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Tu vas avoir honte...

Chapitre 3

Le toilettage.

SM / Fétichisme
Dans le chapitre précédent :Maître Renard a fourré son sexe dans la bouche de Duchesse, qui, en bonne apprentie esclave gobe avec avidité cette offrande...

Il fait quelques allers-retours supplémentaires, dans la bouche de Duchesse toujours à genoux, qui s’active comme une diablesse.
— Tu veux me faire jouir petite chienne !? Tu veux mon foutre !?Tu veux prendre mon foutre dans la gueule, c’est ça !?
Buccalement obstruée par la protubérance, elle ne fait que hocher la tête en signe d’approbation. Il la désengorge en la retenant par les cheveux, le visage basculé vers lui.
— Dis que tu aimes ça prendre mon foutre dans la gueule !— J’aime prendre votre foutre dans la gueule Maître Renard, répond l’affamée ; oubliant tout semblant d’amour-propre et piaillant telle une oisillonne attendant la becquée salvatrice.
Elle n’aime pas particulièrement s’entendre prononcer ce genre de choses à son propre sujet. Malgré tout, il l’impressionne beaucoup et elle ne peut que constater l’effet indéniable qu’il lui fait.
L’avilir ne lui suffit donc pas, pense-t-elle. Il faut en plus, que je prenne part à ma propre disgrâce. Cette simple idée l’envoûte et l’excite terriblement.
A peine les mots prononcés, il se renfonce dans sa gorge jusqu’à la garde ; ce qui ne manque pas de faire pousser un gémissement de soulagement à la gourmande.
Alors qu’elle reprend tout juste sa pipe avec délectation ; Maître Renard soustrait sa belle queue à la gueule de Duchesse qui reste coite. Il semble jubiler de la voir ainsi agenouillée, inutile et privée de sa gourmandise. Il la toise de toute sa hauteur quand, péremptoire, il annonce :
— Le foutre ce n’est pas pour tout de suite petite salope. Tu sais que j’ai gardé mon jus pour toi. Je ne vais pas te le donner comme ça, va falloir le mériter. Je vais bien m’occuper de ton cul d’abord ; mais tu es sale... Tu es ma dégoûtante petite Duchesse ; on va te toiletter comme une bonne chienne. Allez, avance ! Passe devant !
Obtempérant, elle se redresse et avance pour emprunter le couloir en direction de la chambre contiguë à la salle de bain. Mais son maître ne l’entend de cette manière et sournois, il la stoppe dans son élan :
— Les chiennes se déplacent sur leurs quatre pattes et j’en compte bien quatre ; sers-t’en !

Surprise, elle fait volte-face et le regarde, stupéfaite. Mais elle comprend vite, à son visage impassible, que ce n’est pas la peine de se perdre en négociation. Son maître restera inflexible. Elle reprend donc son déplacement en rasant le sol, occasionnant une gêne qu’elle pense être à son comble, jusqu’à ce que son tortionnaire de mec ne se mette à lui taper le postérieur. Humiliée plus encore ; elle accélère le pas pour mettre fin à son supplice, pendant que lui accélère les coups. Ses fesses la font souffrir autant que ses genoux. C’est soulagé qu’elle arrive enfin à la salle de bain.

L’écart de température avec le salon la saisit, elle frissonne, ses tétons s’érigent instantanément dans la pièce froide et humide.

Assujettie à ces ordres, Duchesse obéit à son maître en enjambant la baignoire et se positionne à quatre pattes dans le fond.
— Baisse la tête, lâche-t-il, le ton légèrement désabusé.
Ainsi exhibée en position quadrupédique, ses grands yeux verts tournés vers l’émail sur lequel elle repose ; Duchesse, telle une condamnée à l’échafaud attend que le couperet tombe.
Ce n’est pourtant pas après sa tête que Maître Renard en a.

