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Valentine Challenge: les collègues

Chapitre 2

Hétéro
Finalement, c’était plutôt une bonne soirée.On était le soir de la St-Valentin, et j’avais planifié une sortie amicale dans un club de jazz avec ma collègue de bureau, la ravissante Tchèque Milada. Mais tout était tombé à l’eau quand notre boîte nous avait demandé de bosser toute la nuit sur un dossier de certification, avec une vidéoconférence avec Hong Kong à la clé.Sauf que la proximité, et, je crois, des désirs que nous avions tus, ou enfouis, s’étaient réveillés à cette occasion. Milada m’avait fait du rentre-dedans, et sans y mettre trop de formes, je venais de la prendre, à plat ventre sur mon bureau. Oui, on frôlait le gros cliché, mais sur le moment, ni elle, ni moi n’avions eu à nous plaindre du manque d’originalité de notre étreinte. Les désirs, ça n’attend que le feu vert de celles et ceux chez qui ils fleurissent, après tout. Après avoir joui avec un abandon merveilleux à voir, ma collègue vint s’asseoir sur mes genoux. Son visage, traversé par un sourire de hyène, était tout proche du mien. Assise sur la bosse qui déformait mon caleçon, elle entama une lap dance qui aiguillonna mes sens et mit le feu à mon sexe qui n’avait pas vraiment eu le temps de ramollir. Sa danse du bassin, lascive et appliquée, me fit rapidement perdre la raison, puisque ni elle, ni moi ne portions plus grand-chose en-dessous de la ceinture.— Pourquoi est-ce que je t’ai dit non, quand tu m’as draguée l’année dernière ?, se demanda-t-elle en bougeant sur moi. Je crois que j’avais peur de ce que j’étais prête à faire avec toi…J’avais le même genre de crainte. Cette fille me rendait fou. J’avais accepté de rester son pote quand elle me l’avait demandé, mais l’option qui se dessinait à présent entre nous me plaisait beaucoup plus. Milada ne quitta pas mon regard, tout en défaisant ma chemise, puis son chemisier, bouton après bouton. Elle les laissa tomber par terre. En transe, elle se lécha les babines avant de recommencer à m’embrasser. Sa bouche était chaude et gonflée, follement gourmande de la mienne.Passant ses mains dans son dos, elle dégrafa son soutien-gorge qui chuta à son tour sur la moquette. Sa poitrine était nue, et rebondit légèrement en se libérant de son carcan. Je pus admirer ses seins, fermes et parfaitement ronds, sublimes. Ses tétons minuscules et foncés dessinaient leur empreinte en ombres chinoises sur le mur à la lumière pâle des écrans. — Tu es magnifique, Milada, lui dis-je. Elle se mit à rire, flattée. Mutine, elle saisit mes mains dans les siennes et dit : — Touche-moi, caresse-moi ! Son visage était transformé par le désir : ses joues rouges, ses pommettes empourprées et ses pupilles noires. Elle posa mes paumes, doucement, sur ses seins tendres et lourds, légèrement humides de sueur. Je me penchai vers elle, j’embrassai tendrement sa poitrine, lui mordillai les tétons, pendant qu’elle, excitée, me griffait le cuir chevelu avec ses ongles.  J’aurais pu jouer avec ses seins pendant des heures, mais au premier soupir de plaisir, elle changea de projet et se mit à mes genoux, le visage tout près de ma queue bandée.— Je te veux dans ma bouche, dit-elle avant de gober mon gland et de le suçoter entre ses lèvres. Elle dégusta mon pénis avec une gourmandise ludique, comme si elle n’avait pas eu l’occasion d’en goûter depuis longtemps et qu’elle ne parvenait pas à croire sa bonne fortune d’en avoir une si délicieuse en bouche. Elle souriait, elle ronronnait d’aise. J’avais rarement vu une femme manifester autant de joie à l’idée de prodiguer une fellation.Soudain, elle s’interrompit, se mordit la lèvre, puis me regarda dans les yeux, un éclat lascif dans son regard :— Je te veux partout.La douceur de sa bouche autour de mon sexe, ajoutée à la puissance du sous-entendu qu’elle venait de me lâcher, furent à deux doigts de me faire éjaculer avant l’heure dans sa gorge. Au prix d’un effort de volonté inouï, je parvins à garder le contrôle, et à le conserver alors que ma maîtresse entamait les va-et-vient de ses lèvres empressées autour de mon membre gorgé de désir. Impossible de prolonger cette fellation éternellement. Mes testicules étaient tendues comme des explosifs. Il fallait que je me dégage si nous voulions, elle et moi, aller jusqu’au bout de nos projets pour la soirée.
