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"Il venait d'avoir Dix-huit ans..."

Chapitre 2

Anne se révèle être une très mauvaise "protestante"...

Erotique
Ici le narrateur n’est pas Fabrice.J’avoue, en aparté, que la rédaction de ce récit, même s’il est fantasmé, fait ressurgir en moi beaucoup d’émotions.Même si ce récit est du pur fantasme, beaucoup d’éléments de base sont véridiques, comme dans pas mal de mes textes d’ailleurs...

Ainsi Anne, la voisine de 44 ans et professeure de physique de Fabrice, se retrouvait-elle embarquée dans une histoire plus ou moins scabreuse. Dans le lycée dont son mari était le proviseur, quatre familles occupaient des logements de fonction.Au rez-de-chaussée, le sous-directeur (le père de Fabrice), et en voisinage direct, la trésorière.Au-dessus, le proviseur avec sa jolie femme, prof de physique donc, et en vis-à-vis le directeur adjoint.A noter qu’il y avait également au rez-de-chaussée des caves, ainsi qu’un petit studio (ce sera important pour la suite), inoccupé qui était devenu le repaire des trois jeunes de l’immeuble : Fabrice, 18 ans, Raphael, même âge dans la même classe que le premier, et son frère Guillaume 21 ans, en fac de science...

Les trois jeunes étaient de véritables amis avec des passions communes : les maquettes, le groupe « The police » qui venait de sortir son album « Ghost in the machine » et bien entendu le sexe...

Dans la voiture Anne conduisait nerveusement, suivant les instructions de Thomas pour se rendre à ce mystérieux rendez-vous avec ses potes, « les gones », comme il aimait à les appeler.Elle se disait qu’elle aurait peut-être dû attendre l’arrivée de la police et accepter un scandale mineur, plutôt que d’être embarquée en vue de ce qu’elle craignait être potentiellement un scandale majeur... L’expression de Thomas lorsqu’elle avait évoqué le fait de danser nue sur une table l’avait déconcertée et excitée aussi.Pour allumer le mec, elle s’était vue faire des choses dont elle ne se serait pas crue capable : s’exhiber avec une robe rendue moulante par la pluie, qui elle le savait dessinait parfaitement sa magnifique poitrine, ainsi que la fourche de ses cuisses.

Et puis se coucher dans l’habitacle du véhicule pour que les deux jeunes aient une vue plongeante sur sa chute de reins, dont elle était très fière, et le début de son porte-jarretelles. Bien entendu tout cela avait été calculé et maîtrisé.

Après elle regrettait peut-être un peu son geste, exciter des jeunes hommes pleins de sève et ensuite devoir se rendre dans un endroit inconnu, où elle serrait entourée d’hommes, livrée a un chantage symbolique... tout cela était peut et être dangereux. Mais elle devait avouer qu’elle avait provoqué la situation, et d’autre part que son excitation allait croissant. Elle subodorait qu’elle allait découvrir une partie d’elle-même trop longtemps enfouie, par un mariage insipide et bancal.Car si Anne avait été folle amoureuse de son mari au début, très vite elle s’était aperçue que ce dernier était plus fasciné par les pages de l’Ancien Testament et sa fréquentation de la communauté protestante locale, que par les déshabillés vaporeux de son épouse.

En un mot Anne, jolie femme de 44 ans, se faisait chier au lit.Et quand elle s’admirait nue dans un miroir, ou comme quelques heures auparavant en porte-jarretelles et bas résille, elle se disait qu’il était dommage de ne pas exploiter, voire surexploiter, son potentiel ! Une jolie fleur sauvage mise en couveuse dans un endroit froid et sombre...

Anne sentait le regard de Thomas, sur ses jambes, cela plus l’aventure qu’elle était en train de vivre l’excitait au plus haut point ; elle se demandait : « mais que vont me demander Thomas et ses amis en échange de leur silence ? » Cette phrase lancinante dans son esprit revenait tel un leitmotiv et avait le don de lui provoquer un début d’humidité entre les cuisses.

