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Vanessa et Véronique

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Vanessa et Véronique.
J’ai toujours aimé les femmes... ce qui explique qu’à bientôt cinquante ans, j’ai divorcé deux fois et j’ai eu un certain nombre de maîtresses qui ont partagé mon lit et ma vie pendant une nuit, une semaine, un mois ou plus...

Sans être un ‘’Apollon’’, ma prestance et ma ‘’belle gueule’’ ont toujours facilité mes rapprochements avec la gent féminine... Grand et relativement bien charpenté (avec l’âge, j’ai pris du poids et une ‘’petite brioche confortable’’) j’entretiens ma forme dans une salle de sports de mon quartier et fais attention à ne pas céder à ma gourmandise.
Depuis quelques années, j’ai laissé pousser un collier de barbe qui allonge mon visage illuminé par des yeux gris... J’évite les conquêtes relativement faciles au bureau (attention DANGER) et mon terrain de chasse (si je puis dire), ce sont les grands magasins... et certains bistrots du centre de notre belle capitale. J’ai toujours adoré chiner et j’avoue y avoir un certain succès...

Vanessa, ma dernière ‘’conquête’’, est une femme de presque mon âge (trois ans de moins) que j’ai draguée lors du vernissage d’une exposition de photos auquel j’avais été invité par un ami photographe et dont certains clichés avaient été retenus par le commissaire de cet événement.
Tout de suite, j’avais été charmé par cette femme mature que mon ami m’avait présentée en disant que jadis, elle lui avait servi de modèle... Il devait en garder une certaine nostalgie...

Grande brune aux cheveux cascadant sur ses épaules en boucles lâches, elle a de beaux grands yeux marron ombragés, des longs cils noirs qu’elle allonge artificiellement. Très mince, elle a le visage un peu anguleux, un nez droit et une bouche aux lèvres  peintes d’un rouge flamboyant...
Le jour où nous sommes vus pour la première fois, elle portait une robe en lainage beige qui la moulait étroitement et un petit boléro de fourrure... Sa poitrine (que je devinais menue) était bien mise en valeur... Elle était très élégante, ce que je me suis empressé de lui dire au bout d’un certain temps... Une coupe de champagne en main, nous avons fait le tour des différentes salles. Une main glissée sous mon bras gauche, nous commentions les photos exposées...

Ce soir-là, il ne s’est rien passé entre nous...
Nous nous sommes contentés d’échanger nos numéros de téléphone... On ne sait jamais... et l’avenir nous a réservé une très bonne surprise...
Nous sommes sortis à plusieurs reprises, dîner suivi ou précédé d’un spectacle au théâtre, nous nous entendions bien, nous avions les mêmes goûts, les mêmes centres d’intérêt pour l’art principalement...


C’est aussi lors de ces soirées que j’ai appris à mieux connaître Vanessa... Divorcée depuis de nombreuses années, son ex lui servait une copieuse pension alimentaire qui lui permettait de ne pas travailler d’une manière régulière en posant pour des photographes et d’élever sa fille qui venait d’être bientôt majeure...

De soirée en soirée, nous nous sommes confiés de plus en plus intimement pour finalement finir une de ces sorties dans le même lit... J’ai découvert cette nuit-là, une maîtresse ardente, inventive et qui ne reculait devant aucune fantaisie... Elle avait effectivement une poitrine menue qui tenait bien malgré son âge et une taille fine qui s’évasait sur des hanches galbées, mais qui ne déparaient pas... Et chose très érotique, elle avait une barrette dorée qui traversait le capuchon du clitoris...

Il est évident qu’à notre âge, nous n’avions plus la même fougue que des jeunes gens, mais nous avons eu des parties de sexe très chaudes et très coquines... et Vanessa aimait tout particulièrement ‘’la cavalière » en disant qu’ainsi, elle pouvait plus facilement ralentir ou faire venir sa jouissance... Moi, cela me satisfaisait pleinement, car je savais qu’après, elle s’offrirait ‘’en levrette’’... une position que moi, j’aimais bien... mais nous n’avons pas fait que ces positions, aussi bonnes soient-elles...

Nous n’avons jamais réellement cohabité... Vanessa achevait ses nuits près de moi, et elle s’esquivait quand je partais pour le bureau... Je savais où elle habitait, mais jamais elle ne m’avait invité à la suivre dans son appartement... Il y avait, selon elle, trop de désordre et sa fille vivait avec elle : qu’aurait-elle dit en voyant sa mère ramener son amant du moment à la maison ?

