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Valentine Challenge: mon pote en jupe

Chapitre 2

Travesti / Trans
La soirée ne s’était pas du tout passé comme prévu, mais comment aurais-je pu prévoir un truc pareil? Dans le cadre du Valentine Challenge, on avait décidé, avec mon pote Kyu, de passer la soirée du 14 février dans son appartement, à jouer à des jeux vidéo rétro.Sauf que, à ma grande surprise, Kyu m’avait accueilli chez lui en robe - il était impossible à distinguer d’une demoiselle, en réalité, il faisait même une fille très séduisante, insistant de sa voix douce pour que je l’appelle Minji. J’aurais peut-être dû être choqué, mais pour le dire crûment, ma bite ne l’était pas du tout. Très excités tous les deux, on avait fini par se jeter l’un sur l’autre et par s’embrasser, avant que la petite princesse coréenne me fasse une fellation sur son canapé.Ouais. Donc tout ça était très inattendu, en tout cas pour moi, dans la mesure où je connaissais Kyu depuis qu’on avait neuf ans et que, malgré une très belle amitié, jamais je n’avais eu le moindre sentiment ambigu à son sujet. Ni pour lui, ni pour aucun mec, travesti ou non. Minji venait de changer tout ça, et de faire voler en éclat une bonne partie de l’idée que je me faisais de moi-même. On était en plein territoire inexploré. Il fallait croire que j’étais un petit peu pédé - j’utilise le mot avec beaucoup de respect, dans la mesure où ma queue m’assurait que c’était quelque chose de tout à fait excellent - parce que j’étais en train de tirer cette fille ou ce garçon par la main, en direction de sa chambre, pour lui faire l’amour. Nous les mecs, c’est vrai, quand une très jolie fille nous fait de l’œil, on ne s’embarrasse en général pas trop des détails pour sauter dans son lit, même si le détail en question est un pénis. J’avais un peu le trac, mais beaucoup moins que je ne l’aurais imaginé si on m’avait décrit la scène ne serait-ce que la veille. Il faut croire que notre corps sait mieux que nous qui nous sommes… Si j’avais des doutes, ils ne criaient pas assez fort pour se faire entendre au milieu du vacarme de mon désir. On y était. S’il fallait que l’un d’entre nous recule, c’était maintenant. Nous étions parvenus à la chambre.Poussant un petit rire mutin, Minji se précipita sur son matelas, se positionnant à quatre pattes. Les choses sérieuses commençaient. — Tu peux mettre une capote, suggéra-t-elle, montrant la commode à côté de la porte, où j’en trouvai une petite pile. À mes oreilles, sa suggestion, formulée d’une voix espiègle, sonnait presque comme un "Baise-moi." Je me déshabillai plus vite que je ne l’avais jamais ça, et enfilai le préservatif sur ma queue plus tendue que jamais. Pendant ce temps, Minji avait retroussé sa petite robe rose, dévoilant ses jolie fesses rondes, et faisant coulisser sur le côté son string de coton. Elle dévoilait ainsi son mignon petit anus, dans lequel elle faisait pénétrer ses doigts enduits de lubrifiant, pour favoriser la pénétration. À lui seul, ce spectacle fut à deux doigts de me faire jouir. Il faut avouer que ça aurait été dommage...Sous sa lingerie, je devinais son pénis et ses bourses, mais cela ne réduisait en rien l’envie qu’elle m’inspirait, au contraire. Elle avait le visage tourné vers moi, ses yeux presque noirs, ses joues empourprées, et sa bouche arrondie par le désir.— J’ai envie de toi, me dit-elle d’une petite voix femelle, ébréchée par le désir. Je pris position derrière elle, à genoux sur le matelas, les mains posées sur ses hanches. Jamais je n’avais pratiqué la sodomie, en-dehors d’une tentative foireuse avec une de mes ex, mais là, tout était différent. C’était curieux, mais les choses se faisaient de manière naturelle, alors que rien n’aurait dû l’être. Mon gland trouva tout seul le cap de l’anus de Minji, se cala, se mit en position, et je me mis à pousser afin de lui permettre de s’engager dans l’anneau très étroit que j’avais très envie de pénétrer.Mon amante se crispa l’espace d’un instant, ce qui me fit hésiter, mais elle m’encouragea à m’entêter, le temps qu’elle se fasse à ma présence.— Oui... C’est ce que je veux... Vas-y très tranquillement...À force de patience, et en insistant tout doucement, mon gland franchit le cap et je le vis disparaître à l’intérieur du petit trou du cul de la fille, qui l’accueillit avec un profond soupir, mi-soulagé, mi-conquis. Ça y était, j’étais en train d’enculer la divine Minji. J’étais en train d’enculer mon pote Kyu. Délicatement, je me mis à explorer cette terre inconquise qu’était son anus. J’enfonçai, extrêmement lentement, ma queue sur toute sa longueur, jusqu’au fond, puis je la retirai tout aussi tranquillement. — C’est bon, là?
Incapable d’articuler des mots, elle me répondit par des bruits. Peu à peu, les grincements de dents de Minji cédaient la place à des halètements ravis.Moi, j’étais au septième ciel. Ce conduit très étroit, c’était le paradis. Les sensations autour de ma bite étaient divines. Désormais, je ne pouvais pas m’en empêcher, j’exprimai mon plaisir en poussant une série de grognements rauques, un pour chaque coup de rein. Bientôt, mon amante y fit écho en laissant échapper à chaque fois un bref jappement aigu, issu du fond de sa gorge.Je me sentais tellement bien, je me sentais chez moi, avec ma queue enfoncée dans le rectum de mon pote - ou de cette fille, tout était mélangé dans ma tête. Et franchement, je dois confesser que cette ambiguïté rendait ce moment encore meilleur.
