Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 26 J'aime
  • 1 Commentaire

Vanessa, la femme de ma vie

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Je suis piégé. Anna ne me fait pas subir un test, elle me force à ne pas jouir tant qu’elle ne l’aura pas décidé. Dans ma tête comme un flash passe la réaction de mon entourage s’ils apprennent que je porte ça. Tout le monde mon regarderait autrement, je serais l’homme castré, dont le sexe est en cage! En faisant le tour de mes proches, je ne trouve personne à qui je puisse en parler pour essayer de trouver une solution. Malgré mon état d’angoisse, je dois me débrouiller seul.
Je me décide à me rendre le plus vite possible chez Anna, c’est dimanche et elle est certainement chez elle. Je passe donc aux toilettes, cet étonnant dispositif n’est pas gênant du tout pour ça, puis je m’habille. Est-ce qu’il se voit? Est-ce que ma démarche est différente? Et quand je m’assois? Mieux vaut porter des slips que des caleçons avec ça.Je tourne et retourne dans mon appartement, j’essaye toutes les positions voir si on peut deviner quelque chose, et j’ai à chaque fois l’impression qu’il se voit comme le nez au milieu de la figure.
Je ne suis déjà pas très habitué aux slips, alors avec cet appareil, je me demande si ma démarche choque. Personne ne se retourne sur mon passage. Mais je le sens. A chaque pas, je le sais, j’ai cette cage en métal sur le sexe, il tape, frotte, glisse dessus. Ce n’est en fait pas désagréable, au fur et à mesure que je marche c’est même plutôt plaisant cette nouvelle sensation. Je croise en chemin la vendeuse de vêtements du bout de la rue qui va acheter son pain. Je rougis légèrement de peur qu’elle découvre mon secret, et cette idée m’excite un peu. Mon sexe réagit mais il trouve rapidement la cage, ce qui ne diminue en aucun cas l’excitation, au contraire.
Arrivé en bas de l’immeuble d’Anna, je me dirige vers l’ascenseur. Une vieille dame me demande "Quel étage?" Bonne question, je n’ai fait attention aucune des deux fois. L’immeuble fait 30 étages avec 6 appartement chacun, je me résout à frapper à toutes les portes pour essayer de trouver Anna.Chaque personne que je croise me regarde bizarrement. Est-ce que ça se voit? Je dois avoir l’air d’un pervers avec ça, à frapper aux portes.Environ une porte sur deux n’ouvre pas, et je réalise qu’Anna n’ouvrira certainement pas la porte même si je sonne à la sienne. Je décide donc d’abandonner mes recherches, d’autant que cette excitation permanente d’être découvert me donne des bouffées de chaleurs.
Je rentre chez moi et réussis à me calmer petit à petit. J’essaye de ne pas penser à cet objet, de ne pas penser à l’excitation qu’il me procure à la moindre érection, mais c’est assez vite raté, chaque femme à la télé me le rappelle, et, plus inquiétant, un certain nombre d’hommes aussi. Je suis obsédé par cet objet. Je décide de faire des recherches sur internet pour en savoir plus. Peut être puis-je le retirer moi-même.Cet objet est une cage de chasteté, utilisé pour que les hommes n’aient aucun moyen de jouir. D’après un certain nombre de forums, ceux qui ont essayé de l’enlever avec des pinces coupantes l’on systématiquement regretté. Au moindre dérapage de l’outil c’est le drame total. Les quelques témoignages que je trouve m’enlèvent rapidement cette envie.
La journée se passe sans que je puisse faire quoi que ce soit, puis la nuit sans que je puisse dormir. Arrive le Lundi, le retour au travail.Vais-je réussir à passer une journée sans me faire remarquer? Une journée, d’ailleurs combien de journées vais-je devoir le porter? Quand vais-je revoir Anna? Et quand m’enlèvera-t-elle cet engin? Je suis à sa merci.
Je passe toute la matinée à me faire aussi petit que possible, un "Bonjour" par ci, un "Bonjour" par là, je fuis les discussions, la machine à café, mais Didier et Christian ne manquent pas de venir me voir pour me féliciter de ma "prise" de vendredi soir. Je leur laisse entendre que je ne sais pas si je la reverrai, mais de mon côté j’espère bien la revoir, je ne compte pas vivre avec ça le restant de mes jours.Le repas se passe bien, j’arrive à oublier la cage, je prends petit à petit de l’assurance en voyant que personne ne la remarque et je me permets de sortir un peu plus de mon bureau. Le problème c’est que toutes mes collègues femmes (Lola en particulier) me rappellent le danger pour moi de l’excitation et que cela ne manque pas de m’exciter.Je passe donc ma journée entre des bouffées de chaleurs dues à des érections contenues, et des passages aux toilettes pour essayer de les faire baisser. A la fin de la journée j’arrive un peu plus à me contrôler, l’excitation est toujours présente, mais je ne tourne pas au rouge vif systématiquement.Durant les jours qui suivent, je me pose plusieurs fois la question d’aller voir Anna, mais ne sachant toujours pas à quel appartement sonner, je m’abstiens.Je passe aussi souvent que possible devant le Téméraire voir si Anna n’y serait pas.
Vendredi soir, 6 jours après ma mise en cage, mes collègues me proposent de passer la soirée au Téméraire. Je suis un peu réticent, je ne sais pas si je vais pouvoir gérer l’excitation permanente. Craignant ce qui pourrait se passer, je décide de limiter fortement ma consommation d’alcool ce soir-là.Vers 21h, Anna entre et s’installe au comptoir. Elle commande un verre, je la rejoins, et je sens monter en moi une excitation bien plus forte que ce que j’ai pu connaître pendant ces 6 jours. Je sens que mon sexe voudrait fait exploser la cage qui le retient. Ses yeux verts me forcent à détourner les miens.— Il faut qu’on parle, dis-je.
