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Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée.

Chapitre 14

Trash
On est allongé tous les trois dans le même lit, avec l’intention de se reposer. Il fait noir, on reste sans bouger pour éviter de se toucher, et on parvient à dormir une bonne heure. J’ouvre l’œil, la lumière est allumée, et les filles sont réveillées et attendent que j’émerge. Vanessa s’adresse à moi:— Ah, quand même, ce n’est pas trop tôt!— Excusez moi, mais il fallait que je récupère pour assurer la suite.— Et tu la vois comment cette suite?— Je ne sais pas, mais j’imagine que vous m’avez concocté quelque chose de bien chaud. Maintenant si rien n’est prévu, on peut reparler de ton idée.— Mon idée! Tu parles de quoi?— De méga fister ton putain de cul.— Salaud, tu ne perds pas le nord.— Tu en as toujours envie?— Tu connais la réponse, tu sais que dès qu’il s’agit de s’occuper de mon petit trou je suis incapable de dire non.— Oui, je sais, et je sais aussi qu’après que l’on s’en sera bien occupé, ton trou sera tout sauf petit.— Ok, je vais vous offrir mon fion, mais on pose des conditions.On l’écoute énoncer ses demandes que l’on accepte sans problème:1) On ne la force pas et on arrête si elle le demande. Aucun souci, c’est ce qui était prévu pour notre week-end de débauche, chacun peut stopper une séance quand il le veut.2) C’est Camille qui va passer en premier, son poing étant plus petit, et là encore ça ne pose aucun problème.3) Elle veut que l’on la prépare en douceur, progressivement, et on va se faire un plaisir de lui obéir.
Elle s’installe à quatre pattes, le cul au bord du lit, les épaules sur le drap, et elle écarte ses fesses au maximum. On est à genoux derrière elle et on va démarrer par un bouffage de son cul. On balaie sa raie à grands coups de langues, on s’attarde sur sa rondelle. Nos langues sont super musclées, habituées à sucer, lécher, rouler des pelles, et on parvient à transpercer son intimité anale, à y enfouir nos menteuses. La salope prend déjà son pied, alors que l’on a à peine commencé. Après nos langues, ce sont nos doigts qui vont la fouiller. J’en glisse deux dans sa chatte pour les lubrifier. Je les retire couverts de mouille, mais aussi de sang, et les glissent entre ses miches. Camille se masturbe, elle a aussi les doigts plein de mouille et de sang, les siens, et je lui cède la place pour ausculter sa copine. On en est à quatre doigts, et notre putain gémit de plus en plus, nous encourage, attend avec impatience le bouquet final. Camille a saisi un gode et l’enfonce direct dans ce magnifique œillet qui nous est offert. Elle lime l’anus de Vanessa, le fait mouiller comme beaucoup de femmes ne mouillent pas de la chatte. Elle retire l’objet et je le remplace aussitôt par une vraie bite bien musclée, la mienne. Je la défonce sauvagement, puis je me retire, m’allonge sur le lit, et lui ordonne de venir s’empaler sur moi. J’ai à nouveau ma queue bien ancrée dans son trou anal, et je sens un doigt me la caresser. C’est Camille qui fait une petite introduction, en complément de mon sexe. Suivent rapidement un deuxième, troisième, puis quatrième. Vanessa se laisse faire, et c’est la main toute entière qui s’introduit. Notre salope pousse des petits cris de douleur, mais n’abandonne pas. Très vite les cris font place à des soupirs, des halètements, rythmés par des "oui, oui, vas-y, oh putain c’est bon, vas-y, branle le , fais le jouir dans mon cul..". Camille ne se le fait pas dire deux fois, et je sens ses doigts se resserrer sur mon gland pour me masturber vigoureusement, par de courts allers et retours, afin de ne pas retirer sa main.C’est bon et je ne fais aucun effort pour me retenir. Je gicle dans les doigts de Camille, dans le conduit de Vanessa, je les inonde toutes les deux. Ma bite se ramollit jusqu’à sortir de son écrin inégalable. Je me glisse pour sortir d’en dessous de ma partenaire et je peux voir Camille se déchainer à perforer le fion de son amie.Elle la boxe de ses deux poings fermés, un seul à la à