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"Il venait d'avoir Dix-huit ans..."

Chapitre 8

Le proviseur et sa femme s'encanaillent au temple...

Avec plusieurs hommes
Comme souvent, Maurice avait assuré le sermon, Georges, le vieux pasteur ayant refait une crise d’asthme.
Comme souvent, Maurice sortit sur le perron du temple, des étoiles plein les yeux, attendant que ses paroissiens viennent le féliciter pour sa haute sagesse intellectuelle et morale, ainsi que sa probité religieuse. Seule ombre au tableau, pour la première fois, sa femme n’était pas venue assister au culte. Il se demandait bien pourquoi... il n’allait pas tarder à le savoir, à sa grande honte !
Alors que les vieilles rombières se pressaient autour de lui, de même que les disciples acharnées, qui cherchaient une réponse infaillible à leurs questionnements plus ou moins élevés, un silence se fit dans le fond de l’assemblée. Étonné, Maurice tourna la tête, et ce qu’il vit le consterna. Une femme très court vêtue se faisait un chemin au milieu de la foule, pour venir le rejoindre... et c’était SA femme !

Anne était vêtue de façon outrancière, comme elle en avait pris l’habitude ces derniers temps... depuis que leur couple était devenu le jouet de ces ordures qui les faisaient "chanter" !Une robe jaune d’or, s’arrêtant à mi-cuisses, une robe très, très serrée, tant et si bien que tous les détails du corps de la magnifique épouse étaient “jetés en pâture” à l’assistance. Son petit cul se dessinait parfaitement, ses hanches généreuses aussi. Mais, et c’était peut-être le pire, sa poitrine était magnifiquement mise en valeur par le tissu distendu de la robe. Et Maurice s’aperçut avec horreur que l’on ne voyait aucune trace de sous-vêtements sous le tissu ! Sa femme était honteusement nue sous cette robe diabolique. Et si lui s’en était aperçu, il y avait fort à parier, qu’il en était de même pour toutes ses ouailles : c’est clair que son prestige de pasteur éphémère allait en prendre un sacré coup !
Anne mit une main sur la taille de son mari et lui posa un pudique baiser sur la joue ; Maurice se mit à rougir. Ah, qu’il aurait préféré se trouver à 3000 kilomètres de là ! Déjà les vieilles rombières, ayant reconnu la femme impudique de leur pasteur préféré, après un étonnement de bon aloi, lui jetaient des regards venimeux. Il en allait évidemment tout autrement pour les hommes de l’assistance. Si la honte était déjà portée à un bon niveau, elle atteignit son point culminant quand, certains hommes complimentèrent Anne pour son style “ décontracté qui la mettait tant en valeur. “ Lorgnant sur les côtés les grenouilles de bénitier, certains rajoutèrent que d’autres femmes devraient en prendre de la graine !
Les hommes se serraient autour de sa femme, les yeux brillants. Ils détaillaient avec insistance, et sans considération pour sa personne, les attraits éminents de la femme du pasteur par procuration... Et Anne, très fière visiblement d’être le centre de leur intérêt lubrique, se prêtait avec joie à des minauderies sur son aspect vestimentaire. Un grand sourire aux lèvres, elle expliquait à qui voulait le savoir, que le salut des Âmes c’était très bien, mais qu’il fallait aussi profiter de toutes les possibilités, qu’avait données le Seigneur à chaque homme et chaque femme ici bas... Et qu’un peu de fantaisie n’avait jamais amené personne sur les chemins de la Perdition.
“ Un peu ! Oui Madame... je me demande ce qui dans votre esprit signifierait beaucoup ! Alors ?!“ Lui rétorqua l’une des vieilles rombières...
D’un haussement d’épaule, l’un des “prétendants” désigna à la “mégère empêcheuse de draguer en rond” le bas du perron, et lui souhaita une belle journée ! L’incident était clos et Anne pouvait à nouveau faire sa starlette !

