Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 222 J'aime
  • 11 Commentaires

Valentine Challenge: sœur et frère

Chapitre 2

Inceste
Cette soirée de la St-Valentin, c’est sûr, j’allais m’en rappeler pendant longtemps.Célibataire le soir de la Fête des amoureux, j’avais convaincu mon grand frère Matthias de me servir de cavalier. C’était le fameux défi #valentinechallenge, qui faisait fureur sur les réseaux sociaux. Chips, comme je l’appelais (et comme il me surnommait lui aussi), avait pris les choses très au sérieux et m’avait invitée dans un restaurant très classe, puis dans un bar à la mode.
Là où les choses avaient quitté les rails du scénario prévu, c’était que Chips avait passé tout notre tête-à-tête à me faire un grand numéro de séduction, face auquel je n’avais opposé absolument aucune résistance, au contraire. Il était beau, il me plaisait, ça n’était pas plus compliqué que ça. En comparaison à ces considérations, le fait qu’il m’ait révélé qu’il venait de se remettre avec sa copine tenait du détail. Ça m’émoustillait d’être la maîtresse.Après des heures à s’embrasser et à se toucher, j’étais très excitée et je venais d’accepter d’accompagner mon frère chez lui pour un "dernier verre."
Son appartement était à deux pas du bar. À croire qu’il avait tout prévu...Pourtant, cela nous prit un temps infini de nous y rendre. Tous les dix mètres, nous ressentions le besoin de nous embrasser, impossible de nous en passer, c’était comme de l’oxygène. Dans les bras de mon frère, j’oubliais tout. Tout, sauf une très grosse envie de sexe. Ses beaux yeux, l’odeur de sa peau, sa virilité, la manière dont il posait ses mains sur moi, sans aucune timidité, tout en lui me donnait envie de faire l’amour. Je ne me contrôlais presque plus du tout.
À force, cela devint trop dur de patienter jusqu’à arriver chez lui. J’avais trop d’images en tête, trop de désirs. Dès que j’aperçus sur notre chemin une allée sombre, un endroit à l’abri des regards indiscrets, je l’y attirai en le tirant par la cravate, le poussai contre le mur, me mis à genoux devant lui, défis sa ceinture et sa braguette, avant qu’il ait le temps de dire "Hey, attends une minute." Je n’en étais pas à ma première manœuvre du genre.D’un geste, je libérai son sexe en érection, qui était douloureusement prisonnier de ses vêtements. Il était exactement comme je l’avais imaginé lorsque Chips m’avait envoyé une photo de lui en caleçon: c’était une grosse queue, épaisse, parcourue de veines bien visibles. Son gland violacé était juste en face de mon village.
— Chips, on a tout le temps pour ça, dit-il.
Mais ses arguments ne m’intéressaient pas. J’avais faim de lui. Comme pour dire bonjour, j’entrai en contact avec quelques petits coups de langue, puis j’engloutis le gland de mon grand frère. Il était chaud, il était doux. J’adorais le sentir remplir ma bouche.Je me mis à le sucer. J’avalai sa bite et la parcourus sur toute sa longueur, jusqu’au fond de ma gorge. C’était insensé ce que ça me plaisait de faire ça. Sans même m’en rendre compte, j’avais introduit ma main dans ma petite culotte pendant que je lui prodiguais ma fellation. Lui posa sa main sur l’arrière de mon crâne pour guider mon geste et trouver le bon rythme. Ça me donnait l’impression d’être sa chose.
Mais Matthias n’avait pas envie d’éjaculer tout de suite. Au prix d’une volonté que j’imaginais extraordinaire, il me demanda d’arrêter, retira sa queue de ma bouche, qu’elle quitta en tirant de longs fils de salive, puis il se rhabilla tant bien que mal.
— Viens, me dit-il en prenant ma main.

La suite, c’est le grand trou noir. On se retrouva dans l’appartement de Chips, soudés par la bouche. Comment étions-nous parvenus jusque-là? Mystère. Sans doute en nous dépêchant, vu le niveau d’excitation qui était le nôtre.
— Elle est où, Stéphanie ? lui demandai-je une fois la porte fermée, alors que je le débarrassais de ses vêtements, les arrachant presque. — En voyage », dit-il, juste avant de me prendre à nouveau la bouche.
Elle rentre demain."
