raide et dure comme l’acier.N’y tenant plus, je pris alors maman dans les bras et la portai jusqu’à sa chambre avant de la déposer doucement sur le lit. Étendue sur le dos, elle me regardait me déshabiller en titillant doucement son clitoris.
— Viens me baiser mon amour ! lâcha t-elle alors d’une voix douce.
Bien sûr, j’avais déjà eu des petites amies et j’avais même couché avec les mères de certains de mes camarades de classe, mais jamais je n’avais été aussi excité que ce jour là. Je pris juste le temps de faire glisser le string de Mona jusqu’à ses pieds avant de le jeter sur la chaise puis je me couchai sur elle pour la pénétrer.Lorsque je tapai le fond de son fourreau incandescent, Mona eut un hoquet et enroula ses jambes autour de ma taille. Nous étions parfaitement imbriqués et je commençai à limer ma mère, lentement, accélérant le rythme peu à peu pendant de longues minutes jusqu’à ce qu’elle se tende comme un arc et que les contractions de son vagin provoquent mon éjaculation. J’avais l’impression que jamais je n’avais libéré autant de semence entre les cuisses d’une femme.
Cette étreinte scella donc le début d’une relation charnelle qui allait par la suite devenir de plus en plus intense et importante pour Mona et moi. Le soir même, je décidait de partager le lit de ma mère et il ne se passait pas de jours sans que nous fassions l’amour plusieurs fois. Mona était heureuse de s’offrir à moi sans retenue et d’exaucer tous mes désirs. En quelques mois ma mère était devenue ma maîtresse soumise et elle ne pouvait rien me refuser.
Je décidai donc que pour les vacances de Pâques nous irions maman et moi passer une semaine à Nice dans la maison de mes grands parents en précisant bien à Mona que sur place nous ne changerions rien à nos nouvelles habitudes et que je dormirais bien évidemment avec elle pendant tout le séjour.
Je voulais que papy et mamy comprennent que leur fille était devenue ma chose toute dévouée à mon plaisir.Comme il faisait très beau et chaud pour la saison, ma mère chérie ne portait que des mini-jupes, des dos nus et des sandales à talons hauts. J’étais comme un jeune taureau fougueux et comme je lui interdisais de mettre des sous vêtements je la prenais dés que j’en avais envie.
Malgré la réprobation de ses parents, maman avait insisté pour que je dorme dans son lit menaçant de partir s’ils refusaient. Je me comportais avec ma mère comme un macho possessif et je ne me gênais pas pour la peloter et l’embrasser quand l’envie me prenait. Évidemment nous passions toutes nos nuits à baiser et les gémissements et les cris de jouissance de Mona résonnaient dans toute la maison.Je me comportais comme un petit caïd demandant à Mona de se trimballer cul nu ou en nuisette ras la touffe dans la maison. Quand j’en avais envie je m’installais confortablement jambes écartées dans le grand fauteuil du salon et je demandais à ma mère de me sucer sans me préoccuper de la présence de ma grand mère.
Comme mon grand père était souvent en déplacement, on le croisait très peu et ça m’arrangeait bien car je pressentais qu’il n’aurait pas accepté facilement que je saute sa fille à tout bout de champ. Mona adorait que je la traite comme une femme soumise et je pense qu’elle appréciait de se comporter comme une traînée devant sa mère.
Un jour nous eûmes la visite de Suzou une des cousines de maman. Suzou possédait une voiture de sport décapotable qui correspondait parfaitement au look cagole plantureuse qu’elle arborait. Les cheveux noirs, très maquillée, la peau dorée par le soleil, elle portait une mini-jupe qui ne cachait pas grand chose de ses belles cuisses halées, un cache-cœur bien décolleté sur ses gros nichons intégralement bronzés, de larges créoles aux oreilles et une fine chaîne en or à la cheville droite ainsi que des sandales d’été à très hauts talons.
