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Valentine Challenge: les collègues

Chapitre 1

Hétéro
Ça aurait dû être une soirée charmante. Finalement, ça allait être une nuit au boulot.Je suis sûr que vous en avez entendu parler : chaque année, à la St-Valentin, les réseaux sociaux sont pleins d’internautes qui signalent qu’ils participent au Valentine Challenge. Une manière de détourner les codes commerciaux de la Fête des amoureux. Avec un principe tout simple : une personne qui est seule ce jour-là demande à une autre personne célibataire de se joindre à elle pour une petite sortie entre amis. Parfois, ça peut mener à davantage, cela dit, j’en suis sûr.De nombreux couples se sont constitués de cette manière. L’année dernière, Claudine, une de mes cousines, a participé à l’événement, et je ne sais pas ce qui s’est passé exactement, mais à dater de là, elle qui était réservée est devenue très délurée.Pas de révolution prévue de mon côté : j’avais invité ma collègue Milada à passer la soirée dans un club de jazz. C’était déjà pas mal.
Milada travaillait dans ma boîte depuis huit mois. Venue de République tchèque, elle correspondait tout à fait au cliché de la jeune femme d’Europe de l’Est, toujours très soignée, impeccablement maquillée, très féminine. Jamais je ne l’avais vue en pantalon, ou avec des chaussures à semelles plates. Dans le milieu technique dans lequel j’évoluais, c’était un OVNI.Lors de son arrivée dans l’entreprise, j’avais tenté de la draguer, mais elle n’avait pas voulu de moi, préférant éviter les romances au travail. Pas grave, il y a d’autres poissons dans l’océan. Mais, en quelques mois, nous avions établi une relation amicale, en découvrant que nous avions des intérêts communs, pour le jazz, la course à pied et la série « Community. »
Donc j’avais projeté de l’inviter pour une soirée sympa en musique, mais nos plans sont tombés à l’eau à la dernière minute, lorsque nous avons été désignés volontaires par la direction pour nous occuper d’un dossier de certification avec notre filiale de Hong Kong, avec vidéoconférence à la clé. Naturellement, cela allait se passer la nuit, et remettre en cause tout ce que nous avions prévu. Gé-nial.
J’étais déjà à mon bureau lorsque Milada arriva. Il était presque 21 heures. Je levai les yeux vers elle. Elle était éblouissante. Elle portait un petit chemisier blanc et une jupe de satin noir, bien plus courte que ce qu’on voit généralement dans un bureau. Je n’allais pas me plaindre : elle était mignonne et ses jambes étaient divines. Oh, je n’étais pas idiot : me retrouver seul avec ce canon n’était pas pour me déplaire, et le potentiel érotique de la situation ne quittait pas mon esprit. Mais je n’avais rien planifié pour en profiter : ça, ça aurait été vraiment glauque. Mon début d’érection ne faisait pas de moi un prédateur en puissance. Je profitais de la vue, sans quitter ma place de spectateur. Tant bien que mal.Je remontai le regard juste à temps pour croiser le sien :
— Bonne St-Valentin, Milada ! lui dis-je, très second degré.— Oh la la, je crois que notre petite soirée est un échec total.
Ses sourcils s’étaient arqués, comme si elle était authentiquement peinée d’avoir à annuler notre sortie entre collègues. Son petit accent tchèque me faisait fondre. Je la serrai contre moi en signe de commisération et on se mit au travail, même si, en réalité, nous n’avions pas grand-chose à faire en attendant l’appel de Hong Kong.
— Si ça se passe comme d’habitude, me rappela-t-elle, ils vont appeler quand ça leur chante.