fois, en alternance et à un rythme soutenu, une entrée à la seconde. Vanesse râle, ronronne, feule comme une grosse chatte pleinement satisfaite. Le spectacle est magnifique, fascinant, et je veux participer. Camille me laisse remplacer son poing gauche par ma main droite ouverte, et on continue à besogner notre chienne. Ma complice innove, et au lieu de son poing droit, elle enfonce ses deux mains jointes. Ma main, ses deux, la mienne, ses deux, on continue rapidement et ça rentre comme dans du beurre puisque l’on ne laisse pas le temps à son trou de se refermer. On change encore, j’ai joint ma main droite à la gauche de la petite et on pénètre tous les deux notre putain. Elle grogne, mais ne capitule pas; elle en veux encore cette salope. On l’informe de nos projets pour la suite, lui demande si elle est d’accord, et elle nous donne une réponse entrecoupée de sa forte respiration pour nous dire que l’on est des salauds et qu’elle ne nous fera pas le plaisir de capituler. Camille reprend ses coups de poings et me laisse passer entre deux. Je fourre ma main à plat, la referme dans l’anus brûlant et bien dilaté de Vanessa, et la retire d’un coup sec. Elle gueule, mais ne dit pas un mot, nous autorisant à continuer. Je tente une pénétration à poing fermé et elle gueule encore plus fort; je m’en inquiète:
— Ca va? Tu veux que l’on continue?— Oh, oh, oui, oh, allez -y, oh........-Tu arrêtes quand tu veux, n’oublies pas!Elle ne répond pas, son souffle est court , elle halète d’épuisement, de plaisir, de jouissance. Je la matraque de mon poing, et Camille va lui donner le coup de grâce. Elle enfile à nouveau ses deux mains jointes, les ressort poings fermés, recommence plusieurs fois puis enfonce ses deux poings sauvagement. Vanessa gueule tout ce qu’elle sait, elle s’égare dans sa douleur, et n’a pas le réflexe de stopper la séance aussitôt. Sa copine est déchainée, hystérique, et elle la fiste violemment, cinq ou six fois en la traitant de tous les noms et en balançant les pires obscénité. Vanessa demande enfin grâce, Camile continue et j’interviens pour la faire stopper. Elle s’excuse auprès de son amie, lui dit qu’elle ne voulait pas, que c’était plus fort qu’elle.On laisse notre salope récupérer, toujours à quatre pattes, puis je lui propose de soulager son fion.Elle descend du lit, je remets ma main dans son trou, et on va à la salle de bain, elle à quatre pattes. Elle est dans le bac à douche, je viens au dessus d’elle en gardant ma main en place, puis je la retire. Je glisse quatre doigts entre ses fesses, les deux index et les deux majeurs, et j’étire ses parois au maximum. Elle est largement ouverte, comme je n’ai jamais vu un cul, et Camille se met derrière elle. Elle écarte ses lèvres vaginales et pisse dans son cul. C’est le plus beau spectacle que je n’ai jamais vu. Vanessa soupire d’aise, apprécie ce chaud calmant qui la remplit. Son tube est plein et notre pisseuse coupe le robinet.Je retire mes doigts, Vanessa s’assied sur ses talons et son trou recrache tout dans le verre que tient Camille. Cette dernière le lui tend et notre putain d’hôtesse se délecte à tout boire. On reprend la position, Camille la remplit une deuxième fois et c’est moi qui bois; une troisième et dernière fois et c’est notre pisseuse qui engloutit sa propre urine.On inverse les rôles, et c’est Camille qui distant la rondelle de Vanessa. J’ai la bite molle mais elle est tellement ouverte que je peux m’enfiler pour pisser et la remplir à trois reprises, et que chacun ait un nouveau verre à boire. Vanessa à envie de faire elle aussi et on la fait pisser trois fois dans le verre. A chaque fois on déverse le contenu dans son cul, elle le recrache dans le verre et on boit chacun son tour.On a beaucoup bu, de l’eau et de l’urine, et on doit encore éliminer. On reste dans la salle de bain et chacun finit de se vidanger direct dans la bouche des deux autres qui boivent sans soif pour faire des réserves et aussi ne pas perdre une goutte de nos délicieuses liqueurs.On s’essuie pour ne pas dégueulasser