— Qu’as-tu à m’offrir? me répond-elleJ’avais eu 6 jours pour y réfléchir, et j’avais prévu de l’emmener dans le meilleur restaurant de la ville (à 100 euros le repas tout de même), puis à un concert de Vivaldi, en référence à sa sonnerie de portable. Ne sachant pas quel jour je la croiserai, j’avais fait plusieurs réservations pour les deux.— C’est bien ce que je pensais, tu n’as aucune idée de que j’attends de toi, me dit-elle.Sur ces paroles, elle se lève puis sort du bar. Je la suis en courant, et je la vois monter dans une voiture, côté passager. Je vais à la fenêtre pour lui parler, et elle me lance "Qu’est-ce que tu attends, monte!"Je prends alors la place du chauffeur, à peine assis elle se penche sur moi, déboutonne mon pantalon, regarde dans mon caleçon.— Tu n’as rien tenté. C’est sage de ta part.— Quand me l’enlèveras-tu?— Je te l’enlèverai comme convenu. D’autre part j’aimerai mettre un peu plus de distance entre nous, ton comportement de l’autre jour m’a beaucoup irritée, j’aimerai que tu me vouvoie et que tu m’appelles madame.— Quoi?— Tu as bien entendu, j’aimerai que tu montre par là que tu me respecte.— ...Prenant mon sexe dans ses mains qui réagit instantanément à l’excitation, elle demande "Alors?"— Oui Madame, dis-je.L’état d’excitation extrême dans lequel je me trouve pourrait me faire accepter n’importe quoi qui puisse m’amener à jouir.— Je vous en prie Madame, je ferais n’importe quoi, mais je ne tiens plus.— Te voilà déjà bien mieux disposé, conduis-nous chez moi, nous allons nous en charger.
Arrivés chez Anna, elle me fait me déshabiller, ce pour quoi je n’aie aucune réticence, puis prépare un dispositif plutôt effrayant et me demande de m’allonger sur ses genoux. Le contact de mon sexe avec ses bas est insoutenable. Elle m’insère le bout d’un tuyau dans l’anus, ce qui me fait pousser un gémissement de plaisir bruyant. C’est bien la première fois que je pousse un tel gémissement, d’autant plus pour quelque chose qu’on m’insert dans les fesses. Je vois de sac de liquide relié au tuyau se vider petit à petit dans mes intestins.— La propreté est quelque chose d’essentiel, ne penses-tu pas?— Oui Madame.Une fois le tuyau retiré, Madame me dit de retenir l’eau à l’intérieur. Au bout de 5 minutes interminables, durant lesquelles je lutte contre l’envie de tout relâcher Madame me permet de me vider. Je surmonte finalement la tâche. Madame prend alors une paire de gants en plastique, et me demande de me mettre à 4 pattes.— Tu ne dois pas jouir, je vais donc te purger sans que tu jouisse.Madame m’insère plusieurs doigts dans l’anus de façon masser ma prostate, et me faire éjaculer sans que je ressente aucune jouissance. Je ressent alors un mélange de plaisir et de douleur qui me fait gémir.L’opération effectuée je sens effectivement l’excitation retomber petit à petit, mon éjaculation s’est faite sans aucun plaisir, cela ne m’étais jamais arrivé avant.
Malheureusement, tout cela s’était passé dans la semi pénombre de son appartement, et ma veste et mes vêtement se sont trouvés sur le chemin de ma semence. En les regardant à la lumière, je me rends compte que je ne peux pas les porter ainsi en public, et Madame m’annonce alors:— Très bien, nous allons sortir, il est toujours temps d’aller au restaurant que tu as réservé.— Mais ... mes vêtements ne sont pas sortables.— Tu aurais du faire attention! Je vais te prêter un ensemble avec lequel nous pourrons sortir.Je la vois partir vers sa penderie et ramener une veste, un chemisier et un pantalon. Ceux-ci ne paraissent pas particulièrement féminins, mais en les passant, je me rends bien compte qu’ils me donnent un genre efféminé, je proteste:— Laisses moi rentrer chez moi, je vais récupérer d’autres affaires.— Nous ne devons pas être en retard. Et je t’ai demandé de me vouvoyer, n’oublie pas que sans cela tu risque de garder ta cage bien plus longtemps.— Oui Madame excusez-moi.— Que je ne t’y reprennes plus. Je te préférais il y a quelques minutes dans ton rôle de chienne en chaleur.Me voila maintenant qualifié de "chienne en chaleur"! Je dois reconnaître que ce terme ne me plaît guère, mais qu’il correspond effectivement à ce que j’étais il y a quelques minutes encore.— D’ailleurs ces vêtements te vont à ravir, mis à part le fait qu’on voit ton slip au travers, c’est un problème, passe ça à la place, dit-elle en me tendant une minuscule pièce de vêtement. C’est un string, un minuscule string, je m’apprête à protester une fois de plus, mais je me rappelle de mon état, fichue cage. Je passe le string, le contact avec mon sexe est très doux et agréable. Madame m’aide à tout faire tenir dedans.Nous passons finalement la soirée telle qu’elle était prévue initialement, Madame me complimente régulièrement sur ma tenue, ce qui m’agace au début, mais je finis par ne plus y faire attention.
En rentrant chez moi, je me surprend à me regarder dans le miroir et à admirer mes fesses si bien moulées par ce pantalon. La soirée a été plutôt bonne, malgré cette maudite cage qui est encore et toujours là.
Diffuse en direct !
Regarder son live