Tout à fait le genre de pouffiasse de la côte qui me fait bien fantasmer. Lorsqu’elle me vit, après avoir salué ma mère et ma grand mère, elle s’exclama :— Mona ne me dis pas que ce superbe jeune homme est ton fils ?— En effet Suzou, c’est bien Mickaël mon garçon chéri, dit ma mère. Il a beaucoup changé en un an.— Et comment ! s’exclama Suzou. Il semble extrêmement viril pour son âge.
Je m’approchai alors de ma cousine pour lui faire la bise.
— Tu as raison. dis-je et je te retourne le compliment : tu es très attirante pour un mâle dominant. Je m’adressai ensuite à ma mère.— Dis moi Mona chérie, je suis sûr que Suzou a toujours été attirée par les étalons sûrs d’eux.
La cousine ne se démonta pas.
— C’est vrai, quand nous étions jeunes ta mère et moi, on se disputait souvent les beaux machos. Et Mona avait déjà beaucoup de succès. Puis elle s’est calmée quand elle a épousé ton père.
Elle s’adressa alors à Mona :
— Maintenant que tu es divorcée et toujours aussi sexy, tu ne dois pas manquer de soupirants. — Et toi l’interrompis-je alors, tu dois être très courtisée aussi. — Je ne me plains pas ! rigola t’elle en me faisant un clin d’œil mais ce n’est pas si facile de tomber sur un étalon capable de satisfaire une femme exigeante. Et puis je suis une femme mariée.
Ma grand-mère expliqua:
— La belle Suzou est mariée à un médecin acupuncteur qui est actuellement en déplacement à l’étranger. C’est pour cela qu’elle a pu venir nous voir car elle n’est pas clouée au cabinet de son mari. Allons ne restez pas là, continua-t-elle, venez vous installer sur la terrasse; vous serez mieux pour bavarder. Mickaël va apporter des boissons pendant que je m’occupe des gâteaux.
Suzou s’installa sur le sofa en croisant ses jambes et Mona se posa dans le grand fauteuil jambes écartées ce qui permettait à un observateur obsédé comme moi de voir son joli minou que je lui avais demandé de garder avec sa toison naturelle.
J’apportai des verres, de la bière et de l’anisette et je servis les femmes avant de m’asseoir aux côtés de Suzou.— Dis-moi cousine déclarai je en posant ma main sur la cuisse bronzée de la Cagole: tu as une très jolie voiture. Tu ne m’emmènerais pas faire un tour par hasard. — Je te vois venir coquin répondit-elle en riant. Tu recherches des émotions fortes. — Oui avouais je, ça doit être grisant de se faire conduire sur la grande corniche par une belle conductrice sexy au volant d’une voiture de sport.
Suzou s’adressa à ma mère.
— Est-ce que tu m’autorises à emmener Mickaël faire un tour avec moi. Bien sûr répondit Mona. Il est majeur tu sais, c’est un homme maintenant.— Eh bien dis-donc, fit Suzou, j’ai l’impression qu’il va falloir que je me méfie de ce séducteur. Mais je veux bien prendre le risque.
Je posai alors ma main sur l’épaule de ma petite cousine et l’embrassai sur la joue avant d’ajouter :
— Tu es un amour Suzou. Je saurai me tenir.
Je bus un peu de bière et laissai les femmes discuter un moment jusqu’à ce que Mona m’appelle.
— Coucou Mickaël, Suzou est prête pour t’emmener faire un tour de voiture. Tu es toujours partant.— Bien sûr maman ! fis-je. J’arrive.
Ce jour là je portais un jean levis délavé et un blouson assorti ainsi que des baskets basses Converse bleu marine. Je n’avais mis ni chemise ni sous vêtements afin que ma tige, déjà très imposante au repos, soit bien apparente. Après m’être installé à la place passager et avoir attaché ma ceinture, je mis une petite claque sur la cuisse bronzée de Suzou et déclarai :
— Allez ma belle, fais moi vibrer.