Enfin la voiture s’arrêta devant une espèce d’entrepôt, paumé dans la banlieue industrielle. De la lumière fusait des carreaux, et il semblait y avoir une belle agitation à l’intérieur.Un coup de klaxon et deux des amis de Thomas sortirent et s’approchèrent étonnés du véhicule. Lorsqu’ils virent l’état de Remi toujours dans les vapes avec son bandage de fortune taché de sang, et entendirent les explications de Thomas, le leur ne fit qu’un tour.Ils dirigèrent des regards venimeux vers le conducteur... regard qui se transforma vite quand ils virent le fameux conducteur exhiber deux magnifiques jambes en sortant de l’habitacle.

« C’est qui elle ? Et le jeune ?
— Ma nouvelle « fenotte » et peut-être si l’ambiance s’y prête notre Playmate du mois !
— Tout compte fait ça vaut peut-être largement la perte de ton 103 ??
— Je le pense aussi car madame me semble déjà bien coopérative. Mais ne brusquons pas les choses. Madame si vous voulez bien vous donner la peine, ainsi qu’à votre fils... »

Quand le mot Playmate fut prononcé, Fabrice ressentit tout de suite une érection poindre dans son slip. Anne, quant à elle, eut un coup au cœur et une grosse bouffée de chaleur ; tout à coup ses vêtements mouillés et refroidis lui semblaient trop chauds.
A cette époque, personne ne pouvait ignorer l’émission de Stéphane Colaro, Cocoboy, avec en fin de soirée la fameuse Playmate du mois, une délicieuse jeune femme qui réalisait un striptease allant jusqu’au string (toujours blanc si ma mémoire ne me trahit pas.)Et évidemment dans les cours de récréation (uniquement des lycées évidemment), tous les garçons se racontaient avec force détails le striptease de la belle.Un érotisme perlé d’innocence et de beauté, sans vulgarité (sniff)... « Sic transit gloria Mundi » (ainsi est passée la gloire du monde.)

Anne et Fabrice se regardèrent gênés et très excités en même temps.Lui se disait « elle ne va pas le faire quand même ? Et pourtant elle est coincée, elle n’a plus le choix. Oh putain je vais peut-être la voir à poil !! »

Elle, pensait : « mince, dans quel pétrin me suis-je fourrée ?Je peux refuser, mais alors ils diront tout ! Ils peuvent même arguer d’un délit de fuite s’ils sont vraiment vicieux et en colère après le petit numéro de « salope » que j’ai fait devant Thomas. Oh et puis merde ! Depuis combien de temps n’ai-je pas ressenti d’excitation sexuelle avec mon mari... (cinq ans ?) sans sexe, sans orgasme. Mon Dieu je suis tellement excitée que j’ai l’impression que si je faisais un striptease devant ces hommes, en sentant leurs regards enfiévrés sur mon corps, j’aurais tout de suite un orgasme sans même me toucher.Et ensuite que se passerait-il ? Une jolie femme comme moi, frustrée sexuellement au milieu de mecs pas mal du tout, à voir, entre 19 et 23 ans, l’âge de mes fils, nue, offerte à leur désir masculin... une orgie ? J’en ai la tête qui tourne et mon slip qui commence à être vraiment mouillé. »
Perdus dans leurs réflexions les deux pénétrèrent dans l’entrepôt qui se révéla plutôt propre et bien tenu. Il était agencé en une grande salle avec un bar au fond, un grand canapé sur le côté et des tables disposées en U. Au fond des portes donnaient sur d’autres parties.

Thomas présenta sa conquête d’un soir à ses camarades. Ils étaient cinq : Paul petit, très nerveux et très brun, d’origine espagnole ; Denis, grand et un peu enveloppé, Jérôme, un alsacien très blond, avec un visage taillé à la serpe, Christophe, black, d’origine guadeloupéenne, et Franck, châtain sans signes distinctifs, enfin plutôt c ‘était l’intello de la bande.

