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Vacances Torrides

Chapitre 6

Tour d'honneur

Erotique
Tour d’honneur

Il se fait tard en cette dernière nuit de vacances, mais je ne rêve que d’une chose, aller me promener au clair de lune. Mon mari préfère se reposer en vue de la route qui nous attend demain, mon fils et le fils de mes amis sont partis ensemble, et mes amis restent au mobile-home, dans l’objectif, eux aussi, de passer une nuit tranquille. Alors qu’ils sortent un jeu de carte, je sors dehors, et je commence à marcher dans l’obscurité qui commence à se propager.
Seule avec mes songes, je ne peux que me remémorer tout ce qu’il s’est passé depuis le début de ces vacances. Le mobil-home disparaissant, laissant mon mari et nos amis derrière moi, je me souviens de cette nuit où notre ami m’a prise au dépourvu, arguant que mon mari me trompait en ce moment-même. Je ne peux cacher y avoir pris du plaisir, mais je me demande s’il disait la vérité, ou s’il trouvait juste une fausse excuse pour que je me laisse aller à lui. Après tout, c’est la seule fois où il a eu des rapports avec moi, il n’a plus recommencé par la suite. Était-ce un coup d’une fois ? Un échange de femme entre mon mari et lui ?
Le temps de tergiverser sur le sujet, me voilà à présent dans un chemin qui serpente entre les pins, afin de rejoindre la plage. Quand j’y repense, c’est là que tout a commencé. Par le chantage d’un vieil homme pervers, qui doit encore se toucher en regardant les photos volées de mes caresses intimes. Dès le premier jour, le ton des vacances était donné, mais en y repensant bien, je dois bien avouer que la situation était très excitante, et peut-être que toutes mes aventures suivantes n’auraient pas existées sans ce moment précis.
Ça y est, me voilà sur la plage. Je prends une grande inspiration, remplissant mes poumons de cet air salé. Malgré la nuit qui s’est installée, il fait bon, et se promener face à la mer est d’autant plus agréable. Ça me rappelle cette journée où je suis partie seule me promener de bon matin. Le temps était doux, et personne ne semblait vouloir en profiter. Pourtant, quelle aventure j’ai vécue ! Après m’être laissée aller au plaisir charnel avec un inconnu dans la mer, j’ai dû rentrer au camping entièrement nue, en devant me protéger des passants, et de mes connaissances. Un sourire me vient aux lèvres, et un petit rire s’échappe de ma bouche. Même si j’étais dans un état de panique avancée à ce moment-là, ce souvenir me fait bien rire maintenant.
Je vis un instant à la fois mélancolique, mais également de bonheur. C’est sûr que les choses ne seront plus pareilles désormais, mais pour le moment je suis en vacances, je tournerais la page une fois rentrée à la maison. Pour le moment, je marche presque seule sur la plage, je ferme les yeux, et profite de l’air marin.
Après un petit moment de marche, j’entends une voix masculine m’appeler. J’ouvre les yeux, et je découvre avec étonnement, les deux jeunes hommes que j’avais rencontrés dans les douches du camping. Ils s’avancent vers moi amicalement, alors que je vais également à leur rencontre avec mon air guilleret habituel. Les retrouvailles se font dans de bons termes, les deux jeunes me demandant comment je vais, et comment se passent mes vacances, avant tout autre chose. Nous discutons un moment tous les trois, et je leur annonce la fin de mes vacances. Le hasard, pas si surprenant que ça, fait que pour eux aussi, c’est le dernier jour. On se promène sur la plage tous les trois en discutant, et nous échangeons même nos numéros de téléphone. Même si nous n’habitons pas au même endroit, ça peut être sympa de garder contact.
Alors que nous nous promenons sans aucun but, je m’arrête et j’enlève ma robe. Je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça, et ça interloque même mes deux nouveaux amis. Il faut croire que j’ai pris goût à toutes ces aventures inopinées. Je m’agenouille devant les deux jeunes mâles, et je défais leur bas, afin de retrouver deux amies que j’avais perdu de vue, leur belle queue. Sans demander la permission, je lèche leur sexe avec envie, me délectant une nouvelle fois de leur membre. En toute équité par rapport à la dernière fois, je suce tout d‘abord le blanc, tandis que je caresse et branle la bite et les couilles du noir. Je les vois finir de se déshabiller du coin de l’œil, tandis que je gémis à les sucer à tour de rôle. Je me laisse aller à une frénésie orale, enfonçant les membres de mes partenaires le plus profondément possible dans ma gorge, insistant pour qu’aucune parcelle de leur queue ne soit en dehors de ma bouche. C’est décidé, si je dois tourner la page demain, alors autant écrire un dernier chapitre d’anthologie !