Son costume, sa cravate, sa chemise étaient en tas, à ses pieds. Il ne portait plus que son caleçon, au tissu tendu par sa queue en érection. Il avait dans les yeux un air que je ne lui connaissais pas. Un côté prédateur, animal.
— Tu veux baiser ? me demanda-t-il.
C’était très prévenant de me le demander. Et j’appréciais énormément qu’il n’y mette aucune forme et aucun romantisme.
— Oh oui, fut ma seule réponse avant qu’il me balance sur son grand lit.
Ce qui est génial avec le consentement, c’est qu’on peut dire non, mais qu’on peut aussi dire oui, si on en a envie, y compris à des trucs que la plupart des gens jugeraient inimaginables, comme un inceste sœur-frère.
Sans hésiter une seconde, il retroussa ma robe, et brusquement, il arracha ma petite culotte qui coulissa le long de mes cuisses en laissant des traînées humides. Il pouvait voir ma petite chatte glabre, celle que j’avais rasée juste avant notre rendez-vous, sans m’imaginer que ça se révélerait utile. J’étais livrée à lui, le dos et les fesses sur le lit, les jambes appuyées sur le sol. Je les écartai pour laisser champ libre à Matthias.
Avec un pétillement obscène dans le regard, il se glissa entre mes cuisses à la manière d’un loup, et il embrassa mon sexe. Je pris une respiration profonde lorsque je sentis sa langue s’immiscer entre mes lèvres, puis partir explorer ma chatte de l’intérieur. Je le contemplai alors qu’il prenait possession de moi avec sa bouche, mes doigts perdus dans ses cheveux, ses mains posées sur mes hanches, des bruits flasques correspondant à chaque mouvement de sa langue en moi. J’étais déjà très excitée auparavant, mais le cunnilingus divin que m’administra Matthias me mit le feu encore davantage. Le plaisir bondit de manière foudroyante, sans crier gare, menant à un premier orgasme explosif. Les pointes de mes seins étaient tellement tendues sous mon soutien-gorge qu’elles en étaient douloureuses. Je retirai le sous-vêtement et fis coulisser ma robe pour les libérer.
Ça y était. À l’exception de mes bas et de mes talons aiguille, j’étais nue, le sexe dégoulinant de mouille, tout mon corps enfiévré de désir pour ce mec sur le lit duquel j’étais couchée, et qui était en train de retirer son caleçon. Son corps était splendide, ferme, merveilleusement dessiné. Il m’attirait au-delà de ce que je pouvais exprimer. J’avais envie de lui hurler des mots cochons, mais ils restaient coincés au fond de ma gorge. Sa grosse queue, droite comme une barre, pointait vers mon visage.Matthias ouvrit un tiroir et en sortit une boîte dont il tira un préservatif. J’avais le regard vissé sur son membre alors qu’il le gainait de caoutchouc. Pour une fille, il n’y a rien de plus érotique qu’un homme qui enfile une capote. Cela signifie qu’on est sur le point de se faire défoncer.
Il grimpa sur le lit avec moi, en dessus de moi. Il retrouva ma bouche, dont il prit possession. Ses mains se posèrent sur mes seins, en saisirent les pointes, les pincèrent, les malmenèrent jusqu’à ce qu’elles soient dures comme des noyaux de fruits. Je sentais le poids de son corps en dessus de moi, son odeur, son sexe gainé de plastique qui venait frotter contre mon ventre. On s’embrassait, on se caressait, on se voulait. Je chuchotai au creux de son oreille: "Prends-moi", avant de saisir sa queue et de la guider vers l’entrée de mon sexe ruisselant.Son gland se cala entre mes lèvres. Il poussa un peu. Glissa la pointe. J’inspirai très fort. Il entra, très lentement, en moi, laissant sa queue aller jusqu’au fond.
C’était fait. Plus possible de prétendre que rien ne s’était passé désormais. Mon grand frère venait de me pénétrer. Son sexe était dans mon sexe. Tellement en douceur. Tellement bienvenu. J’étais en train de me faire prendre de la manière la plus inattendue, la plus folle et la plus excitante qui soit. Je venais de devenir sa maîtresse incestueuse.Il nous fallut à tous les deux un petit instant pour nous habituer à la réalité de ce que nous étions en train de faire. Il me regarda, de ses beaux yeux, me sourit, écarta une mèche de mon visage. "Olivia..." dit-il. Il ne m’appelait jamais par mon prénom. Le simple fait qu’il le fasse fut à deux doigts de me déclencher un orgasme.