Lui, toujours entièrement vêtu et le cigare au bec, se déplace la queue érigée encore baveuse, outrageusement sortie de sa braguette.
Sa Duchesse a visiblement froid et se demande à quelle sauce elle va être consommée. Ainsi installée, son regard ne peut se poser qu’entre ses mains. Ses cheveux tombent en deux rideaux de chaque côté de son visage ; l’empêchant d’apercevoir, même furtivement, ce qu’il se trame.
Il fait vraisemblablement durer l’instant, satisfait de la vision que celui-ci lui offre. Se sentant de plus en plus grotesque dans cette posture peu digne, elle tente de deviner ce qu’il s’apprête à faire, grâce au bruit de ses déplacements.A croire que son maître a le pouvoir de distorsion du temps. Il lui semble être ainsi depuis un long moment quand quelque chose tombe sur ses fesses tournées vers le plafond. C’est tiède et ça roule depuis son cul jusque dans le fond la baignoire.
— Pardon, dit le maître, le ton, de toute évidence, faussement désolé.
Elle rentre, un peu plus encore, la tête entre ses bras et jette un coup d’œil furtif vers ses pieds. Les cendres de cigare y gisent.
Elle est furieuse, elle pensait qu’il lui épargnerait certains outrages pour cette première soirée. Elle songe à se rebeller et mettre fin à son supplice, mais trépigne d’envie d’en subir davantage. Finis le petit oiseau affamé ; elle chouine comme une petite enfante.Finalement, elle ravale sa fierté et se résigne ; plutôt que de se priver de la suite. Son humiliation ne fait que décupler son désir.

Comment puis-je être la victime consentante de pareils traitements, se demande-t-elle, au comble de la honte et de l’excitation ?
Ses pensées sont brusquement interrompues par un choc thermique. Saisie et grelottante, elle geint et se plaint de la température de l’eau.
La réponse ne se fait pas attendre ; la paluche du toiletteur s’abat sans compassion sur sa croupe maintenant frigorifiée. Il lui rappelle d’un ton implacable qu’il n’a pas d’autres choix pour calmer le feu qu’elle a au cul.
Intransigeant, il lui fait garder la pose et creuser les reins. Cambrée comme un animal lubrique attendant de se faire monter, elle offre une vue dégagée sur sa vulve et sa croupe. Le soigneur s’applique à y envoyer l’eau froide en la palpant comme une pouliche, et ne se prive pas de commentaires désobligeants.Admiratif de voir sa belle Duchesse se plier si facilement à ses fantaisies, il prend son pied à la voir ainsi soumise.
Il en devient écholalique et répète sans relâche combien elle est sale et qu’il veut son cul bien propre.En véritable petite chienne, Charline a pour habitude d’aller pattes nues et celles-ci sont noires de crasse. Il ne lui épargne pas la remarque et leurs fait subir le même traitement à l’eau glacée.
Finalement, miséricordieux, il lui fait grâce de son supplice et ajuste la température de l’eau avant de lui mouiller la tête sans crier gare.

Il se délecte de la situation, de la voir offerte à ses caprices, à ses moqueries. Tirant sur sa crinière, lui arrachant ainsi quelques cheveux belliqueux, il fait remarquer froidement, sur un ton agacé, qu’elle perd ses poils. Il ne la ménage pas, il veut être à la hauteur de ses attentes, mais prendre son temps, voire ses réactions de petite femelle affolée par ce qui lui arrive.
Il sait qu’elle résiste à l’envie d’utiliser le safeword. Fière, elle se refuse à prononcer ce mot complice, choisit ensemble pour sonner sa reddition.
Elle souffle dès qu’il la houspille, signe qu’elle n’est pas encore assez docile et que son côté humain n’a pas complètement laissé place à sa bestialité.
Peu lui chaut ! Une fois les cheveux détrempés, il la shampouine sans douceur aucune, il frotte sa crinière avec une telle vigueur qu’elle ne peut empêcher sa tête de bringuebaler.
Il entreprend de laver son corps de la même façon. Il la savonne sans le moindre ménagement avec un produit exagérément moussant et prend un plaisir non dissimulé à insister sur son cul offert en pâture au canidé. Il s’empare de ses tétines qui pendouillent dans le vide, ballottant au rythme des frictions et, ce faisant, il commente ses gestes :
— Il faut bien laver ces mamelles... Voilà une petite chienne qui va avoir les mamelles bien propres pour son maître.