" Voici Anne, Anne comment déjà ?
— Dupré (elle cacha son véritable nom Mme V... R, sur le coup d’une intuition) et voici mon fils Fabrice. C’est moi qui ai malencontreusement accidenté vos camarades, maïs je suis là pour « réparer »... (avec un grand sourire malicieux.)"
Le petit groupe s’installa dans le canapé et commença à discuter en buvant quelques bières. Anne demanda un whiskey pour se donner du courage.La conversation était banale, quoiqu’intéressée par la vie de Anne. Les jeunes restaient convenables, malgré quelques regards lourds et appuyés sur les attributs d’Anne.Celle-ci ne s’en offusquait pas et répondait à toutes les questions. Là encore, elle prétendit que son mari était agent d’assurance, ce qui fit bien rire l’assistance, vu sa situation.Les choses se corsèrent quand on appela Thomas de l’hôpital, où avait été emmené Rémi. Il revint 10 minutes plus tard, le visage sombre et fermé. Quand les autres demandèrent des nouvelles de leur ami hospitalisé, il ne répondit rien puis leur dit simplement : « c’est encore trop tôt pour vraiment s’inquiéter », en lançant un regard très noir à Anne.
Elle se mit à réfléchir très vite... il fallait partir de là le plus vite possible.Et pour cela accorder aux hommes ce que Thomas lui avait proposé...Un striptease.

Anne demanda la permission d’aller aux toilettes, se remit du rouge à lèvres, et un coup de crayon noir sur les yeux. Puis elle remonta sa robe pour en retirer sa culotte noire qu’elle fourra dans son sac. Comme ça les choses iraient plus vite décida-t-elle, et une fois la robe retirée, elle n’aurait pas d’hésitation pour retirer la culotte, ne l’ayant déjà plus !Elle se redonna un coup d’œil dans la glace...Elle y voyait une belle femme de 40 ans, assez grande et élancée, avec un beau petit cul. Ses yeux étaient noisette, ses cheveux, coupés niveau nuque avec une frange sur le devant et une longue mèche, étaient blonds.Son visage assez volontaire avec des pommettes saillantes.Le regard que la glace lui rendit l’étonna... l’intensité lubrique qu’elle y découvrit l’étonna. La mère de famille et bonne épouse, pilier avec son mari de la communauté protestante s’était transformée en salope :
« Tant pis se dit-elle, si mon mari n’avait pas été si con, je n’aurais jamais accepté ce défi... et s’il me baisait plus souvent je ne prendrais pas autant de plaisir à ce que je vais faire ! »

Elle rejoignit le bar où elle demanda un nouveau whisky qu’elle vida cul sec sous l’œil étonné de Paul qui servait...Puis escaladant une chaise, monta sur la table... sous le regard étonné des hommes.Fabrice la regardait, elle lui adressa un coup d’œil complice et lubrique et lui demanda de s’installer sur une chaise juste sous elle, bien en face. Elle avait décidé que lui devait avoir la meilleure place.Si elle devait s’offrir à ces jeunes, elle voulait que son petit protégé qui avait bien souffert de la vie soit aux premières loges pour l’admirer, elle.
Elle demanda également un peu de musique et c’est sous les accords chaloupés de Police « The bed’s too big without you », et la voix éraillée de Sting, qu’elle commença à se déhancher langoureusement...
“Bed’s toot big without you,Cold wind blows right through that open door...”

Le whiskey, la musique rythmée de Police, dont elle savait que Fabrice et ses fils étaient fans, le regard vicieux des hommes fixés sur elle, le regard plein d’admiration, de vénération même de son jeune élève fixé sur son corps, faisaient qu’elle sentit une chaleur torride envahir tout son être.
Elle tournait sur elle-même, se caressait langoureusement les seins à travers l’étoffe de sa robe, plaquait ses deux mains sur son sexe, froissait sa robe entre ses jambes, reculait sa croupe à la « Marilyn Monroe ».