Elle me regarda d’un air réprobateur puis enclencha la première et démarra aussitôt en faisant vrombir le moteur. Dès que nous fûmes sur la route qui menait dans les hauts de Nice, la cousine me questionna :
— J’ai vu que ta mère ne portait pas de culotte chez ta grand mère. Ça lui arrive souvent ? — Depuis quelques mois, elle n’en porte jamais ! dis-je. Elle se comporte comme une vraie salope et elle se tape plein de types à condition qu’ils soient montés comme des ânes. — Tu déconnes s’exclama Suzou stupéfaite.— Pas du tout. Maman a envie de s’éclater et je trouve ça cool. Tu devrais faire pareil.
Ma déclaration la laissa sans voix.
— Je te rends service quand tu veux ! ajoutai-je en ouvrant ma veste sur mon torse nu et musclé avant de poser ma main sur sa cuisse appétissante. C’est le pied de se faire conduire dans un bolide par une jolie femme dotée de cuisses magnifiques et bronzées et si douces au toucher. J’en suis tout émoustillé.
Suzou se mit à rire :
— Allons veux tu bien retirer ta main coquin.— Dommage ! fis-je, mais c’est trop tard. Tu m’as filé une trique d’enfer.
La femme aux cheveux de jais jeta un coup d’oeil sur mon entrejambe. Je vis le trouble apparaître sur son visage.
Profitant de ce moment de flottement, je défis ma braguette et fis jaillir ma queue hors de mon pantalon. Quand ma cousine aperçut l’engin elle fit un écart et s’écria :
— Boudu! s’écria t elle. Qu’est ce que c’est que cette bite. Elle est énorme.
Je vins poser mes doigts sur son slip et lui demandai :
— Elle ne te donne pas envie ? — C’est incroyable, tu es monté comme un âne ! se contenta t’elle de répondre avant de se diriger vers sa maison.
Quarante minutes plus tard, j’étais agenouillé sur le lit conjugal de la cagole et je lui ramonais la conasse avec ma poutre déployée. Suzou n’était pas assez profonde pour accueillir toute ma tige mais elle appréciait énormément l’épaisseur du calibre qui lui dilatait la chatte.
— Ça doit te changer de la petite bite de ton mari ? lui dis-je. — Oh ouiii, j’ai jamais été aussi bien remplie avoua-t-elle en gémissant. Qu’est ce qu’elle est bonne ta bite. Ramone- moi la chatte.
Je ne m’en privai pas et la fis rapidement jouir avant de lâcher mon jus dans son intimité. Évidemment j’étais loin d’être rassasié et Suzou s’en rendit compte.
— La vache ta bite est toujours aussi grosse. Vas-y doucement, tu vas m’arracher la chatte.— C’est pas la chatte que je vais t’aléser, ma belle cousine. C’est le fion ! — Tu es malade! jamais je pourrai recevoir ton calibre dans le cul !
Suzou fit mine de s’échapper mais elle était littéralement soudée à mon tenon et elle n’avait visiblement pas envie de s’en détacher. Je me remis donc à faire coulisser mon calibre dans sa chatte accueillante, jusqu’à ce qu’elle lubrifie suffisamment pour apprécier à nouveau et sans modération l’épaisseur de mon cep. Ses gémissements de plus en plus bruyants m’encourageaient à maintenir le rythme de mes coups de boutoir.
— Oh ouiii vas-y continue défonce moi le minou. Ça fait si longtemps que j’ai pas pris une vraie queue dans la chatte.
Tout en la limant je m’étonnai :
— Une belle pouliche comme toi est faite pour accueillir des queues énormes ; Ne me dis pas que tu n’as jamais trompé ton mari. — Et si pourtant! tu es le premier mais crois bien que je le regrette aujourd’hui parvint elle à articuler en soupirant bruyamment.— Tu as bien raison continuai-je, éclate toi et tape-toi des énormes braquemarts.
Elle ne m’écoutait plus jouissant du plaisir que lui procurait ma bite plus gonflée que jamais, retardant au maximum l’orgasme qui allait la laisser pantelante.