Puis, un samedi où nous étions allés au Louvre pour voir la fameuse exposition sur l’Egypte ancienne, elle m’a invité chez elle... C’est vrai aussi que nous étions proches de son adresse dans une petite rue débouchant sur les Champs-Élysées.
— Viens Jérémy... Depuis le temps que je parle de toi à ma fille Valérie, tu vas faire sa connaissance...
— Bien, je te suis... Comme cela, tu parles de tes amants à ta fille ?
— Ça arrive... Tu es un des rares hommes avec lequel j’ai passé plusieurs mois...

Après un bon quart d’heure de marche et un arrêt chez un traiteur pour acheter de quoi manger, nous sommes arrivés à l’appartement de Vanessa où sa fille nous attendait : une bouteille de champagne était à rafraîchir dans un seau à glace et trois coupes étaient disposées sur la table du salon...Et si je n’avais pas voulu suivre Vanessa... Nous aurions pu nous quitter dès après la visite de l’exposition et ça n’aurait pas été une première... MYSTERE !!!

Mais laissez-moi vous décrire Véronique...
A 18 ans, elle avait tout de la fille ‘’montée en graines’’... Légèrement plus grande que sa mère, elle avait la même silhouette, mais qui avait besoin de s’affirmer : la poitrine couverte par un sweat-shirt était à peine dessinée de même que les hanches prises dans un pantalon en jean qui semblait cousu sur elle, tant il était serré... Son visage ovale était bien agréable à regarder avec des yeux bruns ornés de longs cils recourbés, un petit nez très coquin et une bouche aux lèvres légèrement fardées. Les cheveux longs étaient coiffés en queue-de-cheval qui descendait largement au milieu du dos... Bref, typiquement la jeune fille moderne de la bonne société...

C‘est ainsi que j’ai fait la connaissance de la fille de ma maîtresse... Nous avons beaucoup parlé et le temps a filé à une vitesse incroyable...
Vanessa (qui semblait très au fait des ‘’amours’’ de sa fille) s’est mise à la chiner en lui disant qu’elle ne trouverait pas de garçon à son goût en restant cloîtrée à la maison :
— Mais Maman, ce n’est pas faute d’avoir cherché parmi mes camarades du lycée, et même en dehors...
— Et alors ?
— Ils cherchent tous une fille qui a de l’expérience... Avec moi, ils ont peur d’être déçus...
— Oui... Evidemment... à ton âge, une pucelle, ça ne court pas les rues !
— Oh Maman... Tu ne devrais pas dire cela devant ton ami ! Que va-t-il penser de moi ?
— Je le connais assez pour savoir qu’il ne te jugera pas... Bien au contraire...
— Que veux-tu dire ?

Vanessa a expliqué à sa fille que si elle le voulait, j’étais d’accord pour la déflorer et lui faire connaître une première étreinte mâle... Elle serait près de nous pour l’assister dans ce moment crucial pour toute jeune fille...

— Mais crois-tu qu’il va accepter ???
— Pourquoi pas... Il a un tableau de chasse bien garni et je suis la dernière à y être accrochée...
— Mais ce n’est pas la même chose... Vous avez presque le même âge...
— Et ça change quoi ? Une jeune poulette comme toi, cela devrait le ravir... Qu’en penses-tu ?

Je restais quelque peu abasourdi par cette conversation entre la fille et la mère qui m’offrait sans ambages de baiser Véronique et d’assister à cette première...
— Si toutes les deux, vous êtes d’accord, pourquoi pas... Véronique est bien jolie... C’est une fleur qui ne demande qu’à s’épanouir !!!
— Alors c’est entendu... Passons dans ma chambre, nous y serons mieux pour lui enlever ‘’sa fleur’’ !

Guidé par les deux femmes, je suis arrivé dans un véritable boudoir où trônait un grand lit garni d’une profusion de coussins multicolores.

— Viens approche-toi... Je ne sais pas où en est Véronique, mais nous allons lui faire découvrir le corps d’un homme et les zones qu’il faut exciter...
— Mais Maman, je ne suis pas aussi ignorante... Je sais quelles sont les zones les plus érogènes...
— Tu les as expérimentées ?
— Non... pas chez un homme, mais j’ai découvert quels sont mes points sensibles... et je pense que ceux d’un homme ne doivent pas être très différents...

