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"Il venait d'avoir Dix-huit ans..."

Chapitre 1

Un accident banal...aux conséquences imprévisibles...

Erotique
Préambule :
Les prémices qui m’ont donné l’envie d’écrire ce texte sont bien réelles.La femme que j’ai prénommée Anne, afin de cacher son identité a bien existé, elle était ma voisine et ma prof de physique, son mari et ses deux fils aussi.Tout cela se déroulait avant la mort de Dalida, cette artiste sublime, tragiquement disparue beaucoup trop tôt, auteure de la splendide chanson qui m’a donné le titre de cette série.

Il fait noir dans les rues de cette petite ville du Centre/Est de la France.Il doit bien être dans les 23 h00, à cette époque, il existe encore peu d’horloges dans le tableau de bord des voitures, ni de GPS.Anne s’est complètement perdue, mais je dois avouer que me retrouver dans cette situation troublante, être en enceinte close, en compagnie de la femme que je désire le plus à ce moment-là, tard le soir, a tout pour m’exciter. La pluie n’arrange rien, et il est même difficile de distinguer quoi que ce soit.

Boum ! Un choc, nous avons touché quelque chose … Anne freine en catastrophe et s’arrête, elle sort rapidement de la voiture pour constater les dégâts.La pluie battante l’inonde presque instantanément. Elle s’aperçoit qu’elle vient de renverser un Peugeot 103, alors très en vogue chez les jeunes. L’engin est par terre et deux gars semblent blessés.L’un, qui a été éjecté semble groggy, il ne portait pas de casque et une blessure à la tête lui fait perdre beaucoup de sang.Son copain, le conducteur, lui, est en meilleur état, quoique sa claudication semble indiquer un problème à la jambe :
« Espèce de connasse, tu as pas vu qu’on avait la priorité ?Regarde dans quel état tu nous as mis ! Allez aide-moi à relever mon pote. »

Anne semble terrifiée par l’accident, elle n’arrive pas à articuler une seule parole, elle est visiblement choquée.Je décide de sortir de la voiture, moi l’adolescent attardé à peine majeur. Vu mon physique chétif (j’ai eu une croissance un peu retardée par des problèmes de santé), je ne vais pas faire le poids, si le type en face décide de devenir plus qu’agressif. Mais je ne peux pas non plus laisser Anne se dépatouiller toute seule.Alors qu’Anne a relevé le compagnon du gars et qu’ils l’ont placé sur le capot de la voiture, et ont sommairement pansé sa blessure, le jeune « indemne » me regarde :
« C’est qui lui, ton fils ?
— N …non un copain de mon fils.
— Ah bon, et qu’est-ce que tu fous avec « le copain de ton fils » à presque 23 heures, dans le quartier le plus pourri de la ville ? Sans regarder ce qu’il y a autour de toi ? Tu te le tapes ou quoi ?
(Outrée Anne devient pivoine et se remet à bredouiller.)— Nnnn…NNon, vous êtes fou ! Je suis une honnête épouse et mère de famille et Fabrice, même s’il n’est pas mon fils, n’est pas non plus mon amant si c’est ce que vous suggérez. C’est odieux !
— Ouais ! C’est pas très clair tout ça, elle pue ton histoire. Moi je suis sûr que c’est ton fils. Bon on s’éloigne…après je m’en fous de ce que tu fais avec un petit jeune. Bon sors ton permis de conduire, on va faire un constat. T’es assurée au moins parce que là, je te raconte pas le malus que tu vas prendre !
— Ben nnon, j’ai oublié mon permis et je crois que je ne suis pas tout à fait à jour niveau assurance !
— Putain de merde, je fais comment alors ! Tu crois que tu vas nous laisser mon pote à moitié mort, ma jambe en sale état, ma bécane bousillée, parce que madame fait les yeux doux, ou se fait tripoter par son jeune amant, dans le coin des putes et des camés, au lieu de regarder la route.
Bon, y a une cabine là-bas ; tu dois bien avoir deux francs sur toi ? Je prends ta clé de contact pour pas que t’aies envie de te barrer, et j’appelle les flics. Ils sauront quoi faire eux ! »

Anne sursaute à l’évocation de la police. Les larmes lui viennent aux yeux…elle ne sait plus quoi penser, elle se sent prise au piège comme une bête.Non seulement elle a provoqué un accident assez grave, elle est en tort, n’est pas en règles niveau papiers…mais en plus ce jeune a raison.Toutes les apparences sont contre elles. Alors qu’elle aurait dû rentrer chez elle depuis fort longtemps, à force de se tromper de chemin et de tourner en rond depuis plus d’une heure, elle se retrouve dans le quartier chaud de la ville avec son élève de terminale …élève et jeune voisin.

