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Val 2

Chapitre 1

Hétéro
Val 2Je vous ai raconté ma rencontre avec Valérie qui, à la recherche d’un emploi, avait intégré mon bureau pour la formation et l’introduction dans la société qui m’emploie. Voici la suite des événements.Comme vous l’avez constaté, nos relations ont dépassé le cadre professionnel bien que sur notre lieu de travail nous soyons restés très discrets même si certains collègues qui me connaissent bien m’ont fait quelques allusions et sourires entendus.
Nos journées de travail, bien qu’efficaces, se déroulent dans la détente et quelques frôlements et caresses furtives. Je finis parfois la soirée chez elle sous prétexte de réunions ou de dossiers à terminer.
Un jeudi soir, ma femme m’annonce que sa sœur vient d’accoucher et qu’elle part vendredi chez elle pour prendre en charge son fils aîné et qu’elle reste quelques jours avec elle lorsqu’elle rentre de la maternité afin de l’aider à s’organiser. J’en parle à Valérie dès le vendredi matin et l’invite à passer le week-end à la maison. Pour me remercier, elle ferme la porte de mon bureau et m’offre un baiser d’anthologie. Pour que sa voiture ne reste pas devant la maison, je décide d’aller la chercher à 20h. Lorsque je sonne à sa porte, n’entendant pas de réponse, j’entre doucement et la trouve dans la salle de bain en train de se donner un dernier coup de peigne. Elle me voit dans la glace et me fait un sourire radieux faisant ressortir, sous l’éclat des spots de son miroir, ses dents étincelantes. Elle a mis un joli chemisier blanc largement décolleté qui laisse voir le doux val entre ses seins qui se tiennent fièrement sans l’artifice d’un soutien-gorge.
Sa jupe bleu marine légèrement fendue sur le côté lui arrive à mi-cuisse sur ses jambes ornées bas résille. Sans nous quitter du regard à travers le miroir, je m’approche, me colle à elle et l’embrasse dans le cou. Mes mains viennent caresser son ventre puis ses seins. Elle recule légèrement pour se coller à moi, tourne la tête pour échanger un baiser du bout des lèvres. Elle pivote, imbrique son corps dans le mien, nous lançant dans un baiser fougueux. En montant en voiture, elle retrousse (je pense volontairement) sa jupe, me laissant voir, par la fente latérale, la lisière de son bas. En cours de route, je ne peux m’empêcher de poser ma main sur sa cuisse. Elle écarte un peu les jambes pour m’inciter à aller plus loin. Ma main remonte donc sur son pubis que je caresse délicatement. A son tour, elle pose sa main sur ma cuisse puis sur la proéminence, bien visible sous mon short, qu’elle flatte du bout des doigts. Il est temps que nous arrivions à la maison.
Je rentre la voiture dans le garage que je referme rapidement avec la télécommande ainsi que le portail. Nous sommes chez nous, seuls au monde de l’amour. Avec la rapidité d’un naufragé qui saute dans le bateau venu le secourir, nous sortons de la voiture pour nous enlacer. Nos souffles sont brûlants de désir. Notre respiration saccadée. Nous nous embrassons jusqu’à l’apnée. Nos mains parcourent nos corps qui vibrent sous ces attouchements. Nous passons ainsi un long, très long moment, mais qui nous paraît trop court puis reprenant nos esprits, nous rentrons au salon, quittant nos chaussures pour bénéficier de la douceur du tapis et nous installons confortablement dans le sofa en dégustant une coupe de champagne pour faire baisser la pression.
Durant le dîner, tout est prétexte à sourire et même rire en échangeant des allusions osées, à nous embrasser et nous câliner. Pendant que Val est aux toilettes, je mets un cd de musique, bien sûr pas n’importe laquelle, des slows. Dès son retour elle jette ses bras autour de mon cou et se colle à moi. Nous oscillons au rythme de la musique, ne parlant pas, nous laissant porter vers des cieux enchanteur. Nos mains parcourent nos corps très lentement, faisant monter le désir, mais veillant à retarder le moment où nous libérerons toutes nos énergies dans des échanges torrides. Après plusieurs morceaux, nos pas nous guident lentement vers ma chambre, flottant dans la mélodie du bonheur venant du salon. Tout en continuant à « danser », nous nous déshabillons lentement, faisant courir sur notre peau nos lèvres au fur et à mesure de l’effeuillage.