Bientôt, je n’avais plus sur moi que mon boxer dont le devant était orné d’une bosse déjà proéminente... Vanessa continuait en décrivant à sa fille les diverses zones érogènes comme la pointe de mes seins, le derrière des oreilles (qu’elle embrassait doucement). Puis elle s’est tournée vers Véronique qu’elle a déshabillée à son tour, le plus ardu étant d’ôter le pantalon qui collait littéralement à la peau... Dès que le soutien-gorge a été enlevé, j’ai compris (et vu) que Véronique trichait un peu en portant des bonnets déjà garnis de mousse : sa poitrine ressemblait à celle d’une gamine à peine pubère... quant à ses hanches, elles étaient à peine marquées... J’avais devant moi un être androgyne, mais qui était bien une femme au pubis bien fourni... contrairement à celui de sa mère dont la pilosité pubienne était disciplinée.

— Approche-toi... ça ne mord pas !
— Je peux toucher ?
— Mais bien sûr ! On est là pour ça !

Véronique a fait glisser mon boxer et ma bite lui a littéralement sauté au visage tant elle était bandée...
— Waouh Maman, tu n’as pas dû t’ennuyer... Je n’aurais jamais cru qu’un sexe mâle pouvait être aussi gros...
— Mais il y en a de bien plus gros... Ne sois pas vexé, mais tu es quand même dans la moyenne supérieure !
— MERCI ! Tu t’es régalée plus d’une fois avec !
— Oh oui... c’est certain... J’adore quand tu me prends en levrette ! Bon... continuons ‘’la leçon de choses’’. Maintenant, tu vas toucher... et commencer le va-et-vient avec ta main... Ensuite, nous passerons à quelque chose de plus hard...
— Que veux-tu me faire faire ?
— Tu sais ce qu’est une fellation ?
— Oui... évidemment... je ne suis quand même pas aussi naïve et ma copine Sandra satisfait son mec en le suçant... Elle dit que sa relation n’est pas encore mûre pour qu’elle baise avec lui...
— Je pense qu’elle a raison... Bien maintenant, tu vas prendre le sexe en bouche... tu suces d’abord le gland comme si tu mangeais une fraise... Tu passes ta langue autour puis tu agaces le méat avec la pointe de ta langue... Jérémy est très sensible... Ensuite, tu gobes la tige et tu le suces en jouant avec tes joues et ta langue...
— Humm...
— Oui... Vas-y... Suce ma belle ! Plus tard, tu sauras aussi faire des gorges profondes !
— ------ Des gorges profondes ?
— Oui, c’est quand la bite va tout au fond du palais, à l’entrée de la gorge, mais il faut y être habituée... J’ai eu du mal à m’y faire et avec Jérémy, c’est perdu d’avance... Passons à autre chose... Allonge-toi sur le lit...

Dès que Véronique s’est allongée, je me suis penché sur son pubis et après avoir débusqué sa fente au travers de sa toison, j’ai commencé un cunnilingus en faisant rouler le clitoris sous ma langue...

— Oh... que c’est bon ! C’est bien meilleur que mes doigts...
— Je me doutais bien que tu te donnais du plaisir ainsi...
— Fallait bien... aucun garçon ne s’intéressait à moi... et les filles, ça ne me banchait pas...

Pendant ce temps-là, je me délectais de la conque baveuse de Véronique... Sa cyprine coulait doucement le long de son périnée et elle poussait des soupirs de plus en plus forts : sa jouissance n’allait pas tarder... Brusquement, Véronique referma ses cuisses pour emprisonner ma tête au moment où elle jouissait !

— Alors ??? La langue de Jérémy n’est-elle pas démoniaque ?
— Oh si... je n’aurais jamais cru jouir aussi fort sous une telle caresse... C’est bien meilleur que mes doigts...
— Tu vas voir quand il va te faire l’amour, ce sera meilleur encore... Je te dis pas que les premières fois, tu resteras un peu sur ta faim... mais ça viendra ! Remets-toi de ton orgasme et pendant ce temps là, je vais entretenir la bandaison de ce coquin...
— Oui... j’espère qu’il sera doux ?
— Sois sans crainte... il saura y faire... mais il sera couvert !
— Couvert ? Tu veux dire qu’il va mettre une capote ?
— Oui... tu ne veux quand même pas que je le laisse te faire un môme dès ton premier rapport... Après, on verra pour que tu prennes la pilule... ainsi on fera ton éducation sexuelle complète...
— Si je comprends bien, Jérémy va me faire l’amour plus d’une fois ?
— Oui... Je pense... Tu es contre ? Ainsi quand un garçon voudra te faire la cour, tu seras moins nunuche...