Me redressant, je l’embrassai, debout, avec une joie presque féroce. Mes mains étaient sur ses reins, son cul bien tendre, ses seins. Elle aussi me touchait partout, poussant des petits cris qui ressemblaient à des rires joyeux. Je voulais la voir nue, la débarrasser de ses derniers vêtements…Retroussée sur ses hanches depuis tout à l’heure, l’étroitesse de la minijupe de satin noir que portait la petite Tchèque glissa au sol, le long de ses jambes. Il ne lui restait plus que son porte-jarretelles et ses bas, et ça aurait été criminel de la débarrasser d’une si belle lingerie. Milada était fine mais pas maigre, ferme mais douce, coquine et digne, alléchante, parfaite. Je lui pris les fesses à pleines mains, paume contre peau. Son corps de fille était chaud et doux sous mes doigts. Elle soupira. Visiblement, elle attendait ce moment avec impatience. — Tu l’aimes, mon cul ? demande-t-elle d’une voix de jeune fille.— Je l’adore, lui dis-je— Si tu l’aimes, mon cul, alors… viens derrière… Ce soir, je veux me donner complètement à toi… Milada, d’une nudité étourdissante, alla se mettre à quatre pattes sur la moquette, comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. C’était, en tout cas, la plus émouvante.Elle se retourna et se cambra, tournant son cul dans ma direction, en signe de complicité et de confiance totale. Polissonne, elle écarta ses fesses avec ses doigts, me présentant son anus. Je bandais si dur que ma queue était droite comme un tronc. Il n’y avait plus rien de rationnel en moi, rien que la partie la plus brute, la plus vraie de ma personnalité. Difficile de le dire autrement: j’avais tellement envie de baiser le cul sublime de cette petite cochonne. Je voulais la pénétrer, la baiser, la défoncer, pour qu’elle m’appartienne encore un peu plus. — Milada, j’ai envie de te sodomiser, lui dis-je. Elle tourna la tête dans ma direction, le regard vitreux, et me sourit :— Oui, c’est ça. Encule-moi. C’est ça que je veux… Oh, je crois que je suis complètement cinglée.
La manière dont elle avait prononcé "cinglée", avec la mélodie de son accent, injecta du charme au milieu de la violente urgence de mes sentiments. Je m’agenouillai derrière elle, derrière son cul rond et parfait, sa peau douce et nacrée, et sa taille étroite et délicieusement cambrée. C’était une jeune femme magnifique, offerte, débordante de sensualité. Elle était en nage, tout le corps luisant de transpiration. Je lui passai un bon coup de langue humide entre les fesses, de manière à lubrifier son anus. J’introduisis un doigt, puis deux, au fond de son petit trou serré, et je le dilatai doucement, tendrement, pour préparer le passage de ma queue. Je n’avais pas envie de lui faire mal quand j’allais l’enculer. Milada se laissa faire, le regard bienveillant. Sans un mot échangé, à travers quelques sourires et pas mal de soupirs, nous vécûmes ces quelques instants comme des délicieuses minutes de complicité et de tendresse très intime. Elle finit par laisser deux de ses doigts rejoindre les miens, enduits d’une bonne dose de lubrifiant – elle avait tout prévu – et finalement, mon amante fut prête à se laisser sodomiser. Le temps d’enfiler une nouvelle capote, je me redressai, je m’agenouillai derrière ma collègue qui s’offrait à moi sans appréhension, et j’approchai la chair brûlante de mon pénis de l’entrée de son petit trou du cul. Ouais, j’étais un sacré veinard, je ne vais même pas essayer de prétendre le contraire.D’une main, Milada prit ma queue, l’attirant vers elle, la guidant en elle. Je poussai, d’abord doucement, puis plus farouchement, pour faire pénétrer mon gland luisant dans son anus étroit, et finalement, je l’enculai. Ça y était, j’étais en elle : ma bite vint peu à peu trouver sa place au fond du trou du cul de ma douce collègue, tellement tendrement enfoncée, tellement bienvenue dans ses entrailles. Milada laisse échapper un petit cri, puis me confia, dans un râle :— Jamais je ne laisse un garçon me prendre le cul le premier soir… Avec toi, c’est spécial…  C’était divin. Je me sentais comprimé par ce confortable étui de velours, au paradis.Milada fut d’abord immobile, dans l’attente, comme tétanisée, le temps de s’habituer à la largeur du membre qui la possédait. Moi, je me mis à bouger un peu en elle, prenant mes aises, m’installant dans son cul comme on s’installe chez soi, prenant possession de son corps, mon doigt sur son clitoris. Au bout de quelques mouvements, je la sentis se détendre, goûter peu à peu aux plaisirs de la sodomie, et venir à ma rencontre. J’entendis sa voix protester en une longue plainte sexy. C’était le signal que je pouvais m’autoriser à passer la vitesse supérieure. Avec une certaine vigueur, pour ne pas dire un peu de violence, je poussai ma queue raide dans son beau petit cul bandant, jusqu’à ce que mes couilles viennent toucher sa chatte. J’étais comme fou. J’étais fou d’elle, fou de son corps, fou de son cul. Rien au monde n’était plus vrai que ce moment.C’était plus fort que moi : je lui hurlai des mots cochons : — Milada… T’es une salope, Milada. T’es une sacrée salope. Tu es ma