Ayant fait glisser son chemisier, j’embrasse sa gorge puis ma bouche descend sur son sein en faisant traîner la pointe de ma langue, faisant le tour de son sein et me rapprochant progressivement de son aréole. J’en fais plusieurs fois le tour puis arrive à son téton que j’excite et qui, déjà bien dressé, se durcit. Je le pince du bout des lèvres fermement ce qui lui fait échapper un petit gémissement. Je le prends alors en bouche, l’aspirant, le tétant. Valérie se tortille en gémissant d’autant que mon autre main malaxe son autre sein, titillant et pinçant son téton. Elle rejette sa tête en arrière, colle son ventre au mien. Je fais subir le même sort à son autre sein. Elle prend ma tête, l’attire à sa bouche pour me remercier d’un doux baiser puis à son tour, après avoir jeté ma chemisette, ses lèvres descendent sur mon torse et viennent s’occuper de mes tétons. Je ne pensais pas être aussi sensible.
Ses baisers déclenchent des ondes de désir, des frémissements qui parcourent mon corps. Elle les ressent et s’amuse à me faire vibrer puis elle descend, embrasse mon sexe à travers le short qu’elle fait prestement tomber. C’est un boxer-short et je me retrouve donc nu pour son plus grand plaisir. Elle couvre mon sexe de petits baisers de la base jusqu’au gland. Elle me prend délicatement dans sa bouche en serrant fort les lèvres pour me décalotter puis sa main me maintient ainsi lorsqu’elle me retire de sa bouche. La pointe de sa langue fait alors le tour de mon gland, le léchouille, s’insinue dans le méat avant de me reprendre en bouche pour coulisser sur toute la longueur de ma hampe. Sentant mon désir monter, elle se redresse pour m’embrasser. Pendant ce temps, je glisse ma main sous sa jupette et caresse ses fesses auxquelles son string me laissait accès. Tout en l’embrassant, je baisse le zip de sa jupe qui tombe et qu’elle jette d’un coup de talon.
Passant mes mains de chaque côté, je fais glisser le dernier rempart de sa féminité. Je me baisse pour accompagner cette lente descente. Le tanga va rejoindre nos effets. Je dépose un tendre baiser sur son pubis glabre puis descends lentement sur ses lèvres. Elles luisent, sa cyprine suinte, je me soule à cette source magique. Ma langue écarte ses lèvres et titille son bourgeon d’amour. Valérie feule, se tortille, je sens qu’elle vient. Elle se raidit et un jet d’élixir vient régaler mon palais. Après plusieurs secousses, elle se détend et prend ma tête pour échanger un baiser qui a le goût de son amour. Nous restons ainsi, sans parler, juste en nous regardant et échangeant de tendres baisers sur nos visages. Nous nous étendons sur le lit, étroitement serrés et laissons Morphée nous inviter dans ses bras.
Vers 5 heures (oui vous savez que j’aime avoir un réveil à mon chevet), nous sortons lentement de notre torpeur. Nos mains partent à la reconquête de nos corps. Après avoir voyagé sur mon torse et mon ventre, elle arrive vite à l’objet de ses désirs. Elle me caresse puis malaxe mes bourses bien remplies avant de pousser son index vers mon petit orifice. Elle revient prendre en main mon flambeau qui retrouve rapidement sa vigueur. Pendant ce temps, je lui lèche les seins et ma main écarte ses lèvres, titille son clito qui se dresse fièrement. Je n’ai pas besoin d’humidifier mon doigt, car je sens une douce liqueur poindre et huiler son intimité. J’entre lentement mon majeur dans sa taverne puis un puis deux doigts le rejoignent. Je la branle doucement, accentuant la pression vers l’avant à la recherche de son point G. Elle se serre sur moi puis me dit : « viens, viens vite, je veux te sentir en moi ! ». Je ne me fais pas prier, positionnant mon sexe à l’entrée de sa caverne magique.
Elle est tellement trempée que j’entre directement, sentant mon gland toucher le fond. Nous partons alors dans une danse infernale, rien à voir avec notre slow de la veille. C’est un ballet enfiévré, mes bourses frappent ses fesses. Elle me serre en elle, haletante, prononçant des onomatopées, des « oui, encore, plus fort, vas-y, » je l’encourage à attendre le nirvana « vas-y, libère-toi, lâche-toi, crie, jouis ». Une explosion de bonheur envahit nos ventres. Nous jouissons en même temps. Je sens mon sperme emplir son coffret. Elle jouit par saccades, suffoquant, haletant. Ses muscles internes m’emprisonnent et nous restons ainsi pour reprendre nos esprits.
Après quelques instants, nous émergeons, nous regardons. Nos regards reflètent notre bonheur. Nos yeux disent merci pour tout ce bonheur. Nous échangeons un baiser puis nous séparons. Je plonge entre ses cuisses pour recueillir le fruit de notre amour, mélange de sperme et de cyprine dont je nettoie sa vulve et ses cuisses et remonte pour l’embrasser afin de partager avec elle ce doux breuvage. Nous le faisons aller d’une bouche à l’autre, nous délectant de cette potion magique avant de l’avaler. Nous nous étreignons tendrement avant de retrouver Morphée.
A bientôt pour notre réveil.
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