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Vanessa, la femme de ma vie

Chapitre 3

SM / Fétichisme
La texture du string me plaît tellement que je passe la nuit avec. Je passe mon temps à le caresser, à sentir la douceur du tissu sur mes doigts. Mais à chaque fois mes doigts rencontrent la désagréable présence de mes poils. A moitié endormi, je me lève, saisis une paire de ciseaux, j’élague la forêt de mon pubis et je décide de parfaire le travail au rasoir, puis je décide de déborder un peu la zone, le haut des cuisses, puis les fessent subissent à leur tour le rasage.Une dizaine de minutes plus tard, je contemple le résultat dans la glace. Mes petites fesses sont excitantes, pas encore parfaitement douces, mais déjà bien plus agréables au touché, et en accord avec mon petit string... Je me rends compte que je les regarde comme je le ferais avec des fesses de femmes! Et elles m’excitent.J’ai bien du mal à me rendormir, je me caresse en permanence les fesse, le string, mais je finis par sombrer dans le sommeil.
Je me réveille extrêmement excité, des bribes de rêves me reviennent : jambes féminines, poitrine ferme, string, rouge à lèvre, yeux maquillés. Je frotte le string de façon insistante. Cette sensation est très plaisante. J’apprécie de plus en plus les caresses que me procure la cage, même s’il subsiste en permanence la frustration de ne jamais laisser exploser le plaisir.
En me levant, j’aperçois la tenue que Madame m’avait demandé de porter hier au soir. J’imagine la femme de mon rêve dans ces vêtements. Les fesses joliment moulées, et une magnifique poitrine qui gonfle la chemise et la veste. Cette fille m’attire, et ces vêtements m’attirent. J’aurais envie de passer ma journée dedans. Mais je ne suis pas une femme, je suis un homme, et j’ai mes propres vêtements. Je ferais d’ailleurs bien de ramener ces vêtements à Madame.Je m’habille, en gardant mon string chéri que je ne peux me résoudre à enlever, et pars chez Madame.
Arrivé chez elle, elle est habillée d’une robe de latex qui moule parfaitement ses formes, de grandes bottes rouges. Intimidé par ses yeux, je ne sais quoi dire, je lui tends mon sac contenant les vêtements et me retourne pour partir.— Reste!Je fais un demi tour net pour lui refaire face, les yeux fixés sur ses bottes.— Tu n’aimes pas cet ensemble?— Euh ... si ...— Eh bien, pourquoi le rapportes-tu? Garde-le alors, me dit-elle en me tendant le sac en retour. Il te va très bien, ce serait dommage. J’ai d’ailleurs prévu de t’en faire essayer d’autres.Je m’apprête alors à refuser quand je sens l’excitation monter en moi. J’ai déjà des vêtements, mes vêtements! Mais tout mon corps me pousse dans l’autre sens, l’idée de cette séance d’essayage me procure de petits frissons aux testicules.— Déshabille toi!Je m’exécute, enlève ma chemise, mes chaussures, puis mon pantalon.— Ah! Je vois le string t’a plu. Tu as même tenté de t’épiler! C’est mignon. Allonge toi sur le lit ma belle, on va finir ça.Je l’ai bien entendu m’appeler "ma belle"? Je tente de protester— Mais ...— Ne t’en fais pas, on va rendre tes jolies petites fesses douces comme du velours, tu va être magnifique.Puis Madame me prend la main droite, et me l’attache au lit— Pour t’éviter de bouger, ça sera plus pratique.Elle continue avec ma main gauche puis mes pieds, me voila alors littéralement cloué au lit.
Elle se dirige vers la cuisine puis revient avec un pot dans lequel est plongé une baguette en bois. Je devine bien vite de la cire, je vais subir le supplice de l’épilation. Elle commence par les jambes, j’essaye de me débattre, je proteste, je pousse même un petit cri lorsqu’elle répand la cire chaude sur ma jambe. Elle appose le papier, puis tire d’un coup sec. Je pousse alors un hurlement de douleur.— Ne sois pas douillette, il faut souffrir pour être belle.Petit à petit mes deux jambes y passent, puis c’est le tour de mon pubis, de mes testicules, de mes fesses, de mon torse et même de mes bras. Me voila intégralement épilé, et toute ma peau me brûle.— Va te doucher pour calmer tout ça, on commence les essayages après.