 Avec une certaine prudence, j’accélérai le rythme. Ça n’aurait pas été nécessaire de se montrer timoré plus longtemps: il était clair, à en juger par son attitude, que désormais, ma petite maîtresse était prête à recevoir avec enthousiasme tout ce que je pouvais lui donner. Et ça tombait bien, parce que j’avais beaucoup de choses à offrir, ce soir...— Daniel… Daniel… gémissait-elle d’une voix très érotique, alors que j’entamais une série de va-et-vient dans son cul. Je poussai sa tête contre le matelas, pour qu’elle s’affale et colle son torse à son lit, pendant que je me redressais afin de la sodomiser plus profondément. À présent, c’était la part animale de mon cerveau qui était au commande, et je baisais son cul avec brutalité, la défonçant, lui arrachant des râles de plaisir tels que je n’en avais jamais entendus auparavant. J’y mettais toute ma force, toute ma virilité, alors que le plaisir, sans cesse croissant, menaçait de m’engouffrer et de me faire abandonner tout contrôle. Jamais je n’avais connu ça. J’étais sur le point de jouir, et je sentais qu’elle aussi. Et ça tombait bien: j’avais une idée en tête…Je retirai mon membre du fion de Minji, et je lui demandai, de se lever, les mains posées à plat contre le mur, et son beau petit cul en arrière. Elle fit exactement ce que je lui demandais.Quelques instants plus tard, j’étais debout derrière elle, la pénétrant à nouveau. On était tous les deux très près de jouir, on le sentait. Son visage, tourné vers moi, était déformé par le masque du plaisir: les sourcils en circonflexes, les yeux noirs et la bouche en rond. Dès qu’elle me sentit reprendre possession d’elle, mon amante se mit à pousser des "Oh oui…" répétés et de plus en plus forts, jusqu’à se muer en cris.
J’étais conscient que j’étais en train de vivre la baise la plus belle, la plus phénoménale de ma vie. J’aimais la sodomiser, cette déesse, et au fond de moi j’étais en train de fomenter des plans pour continuer de le faire sur le très, très long terme… Désormais, en m’appuyant sur ses hanches, je l’enculais avec puissance, chaque coup de rein était plus brusque que le précédent, accompagné d’un râle rauque et d’un plaisir inouï. J’avais les genoux qui tremblaient, elle aussi, et si elle ne tenait debout, ça n’était que parce qu’elle s’appuyait contre le mur.  Sous l’effet du plaisir, son rectum se contracta autour de ma queue, tandis que Minji se cabrait, poussant un hurlement infiniment féminin. D’une main, j’allai tâter sous sa robe, afin d’y trouver son pénis en érection, que je me mis à branler. Jamais je n’avais touché la bite d’un pote, mais ça, ça me semblait complètement différent.Sous l’effet conjugué de la sodomie et de la masturbation, je menai rapidement mon amante à un orgasme d’une puissance ravageuse. Perdant complètement les pédales, elle se contorsionna, se crispa, rugit, gémit, en proie à une éruption de plaisir telle que je n’en avais jamais connue. Dans ma paume, sa queue chaude se mit à battre, à pulser, de plus en plus fort, jusqu’à ce que ma maîtresse éjacule une, deux, trois grosses giclées de sperme contre le mur, qui se mirent à couler en laissant une traînée flasque sur le papier peint. C’était mon tour. Après ce que je venais de vivre, impossible de me retenir plus longtemps. À deux doigts de jouir, j’eus la présence d’esprit, malgré mon esprit enfiévré, de me retirer de l’anus de Minji et d’enlever mon préservatif. Dès que ce fut fait, je capitulais, m’offrant au dieu orgasme. Une vague de plaisir m’engouffra, nivelant ma conscience et chamboulant tout mon être. Pendant une fraction de seconde, je ne vis ni n’entendis plus rien. Puis ma bite gonflée projeta une série de jets de foutre tiède qui vinrent éclabousser le trou du cul dilaté de ma maîtresse, ses petites fesses et l’intérieur de sa robe rose. Ce qu’on venait de faire était complètement fou. Minji et moi, pantelants, épuisés, couverts de sueur et de sperme, on reprit lentement notre souffle, puis on éclata ensemble d’un rire plein de joie, avant de s’embrasser tendrement. On roula l’un contre l’autre dans le lit et, après un très long câlin, on finit par s’endormir l’un contre l’autre. Pendant la nuit, on recommença à faire l’amour deux ou trois fois, incapables de se rassasier l’un de l’autre. Au matin, émerveillés, on s’embrassa comme des amoureux. On passa sous la douche et Minji en profita pour se refaire une beauté, enfilant une nouvelle robe et m’apparaissant resplendissante à la table du petit-déjeuner.— Il faut que je te confie…, dit-elle. Je ne veux plus être un garçon. Je veux rester Minji, toute ma vie. Et je me demandais si tu accepterais de… m’accompagner sur ce chemin.Je l’embrassai passionnément, ne laissant aucun doute sur mes intentions:— Quoi qu’il arrive, tu seras toujours mon meilleur pote. Mais si tu le veux bien, j’aimerais aussi qu’à partir d’aujourd’hui, tu sois ma copine et que je sois ton mec.On ne se fit pas de déclaration d’amour - on était des hommes, après tout, plus ou moins. Mais les mots viendraient plus tard. Je pris la bouche de la fille qui faisait battre mon cœur, et on se prit en photo, langues emmêlées, avec le hashtag #valentinechallenge, direction les réseaux sociaux.
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