Je me redresse sur mes deux jambes, déterminée à prendre du plaisir. Je pousse le noir à s’allonger sur le sable frais, tandis que je grimpe sur lui à califourchon. J’enfonce son sexe dur dans ma chatte, et je commence à rebondir sur lui comme une coquine engagée. Je ne laisse bien évidement pas l’autre en reste, puisqu’après avoir pris mon rythme, j’écarte mes fesses pour laisser le blanc me prendre le derrière. Il s’enfonce bien profondément en moi, et me tire les cheveux pour me cambrer, et me pénétrer au maximum. Je lâche un très profond gémissement, tout le long de sa poussée. Les deux hommes me prennent maintenant tous les deux en désynchronisation. Quand l’un rentre, l’autre sort. Le blanc me tire toujours plus les cheveux, me pliant en arrière, mes cheveux caressant mon derrière. Le noir s’applique à malaxer ma lourde poitrine d’une main. L’un de mes seins est fermement empoigné, tandis que l’autre virevolte à chaque coup de sexe. Ils ont tous les deux une main de libre, qui s’appliquent à me fesser, l’un sur la fesse gauche, et l’autre sur la fesse droite. Je crie d’extase, c’est si bon !
Perdue en plein bonheur, je réalise être dans un lieu public, et je laisse vagabonder mes yeux. Une foule s’est arrêtée pour admirer le spectacle. C’est la première fois que je me donne de la sorte, mais ça ne me dérange pas le moins du monde. Peut-être parce que je ne connais pas ces gens, et que je ne les reverrai plus jamais.
Mon partenaire de derrière arrête de me gifler les fesses, et commence à pétrir lui aussi ma poitrine, s’occupant particulièrement de mon sein libre. Sa queue quitte également mes fesses, étant très vite remplacée par quelques doigts de mon partenaire du dessous, qui hameçonne mon trou avec ses doigts, et qui tire mon derrière vers le haut, pour le relever tel un trophée de pêche. C’est alors que je sens les parois de ma chatte s’étirer, me provoquant un énorme cri de plaisir et de douleur partagés. Le blanc glisse lui aussi sa queue dans ma chatte, l’étirant comme jamais elle ne l’a été auparavant. Les deux compères s’occupent de moi, tandis que je suis trop occupée à hurler mon plaisir, excitant toujours plus les spectateurs, certains se payant même le culot de prendre des photos ou des vidéos. Au point où j’en suis, je m’en fiche, je veux juste prendre du plaisir.
Du plaisir j’en prends, et en quantité astronomique, les sexes de mes amants me transpercent comme jamais, et je découvre un plaisir pour lequel je pourrais bien devenir accro. Mais le sexe, comme toute bonne chose, a une fin, et j’explose dans un orgasme si tonitruant, qu’il pourrait réveiller un village entier. Les deux mâles s’accordent à jouir en même temps, remplissant mon orifice de leur délicieuse semence.
Essoufflée, je m’effondre sur le corps du noir, tandis que son ami se retire de moi, me faisant lâcher un nouveau soupir. Le blanc s’occupe de disperser la foule, tandis que son ami se relève en me tenant contre lui. Lorsque le rideau est enfin tombé sur la scène, ils me remercient tous les deux, mais c’est moi qui les remercie de cette incroyable découverte. Nous nous rhabillons lentement, enfin, surtout moi, puis ils me raccompagnent tous les deux jusqu’au camping.
Sur le trajet du retour, on discute de tout et de rien, comme le ferait de vieux amis. Une fois arrivés jusqu’à leur terrain, nous nous faisons une accolade d’au revoir, ou plutôt d’adieu, car je leur ai donné un mauvais numéro. Je repars en adressant au passage un sourire aux douches du camping, là où j’ai rencontré ces deux jeunes pour la première fois.
Le mobil-home en vue, je m’en approche doucement, le temps pour moi de faire mes adieux à ces formidables vacances. Qui m’a baisé l’autre nuit ? Mon fils ? Mon ami ? Son fils ? Peu importe puisque demain la page sera tournée, et le livre refermé.
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