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"Il venait d'avoir Dix-huit ans..."

Chapitre 5

Comment Anne est passée de femme prude à "poule de luxe".

Voyeur / Exhibition
Maurice traversa la cour de récréation vide d’élèves, essoufflé et très nerveux, pour parvenir le plus rapidement chez lui… il était 14h45, Fabrice était-il déjà arrivé à leur domicile?

“ Non mon chéri” entendit il lui dire sa femme de la salle de bain, c’est encore trop tôt. Ils m’ont juste dit de me préparer, et que je devais être très sensuelle. Cela te convient-il ?

Et Anne sortit de la salle de bain en peignoir lui arrivant aux genoux. Maurice une grimace à la bouche, vit que sa femme était outrageusement maquillée. Un rouge à lèvres brillant, des traits de crayon sur les yeux, du Ricil. Elle était parfumée à l’excès. Mais surtout ce qui l’étonna et l’effraya en même temps, c’était les bas résille noirs, qu’il distinguait sur ses jambes.
“ Tu as mis des bas résilles ? Cela fait un peu fille de joie, non ?
— Je n’ai pas le choix, ce sont leurs ordres !
— Et tu portes quoi sous le peignoir ?
— Rien ! “ Et joignant le geste à la parole, Anne ouvrit son peignoir pour révéler son corps nu, avec un porte-jarretelles noir, sans culotte !Épouvanté par cette vision “horrifique” pour lui, Maurice se précipita hors de l’appartement et revint vite dans son bureau . Il rongea son frein...Une heure après il reçut un coup de téléphone de sa femme avec ces mots laconiques:
“ Il est là, attends 10 minutes et viens, le Polaroid est dans le petit meuble sous le téléphone...courage mon amour ! C’est pour notre bien à tous, pour notre probité, notre réputation, ta réputation dans l’établissement, au Temple... Je sais que ce sera très dur pour toi mon mari, mais tu défends ainsi la vertu et l’honneur de ta famille et de ta femme...pense au scandale si ….”
Il coupa l’appel, il ne pouvait en entendre plus ! Il ouvrit le tiroir de son bureau, et sortant une flasque de whisky, il s’en prit une généreuse rasade. Cela allait lui donner du courage. Lui qui ne buvait jamais d’alcool ! Alors il se détendit et laissa aller ses pensées. Ce qui le perturbait c’était le ton très désinvolte de sa femme. Elle allait devoir faire l’amour avec son jeune voisin, forcée par des malotrus, et cela devant son mari...et pourtant elle ne semblait pas plus perturbée que cela ! Et ensuite qu’allait-il se passer ? Que lui feraient faire ces ordures, ces fils du Malin...il n’osait y penser.
Quoique ne s’étant jamais intéressé à la pornographie, qu’il exécrait, il savait que de nombreux comportements, échappant à tout morale chrétienne, avaient cours dans certains cercles. Certaines images, glanées ici ou là, lors de conversations avec des personnes “ libérées", ou lors de reportages télévisuels, lui venaient à l’esprit… ces fameuses orgies que l’on appelait partouzes. Serait-il obligé d’assister à cela, contre son plein gré, mais obligé de le faire ? Voir sa femme se faire baiser par des hommes, voire pire des femmes, l’encourager dans sa débauche, et la prendre en photos sous tous les angles, la filmer...pour le compte de ces  “sauvages” ?
Il devait se l’avouer à lui même, tout cela l’excitait ! Une certaine chaleur envahissait son ventre, une boule se formait dans son estomac. Avec la griserie de l’alcool, Maurice s’autorisait des pensées impures, malsaines, dont il ne se serait jamais cru capable en temps normal ! Lui revenait à l’esprit l’image de sa femme écartant son peignoir, et révélant son splendide corps nu, attifé d’oripeaux tout juste bons pour des prostituées. Avec le maquillage, elle n’aurait pas déparé chez “Mme Claude”!  Mon Dieu, pensa t- il, je compare ma femme à une putain ! Et pourtant il remarqua quelque chose…il bandait… et très dur, comme jamais depuis sa jeunesse.

Quand Fabrice entra dans l’appartement, il sentit tout de suite qu’il se passait quelque chose de pas très "catholique"...il vit sa prof de physique en peignoir, avec bas résille et un maquillage qui ne lui ressemblait pas. Elle le mit à l’aise tout de suite, et l’invita à prendre un café dans le salon, en écoutant du Bach. Bientôt, après lui avoir parlé de ce compositeur qu’elle aimait beaucoup, elle se rapprocha doucement de lui, et il put s’apercevoir que, comme par hasard, les pans du peignoir blanc remontaient sur les jambes d’Anne, dévoilant chaque fois un peu plus de longueur de bas résilles, sur ses genoux puis ses cuisses. Fabrice commençait à craquer, la vue des ces jambes magnifiques, avec le ton lascif de la conversation, faisaient qu’il était excité et commençait à bander dur lui aussi.
Mais quand le mari rentra, la magie s’effaça. Fabrice, raide, se leva pour serrer la main à son proviseur. Mais contre toute attente, ce dernier se montra affable et décontracté, ce qui ne lui ressemblait pas, et le laissa à nouveau s’asseoir très près de sa femme. Fabrice n’y comprenait plus rien. La conversation, d’abord badine, s’orientait sur la beauté et les charmes de son épouse. Maurice, laissant même entendre qu’elle avait plein de talents cachés, et qu’elle aimait beaucoup les jeunes. Fabrice se remit à bander, de même qu’à la grande surprise d’Anne, Maurice son mari, d’habitude de marbre;  elle comprit alors que toute cette situation l’excitait à mort ...elle se dit qu’il y avait là une nouvelle carte à jouer.
Fabrice était de plus en plus excité, il ne comprenait pas pourquoi, mais il sentait intuitivement que son proviseur était en train de faire l’éloge de sa femme, enfin plus précisément l’éloge de sa beauté, afin de projets inavouables. Et qu’entendait-il par les “talents cachés de sa femme”, et son “amour des jeunes”. Avec beaucoup de nervosité et d’excitation, Fabrice se demandait si le proviseur n’était pas en train de lui offrir sa femme ? Une telle chose était-t’elle possible, vu le type de couple très religieux et très chaste que représentaient Anne et son mari Maurice ?
A moins que… et Fabrice repensa à la fameuse soirée et à la bande de Thomas...y avait-il une interaction quelconque ? Il ne savait pas quels développements auraient cette petite entrevue entre les trois, mais s’il se passait quelque chose de bizarre, il n’hésiterait pas à aller voir l’un des membres de la bande, avec qui il entretenait de bons rapports. Et il n’allait pas être déçu !
Il ne tarda pas à comprendre où Maurice et sa femme voulaient en venir, car cette dernière demanda à son mari de passer la fameuse K7 vidéo, et se proposa pour rechercher du café. Quand elle revint, et alors que Fabrice vit avec horreur la vidéo, où on le voyait assister au striptease de sa prof, elle se mit devant les deux hommes, leur bloquant la vue sur le téléviseur, et nonchalamment défit le lien de son peignoir qui glissa sur le sol. Elle se retrouva nue en bas et porte-jarretelles, devant son mari et son élève,  et avec un sourire malicieux leur dit:
“ La vidéo c’est pas mal , mais c’est quand même mieux en réalité !!”
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