La caresse de l’eau calme petit à petit le feu de ma peau que je met à toucher. Elle est parfaitement douce. Mon sexe, mes fesses, mes jambes, mon torse. J’adore sentir ma peau lisse, cela m’excite, je me sens ... féminin.— Aller, viens vite! Enfile ces bas et ce porte jarretelle.La promesse de la caresse des bas ne me fait pas hésiter une seconde, j’enfile cette panoplie rapidement, puis Madame me passe une petite robe bleue ciel, qui laisse paraître le bas de mes fesses. Madame me met deux prothèses mammaires en guise de poitrine, qui transforment mon corps en celui d’une jolie demoiselle.Je suis alors installé devant un miroir, puis Madame commence à me passer 1000 produits sur le visage. Je me transforme petit à petit. Mes yeux s’adoucissent, mes lèvres sont rouges, mes pommettes bien colorées, me voila devenu petite poupée. Je suis dans du coton, j’adore ce que je vois. Je reconnais petit à petit la femme de mon rêve.Puis vient la séance d’essayage d’escarpins. Je vacille, je tangue, mais je suis dedans.En me voyant dans la glace, je sens une reconnaissance infinie pour Madame, je me sens totalement dévoué, et obligé de lui faire plaisir.— Tu es vraiment magnifique, une magnifique petite sissy. N’est-ce pas ma petite Vanessa?— Oui Madame, je réponds sans même y réfléchir. Le prénom de Vanessa ne me choque qu’après quelques secondes.— Mais tes attitudes sont encore bien trop masculines. Nous allons devoir travailler cela. Installe toi sur le lit, et regarde moi droit dans les yeux. Tu es à moi, toute à moi, mes désirs sont tes désirs, et ton corps est mien.S’ensuivent une série de mots de plus en plus confus, je m’allonge alors petit à petit, ferme les yeux pour les rouvrir 1h plus tard. Je me sens alors pleine de vitalité, Madame m’effleure du doigt le visage:— Penche toi sur le lit sissy, dit-elle en prenant un objet sphérique d’un côté, et d’une forme de pierre précieuse de l’autre.Elle passe son majeur dans ma bouche, je le suce avidement, puis elle le retire pour l’insérer délicatement dans mon anus, ce qui me fait pousser un "Oui" de plaisir. Ma voix est plus douce, entre deux genres. Je sens alors l’objet entrer dans mon anus, exerçant une pression permanente sur mon sphincter.— Te voila presque devenue la petite chienne que tu dois être. Il est tard maintenant, allons danser!
Une heure plus tard nous sommes sur la piste de danse, la salle ne regarde que Madame, et je suis fière d’être à côté d’elle. Les hommes de la salle sont tout autour de nous, nous collent, nous touchent, c’est excitant. Madame me demande de danser avec l’un d’eux. Il transpire légèrement, je laisse aller mes mains sur lui, sur son torse, sur son cou, je frotte mes jambes, mon sexe aux siennes. Le plaisir, et le désir montent. Madame pousse alors ma tête contre la sienne, nous nous embrassons, je sens son sexe en érection contre ma jambe. Il m’attire alors de côté et nous sommes seuls. Ses mains vont sur mes fesses, sur mes cuisses ... puis sur mon sexe. Sa main s’arrête, et un sourire se dessine sur son visage. Il pousse alors ma tête vers le bas d’une main, et sort son sexe de l’autre, qu’il me met de force dans la bouche. Je tente de protester, mais je vois Madame du coin de l’oeil qui nous surveille. Je me met alors à sucer activement ce sexe qui durcit à mesure des grognements de mon partenaire. Puis arrive le moment final, les râles s’intensifient, le sexe durcit, puis un liquide chaud vient remplir ma bouche. Sa semence est dans ma bouche et j’aime ça, je suce tant que je peux pour extirper tout le jus qu’il contient.— Tu es une petite salope toi hein! Me dit-il en se retirant puis en rangeant son engin.Je regarde Madame et je me sens fière, elle est contente, elle a fait de moi sa chienne, sa petite sissy soumise à ses moindres désirs, et j’aime ça.
De retour chez Madame le soir, elle me glisse à l’oreille— Ton contrat est rempli, je vais te libérer.D’une main elle glisse mon string, caresse mon petit sexe, puis défait la cage. Mon excitation est à son comble, mais je n’ai aucune érection. La main de madame remonte jusqu’à mon anus, elle retire le petit bijou qu’elle y avait mis et je sens alors un objet prendre sa place. Madame fait des va et viens à l’intérieur de moi ... et j’adore ça, le plaisir monte petit à petit, et j’explose en cris.— Merci Madame, Merci.
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