Cela voulait dire que nous avions un peu de temps. Pas question de le gaspiller: je décidai d’improviser un petit quelque chose. Fonçant à la cafétéria, je nous achetai deux sandwiches triangle au distributeur, dénichai une bouteille de vin dans la réserve secrète de la direction et jetai sur le plateau une rose, piquée dans un bouquet de fleurs de la cafétéria. A l’échelle de cette soirée gâchée, on frôlait le luxe...Mon initiative ravit Milada, qui poussa un petit cri de surprise en voyant ce festin en toc. On trinqua à cette St-Valentin ratée, et on se prit en photos, sandwiches à la main, devant nos ordinateurs, avant de publier les clichés sur les réseaux, avec le hashtag #valentinechallenge. Au moins, on se marrait, c’était le principal.

Ce fut un petit quart d’heure plus tard, alors que nous nous étions mis à travailler en sirotant notre Merlot, que les événements prirent une tournure... différente.Milada était en train d’examiner les documents de la certification, étalés sur toute la largeur de son bureau. Elle était penchée en avant, les avant-bras appuyés sur la surface de formica, ce qui faisait que, par un bienheureux caprice du hasard, sa croupe était en l’air, pointée dans ma direction. Ca ressemblait à mon jour de chance... Son beau cul rond est moulé dans le satin noir de sa jupe, et attirait irrésistiblement mon regard. Je suis un mec, pas un bloc de marbre, OK ? Si ma collègue continuait à m’allumer comme ça, la nuit risquait d’être très, très longue... Et qu’on n’essaye pas de me faire croire que ce manège était innocent, d’accord ?
Soudain, elle se retourna dans ma direction. Je pris l’air de celui qui regardait dans le vague, mais à mon avis, elle n’était pas dupe : elle avait bien vu que j’admirais ses fesses. Ca n’avait pas trop l’air de la froisser.
— Tu peux venir me donner ton avis sur un truc ? me demanda-t-elle d’une voix trop mélodieuse...
Je me levai et la rejoins devant son étalage de documents. J’étais tout près d’elle, et je constatai que son petit jeu m’avait fait bander. Il me fallut déployer des prodiges de concentration pour me focaliser sur les documents qu’elle me montra, en évitant de continuer à la mater. Je n’y arrivai que très inefficacement. Bah, selon moi, je méritais au moins un point pour l’effort.
Tout à coup, mon sang se glace dans mes veines : je pris conscience que ma main gauche était posée sur le cul de Milada ! Je ne savais pas depuis combien de temps je lui avais mis la main aux fesses, mais une chose était sûre : c’était tellement machinal, tellement irrésistible, que je n’avais rien remarqué. Je la retirai vite fait, comme si elle était posée sur une plaque brûlante.
— Non, laisse-la ! me dit simplement mon adorable collègue, comme si c’était la chose la plus naturelle du monde.
Tiens, cette soirée commençait à me plaire... Malgré la surprise face à sa réaction, pas question de réclamer un deuxième avis. Ce qu’elle avait dans la tête, je n’en savais rien, mais je ne me fis pas prier, et je reposai ma main sur les fesses de Milada, ces adorables globes prisonniers de sa petite jupe soyeuse. C’était surréaliste : on continua à parler boulot comme si de rien n’était, alors que je lui pelotais tendrement le cul à travers le satin, froissant le tissu, glissant mes doigts dans la vallée de ses fesses, sentant la dentelle du string qui s’y enfonçait. Désormais, mon érection était incontrôlable. J’espérais que cette histoire ait une fin heureuse...
Mais ce n’était pas pour tout de suite. Une fois que je lui eus vaguement donné mon avis sur les documents qu’elle me montrait, on se calma tous les deux et on alla se rasseoir bien sagement à nos bureaux, en s’occupant chacun de nos propres affaires. Mais franchement, il était impossible de penser à autre chose, et mon membre ne ramollit pas. J’étais une cocotte-minute. De temps en temps, on se lançait des brefs regards pleins de sous-entendus. Plusieurs fois, je m’imaginai la rejoindre pour tenter de faire quelque chose de fou.