Un quart d’heure plus tard, Vanessa expliquait à sa fille comment ‘’la chose’’ allait se dérouler... Vous vous doutez bien que ce n’était pas la première fille dont je prenais la virginité, mais là, c’était un peu exceptionnel, car cela allait se passer en présence de la mère...
— Voilà, Jérémy va se coucher sur le dos... Comme il bande bien, je n’aurai pas de mal à la couvrir... Tu verras, c’est facile quand le mec est dressé à fond... Ensuite, tu l’enjamberas et tu feras entrer sa bite entre tes lèvres intimes...
— Mais il va me déchirer !!
— Mais non... Tu vas sentir ton vagin se mouler sur son pieu jusqu’au moment où il butera contre ta membrane... après, ce sera à toi d’aller plus loin...
— Je le sens déjà... la queue de Jérémy est bloquée par mon hymen...
— Alors... laisse-toi aller un bon coup... c’est un mauvais moment à passer, mais après, il y en aura d’autres... bien plus jouissifs !
— Ça y est ! Mon bassin bute contre celui de Jérémy... T’avais raison... c’est un bref moment difficile à passer... Vas-y Jérémy... Baise-moi !
— Mais non, c’est à toi de faire monter ton plaisir... Monte et descends suivant ton envie...
— Oh oui... C’est bon... Tu me remplis jusqu’au fond... C’est chaud...

Je laissais Véronique faire monter son plaisir... Sa chatte était aussi étroite que son bassin et j’étais enserré dans une gaine que j’imaginais très humide d’un mélange de cyprine et de sang... Je me retenais, car la fellation de Vanessa m’avait presque amené au seuil de non retour... et Véronique était concentrée sur la montée de son plaisir qui a éclaté soudainement !

En s’allongeant sur mon buste pour retrouver son calme, elle dit soudain :
— Oh... après la brève douleur, qu’est-ce que c’était bon de sentir sa bite dans ma chatte... Quand j’ai senti les jets de sperme au fond du préservatif, j’ai eu comme un grand frisson...
— C’était les prémices d’une jouissance... Quant à toi Jérémy, on te laisse récupérer un peu... pendant ce temps là, je vais faire une petite toilette à Véronique...
— Oh Maman, je peux me débrouiller toute seule...
— Pas pour ce que je veux te faire... Tu es vraiment trop poilue... je vais t’enlever ce qui est en trop... Tu verras, ce sera meilleur ensuite...
— Si tu le dis...

Pendant un quart d’heure, je découvrais la chambre de Vanessa... outre la profusion de coussins qui garnissaient le lit et étaient répandus un peu partout sur les sièges, je fus surpris de trouver trois peintures licencieuses (certainement des copies de grands maîtres) accrochées aux murs... Je savais mon amie amatrice d’art, mais de ce genre, je ne m’en doutais pas...
Après tout, elle m’avait avoué avoir posé nue et parfois au milieu de groupes des deux sexes et fait quelques coquineries ! Il est inutile de vous faire un dessin...

Lorsque Vanessa et Véronique sont revenues dans la chambre, ma maîtresse m’a interpelé en disant :
— Regarde la chatte de Véronique ! N’est-elle pas plus belle ainsi ?

La surprise était totale, le pubis de Véronique avait été rasé en grande partie, les poils pubiens qui débordaient de partout se limitaient désormais en une fine ligne qui se terminait au niveau du capuchon du clitoris...

— Waouh... Mais c’est très érotique tout ça ! J’ai bien envie de rendre une petite visite en profondeur...
— Oh oui... baise-moi à nouveau... J’ai envie...
— Alors Véronique, tu vas mettre en pratique ce dont nous avons parlé tout à l’heure... Jérémy bande encore un peu... Tu vas le faire renaître...
— Tu veux que je le suce ?
— Juste pour qu’il bande bien ferme pour le couvrir !
— Je vois... je ne suis pas encore prête à recevoir le sperme dans ma bouche !
— Oh... sois tranquille... Jérémy préfère s’épancher entre mes seins qu’entre mes lèvres...

