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Valérie : l'insoupçonnée

Chapitre 13

Hétéro
Comme tous les matins, j’arrive au travail à 8h00 ce vendredi-là. Environ un quart d’heure plus tard, je reçois un message de Valérie sur mon téléphone. Appareil que nous évitons d’utiliser autant que possible. C’est une photo d’elle. Ou plutôt deux photos. Et quelles photos ! Deux selfies pris dans une salle de bains : "Il y a 2h, chez moi" est le message d’accompagnement. Le premier selfie cadre son épaule gauche de face jusqu’au dessus de son sein. Sur le haut du bras, un tissu beige me laisse penser qu’il s’agit de la robe qu’elle portait la semaine passée à l’hôtel. La seconde photo est prise de haut en bas, à hauteur d’épaule. La robe beige est confirmée. Sans rien dévoiler, l’ouverture de la robe suggère que Valérie ne porte pas de string. Ce qui laisserait à penser que la première photo indique qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge. Cela m’excite au plus haut point.
A 9h30, j’en ai une confirmation éclatante avec deux nouveaux selfies. Le téléphone placé à côté de son écran, Valérie s’est d’abord photographiée en train d’écrire, le décolleté exagérément ouvert. L’absence de tissu et les deux pointes de chaque côté confirme qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Pour le second cliché, pris à hauteur de bureau, elle a ouvert le bas de sa robe au niveau de son nombril. Jambes écartées, elle masque son sexe avec… une agrafeuse ! Juste quatre mots viennent ensuite : "10h30 dans les toilettes".
A l’heure dite, je file au lieu de rendez-vous et attends. Valérie est précise et m’appelle. Un appel vidéo. Elle a posé son téléphone verticalement et pose son index sur sa bouche. Pas de son, pas de mots, juste l’image. A l’écran, la jolie brune dénoue nonchalamment sa robe qui s’ouvre sur son corps nu. Elle l’enlève et se caresse la poitrine lascivement la poitrine. Elle lèche son téton en se rapprochant de son téléphone. Je bande comme un âne.
Valérie prend ensuite le téléphone qu’elle dépose à plat sur la cuvette des toilettes. Son minou en gros plan. Elle le caresse à son tour, glisse un doigt à l’intérieur, excite son clitoris. Lubrique, elle écarte largement ses lèvres, ne m’épargnant aucun détail de son intimité. Elle se tourne ensuite et caresse délicatement sa rondelle. Elle me surprend en se glissant une phalange de son index dans l’anus.
Reprenant le téléphone à la main, Valérie simule enfin une fellation. L’occasion pour moi de filmer mon sexe tendu. Valérie semble ravie. Elle sourit, prend une feuille de papier et la met à côté d’elle. Au bout d’une flèche la désignant, il est écrit : "Dans moins de 2h, cette salope va sucer ta grosse bite". J’ai eu à peine le temps de lire qu’elle raccroche. Je suis éberlué par ce que je viens de lire. Je finis de me branler et jouis en imaginant mon sexe dans la bouche de Valérie.
A midi, nous nous retrouvons cette fois directement au "Paradis". J’arrive avant Valérie et installe la couverture. J’aperçois sa voiture qui se gare. Elle en descend et tout en marchant dans ma direction, elle ouvre sa robe. Un baiser et elle est déjà agenouillée devant moi, ma bite dans la bouche. Là où nous sommes, nous pourrions être vus, mais personne ne passe sur le chemin. Valérie est surexcitée. Elle m’attire vers le bas, s’allonge dans l’herbe et m’entraine sur elle. Je la pénètre assez vigoureusement :— Oh ! Oh ! Oui ! Encore ! Oui ! Baise-moi ! Baise-moi ! Plus fort !Je la pilonne, elle jouit mais je ne m’arrête pas. Elle jouit encore.— Mon Dieu ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiiiii !Deux orgasmes se succèdent juste avant que je jouisse à mon tour. Quelle arrivée !
— Salut ! Tu vas bien ?J’explose de rire. Nous nous relevons et Valérie vient s’assoir dans le "transat". Complètement nue cette fois. Je lui dis que j’ai adoré son petit jeu du matin. Elle rit, fière de son effet.
Nous mangeons rapidement puis je fais un long cunnilingus à Valérie, refusant ses supplications à venir en elle. Je dévore son abricot durant plus de vingt minutes, la faisant jouir et jouir encore. Trempée de sueur, à bout de souffle, elle m’implore d’arrêter et après s’être remise de ses émotions, elle me récompense d’une prodigieuse fellation qu’elle avale sans broncher.
Nous faisons l’amour alors que nous savons que nous sommes très en retard mais l’envie est plus forte. Valérie me montre encore un sein devant son travail. Je fonce pour arriver au bureau, mais il est 15h et mes collègues sont au café. Mon boss semble m’attendre et ses yeux valent toutes les remarques. Je m’écrase et bosse comme un acharné jusqu’à 19h30. Le temps pour Valérie et moi de fixer notre prochain rendez-vous au "Paradis" au mercredi suivant.
Le jour dit, la chaleur est manifeste dès les premières lueurs du jour : pour la troisième nuit consécutive, la chaleur n’est pas descendue sous les 20°C. A 10h du matin, il fait déjà 28°C. A midi, je suis ravi de m’allonger dans l’herbe et à l’ombre au "Paradis". Il y ferait presque frais. Valérie arrive cinq minutes après moi. Minijupe plissée bleue, top blanc à fines bretelles, divine. Elle m’embrasse et vient à l’ombre elle aussi… Un nouveau baiser et Valérie est à califourchon sur moi et déboutonne déjà mon pantalon en lin. — Il fait trop chaud pour travailler, j’ai pensé à notre rendez-vous toute la matinée. Elle glisse aisément sur mon sexe et ondule lentement. Elle jouit puis m’emmène à mon tour à l’orgasme.
Après le repas, à nouveau expédié, je me délecte de son anus trempé de sueur. Valérie est couchée dans l’herbe, sur le côté et j’ai le nez entre ses fesses. Sa rondelle s’ouvre désormais plus vite. Je fais durer le plaisir et Valérie jubile. Remontant ensuite le long de son corps en l’embrassant, je passe ma main entre ses fesses. Du bout de mon majeur, je caresse le tour de son petit trou dilaté. Valérie sourit, nous nous embrassons et je glisse une phalange dans son anus. A mesure que notre baiser se poursuit, j’enfonce mon doigt plus loin dans son cul. Seconde phalange. Et mon doigt. Lentement je vais et viens. Valérie a un regard étrange :— Arrête…Je sors mon doigt et l’embrasse à nouveau. Roulant sur le dos, elle m’attire en elle. Yeux dans les yeux, nous faisons l’amour comme on relève un défi.
La chaleur nous accable et nous sommes restons ensuite allongés dans l’herbe, tentant ainsi de trouver un peu de fraicheur. Nous nous endormons. A 15h, Valérie se réveille et sursaute. — Merde, merde merde !Nous nous rhabillons aussi vite que possible, un rapide smack et nous filons chacun de notre côté. Pas la peine d’essayer de me soustraire au savon de mon boss. Je suis en sueur, je pue la transpiration à plusieurs mètres. Il me dit de rentrer chez moi et de revenir le lendemain avec un tout autre état d’esprit que ces dernières semaines.
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