Pas de doute cela va très vite jaser dans le lycée, non seulement auprès du personnel de direction, ses plus proches voisins (Anne et sa famille ainsi que la mienne, habitons tous dans un logement de fonction … en vase clos).Mais très vite tout sera déformé, les profs en parleront, puis les élèves…chacun se demandera ce que pouvait bien faire une jolie femme de 44 ans avec son élève, pour qui elle a déjà montré beaucoup de tendresse… une tendresse d’ordre maternel certes, mais quand même.Et que pensera son mari de tout cela, lui le rigoriste, le pilier de la petite communauté protestante de la ville ?Au lycée, les élèves en catimini appellent leur proviseur (à cause de la longue barbe et de son attitude très hautaine et distante), Abraham Lincoln…tout un programme !

Alors, voyant venir le scandale elle prend une décision, elle va faire croire que je suis bien son fils, et essayer d’arranger la situation avec ce type, l’empêcher d’appeler la police. Mais comment ? Son instinct de femme trouve vite la solution !
" Écoutez, vous avez raison Fabrice est bien mon fils, j’avais peur que vous lui fassiez du mal, c’est pourquoi quand je vous ai vu en furie, j’ai préféré dire qu’il ne l’était pas, pour vous enlever un moyen de pression sur la mère que je suis. Ensuite, n’appelez pas la police, on pourrait peut-être trouver un arrangement à l’amiable non ?" Dit-elle en battant des cils, un sourire équivoque aux lèvres.
Le jeune a très vite compris tout l’intérêt qu’il pourrait trouver à la situation, surtout qu’avec ses potes ils sont convenus d’un jeu un peu pervers.Séduire chacun une femme et une fois prise dans un jeu de soumission/excitation, la décider à s’exhiber devant les copains…Cela ne va jamais très loin, il suffit de tomber sur la fille suffisamment exhibe et audacieuse pour se prêter à ce jeu…certaines le font par amour, d’autres par vice.Et c’est chacun son tour, une fois par mois ; et ce mois-ci c’est lui qui doit ramener sa conquête, et il pense bien l’avoir trouvée …

Après avoir embarqué Rémi, c’est le nom du type qui saigne du cuir chevelu, Thomas, celui, qui est valide, s’installe à son tour dans la voiture aux côtés d’Anne.
Pendant qu’elle cherche un endroit un peu au sec pour mettre leurs affaires en ordre, elle est trempée comme une soupe, Thomas ne peut s’empêcher de mater les jolies jambes revêtues de bas résille (à cette époque il n’existe pas encore de collants résille), et se demande s’il va pouvoir explorer ce qui est caché sous la robe et le manteau de fourrure !

Un auvent d’entrepôt donnant sur la rue leur donne l’occasion de s’arrêter. Anne sort ainsi que moi-même et Thomas. Elle défait son manteau de fourrure imbibé d’eau, et se présente en robe de soirée noire, dont le haut n’a pas échappé à la pluie. Aussi c’est un tissu devenu un peu transparent et collant au corps, qui laisse apparaitre la splendide poitrine d’Anne.Thomas ne peut en détacher les yeux, moi non plus d’ailleurs…Anne s’étant aperçu de notre trouble, sent elle-même une excitation pernicieuse la saisir.Il faut dire qu’elle est superbe et c’est la première fois, malgré tous les moments que nous avons passés ensemble, "en tout bien tout honneur", que je peux admirer la plastique superbe de ma voisine, mère de mes copains, et prof de physique !

Les pointes de ses seins deviennent dures, accentuant le magnifique effet visuel. Alors qu’Anne fait semblant de chercher les papiers, dont elle sait très bien qu’elle ne les trouvera pas au fond de sa boite à gants, elle est quasiment couchée sur le siège conducteur, et nous présente une magnifique chute de reins. Étendant ses bras pour chercher au fond du compartiment, elle fait se redresser sa robe, laissant apparaitre la lisière de ses bas et les fixations des jarretelles.
Il y a un blanc, la Terre semble s’arrêter de tourner pour Thomas et moi, subjugués par le spectacle. Nous retenons notre souffle !Anne les yeux brillants et les joues rouges se retourne et fixe Thomas dans les yeux :
« Désolée, j’ai rien du tout !! (Le ton est presque amusé et provocateur), on fait quoi alors ?
— Tu vois au début j’avais envie de t’arracher les yeux, mais au final je crois que cette soirée est bénie pour moi… je ne dirais rien à la police, cela semble te chagriner a l’extrême…mais par contre il faudra être assez sympa avec les mecs que je vais te présenter…là où nous allons.Le programme te convient ?
— Du moment que tu ne me demandes pas de danser nue sur une table, devant tes copains et mon fils cela me va. »

Le regard plein de lubricité et de défi que lui adresse Thomas à ce moment, fait perdre toute constance à Anne. Moi je ressens une grosse boule d’excitation dans le ventre...que va donc faire vraiment Anne ?
Elle s’aperçoit qu’elle a peut-être commis une erreur, mais il est déjà trop tard pour revenir en arrière …et puis après, que dire de nouvelles expériences ?
Son instinct de femme pousse un grand « Chiche ! » de défi.
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