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Valérie : l'insoupçonnée

Chapitre 7

Hétéro
Je n’ai pas l’intention de contacter rapidement Valérie, même si l’envie est forte. Pourtant, j’attends bien moins que je l’imagine et surtout, la proposition contenue dans le mail de Valérie est aussi excitante qu’inconvenante. Huit jours après notre soirée, Valérie m’écrit que son chef ne peut se rendre à un important séminaire de deux jours dans une ville voisine et il a indiqué à Valérie qu’elle devait s’y rendre à sa place. Elle propose ainsi que je la rejoigne à l’hôtel afin que nous passions la nuit ensemble.
Que dire ? Sa proposition m’enflamme et j’"organise" immédiatement mon absence, tant auprès de ma femme que de mon employeur. Ensuite, il faut attendre dix longs jours avant la date du séminaire, durant lesquels Valérie et moi échangeons peu. C’est mieux ainsi et cela évite que je me dissipe. Je parviens tant bien que mal à faire abstraction de cette échéance.
Arrive enfin le fameux mardi. La veille au soir, la pression était montée un peu en préparant mes affaires. Elle est ensuite allée crescendo tout au long de la journée. Valérie avait réservé un autre hôtel que celui prévu par son boss.
En fin de journée, j’anticipe mon départ du travail et après une heure de voiture, j’arrive devant le petit hôtel sur les hauteurs de la ville. Discret, modeste, mais doté d’un charme certain, l’hôtel semble comprimé entre deux bâtiments modernes et massifs, comme si ses flancs avaient été écrasés et qu’il avait grandit. Il est 17h30, je m’installe au bar et consulte la presse à disposition.
Un peu moins d’une heure après, j’aperçois enfin Valérie. Vêtue d’un pantalon noir et d’un chemisier blanc, elle marche rapidement et elle n’a pas l’air contente. Nous nous faisons la bise :— Je suis vraiment désolée, je devais sortir plus tôt, mais ça s’est prolongé. Je suis venue aussi vite que j’ai pu.Je souris et lui dis que le plus important est qu’elle soit là. Je lui propose de finir mon soda. Nous papotons de tout et de rien puis Valérie se lève et nous allons faire le check-in. Dix minutes plus tard, nous nous embrassons dans l’ascenseur qui nous mène au septième étage.
La porte de la chambre est à peine refermée que nous nous enlaçons et nous embrassons comme si c’était là nos derniers instants. Pourtant, alors que j’ai déjà retiré son chemisier et commencé à déboutonner son pantalon, Valérie me repousse tendrement :— Attends. Il faut vraiment que j’aille à la salle de bains. Laisse-moi dix minutes.
Je regarde par la fenêtre quand j’entends dans mon dos :— Voilà, je suis toute prête.La jolie brune me coupe le souffle : sous un peignoir court, elle porte un ensemble de lingerie noir trois pièces, composé d’un balconnet, d’un string et un porte-jarretelles joliment transparents. Elle vient lentement vers moi, m’embrasse. J’ai le cœur qui bat à tout rompre. Je ne parviens rien à dire mais tout mon être doit parler pour moi. Valérie s’agenouille, déboutonne mon pantalon et entame une fabuleuse fellation.
Elle m’entraine ensuite sur le lit et je termine de me déshabiller avant qu’elle ne me suce à nouveau. J’attire ses jambes à mon visage. Surexcité, je dévore son sexe et la fais jouir à deux reprises. Bien plus calme qu’en arrivant à l’hôtel, Valérie se relève ensuite. Ses gestes sont lents et gracieux. Elle retire son string et s’allonge dans le lit. Elle m’invite à venir entre ses jambes, "pas trop vite ni trop fort". Yeux dans les yeux, nous échangeons des mots tendres et doux. Valérie jouit une nouvelle fois et ne veut pas changer de position; elle souhaite que je reste ainsi sur elle. Nos baisers sont profonds, longs et passionnés. Valérie écarte plus largement les jambes et je glisse un peu plus loin en elle mais sans changer le rythme. A bout, je me redresse et jouis en elle. Son sourire irradie, son bonheur manifeste me comble. Nous nous embrassons, je m’allonge à côté d’elle.
Valérie est ravie de l’effet de sa tenue sur ma personne. Elle rit :— Je me suis souvenue que tu avais dit aimer la belle lingerie. — Tu es délicieuse. Tu en portes souvent ?— Quasiment jamais. Comme ça, oui, en privé, pour faire une surprise, mais c’est tout.
— Jamais pour sortir ?— Une fois. J’avais 19 ans, c’était pour la Saint-Valentin avec mon copain de l’époque. J’avais été super mal à l’aise durant toute la soirée et le pire, c’est que ça ne lui avait fait ni chaud ni froid !Elle éclate de rire. Je l’embrasse.— La seconde fois ce soir ?— Ça n’était pas prévu, mais…— Mais ?Valérie me fait un clin d’œil, se lève et se dirige vers la salle de bains. J’entends l’eau couler, elle revient dans la chambre avec ses affaires et son sac à la main. — Tu peux aller te doucher, je m’habille pendant ce temps.
Je file sous la douche. Pantalon, chemise, bien coiffé, je suis prêt et sors de la salle de bains. Valérie porte une robe noir et des talons hauts. Elle est adorable. Je souris :— Alors ?— Alors c’est court quand même. Elle s’assied sur la chaise et la robe remonte à l’extrême limite du bas. Elle croise les jambes ce qui découvre la jarretelle. Elle se lève et me regarde, attendant visiblement mon avis :— Si ça te gêne, enlève-le. Tu es sublime et très sexy dans cette tenue. Le porte-jarretelles apporte de l’élégance à mon avis.Valérie réfléchit.— Je le garde. Ton regard vaut tous les risques.Elle rit à nouveau.
Valérie prend son sac à main et nous nous apprêtons à descendre. Avant d’ouvrir la porte de la chambre, je m’agenouille devant elle. — Mais que fais-tu ?!!?— Mon apéritif.Je soulève la robe et plonge directement à son minou en écartant son string. Les jambes de plus en plus fléchies, Valérie gémit bruyamment jusqu’à atteindre l’orgasme. Je me redresse, la tourne et, sortant rapidement mon sexe bandant, glisse en elle. — Et toi, comment aimes-tu tes apéritifs ?Elle gémit :— Courts, puissants et forts…Deux minutes de pilonnage à un rythme frénétique. Agrippé à ses hanches, je m’acharne à marteler le cul de ma magnifique partenaire qui semble prendre un plaisir immense à être malmenée de la sorte. Je jouis dans un râle aussi inélégant que spontané.— J’adore quand tu me baises.
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