Duchesse, qui commençait à se détendre sous l’effet des caresses mousseuses aux senteurs de figue, et de l’eau à présent tiède ; se vexe en entendant ces mots dégradants. Il l’excite beaucoup et elle voudrait être six pieds sous terre plutôt que d’assumer cela. Mais c’est divin, et servilement, elle continue à obéir lorsqu’il lui ordonne de se redresser.
A présent à genoux, elle se laisse rincer en ne quittant pas le blanc immaculé de la baignoire des yeux, pour éviter de croiser le regard de celui qu’elle découvre sous un jour bien nouveau.

Il coupe l’eau et, quittant la pièce une serviette à la main, ordonne :
— Lève-toi !

Immédiatement, elle s’exécute ; heureuse de soulager ses rotules sur lesquelles elle repose depuis un moment. Craignant de commettre un impair et en l’absence d’autres indications, elle reste là à attendre quelques instants. Le silence est finalement rompu par Maître Renard qui l’appelle de la chambre voisine.
Recommençant à frissonner de froid, elle ne se fait pas prier et l’y rejoint encore toute trempée.

Planté debout face à elle, il l’enjoint de se sécher en lui désignant une serviette de toilette étendue sur le lit. Naïve, elle se penche pour s’en saisir, mais il la stoppe nette :
— Roule-toi dessus, c’est comme ça que se sèche une chienne, persiffle-t-il, content de sa trouvaille.— Noooon..., lamente-t-elle, en cachant son visage entre ses mains.

Loin de l’émouvoir, il répète le verbe haut :
— Roule-toi petite chienne, plus vite que ça ! Allez !

Surprise par le ton de sa voix, dépitée et frissonnante, elle abandonne sa tentative de rébellion et s’étend en chien de fusil sur la serviette.
— Voilà, c’est bien. Tu vois que t’es bien obéissante quand tu veux. Allez, roule, roule... A gauche... Et à droite... A gauche..., fanfaronne-t-il.

Comblé par son petit manège sadique, il met un terme à l’avanie de sa soumise, désormais bien plus docile.
— J’ai autre chose à foutre que de m’occuper de toi, alors sèche ta crinière, habille-toi et viens me rejoindre au salon.

Ouf, la voici soulagée que l’odieux traitement s’arrête enfin. Elle ne se le fait pas répéter deux fois et part se changer dans la salle de bain.
— Pourvu que je n’aie rien oublié, se dit-elle en fouillant son sac. Elle en extirpe une petite robe noire et cherche encore ses bas lorsqu’elle est interrompue par son maître qui fait irruption dans la pièce. Il jette nonchalamment sa trousse de maquillage dans le lavabo.— Tiens, ta trousse à peinture de pute ; maquille-toi !

Il quitte aussi sec la pièce. En chienne obéissante, elle se met à l’œuvre et prend plaisir à se parer de ses atours. Ses bas qui glissent le long de sa peau la font frémir. Se faufilant dans sa robe aussi courte que moulante ; elle est surprise de son impatience à se dévoiler, ainsi vêtue, à son propriétaire. Elle est bien consciente de l’effet qu’elle produit sur la gent masculine.
Face au miroir impitoyable, elle se scrute. L’image qu’il lui renvoie est excitante, elle se plaît. Elle se maquille quand, pour la seconde fois, elle est interrompue.

Le revoici dans l’embrasure de la porte.
— Comment puis-je me préparer s’il m’interrompt sans cesse ? se dit-elle intérieurement.

Il tient sa paire de Derby noir à talons hauts dans les mains et les laisse choir d’un air dédaigneux.
— N’oublie pas tes fers ma pouliche, dit-il en quittant les lieux.

Son cœur à elle bat la chamade dans sa poitrine. Elle parfait sa mise de ses jolis souliers ; et son maquillage par un rouge à lèvres outrancier.

Elle se regarde une dernière fois, pivote sur elle-même pour admirer ses fesses mises en valeur par la tenue, redonne du volume à ses cheveux et part le rejoindre ; plus excitée que ce qu’elle n’aurait pensé...

A suivre...
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