Excité bien malgré lui, par le tour que prenait la situation, Maurice était également dégoûté par la faiblesse de la chair, et le manque de tact d’hommes pourtant mariés, qui venaient séduire ouvertement sa femme, sous ses yeux, à la sortie de l’office. Ses sermons concernant la vanité humaine, la lubricité naturelle de l’Homme et son ego le portant sur les choses du sexe, n’avaient-ils donc servi à rien ?
Écœuré devant l’inanité de ses efforts pour remettre les brebis dans la voie de Dieu, il décida alors, sur un coup de tête d’emmener tout ce petit monde vers les sentiers de l’Enfer et de la débauche.N’ayant pas réussi à être le berger de Dieu, peut-être devrait-il tenter sa chance pour devenir celui de Lucifer !

Il demanda à quatre volontaires de l’accompagner dans le débarras du temple, situé dans les sous-sols de l’entrepôt, qui avait été converti, pour le bien de la petite communauté. Il y avait des cartons à manipuler et à mettre à la décharge. Alors tandis que les ouailles se séparaient, quatre hommes accompagnèrent avec joie, leur pasteur et sa si délicieuse femme !

Arrivés dans les sous-sols, et ayant bien pris soin de fermer la porte à clé derrière lui, Maurice s’adressa aux hommes de la façon suivante :
“ Mes amis, je regrette vraiment ce que je vais vous demander. Mais il y va de notre honneur, à ma famille, ma femme et moi-même. Je vous demanderai simplement de ne divulguer à personne les détails de ce qui va se passer ici même. Tout vous expliquer serait trop compliqué, mais nous sommes la proie, mon épouse et moi-même, d’une bande de chacals, de bêtes immondes, qui ont fait de ma femme leur jouet lubrique ! Anne as-tu apporté le Polaroid ?
— Oui mon chéri ! (Anne piaffait d’impatience, elle avait compris les desseins de son pasteur de mari. Mais elle était quand même étonnée qu’il aille si loin !)
— Bien alors pendant que vous accomplirez votre “office”, je vous prendrai en photos. Sachez simplement que les clichés seront remis à ces personnes, dont je viens de vous parler, et que vous n’en entendrez plus jamais parler. “

Maurice regardait les quatre hommes qu’il connaissait très bien depuis toutes ces années, il devait s’avouer qu’il s’amusait de leur air perplexe et ahuri. Puis il regarda sa femme. Anne semblait plus qu’épanouie, et semblait déjà se régaler de la suite. Elle, de son côté, observait avec insistance l’entrejambe de son mari. Maurice s’en aperçut et sans honte cette fois-ci dut admettre qu’il bandait une fois de plus comme un taureau : damnée nature humaine !La dernière phrase qu’il prononça avant les "réjouissances" étonna beaucoup ses quatre disciples :
“ Anne veux-tu bien s’il te plaît enlever ta robe, et te foutre à poil devant ces messieurs ?!”
Néanmoins il avait gardé une petite surprise pour sa femme: un martinet, dissimulé dans sa sacoche... il fallait bien qu’Anne en bave un peu elle aussi !