salope... Mes encouragements lui arrachèrent des cris de bête. — Oui… Oui… Baise-moi le cul !, hurla-t-elle. Je sentis les parois serrées de l’anus de ma petite collègue sodomisée palpiter autour de ma bite. Nous gémissions ensemble à présent, à chaque coup de queue qui entrait ou sortait de son orifice. Je me retirai à moitié. Je rentrai encore. Son anus était un gouffre sombre et moite, à présent démesurément dilaté par les allées et venues de mon membre conquérant. C’était de la franche démence. Il y avait un désir fou entre nous, quelque chose de sale et d’insensé, mais il y avait aussi de la joie, du partage, le genre de complicité qu’on ne peut pas feindre et que je n’avais pas ressenti souvent avec une fille. J’entendis les cris se rapprocher et s’intensifier de plus en plus. J’accélérai les mouvements de mon bassin en faisant cogner mon aine contre sa croupe, sans oublier de la masturber en même temps. Elle se mit à pousser de puissants cris de femelle, tant les sensations étaient délicieuses. Je la ramonai bien à quatre pattes et, sentant qu’elle n’allait pas tarder à jouir, j’accélérai encore davantage le rythme. Elle n’avait jamais été autant à moi, autant soumise. Je la fis basculer dans le précipice de l’orgasme, qui se propagea dans son corps comme une secousse électrique, la tordant en deux. Elle frappa du poing par terre, hoqueta, contracta chacun de ses muscles, et prolongea le plaisir par un très long gémissement aux sonorités érotiques. Me débarrassant de ma capote, je jouis juste après elle, lâchant des giclées épaisses de semence en direction de l’entrée écartelée de son cul. Elle continuait à japper comme une animale, pendant que je me vidais les couilles saccade après saccade sur ses fesses de déesse avec une jouissance inouïe. Quel plaisir. Quelle femme. Alors que chaque jet m’arrachait des râles, elle se retourna vers moi. Malgré la quantité invraisemblable de foutre que j’ai déjà expulsé sur elle, mon explosion de sperme était loin, très loin d’être terminée. Milada se mit à genou devant ma queue, et, fermant les yeux, se laissa asperger le visage par ces jets bouillants et gluants qui dégoulinèrent sur ses joues, ses narines, ses lèvres, ses cheveux, ses paupières. Ses traits disparurent sous ce qui semblait être des litres de foutre. J’adorais la voir comme ça… Quand les spasmes finirent par s’espacer, ma collègue pris ma queue dans le creux de sa main et la frotta tendrement sur ses seins, sur ses joues. En cet instant précis, elle était totalement femelle, et totalement mienne. Dès que toute ma semence fut sortie, elle me lécha encore le gland et enfonça ma bite dans sa bouche pour profiter de l’érection qui disparaissait, puis elle passa sa langue sur ses lèvres, se pourlécha les doigts et dit, avec un regard mutin, presque enfantin :— On est fous… C’est dingue ce qu’on a fait… Tu m’as baisé le cul en plein milieu du bureau… Je n’y crois pas… C’était génial, mais on est fous… On s’effondra plus ou moins l’un sur l’autre, pantelants, crevés, mouillés de sueur et de sperme, sur la moquette du bureau. Je ne sais pas combien de temps s’écoula avant que Milada se redresse comme un chat, laissant échapper un soupir d’aise. Elle n’avait jamais été aussi belle que maintenant. Elle était complètement débraillée, ses cheveux tout emmêlés, son maquillage avait coulé le long de ses joues. Elle ressemblait à une actrice porno après un gang bang. Elle ressemblait à une princesse de conte de fée. Les deux en même temps. Pas de doute, si ça n’était pas déjà fait, j’aurais pu tomber sous le charme… Soudain, une alarme stridente nous tira de la léthargie d’après-amour. C’était Hong Kong qui appelait ! À la vitesse de la lumière, j’enfilai à nouveau mes vêtements : caleçon, chemise, pantalon, cravate. Je finis par répondre avec un poil de retard à l’appel, essoufflé, un peu défait, pour me retrouver en face de cinq collègues asiatiques qui ne remarquèrent rien du tout.Milada nous rejoint quelques minutes plus tard. Elle était divine. En quelques instants, elle était parvenue à se rhabiller, débarbouiller son visage et ses cheveux maculés de sperme, se remaquiller, se coiffer, et elle débarqua, à mes yeux aussi impeccable que toujours, au milieu de la vidéoconférence, faisant preuve de professionnalisme et de sang froid. Sans que nos correspondants le sachent, pendant toute la conversation, Milada et moi, nous étions main dans la main, comme des amoureux. Deux heures plus tard, lorsque l’appel avec Hong Kong se termina, n’y tenant plus, j’embrassai ma collègue passionnément. — Je ne veux pas que ça soit juste une histoire de cul, me dit-elle. J’ai envie d’être dans ta vie, si tu veux bien essayer.— Hmmm… Je connais un joli petit club de jazz… Et si je t’y invitais ce soir ? lui dis-je en riant. Et c’est ainsi, les enfants, que j’ai rencontré votre mère.Enfin non. Désolé. Petite blague. Mais six mois plus tard, nous sommes toujours ensemble, en couple, amoureux et comblés sur le plan sexuel. Qui a dit que la St-Valentin n’était qu’une fête commerciale ?
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