Mais ce fut elle qui agit la première. Il faut croire qu’elle était beaucoup moins timorée que moi. Après quelques minutes de crispation, elle s’approcha de mon bureau, et s’assit sur moi, à califourchon sur mes genoux, une jambe divine de chaque côté.Malgré ce qui venait de se passer entre elle et moi, je dois reconnaître que j’étais quand même surpris :
— Qu’est-ce que...
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase que ma collègue, esquissant un sourire provocateur, passa une main dans mes cheveux, prit mon visage dans ses mains, et, finalement, posa sa bouche sur la mienne, d’abord tendrement, puis plus violemment, en un baiser fougueux. Sa langue chaude et douce partit à la rencontre de la mienne dans un baiser sans équivoque.
— Tu sais que ça fait des mois que je regrette de t’avoir dit non, dit-elle en soupirant dans mon oreille. Ce soir, j’avais envie de te séduire... Finalement, on dirait que je ne peux plus attendre...— Tu te rends compte... Si on nous voyait... Si quelqu’un arrivait ? Et Hong Kong ?
Ouais, je sais, je me maudissais de me montrer aussi prudent. A m’entendre débiter ces âneries, j’avais envie de me filer des baffes. Heureusement que Milada n’avait pas le même genre de blocages.
— Ne t’inquiète pas, dit-elle, il est tard, les gens sont chez eux, et Hong Kong n’est pas près d’appeler, à mon avis. Allez, ne sois pas con. Laisse-toi aller, d’accord ?

Nous les hommes, on n’est pas compliqués. Quand une jolie femme a envie de faire l’amour avec nous, on repousse l’introspection à plus tard, en général. Elle se mordit la lèvre, un peu ivre, et on recommença à s’embrasser, en une série de petits baisers presque agressifs. Je voulais la becqueter, me repaître d’elle.Je sentis un frisson parcourir l’échine de ma collègue. Je descendis mes mains, et empoignai fermement son cul à travers le tissu de sa petite jupe. Hmm... elle étouffa un petit gémissement qui trahit l’état dans lequel j’étais en train de la mettre.
— Oh mon Dieu, c’est trop génial, dit-elle doucement, pour elle-même.
Elle se mit à bouger sur moi, à onduler du bassin, avec empressement et expertise, jusqu’à sentir et enchanter ma queue bandée. Une petite danse qu’elle me réservait, et qui ne laissait absolument aucun mystère au sujet de ses intentions. J’avais envie d’elle, elle de moi, et désormais, rien n’allait nous arrêter...
Tous les deux, synchrones, nous nous levâmes de ma chaise de bureau. Les yeux de Milada étaient braqués sur ma braguette, ses gestes étaient saccadés et ses doigts tremblaient. Hâte de passer à la suite. Elle détacha ma ceinture tant bien que mal, malgré la fièvre qui s’emparait d’elle. Je profitai de cet intermède pour lui rouler une pelle à pleine bouche. Nos langues se cherchèrent, se séduisirent, s’enrobèrent, s’entortillèrent. Après une série d’efforts infructueux, elle parvint finalement à détacher mon pantalon, qui chuta à mes genoux. Ses yeux étaient noirs d’excitation. Sans dire un mot, elle me jeta le regard le plus enjôleur que je n’avais jamais vu.
Je n’y tenais plus. D’une main ferme, presque autoritaire, j’appuyai sur les épaules de Milada afin qu’elle se penche sur mon bureau, jusqu’à y poser la joue et y aplatir la poitrine. Elle se laissa faire, pleinement consentante à ce qui allait se dérouler. Belle catin.Son cul était dressé en l’air, folle sensation. En une série de gestes frénétiques, je retroussai sa petite jupe de satin, je saisis son string et l’en débarrassai. Elle poussa un petit « Oh » de surprise. Ses fesses étaient exposées, encadrées par ses bas et un porte-jarretelles très mignon. Comme je l’avais toujours imaginé, cette fille était d’une féminité sophistiquée jusque dans ses dessous.