Anne, les yeux brillants d’excitation malsaine, se percha sur une caisse en bois, défit les bretelles de sa robe, et lascivement se déhancha pour faire glisser cette robe si étroite sur son corps. En un instant elle apparut nue, devant les yeux ébahis des quatre ouailles de son pasteur de mari. Ils n’osaient pas croire à ce spectacle idyllique, et les yeux fixés, qui sur les seins splendides d’Anne, qui sur la petite toison de blonde de “sa chatte chauffée à blanc”, ne savaient pas vraiment quoi faire ensuite. Certes ils ne s’étaient pas attendus, après un sermon vigoureux de leur pasteur par procuration, sur la Damnation Éternelle et le Péché de l’Âme humaine, à assister au strip-tease de sa délicieuse et respectable femme, et la voir dans le plus simple élément, offerte à leurs penchants les plus libidineux !Mais voilà, des décennies de religiosité castratrice et de respect incontournable des Saintes Écritures, les empêchaient de faire quoi que ce soit à la femme à poil de leur pasteur.
Maurice prenait déjà des clichés instantanés de la nudité libidineuse de son épouse, dévoilée à ces hommes, qu’elle et lui fréquentaient au temple parfois depuis plus d’une décennie.Cet aspect excitait encore plus Anne: se faire baiser par des membres de la petite communauté protestante, la plupart mariés, à part le jeune Michel, toujours vierge à 31 ans, dans le temple même... la rupture de cet interdit l’amenait déjà presque au bord de l’orgasme !
“ Eh bien Messieurs, je ne vous plais pas ? Vous hésitez à cause de Maurice ? C’est pourtant lui qui vous prie avec insistance de me prendre tous les quatre ! Lâchez-vous, mon mari vous absoudra ensuite de tous vos péchés... et pensez que comme il vous l’a expliqué, je suis le jouet d’hommes sans foi ni loi, qui, si l’acte sexuel n’est pas prodigué par vos soins, pourraient m’ordonner de me donner à des êtres remplis de luxure. Vous ne voudriez pas que la femme de votre pasteur soit la proie des jeunes de la banlieue d’à côté ? Tout ça, parce que des principes stupides vous auraient empêchés de m’honorer ? Me baiser tous les quatre, sous les yeux de mon mari doit être considéré comme un acte pieux... une sorte d’acte de charité. Voudriez-vous qu’à cause de votre manquement, je me retrouve telle une catin, offerte aux pires perversions de jeunes délinquants ?
Mais je sens que je vais prendre les choses en main !”

Et Anne descendit de sa caisse, pour se retrouver nue, entre les quatre hommes immobiles, mais qui commençaient à furieusement s’exciter de la situation, et nonchalamment elle leur passa ses mains sur les bosses de leurs pantalons. Se plaçant à genoux, elle dézippa le premier et baissa son slip pour en sortir une verge turgescente, et sans façon elle l’emboucha, une main sous les couilles, qu’elle malaxait doucement. Le premier “gredin” ferma les yeux sous le coup de cette fellation inespérée. A la façon dont il réagit et se vida très rapidement dans la bouche de sa femme, Maurice, qui observait fasciné, sa femme sucer un autre type, sous son ordre express à lui (ce qui en rajoutait encore plus à sa propre excitation), en déduisit que l’épouse du pauvre homme ne devait pas être vraiment coutumière de cet exercice ! Maurice avait de plus en plus de respect pour cette femme, qui leur avait servi un discours et une argumentation si parfaits, avec une maîtrise parfaite de la langue (sans jeux de mots), alors qu’elle était nue devant des hommes, et ceci dans le but de se faire partouzer !
Puis les trois autres se déridèrent et baissant leurs pantalons, la bite à l’air, commencèrent à explorer les richesses et les mystères de la femme de leur hôte. Fermant les yeux, Anne masturbait deux sexes, tandis que ses seins étaient palpés, son ventre caressé, ses fesses bien prises en main, et qu’une main un peu plus audacieuse que les autres découvrait l’entrejambe humidifié par le désir. Anne mouillait déjà comme une salope en chaleur et gémissait sous les délicieuses caresses.
Seule ombre au tableau, le jeune Michel ne caressait que timidement les cuisses de la superbe hétaïre... Maurice se rendit compte de l’hésitation du jeune homme, et prenant les devants, il lui saisit la main et la porta directement sur la touffe bien humide de sa femme. Puis il ordonna aux deux autres hommes de saisir Anne chacun par un bras, et de la lever, tandis que le troisième lui portait les fesses, profitant au passage pour insinuer un doigt dans la rondelle. Anne ahana et gémit de plus belle, tout en tenant bien ouvert le compas de ses jambes. C’est une Anne à l’horizontale, la tête penchée en arrière, le sexe bien ouvert et dégoulinant de cyprine qui fut présentée au jeune Michel qui ne pouvait croire à sa chance. Maurice, chef d’orchestre de cette partition érotique, invita le jeune homme à pénétrer sa femme, et devant l’indécision du jeune, prit lui-même la verge érectile et la positionna à l’entrée de “la grotte marine”...
Les trois hommes avançant le corps enfiévré de la belle, Michel se retrouva la bite engoncée dans le puits affamé de la “catin sacrée”. D’abord timidement il commença à balancer des hanches, et prenant vite sa vitesse de croisière, stimulé par les gémissements de plus en plus rauques de la femme du pasteur, il se mit à la bourrer violemment !
Des spasmes libérateurs annoncèrent très vite son érection qui fut grandiose. N’osant ouvrir les yeux, en proie à une jouissance monstrueuse, il libéra encore des flots de spermes, qui vinrent se perdre dans la toison de la belle. Maurice, le sexe en feu et l’esprit en ébullition, ne cessait de prendre photo sur photo, les clichés s’amoncelant sur le sol...En proie au délire sexuel, celui qui tenait Anne par le bassin, prit bien vite la place du jeune Michel et s’enfonçant brutalement dans la chatte déjà gorgée de sperme, il donna des coups de reins vigoureux. Anne, en proie à un premier orgasme cria de jouissance. Le deuxième fornicateur, bien plus endurant que son prédécesseur, lima Anne de plus belle façon, lui prodiguant d’autres spasmes de plaisir. Puis il en vint lui aussi à la libération.