Ce fut le dernier moment tendre avant très, très longtemps. Matthias m’avait prise, il se mit alors à me baiser. Il retira sa queue, poussa à nouveau, recula encore, coulissa en moi, de plus en plus vite, jusqu’à trouver un rythme qui nous convient. On y était. Il me pilonnait. Joyeuse St-Valentin.
Ça faisait presque trop. Trop de folie. Trop d’envie. Trop de plaisir. Ce qui suivit fut à la fois confus et parfait, terrible et glorieux. Mon frère me prenait sans précaution, chaque coup de reins faisant grincer le sommier. Ses mains saisissaient mes hanches pour qu’il puisse s’enfoncer plus profondément en moi. Les miennes étaient appuyées sur ses fesses pour la même raison. Je criais, je le mordais, je grognais comme une chienne. C’était bon, c’était dingue, c’était épouvantable, c’était merveilleux.
Il accéléra encore le rythme. Me baisa comme une machine. Je criai. C’était trop. C’était génial. Il me faisait mal. Il me faisait du bien. Je n’arrivais plus à respirer, plus à penser. Tout ce qui comptait, tout mon univers, c’était cette queue en moi.
Derrière le plaisir, une vague plus profonde apparut. Je savais ce que c’était. S’il continuait comme ça, dans pas longtemps, j’allais...
Mon amant lisait mon corps aussi bien que moi. Il se retira, attira mon visage à lui de ses deux mains, baisant ma bouche avec la sienne, puis il saisit mes hanches pour me faire adopter une autre position, avec énormément d’autorité. J’adorais son aplomb dans sa manière de me toucher. Sur ses instructions, je me mis à quatre pattes, il se positionna derrière moi, et il me baisa à nouveau, en levrette.Il n’y mit pas davantage de délicatesse, me pénétrant avec autant de force que l’instant d’avant. C’était ça que je voulais: m’offrir à lui, être sa putain, son défouloir, sa petite dévergondée. Plusieurs fois, il fit claquer sa main sur mes fesses. Je lui hurlai des encouragements. Il attrapa mes cheveux et les tira en arrière pendant qu’il me baisait. Je me sentais tellement fière de moi.À force, je ne pus plus opposer de résistance et il me mena jusqu’à l’orgasme. Le second de la soirée. Celui-ci fit trembler les murs, me remua les tripes et me retourna le cerveau.
Ce qu’il y a de bien quand on a brisé un des plus grands tabous qui soient, c’est que les suivants ne comptent plus vraiment. J’étais une fille qui avait décidé de coucher avec son propre frère. Une fois ce cap franchi, je pouvais bien me montrer aussi salope que je le voulais, ça n’avait pas la moindre importance. C’est pour ça je crois que cette nuit fut une des plus magiques que j’avais jamais vécue. Le plaisir à l’état brut. Pas de limites, pas de honte, pas de morale. À califourchon sur Matthias, je m’empalai sur sa bite et je le chevauchai, imprimant moi-même le rythme à notre baise. Je me sentais comme une déesse, dans ce lit où d’ordinaire il faisait l’amour avec Stéphanie. Est-ce qu’il lui faisait toutes ces choses, est-ce qu’il la traitait comme une pute elle aussi, ou est-ce qu’il réservait ça à sa salope de sœur ?
Bien entendu, il finit par chercher mon anus avec son index. Je l’avais deviné qu’il avait envie de mon petit cul. Quand un mec trompe sa copine, presque toujours, il veut enculer sa maîtresse, je connaissais ça par cœur. D’ordinaire, je ne me laissais jamais sodomiser le premier soir. Mais là, il était évident que j’allais céder à son désir. C’était aussi le mien.
Il jeta son préservatif et en enfila un autre, ouvrant un pot de vaseline dont il enduit méticuleusement le contenu à l’intérieur de mon canal étroit. Lorsque nous avons estimé tous les deux que j’étais prête, je me couchai à plat ventre sur le lit et il se coucha sur moi, cherchant à pénétrer mon anus.
Il cala son gland contre l’ourlet extérieur, poussa fort, afin de franchir l’anneau qui lui résista, et à force d’insister, il glissa en moi. On y était : j’étais en train de me faire sodomiser par mon frère.