l’appartement et on repart à la chambre.Cette séance de fisting, plus celle de la salle d’eau, m’ont remis en forme et je trique à nouveau. J’ai envie d’elles, envie de leurs culs. Vanessa refuse mon offre à notre plus grande surprise, disant que son fion a pris trop cher et qu’elle veut le mettre en jachère. Camille saisit l’occasion pour dire qu’elle veut bien se faire mettre pour deux, que son cul est en demande. On s’arrange pour satisfaire tout le monde.Vanessa s’allonge à plat ventre, et Camille s’installe à quatre pattes entre ses jambes pour lécher sa raie et son oignon, essayer de la soulager de ses douleurs. Ce faisant, elle cambre bien ses reins, et m’offre son postérieur en toute indécence. Ma queue ne peut résister à une pareille invitation et je l’emplafonne comme une bête. Elle hurle et j’appuie sa tête entre les miches de sa copine pour la faire taire:— Ferme ta gueule salope, et lèche. Ce n’est qu’un acompte de ce qui t’attend.Je retire mon sceptre et le remplace par un gode. Je bande béton, un pied de biche, et je tente une insertion dans son cul déjà bien rempli:— Non, non, s’il te plait, pas ça, tu vas me déchirer!— Ta gueule salope, je te l’ai déjà dit, bouffe putain et ça passer tout seul.J’appuie sur sa tête, la plaque dans la belle fente de sa copine, et m’enfonce virilement. Je la lime, ça me fait mal à la queue, mais j’imagine que ça lui fait encore plus mal au cul, et je m’efforce à continuer:— Prends salope, prends, c’est pour t’apprendre à ne pas forcer ta copine quand elle ne veut pas.Je me retire, enlève le gode, et la reprend. Je la défonce et tire ses cheveux pour la redresser:— Alors, ça t’a plus salope de te faire éclater le cul? Tu vois ce que ça fait d’être forcée. — Fumier, ordure, je me suis excusée.— C’est vrai, alors je si ça suffit je m’excuse moi aussi. Tu me pardonnes?— Oui, salaud, avec une queue comme la tienne je ne peux que te pardonner. Encule moi, baise moi le cul, remplit moi de foutre....Je me tais, je garde mes forces pour satisfaire son trou. Je la ramone tant que je peux et je finis par éjaculer abondamment dans son rectum. Je me retire, et je place un verre entre ses cuisses. Son fion pisse du sperme, recrache tout mon don, et je le lui fais boire. Elle avale tout jusqu’à la dernière goutte puis me nettoie la queue.
On fait une nouvelle pause, allongés tous les trois sur le lit, à se raconter combien c’est bon toutes ces saloperies que l’on fait ensemble, à en imaginer des nouvelles.On s’excite de nos pensées, de nos paroles bien crues et imagées, chacun se caresse, se masturbe, elles mouillent, elles saignent, on entend le clapotis de leurs doigts dans leurs jus; je bande dur.On se fait un long 69 triangulaire, les filles inversent leur place pour que chacun goutte aux deux autres. Au bout de plus d’une heure à se lécher et se sucer, je n’en peux plus et vais jouir. Mes charmantes copines s’installent alors pour me pomper à deux, me faire décharger dans leur bouches soudées, se partager ma sauce et se rouler une pelle gigantesque.Il est dix-neuf heures, l’heure de l’apéro. On est à la cuisine, on a bu de l’eau tout au long de la journée, en plus de nos urines, pour alimenter nos vessies, et on se sert à boire en pissant chacun dans deux verres destinés à nos partenaires. Puis on va diner léger, une salade de fruits. Comme pour les pâtes, les femelles vont se farcir leur chattes dégoulinantes avec des fraises, des cerises, des quartiers de pêches, des kiwis et des bananes. Les fruits sont hyper assaisonnés, avant d’être placés dans un saladier. On pisse tous les trois dans le récipient et on se partage ce plat de prestige.
Il n’est pas très tard, mais on décide de se coucher pour se lever de bonne heure et profiter de notre dernier jour à trois. En effet si Vanessa a pu poser son lundi, il était trop tard pour Camille et elle doit nous quitter demain après midi.Vanessa va dormir toute seule dans le canapé lit, et elle nous laisse sa chambre à Camille et à moi.
A suivre...
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