Elle me fixait, les paupières plissées et son pouce dans ma bouche. J’ignorais pour quelle raison, mais c’est peut-être ce détail-là qui m’excita le plus. Agrippant son cul dévoilé à pleines mains, je le caressai, et glissai deux doigts dans sa fente, la trouvant dégoulinante de mouille, prête à m’accueillir.Baissant mon caleçon, j’en sortis ma queue, dure comme une massue, que je pris en main. Milada sourit de convoitise en la découvrant. Après avoir enfilé une capote, j’étais en transe, pressé de la baiser. Je guidai mon gland vers les grandes lèvres de ma collègue, le fis coulisser de bas en haut, avant de me caler et de m’enfoncer, extrêmement lentement, en elle. Enfin.Elle accompagna sa pénétration d’un très long soupir charmé.
— Mmmmh... On aurait dû faire ça il y a longtemps...— Bonne St-Valentin, Milada.
Je fis claquer ma main sur ses fesses, pas trop fort. Elle eut l’air d’apprécier ce geste, qu’elle accueillit d’un bref rire coquin. C’était le signal qu’il me fallait : j’embrochai cette fille jusqu’au bout, m’appuyant sur ses hanches pour mieux la pénétrer, allant cogner tout au fond.
— Vas-y, dit-elle.
Elle ne quitta pas mes yeux, alors que j’accélérai le rythme. Nos regards étaient interpénétrés autant que nos corps. Presque trop intime. J’avais tellement envie de me perdre en elle. Son visage d’ange, les petits halètements qu’elle lâchait à chaque coup de reins, son pouce dans sa bouche, le satin retroussé par-dessus ses fesses, la manière dont ses sourcils s’arquaient, presque suppliants. C’était à en perdre la raison.
C’est donc ce que je fis. Oubliées, les limites. Je multipliai les coups de queue, rapides, brutaux, prenant possession de sa chatte avec une férocité dont je ne me croyais pas capable, soulignant chaque assaut par quelque chose qui ressemblait à un grognement, alors que les pieds du meuble grinçaient, comme s’ils partageaient notre excitation.
Oh, je sais ce que vous pensez. Oui, on vivait le cliché petit bourgeois de la secrétaire sexy baisée sur son bureau par son patron, c’est vrai. Et même s’il n’y avait aucun rapport hiérarchique entre elle et moi, je ne pouvais pas prétendre que cela ne renforçait pas mon excitation. On n’apprend réellement à se connaître que quand on vit des sensations fortes, je crois. Et c’en était une. La voir ainsi soumise, la jupe retroussée, me laisser la prendre, le torse plaqué contre la surface de travail, ses cheveux défaits et le chemisier froissé, ça m’émoustillait au-delà de l’imaginable.
Je la possédais, je la baisais, je la défonçais, sans délicatesse et sans trop se soucier de la ménager. Mais il faut dire qu’elle ne se plaignait pas. Elle répondait à chacun de mes coups de queue par des mots gémis en tchèque, d’une voix brisée, d’un érotisme absolu.
À force de la bourriner de cette manière, je sentis qu’elle était prise de spasmes. Son orgasme se signala à moi par une série de cognements au fond de son vagin, comme la détonation d’une mine sous-marine. Incontrôlable, elle cria, poussa un juron dans sa langue, puis un autre, à la manière d’une sorcière de cinéma, elle frappa du poing à plusieurs reprises, s’immobilisa, reprit vie, se figea encore, puis se souleva du bureau comme une jument qui se cabre. Même son plaisir était merveilleux à regarder...Je m’étais retiré d’elle pour la laisser se concentrer sur son plaisir. Lorsqu’elle reprit ses esprits, elle jeta sur moi le regard d’une veuve noire. Elle me poussa à nouveau sur ma chaise et reprit sa place sur mes genoux, en disant :— Je veux me donner à toi toute entière...
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