Maurice, qui avait, depuis la dernière fois qu’il avait baisé sa femme de façon “contre nature”, pris goût à la sodomie, demanda à celle-ci de se placer à quatre pattes sur le sol, telle une chienne en chaleur. Anne, toujours prête pour de nouvelles joutes érotiques et perverses, obéit rapidement en veillant à bien écarter ses cuisses, ainsi que son anus, ne sachant si le prochain “ agresseur” voudrait lui faire subir les délices de Sodome, ou la prendre plus “conventionnellement”. Ce fut Maurice qui décida, flattant les fesses de sa femme de sa main gauche, il introduisit deux doigts dans la chatte en feu, et en remontant une certaine quantité de cyprine mêlée de sperme, il titilla la rondelle avec le nectar recueilli. Anne, en proie à sa jouissance toujours présente, offrit à son mari un petit trou qui céda rapidement aux deux doigts, puis au troisième qui s’y insinuèrent. Maurice lima alors le cul de sa femme avec ses doigts, la traitant de tous les noms d’oiseaux inimaginables, vocabulaire plutôt insolite pour un pasteur bien comme il faut, ayant officié à peine une heure auparavant.

“ Alors espèce de salope, vipère lubrique, démon femelle de l’Enfer, tu aimes te comporter en traînée !
— Oui, mon homme ! Je veux encore jouir de façon déraisonnable. Demande-leur de m’enculer !
— Tu auras nos queues au plus profond de ton trou de salope, mais d’abord nous allons jouer un peu avec tes fesses, et te punir de ta fornication diabolique. “
En saisissant le martinet qu’il dissimulait dans son veston, Maurice le brandit bien haut et flagella violemment la fesse droite de son épouse lubrique. Celle-ci poussa un grand cri à la fois de consternation et de douleur.
“ Non Maurice, par pitié cela fait mal !
— Tu veux nos bites dans ton cul ? Alors accepte la punition !”

