Voici l’histoire réelle de ma découverte du plaisir gay passif. Je suis un garçon timide et peu sûr de moi depuis mon enfance. Après avoir fait du judo, je pratique la lutte libre depuis mes 11 ans pour pouvoir "m’affirmer" dans ce sport très viril. Dernièrement, un nouvel inscrit au club de lutte, Kevin, est venu me défier et m’a proposé un combat chez lui, ayant transformé son garage en salle de lutte. Il faut dire que malgré moi, je matais l’entrejambe très généreux de son maillot de lutte! De son côté, il me dévisageait souvent aussi. Jusque là, je n’avais guère eu d’expérience homo, si ce n’est des branlettes mutuelles avec des copains de collèges, mais j’ai toujours aimé reluquer les shorts et maillots de lutte, bien remplis. Avant le combat, à la demande de Kevin, nous avions passé un test HIV, heureusement négatif: je me doutais bien qu’il avait une petite idée derrière la tête.... J’ai perdu le combat. Kevin m’a plaqué sur le dos et je sentais sa bosse virile sur la mienne, nous bandions à fond tous les deux. Kevin s’est redressé et a baissé le haut de mon maillot de lutte et a introduit sa main droite sous le maillot pour m’empoigner le slip, puis il m’a baissé complètement le maillot, puis défait mon slip et s’est rallongé sur moi: la bosse de son maillot de lutte branlait ma queue dressée. Il m’a alors glissé à l’oreille: "tu veux mon zob sur le tien?" J’ai répondu simplement: "oui". Il s’est alors avancé sur moi et m’a pointé sa bosse sous le nez: "Embrasse-moi là!". J’ai embrassé et même sucé cette bosse énorme, je l’ai aussi un peu gobée dans ma bouche, des couilles au sommet de son zob. Il s’est alors reculé et a baissé jusqu’aux genoux son maillot de lutte et est revenu sous mon nez, plaquant son slip sur ma figure et il me dit: "Continues à honorer ton vainqueur!" J’ai repris mon embrassage du paquet, mon gobage de ses attributs par-dessus son slip. Après cela, il s’est reculé, a baissé son slip et j’ai pu voir un zob énorme, un pieu massif, long et épais, impressionnant mais beau à regarder, avec au-dessous une paire de couilles presque aussi grosses que des oranges. Il me prévient alors: "Avant de me le sucer, il faut que je mette KO ta bite!" Il s’est donc allongé de nouveau sur moi, posant son zob massif sur le mien, et a commencé un cock-fighting. Son gourdin écrasait mon zob, mais je tentais de résister et même de donner des coups de bites sur son gland, mais comme j’étais écrasé sous le poids de Kevin, je devais subir le pistonnage de son membre qui limait ma queue. Le gland de sa bite boxait ma queue de la base de la hampe jusqu’au gland qui coulait du jus pré-spermatique. Je gémissais de plaisir sous les assauts virils de Kevin. En sentant le méat de son gland percuter mon gland, je capitulais et je lançai un premier jet de sperme bien chaud qui vint enduire nos torses. Kevin bloqua alors mon gland avec la hampe de son zob et mes paquets de foutre s’écrasèrent sous son gland. J’éjaculais à gros bouillons en grognant de plaisir... J’étais humilié et j’aimais ça! Kevin attendit sans bouger la fin de mon éjaculation, puis se remit à califourchon sur moi, présentant son zob vainqueur à ma bouche et me dit simplement: "suce !" C’est avec avidité que je gobai son gland, le suçai, le goûtai, le pompai quand Kevin m’enfonça toute sa bite jusqu’aux couilles. Je m’appliquai avec soins et Kevin gémissait. J’ai bien cru qu’il allait se vider dans ma bouche, mais il se retira à temps car ce qu’il voulait, c’était me prendre, me baiser et juter dans mon cul. Le souffle court, il me retourna sur le ventre, je me laissai faire, autant profiter jusqu’au bout de l’excitante défaite! Il m’écarta les cuisses, me leva un peu les fesses et je sentis le bout de son gland enduit de mon sperme vaincu peser sur ma rondelle. Il guida sa bite d’une main et enfonça un peu son gland, mais étant puceau du cul, il ne put s’introduire. Il m’écarta alors les fesses au maximum et là, je sentis le bout de son gland dilater ma rondelle, puis il donna un coup de bite violent qui propulsa la moitié de son gland dans mon conduit qui alors se comporta comme une ventouse, attirant le gland plus en avant. Kevin, la bite bien engagée, me prit alors aux hanches et s’enfonça davantage en moi. Je me surpris à dire: "Défonce-moi!" Kevin me répondit: "Je vais t’étriller le cul, te défoncer, te baiser... Sens comme ça coulisse bien avec ton sperme de vaincu, heureusement car tu est étroit mon salaud, t’es un régal pour ma bite" Je gémissais de plaisir, je bandais dur, je voulais me branler mais je ne pouvais pas... Kevin poussait des "Han, han" à chaque coups de bite, je sentais ses couilles bien pleines me taper dessus. Soudain, je sentis son zob gonfler et se cabrer, il allait se vider les couilles. Kevin poussa un cri rauque, puis grogna sa jouissance: un jet puissant de sperme fusa dans mon conduit, puis d’autres jets vinrent m’inonder tandis que j’éjaculais aussi sous moi, grâce au frottement de ma queue sur le tapis de lutte. Kevin finit de juter en gémissant, affalé sur mon dos, crachant de lourds paquets de foutre qui lui vidaient complètement les couilles... Il s’extirpa de moi, me roula une pelle avant que j’embrasse sa queue souillée qui était toujours dure. Nous avons pris une douche durant laquelle j’ai sucé et pompé son merveilleux membre qui m’avait procuré tant de jouissance: Kevin a joui presque à sec, ne jutant qu’un mince filet de foutre. Kevin, mâle dominant, m’a soumis à lui.