J’aimais me faire enculer. Plus encore, j’aimais me faire enculer par lui. Cela me procurait un plaisir sauvage, un peu sale, qui menait rarement à l’orgasme, mais me satisfaisait d’une autre manière. Je ne passai pas bien loin de la pâmoison cette fois-ci. Je me mordis la lèvre jusqu’au sang alors qu’il me défonçait le cul.
Matthias savait s’occuper du derrière d’une fille, ça se voyait qu’il avait de la pratique. Il ne fit pas preuve de davantage de tendresse par là qu’il n’en avait montré jusqu’ici. Au contraire. Il me sodomisa brutalement, frénétiquement, comme un forcené. Il était tout près de l’orgasme et n’allait plus tenir longtemps. Il tremblait, il grognait, il était à deux doigts de perdre tout contrôle.
— Où est-ce que tu veux, que je jouisse ? me demanda-t-il. — Dans ma face, répondis-je en souriant.
Vite, je me mis à genoux, mon grand frère était debout devant moi, la bite braquée vers ma tête. Il poussa un rugissement et une longue giclée de sperme atterrit sur mon œil, ma joue et ma bouche. Je n’avais jamais laissé un garçon éjaculer sur mon visage, mais là je ne regrettais pas mon choix. La deuxième salve m’aveugla et remplit mon oreille. Je sentis la troisième, toujours très épaisse, empoisser mes cheveux. C’était tiède, c’était flasque. Il enfonça sa bite dans ma bouche et je bus ses dernières saillies. J’avais rarement vu un mec produire une telle quantité de sperme. En rigolant, j’allai me débarbouiller dans la salle de bain, des étoiles plein les yeux. Chips en profita pour changer les draps. Je revins me coller contre mon amant et nous ne tardâmes pas à trouver le sommeil.
C’est le bruit de la clé dans la serrure qui me tira du sommeil le lendemain matin. C’était Stéphanie qui rentrait ! "Matthias ? Tu es réveillé ?" fit sa voix claire. Il s’agissait de penser et d’agir vite. Alors que je rassemblais ma robe et mes sous-vêtements éparpillés sur le sol, je fonçai sous la douche pendant que Chips interceptait sa copine. "Je t’aime", lui dis-je en vitesse avant de disparaître dans la cabine.
C’est la tête encore pleine des images d’hier soir que je rentrai sous le jet d’eau chaude. Après m’être séchée, je me retrouvai nez à nez avec Steph, qui entra dans la salle de bain et me salua chaleureusement. Pas gênée par ma nudité, elle entama la conversation, me demandant comment s’était passée notre Valentine Challenge la veille au soir. Forcément, ils avaient dû en parler, Chips et elle. Et puis il y avait des photos plein les réseaux sociaux. Je lui livrai une version très largement censurée de nos activités, et puis nous nous mîmes à papoter. Elle me parla de son nouveau boulot, je la félicitai de s’être remise avec mon frère et lui souhaitai d’avoir elle aussi l’occasion de célébrer la Fête des amoureux, en retard, mais en vrai.
C’était vraiment une chouette fille. J’étais contente que mon frère et elles soient parvenus à triompher de leurs difficultés. Je m’étais toujours imaginé qu’un jour, je finirais demoiselle d’honneur à leur mariage. L’espace d’un instant, cela dit, ce fut une autre idée qui traversa ma tête: je me demandai quel effet ça ferait de me glisser sous les draps avec Matthias et Stéphanie, pour s’amuser un peu tous les trois...
Pour m’éviter d’avoir à traverser la ville dans ma minuscule robe de soirée, Steph me prêta des affaires et je pris congé d’elle en la serrant fort dans mes bras.
Je retrouvai mon frère dans l’entrée, pour lui dire au revoir. Sa copine était à l’autre bout de l’appartement, on en profita donc pour s’embrasser longuement sur la bouche, un post-scriptum à la nuit géniale qu’on venait de vivre. Nous sortîmes nos smartphones pour fixer un prochain rendez-vous pour baiser. C’était entendu: quatre jours plus tard, j’allais accueillir celui qui était devenu mon amant, à la faveur d’une nouvelle absence de sa copine. Encore une série de bisous et je pris congé de lui, rentrant chez moi le sourire aux lèvres après la plus fantastique des St-Valentin que je n’avais jamais vécues.
Diffuse en direct !
Regarder son live