Dès que j’ai été prêt, j’ai allongé Véronique sur le lit, j’ai ouvert légèrement ses jambes et, guidé par la main savante de Vanessa, je suis entré dans ce sexe qui n’attendait que le mien...
Que dire ? Je m’y sentais bien... et Véronique participait de son mieux à cette copulation, suivant ou précédant mes mouvements jusqu’à ce que je la sente jouir et qu’à mon tour, je me répande dans la capote...

C’est Vanessa qui a ôté le préservatif en nous disant :
— Le lit est bien assez grand... Jérémy va occuper le milieu et nous nous mettrons de chaque côté...

Je ne sais quelle heure il pouvait être, mais nous nous sommes endormis rapidement...

Le lendemain et suivant une habitude bien établie chez moi, je bandais déjà assez ferme et ce n’est pas la sensation de petites fesses de Véronique qui a arrangé les choses...
Dès qu’elle a senti ma bite se loger dans sa raie, elle s’est trémoussée pour mieux me sentir et nos mouvements (aussi discrets furent-ils) ont fini par réveiller Vanessa qui dit :
— Ne me dites pas que vous êtes déjà en train de baiser ?
— Non Maman, Jérémy a juste logé son sexe entre mes fesses...
— Ah ce coquin est déjà bandé comme tous les jours au réveil !
— Mais qui ne banderait pas en ayant deux jolies femmes avec lui dans le lit ?
— Bon, je vais te laisser en profiter pendant que je prépare le petit-déjeuner... Débrouille-toi ma fille ! Tu as tout ce qu’il te faut dans la table de chevet...

Véronique s’est retournée vers moi en disant :
— Tu me veux comment ?
— Tu veux me sentir encore mieux ? Tu as commencé à m’exciter en frottant tes fesses contre ma bite... Je sais que tu vas aimer tout comme ta mère et d’autres avant elle...
— Dis-moi vite... Comment dois-je me mettre ?
— Mets-toi à quatre pattes au milieu du lit, lève bien tes petites fesses et regarde-nous dans le miroir...
— Oh qu’est-ce que tu me fais faire... Tu vas me sodomiser ?
— Bien sûr que non... je vais te prendre en levrette... je vais entrer dans ta chatte en te prenant par-derrière...
— Ah bon... tu m’apprendras d’autres positions ?
— Oui, bien sûr... jusqu’au moment où ta mère voudra me récupérer tout à elle...

Je me suis couvert à nouveau (il y avait de nombreux préservatifs dans la table de chevet de Vanessa... et en saisissant Véronique au niveau de la taille, je me suis introduit dans sa conque qui était déjà humide... La fille de Vanessa avait dû se faire tout un cinéma au cours de notre brève conversation pour mouiller autant...
J’avais sous les yeux la croupe étroite de Véronique, sa taille à peine marquée que j’enserrais dans mes mains et sa longue tresse de cheveux qui battait de droite à gauche en fonction de ses mouvements de tête... Elle avait tourné la tête et nous regardait dans le miroir...
J’ai laissé monter le plaisir dans les reins de Véronique et quand la jouissance l’a emportée, je suis sorti de sa chatte, j’ai ôté le préservatif et j’ai déversé mon foutre sur le dos qui s’offrait à moi... mais je n’avais pas vu que Vanessa nous observait depuis le seuil de la chambre... et dire avec un grand sourire :
— J’en récupère un peu... Après tout, je me dois bien cette compensation...

Et elle est venue prendre au bout de ses doigts quelques jets de sperme dont elle s’est délectée avec un « Humm » de satisfaction...

Au cours des deux mois qui ont suivi, j’ai appris beaucoup de choses à Véronique... Elle a goûté mon sperme se déversant dans sa gorge, elle a découvert différentes positions, dont certaines un peu acrobatiques ou insolites comme lorsque nous avons commencé à baiser debout, tout habillés dans l’entrée de l’appartement de Vanessa pour finir, entièrement nus dans la chambre de Véronique que j’ai prise, assise dans un fauteuil, et elle me faisant face...
Nous n’avions pas eu le temps de nous protéger et pour la première et la dernière fois, je me suis vidé directement dans la chatte de Véronique... heureusement sans conséquence...

Désormais, elle en savait assez et j’ai retrouvé Vanessa, complètement accro’ à moi... plus amoureuse que jamais... Nous avions du temps à rattraper...
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