Anne se laissa alors faire, tandis que les brins de cuir lui chauffaient les fesses. De façon incompréhensible, elle se surprit à aimer cette douleur cuisante, et les cris qu’elle poussait à chaque fois, exprimaient autant sa douleur qu’un plaisir malsain et obscur qui embrasait son esprit et son ventre. Au dixième coup, elle jouit bruyamment. N’en pouvant plus Maurice, confiant le Polaroid à l’un des hommes qui les prit en photo sous tous les angles, baissa lui aussi son pantalon, et enfonça un sexe durci dans l’anus de sa femme de façon violente. La labourant vigoureusement, sous les halètements rauques et gutturaux de sa femme, il retrouva instantanément le plaisir malsain qu’il avait éprouvé quelques jours auparavant... sauf que cette fois-ci il, prenait sa femme éveillée, enfin le pensait-il...
Et Maurice se régalait d’enculer sauvagement sa femme, qui criait de plaisir sous les regards brûlants et vicieux des quatre hommes. Il se régalait de cette luxure bestiale qu’il s’était toujours interdite. Sous le coup de l’excitation il continua de flageller sa femme sur le dos, les flancs, les seins. Maurice avait l’impression d’entrer en Enfer avec sa femme, et il adorait cela... ce lâcher-prise diabolique durant lequel ils s’autorisaient toutes les perversions. Son esprit était ouvert à toutes choses avilissantes du sexe. Il se disait que s’il avait eu un berger allemand sous la main, il aurait donné l’ordre à sa femme de se soumettre à un coït bestial, encore plus avilissant que tout ce qu’elle avait déjà connu jusque-là. Cette pensée fort peu chrétienne le fit décharger dans le cul de sa femme, en un hurlement rauque de délivrance.

Il se retira encore un peu hagard et étonné de la “monstruosité” de ce qu’il venait de faire. Il était comme hypnotisé par le corps de cette femme à quatre pattes, enculée, fouettée, avilie, qui était la mère de ses enfants, et qui acceptait tout. Tout ce qui était humainement possible de faire dans la perversion et cela, en y trouvant un plaisir démoniaque !
Retrouvant son souffle, il dit :
“ Messieurs, finissez-la de la façon qu’il vous conviendra, baisez-la, enculez-la fouettez-la, pissez-lui dessus, elle est prête à tout endurer, toutes les abjections les plus vulgaires, avec force plaisir et jouissance !”
Alors ce fut la curée ; les quatre hommes émoustillés par le spectacle de leur pasteur, enculant et fouettant sa propre femme sous leurs yeux, se lâchèrent. L’un se plaça sur le sol, le sexe dressé comme un pieu, sur lequel ses compagnons empalèrent Anne par le sexe. Un autre se posta sur elle, et emprunta "le chemin de perdition" qui avait été dégagé par son mari. Quant à Michel et au quatrième, ils se mirent à genoux, le sexe dressé près de la bouche d’Anne, qui les suça comme elle le put, entre gémissements, hurlements de plaisir et ahanements.
Les rôles s’interchangèrent, tant que chacun des hommes eut encore assez de vitalité. Quant à Maurice, toujours étonné de la dépravation de sa femme et de son aptitude à tout endurer avec délice, il prenait cliché sur cliché, jusqu’à épuisement du stock de pellicules du Polaroid. Maurice que rebandait encore, ne pouvait quitter du regard sa douce épouse encore si vertueuse quelques semaines auparavant, qui se livrait aux joies du sexe à plusieurs, avec une queue dans sa chatte, l’autre dans son cul et les deux dernières à tour de rôle, voire toutes les deux dans sa bouche.
Enfin les hommes repus se séparèrent de la dépravée, laissée gisante, dos sur le sol, en proie à tout ce plaisir si intense et durable. Maurice regarda sa femme souillée par tous les trous, couverte de sperme sur les cuisses, les poils de sa chatte englués. Elle avait les cuisses encore ouvertes, laissant apparaître une vulve dilatée et béante rougie par les pénétrations, d’où s’écoulait un ruisseau de foutre mêlé de cyprine. Pourtant elle ne semblait pas encore en avoir assez, car ses mains venaient effleurer son clitoris pourtant si sensible.Écœuré Maurice détourna le regard et dit aux hommes:
“ Ma femme est vraiment devenue une catin infernale ! Regardez-la se vautrer encore dans sa perversion, il semble qu’elle n’en aura jamais assez ! Elle a encore le cul et la chatte en feu ! Messieurs veuillez "éteindre l’incendie" !
Les quatre hommes se regardèrent étonnés, en ne voyant pas où voulait en venir le mari cocu de sa propre volonté. