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Tu vas avoir honte...

Chapitre 4

Exhibition

SM / Fétichisme
Dans le chapitre précédent ...
"Duchesse a consciencieusement été récurée par un Maître Renard toujours plus audacieux. Elle s’est prêtée de bonne, ou de mauvaise, grâce à un toilettage en règle. En sadique dresseur, il l’a astiquée, des pattes au pelage; avant d’impérieusement exiger qu’elle ne s’apprête pour lui plaire.La voici donc, le rejoignant, peinturlurée, gantée d’une robe noire sexy qui peine à dissimuler la dentelle du haut de ses bas, et perchée sur 10cm de talon"

L’écho de ses chaussures la précédant ; Duchesse, galvanisée par le bruit de sa mise, arpente le couloir qui la sépare de son amant. Son appréhension, épicée d’un brin d’arrogance, la maintient dans une sulfureuse excitation. Elle ne doute pas un instant de l’effet qu’elle aura sur son maître et s’égare à espérer que, la voyant ainsi vêtue, il ne perde le contrôle de lui-même.
Le crissement soyeux de ses bas lui donne la chair de poule jusqu’entre les cuisses où son sexe, rasé de près, ne cesse d’enfler encore et encore.Fascination lubrique et peur panique se mêlent en elle l’espace d’un moment, pour finalement se scinder et s’imposer alternativement. Elles ne peuvent se rencontrer qu’un temps, laissant son antre au désespoir.
D’abord grisée par le claquement de ses pas ; la gêne finit par la gagner. Elle perd de sa superbe et laisse le doute l’envahir. Subitement ; elle remet son pouvoir de séduction en question. De femme fatale, elle ne se sent plus que risible, voire ridicule, indigne de se présenter devant son homme et pourtant; n’obéissant plus qu’à la femelle affamée qui vit en elle, elle poursuit son chemin de rédemption.  
Elle inspire une bonne fois pour toute et cloue son angoisse au pilori ; faisant ainsi la part belle à la proprette petite chienne désireuse de plaire à son maître.
           -Le bruit de sabots sur le bitume n’en serait pas moins plaisant, pense Maître Renard, l’entendant approcher.
La vulve ainsi suppliciée ; Duchesse, en chatte espiègle, espère secrètement que son maître lui fera l’honneur de sa langue experte.
Toute suintante, le museau clitoridien pointant entre ses lèvres, bien décidée à mériter cette langue, elle franchit le seuil de la porte, appréhendant et trépignante.
Maître renard, non nonchalamment affalé dans son canapé de cuir à l’arrivée de Duchesse, se paluche, et ne daigne pas même se redresser. Cette assurance soudaine, ce détachement apparent, déstabilise la belle.
Ne sachant quelle attitude adopter, espérant un compliment, un mot qui la rassure, elle s’approche. Face à lui, qui feint de rester stoïque, elle n’en mène pas large et opte pour une attitude attentiste et humble.
Finalement, il abandonne son cigarillo dans le cendrier posé sur la table basse, juste devant lui.
Elle qui l’observe à la dérobée, pour ne pas paraître effrontée, suit le mouvement de son bras du regard, elle découvre une teinte nouvelle au meuble. Pour la première fois elle lui trouve des reflets luisants, comme du pétrole. Un instant, elle croit reconnaître du vinyle tant l’éclat est brillant, sous cette éclairage rouge.
Mais si sa vue peut l’induire en erreur ; son odorat lui ne lui fait jamais défaut. Une senteur animale embaume la pièce.
De suite, son souffle se fait court ; des frissons la parcourent, depuis la racine des cheveux, jusque dans ses glandes salivaires. Son corps ne répond plus, ses paupières s’abaissent, sa nuque se détend.Ça flaire subtilement le cuir, l’odeur la transporte, et soupirante, elle ne peut plus que répondre "Oui Maître" lorsque ; debout et débarrassé de son verre, il lui intime d’un mouvement de tête, de prendre la pose telle une bête de foire, sur la table basse.

Elle ajuste ses quatre membres sur ce qui lui tient lieu d’étalage et s’abandonne. Condescendant, lui ne recule devant rien pour la mettre au pas. Tout en patience, il prend son temps, la regarde s’installer et fait durer la parade. S’accroupissant à sa gauche entre la table et le divan, il fait glisser le tissu  de sa robe jusque dans le creux de ses reins, libérant ainsi son cul qu’il dorlote de ses mains.

Changeant de fesses tranquillement pour pratiquer son art, il susurre :
          -Ma main droite est justice, la gauche est amour. Celle-ci te récompensera.
Il s’en sert pour la caresser doucereusement. Ce qui a pour effet de détendre Duchesse ; sa fierté décline à mesure que son excitation, elle, croît.
          -L’autre te sanctionnera, je suis juge et bourreau ; prévient-il.
Sans autre forme de procès, le maître donne l’exemple et assène la fessée avec ferveur. Duchesse pousse des soupirs de satisfaction et dandine son opulent fessier entre les coups ; pour tenter d’apaiser les picotements, mais surtout pour provoquer son maître.
Sa proie ainsi exhibée à sa portée, il laisse le temps filer et admire le fruit de son travail. Il effleure de ses doigts les marques laissées, qui contrastent avec la couleur de sa peau, et finit par venir y frotter sa bandaison.
Les stigmates de sa leçon et la vision de son pénis s’y masturbant mettent un terme à sa retenue ; si tant est qu’il y en ait encore une. Il l’a chope par les hanches, l’ouvre bien en grand et embrasse sa chatte béante à bouche que veux-tu. Duchesse gémit de contentement et instinctivement, elle cambre son cul pour faciliter l’accès de sa chatte à son maitre qui s’en repaît.La caresse la rend folle et elle est proche de l’orgasme lorsque Maître Renard, jouant avec ses nerfs, se stoppe en effectuant une dernière succion qui laisse échapper un bruit de ventouse.   
Il lui pose un ultimatum :
          -Alors !? La main gauche ou la main droite ?
Prise au dépourvue et ne se souvenant plus du rôle de chacune, elle répond prestement :
          -La justice, Maitre Renard ; elle se pense irréprochable et imagine ne prendre aucun risque avec cette réponse.
Pourtant le cri que lui arrache la fessée qui s’ensuit laisse penser l’inverse. Elle a du faire erreur. Alors, lorsqu’il pose de nouveau la question, elle s’empresse de répondre :
          -L’amour !
Sotte qu’elle est ! Elle n’anticipe pas le coup suivant. La douleur la surprend si violemment que sa posture s’effondre, elle se dandine en geignant et tente de réunir souvenirs et fierté. Convaincue que l’une des deux réponses l’épargnera, elle serre les dents et tente les réponses inverses, plutôt que de demander grâce.  Malgré le changement de réponses, le traitement s’avère être le même. Sous le coup de la douleur, elle ne sait plus si elle a commis deux fois la même erreur, ou si elle ne comprend décidément rien, mais elle se laisse transporter par la délicieuse brûlure. Il ne s’agit là que d’un jeu machiavélique dont elle ne peut sortir gagnante mais dont elle se régale ; en témoigne l’état de sa chatte gonflée et luisante.  La réflexion semble de toute façon obsolète puisque Maître Renard s’arrête et recule, il observe sa pitance en se léchant les babines.
"Quelle appétissante pose tient la petite garce obéissante", pense-t-il en son for intérieur.
Il rompt le silence par une déferlante de coups sur le magnifique postérieur offert de sa petite Duchesse, qui sursaute de tout son corps, en si mauvaise position. La distance est parfaite pour que la sévisse palmaire s’exprime avec amplitude et ce petit jeu a raison de lui. Il s’arrête net, fait le tour du podium improvisé et se présente face à elle, le phallus érigé,  pour une caresse buccale.
          -Allez, montre à ton maitre à quel point tu veux qu’il fourre sa main dans ton cul de petite vicelarde, lui ordonne-t-il.
Elle relève la tête et avale avec ferveur l’appendice raidi. Sa salive coule le long de la tige de son cher maître, sa queue est dure comme la pierre, baveuse et pulsante. Elle manque de s’étouffer quand il se penche vers l’avant pour lui palper les fesses. Il s’enfonce dans sa gorge profondément, y stagne quelques instants et se retire, à peine le temps de la laisser reprendre son souffle. La bave s’échappe de la bouche de Duchesse qui a les larmes aux yeux, mais il renouvelle l’opération et l’empale jusque dans le gosier. Soucieuse de satisfaire son amant dont elle connait parfaitement les gouts, la salope bave exagérément et éructe des bruits de gorge obscènes. Ce qui ne manque jamais de le faire grogner de plaisir.
Il récupère du fluide au niveau de ses bourses, franchement trempées, pour s’en enduire les doigts et lubrifier l’anus palpitant d’envie.
Il pousse son gland plus loin encore dans la gueule, de la petite bougresse friande de gorge profonde, pour mieux se courber au dessus d’elle et enfoncer deux de ses doigts dans le fondement encore délaissé.De son bassin, elle entame une danse pour faciliter la progression des doigts. Pourtant il se retire des trous exploités, sans aucune autre forme d’explication, la laissant aux abois. Il fait le tour de la table une nouvelle fois.A ce stade Duchesse a le menton englué, son rouge à lèvres n’est plus qu’un lointain souvenir et ses yeux sont noircis par son mascara qui coule.
Soudain, son petit trou frémit et se contracte, un liquide frais s’écoule dans la raie de son cul. Du revers de la main Renard, badigeonne l’orifice convoité de lubrifiant et y présente quelque chose que Duchesse identifie comme un objet, cette chose n’a pas température humaine. Prévoyant le maitre avait gardé quelques accessoires à portée de main sur un meuble proche.Il pousse l’objet contre la rondelle qui, après avoir résisté, cède d’un seul coup et happe le plug qui s’avère être énorme. Elle pousse un hurlement quand la partie la plus large défonce son cul, elle se cabre telle une jument reculant devant l’obstacle et s’arrache elle même le jouet dans un second cri de douleur.
En juste maître, il sanctionne et, de sa main droite, fait justice lui même. La délicieuse douleur sur sa fesse lui fait oublier le mal qu’elle dans le trou.
Le coup ne manque pas de lui rappeler ses devoirs et, repentante, elle reprend la pose ; lui reprend le plug, et sans plus de ménagements, il renouvelle l’opération, générant la même réaction de la rebelle. La douleur est trop vive et, à nouveau, elle extirpe l’intrus de son cul en geignant de douleur.Maître Renard est déçu de la piètre performance de son élève qu’il comptait préparer pour un fist anal ce soir.                     -Si je ne peux pas mettre mon poing dans ton fion ; je te le mettrai dans la chatte. Tu me déçois vilaine. Je te déconseille de me décevoir à nouveau, dit-il.
           -Je vous le promet Maître Renard ; répond-telle aussi sec ; tout à la fois désolée de ne pas être à la hauteur et impatiente de prendre le poing de son maître en elle.
L’envie de jouir la dévaste et devient pénible à supporter, elle sait quelle extase l’attend empalée par sa main. Alors lorsqu’il lui intime l’ordre d’aller au coin face au mur, elle s’y rend avec empressement.
A suivre... 
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