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Valérie : l'insoupçonnée

Chapitre 10

Hétéro
Je dors paisiblement lorsque je suis réveillé par une lueur et un bruit d’eau. A peine ai-je ouvert les yeux que la lumière s’éteint. Valérie revient au lit. Elle m’embrasse et se tourne pour se rendormir. Poussant ses fesses en arrière, elle heurte mon sexe, durcit de cette formidable érection que les rêves érotiques nocturnes provoquent. Sa main passe entre nous et elle s’empare de ma bite… qu’elle glisse dans son vagin.— Baise-moi… Vite !Ni une ni deux, je me mets en action et astique la dormeuse. Elle lève la jambe et il me faut moins de deux minutes pour décharger en elle. Elle repose sa jambe, se couvre et se rendort. Je l’accompagne quelques secondes plus tard. Il est quatre heures du matin.
Le portable de Valérie sonne à sept heures. Une minute plus tard, elle est à califourchon sur mon sexe et me comble de toute la palette des variations possibles dans cette position. Elle a plusieurs orgasmes avant de me faire intensément jouir. Elle file à la douche tandis que je réceptionne le petit-déjeuner commandé la veille.
Valérie sort de la salle de bains vêtue d’une unique serviette autour de la poitrine. Elle avale rapidement un croissant et un jus d’orange, puis un café. Elle sort ses vêtements qu’elle dépose sur le lit et commence à se vêtir. Je me délecte du spectacle : soutien-gorge balconnet et string roses pâle puis une élégante robe portefeuille beige.— Une robe idéale pour porter la guêpière dessous.Valérie sourit.— Si je n’allais pas au boulot et qu’on sortait ensemble, j’aurais pu envisager la chose.J’ai envie de quelques câlins avant son départ, mais elle n’est pas du tout en avance.— Je reviens à midi et j’aurais certainement envie de toi.Un dernier baiser et elle s’en va.
J’allume la télé, informe la réception de notre check-out pour 14h et je commande déjà des salades pour midi. Je range mes affaires. Les siennes sont éparpillées dans la chambre et je les réunis sur le lit. Sa tenue de travail de la veille (pantalon, chemisier, soutien-gorge, string et mi-bas), le peignoir, la robe et les dessous noirs, la parure de lingerie blanche et les accessoires. Et deux paires de talons. Il me semble n’avoir rien oublié. En regardant les vêtements, je suis attiré par les trois strings, particulièrement par le noir de la soirée et le rouge, que je découvre, qu’elle portait au travail la veille. Le noir capte mon attention à cause de sa couleur, car l’intérieur du string est maculé d’une tache blanche couvrant tant la quasi intégralité de la zone où repose son sexe que les coutures bordant l’étoffe. Une impressionnante étendue de mouille qui confirme l’excitation de Valérie durant la soirée.
Le string rouge comporte aussi un sillon blanchâtre, mais surtout, il dégage une entêtante odeur de sexe et de sueur qui me fait immédiatement bander. Je me caresse en portant la culotte à mon visage et inspire profondément les effluves intimes de Valérie. Je ferme les yeux et la revoie en lingerie, nue, ses seins, ses fesses, les positions obscènes, sa rondelle ouverte… J’explose, je gicle je ne sais où, perdu dans mes rêveries.
Je pose le string sur le lit et vais prendre une douche. De retour dans la chambre, je plie et dépose les vêtements de Valérie sur la table. Je m’allonge sur le lit et me rendors quelques minutes.
A 11h30, je refais le lit et prépare la chambre pour son arrivée. Je porte un simple boxer. Il me tarde qu’elle arrive et je suis soudain tout à fait désœuvré. Peu après midi, on toque à la porte et, certain qu’il s’agit de Valérie, j’entrouvre la porte et me poste en face. Je m’attends à ce qu’elle l’ouvre, mais j’entends "Room service, bonjour". Complètement oublié les salades ! Une serveuse latine aux longs cheveux noirs et bouclés lève sur moi des yeux incroyablement beaux. Plutôt petite, elle dégage un charme et un érotisme fou. J’en suis pétrifié. Elle passe devant moi et je bloque ensuite sur ses fesses étroites et formidablement bombées dans une jupe de tailleur noire parfaitement ajustée.
Elle aimerait déposer les assiettes sur la table mais les vêtements de Valérie s’y trouvent. Je me précipite pour les poser sur le fauteuil mais je fais tomber le porte-jarretelles et le string noirs à ses pieds. Elle les ramasse entre le pouce et l’index et hoche la tête en souriant. C’est à ce moment-là, quand elle se tourne vers moi, quand je la vois de face pour la première fois, que je remarque réellement sa monumentale poitrine. Deux grosses bulles bien hautes, de la taille de ballons de handball, se dressent dans ma direction menaçant à tout instant de faire exploser un chemisier qui semble trop petit de trois tailles au mois. Elle sourit et dit :— Vous avez dû passer une bonne soirée. — Oh oui, et vous ?
J’ai répondu du tac au tac. Je m’assieds sur le lit, face à elle. Elle lève la lingerie qu’elle tient toujours entre ses doigts :— Certainement moins agréable que la votre.Je prends les deux pièces, pose le string sur le fauteuil et garde le porte-jarretelles que j’agrafe prestement. — Approchez-vous.Elle fait un pas en avant. Je tiens le porte-jarretelles tendu au niveau de ses hanches.— Pile votre taille.Elle rit.— Je ne porte pas ce genre de choses.— Vraiment ? Jamais ?— Non, d’ailleurs, je n’en ai pas.Je la provoque :— Je vous offre l’ensemble de lingerie de votre choix si vous acceptez de manger avec moi.— Oh !Son sourire et sa gêne touchante valident ma proposition. Elle entre dans mon jeu.— Je pourrais avoir un copain.— Vous pourriez, oui. Vous pourriez être homosexuelle aussi. Mais cela ne changerait rien à ma proposition. — Je ne suis pas homosexuelle.— Et vous n’avez pas de petit copain.Elle rougit, toujours avec le sourire.— Je pourrais refuser votre proposition.— Vous êtes libre comme l’air, ma chère.Elle fait mine de réfléchir, mais sa réponse ne fait aucun doute.— Donc, vous m’offrez de la lingerie et vous m’invitez au restaurant, sans contrepartie, de manière tout à fait désintéressée.Je souris en retour.— Si mon altruisme et ma générosité vous gênent tant, je ne vois aucune objection à ce que vous me montriez votre poitrine pour vous libérer de cette gêne.Elle éclate de rire puis dit :— J’accepte avec plaisir votre invitation.Elle se tourne vers le bureau et écrit son nom et son numéro de téléphone sur une carte de visite de l’hôtel. Elle se dirige ensuite vers la porte d’entrée. Je la suis. Elle dit :— Je serai bien restée avec vous encore un peu, mais j’ai du travail et quelque chose me dit que vous attendez quelqu’un.Je ris, elle aussi. Je dépose un baiser sur sa joue. Elle ouvre la porte et se place derrière le chariot transportant d’autres repas.— Amusez-vous bien mais n’oubliez pas de m’appeler.Je regarde partir cette merveilleuse paire de fesses puis ferme la porte. Je prends la carte de visite et la range. Cinq minutes plus tard, Valérie fait son entrée.
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