Comblée par nos premiers coïts, Suzou m’invita spontanément à passer les deux jours suivants dans sa maison ce que j’acceptai aussitôt à condition que ma mère chérie puisse nous rejoindre.Un peu surprise, ma cousine accepta ma demande et j’appelai Mona pour lui dire qu’on l’attendait pour le dîner.Maman arriva au volant de sa voiture vers 20h00 avec un petit sac de voyage pour tout bagage. Elle portait un chemisier blanc simplement noué sur son ventre et décolleté jusqu’au nombril, un mini short gris brillant qui moulait son beau cul rond et des escarpins à bride à très hauts talons.J’allai à sa rencontre et la pris par la taille en glissant ma main entre le derrière du short et ses fesses nues. Elle déposa alors un chaste baiser sur mes lèvres. Et nous nous dirigeâmes vers la maison de notre hôtesse.
Lorsque nous fûmes dans le salon, Suzou vint nous retrouver en dos nu marron, mini-jupe portefeuille beige et escarpins en daim à très hauts talons. Elle s’adressa à ma mère.
— Ton fils est vraiment très prévenant ma belle. C’est lui qui a insisté pour que tu viennes passer quelques jours ici.
Mona rétorqua :
— je suis sûre que tu aurais préféré rester seule avec lui. Et je te remercie de m’accueillir malgré tout.— C’est vrai que j’ai l’intention de profiter des qualités exceptionnelles de Mickaël avant le retour de Jean Claude. confirma Suzou.
Je m’approchai d’elle et glissai ma main sous sa jupe pour peloter son beau cul nu .
— Tu sais que Suzou pratique le naturisme et qu’elle est intégralement bronzée, dis-je à Mona en soulevant la jupe de sa cousine. Tu as vu comme son minou est appétissant, ajoutai-je en dégrafant le pan de la jupe pour la faire tomber. Mona chérie, veux tu-bien sucer la jolie fente toute lisse de Suzou pour la remercier de son hospitalité.— Bien sûr mon chéri. me répondit Mona. Tu sais bien que j’aime satisfaire tous tes désirs.
Je pris alors Suzou dans les bras pour l’installer jambes écartées sur un fauteuil à accoudoirs du salon. Puis j’aidai ma mère à retirer son mini-short pour qu’elle se retrouve elle aussi le cul à l’air car je ne me lassais pas d’admirer son beau fessier rond.Mona alla ensuite s’agenouiller entre les cuisses de la femme aux cheveux de jais et elle se lança dans un cunnilingus appliqué ne se privant pas d’introduire et de faire coulisser ses longs doigts fin dans le fourreau intime de sa cousine.Rapidement Suzou se mit à gémir de plus en plus fort et vite.Je me désapai tout en profitant du spectacle qui me filait une trique d’enfer. Lorsque Suzou prit son pied, Mona me laissa la place pour que je puisse venir planter mon pieu dans la chatte gluante et limer la cousine infidèle. Plusieurs minutes plus tard elle grimpa de nouveau au rideau alors que je vidais mes couilles dans son minou bien élargi par les coïts successifs de l’après midi.
— Mona, ton fils est un formidable étalon ! déclara Suzou à ma mère après avoir récupéré de ses derniers orgasmes. — Je sais cousine chérie. Il faut laisser Mickaël s’occuper de toi à sa guise et lui offrir tous tes orifices. il te fera jouir comme jamais. — Merci pour vos compliments mesdames ! intervins-je. Je suis heureux d’honorer deux aussi belles femmes que vous. Mona, je voudrais maintenant que tu prépares l’oeillet de Suzou avec ta langue et tes doigts afin qu’elle éprouve très vite du plaisir lorsque je l’enculerai juste après.— Tes désirs sont des ordres mon amour, me dit maman avec un grand clin d’œil. Vingt minutes plus tard, Suzou connaissait son premier orgasme anal après que je lui ai ramoné les boyaux et distendu les sphincters énergiquement.
Mona nous proposa ensuite d’aller dîner dans un restaurant cossu de l’arrière pays Niçois puis de finir la soirée dans une boîte située sur la plage entre Nice et Antibes.
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