La musique continuait :“Since that day when you’d gone,Just had to carry on... “
Elle avait abaissé l’épaule de sa robe sur son bras, puis la seconde, laissant apparaitre le haut d’un bustier noir en dentelle, et elle retenait la robe avec ses mains.Tournoyant sur elle-même, elle s’aperçut que la musique changea, les premiers accords à la guitare basse de sa chanson préférée de Police, « Bring on the night »

L’excitation était à son comble, elle était au bord de l’orgasme, elle se mordit la lèvre inférieure pour retenir un gémissement de plaisir. Ne lâchant toujours pas sa robe elle se déhancha au rythme des coups de batterie au début de la chanson.
“The afternoon has gently passed me by,The evening spread its sail against the sky...”
La voix déchirante de Sting la mettait en transe; quand eut lieu le refrain :“Bring on the night,I couldn’t stand another hour of daylight...”

Elle laissa tomber sa robe sous elle, et apparut le pubis nu, entre les jarretelles tendues au-dessus des bas résille.Un joli, petit buisson blond masquait en partie la petite fente aux lèvres rouges charnues...La guêpière noire avec un parement en dentelle sur le devant qui laissait voir la naissance des seins, lui seyait à merveille, elle plongea un regard long et profond dans les yeux de Fabrice.Celui-ci était hypnotisé par la divine créature nue au-dessus de lui. Il avait les yeux rivés sur le sexe de sa prof, quand il lui rendit son regard. Un échange extatique se produisit comme si leurs deux âmes fusionnaient.Anne se révéla à elle-même ce qu’elle avait toujours plus ou moins pensé être, mais qu’elle avait refoulé dans un coin de son inconscient : elle était amoureuse de Fabrice, et à lire dans le regard de ce dernier la réciproque était plus que vraie. Elle y lisait une vénération sans borne.Elle pensait que si elle lui demandait de s’ouvrir les veines, il lui répondrait « quelle profondeur, l’entaille ? »Mais elle-même savait qu’elle était prête à tout pour lui... d’ailleurs ce marché de dupes avec Thomas et son exhibition à laquelle elle prenait tellement de plaisir, n’était-il pas le résultait d’une volonté de faire plaisir à son élève, de lui donner « sa vertu », sous le masque d’une « contrainte » ?

“The future is but a question mark,Hang above my head, there in the dark.Can’t see for the brightness,Is staring me blind,God bid yesterday, goodbye !”

La voix désespérée de Sting, la mélodie plaintive et émotionnelle, le regard de Fabrice sur son sexe... Anne était en transe, elle commença à se toucher le pubis d’abord timidement, puis s’enhardit.Elle baissa la guêpière sur son ventre, laissant apparaitre deux beaux seins en 95 C, aux aréoles sombres et aux petits tétons.De son autre main elle se prenait les seins et se les malaxait, pendant le second refrain.

Elle ne s’appartenait plus, les hommes la matant elle s’en foutait, seul comptait le regard de Fabrice.Balançant les hanches en cadence pendant le break, avant les riffs déchirants de la guitare mélodique, elle se masturbait en se caressant le clitoris et, se mettant deux doigts dans sa grotte.Elle s’autorisa à gémir et ahaner, elle n’en avait plus rien à foutre...

Et dans un grand cri de délivrance eut un orgasme prodigieux... sur les derniers accords de la chanson.
Jamais de toute sa vie elle ne s’était sentie aussi Femme !

Pendant quelques secondes le temps fut suspendu entre Anne, comblée, Fabrice énamouré, et les mecs qui s’étaient rapprochés de la table, admirant la « Playmate » de Thomas... quand une voix de stentor résonna.

« Rémi est mort ! Son cœur n’a pas supporté l’opération !! »
C’était Thomas, revenu d’une nouvelle conversation téléphonique avec l’hôpital, qui avait appris la funeste nouvelle...

Le charme était brisé...
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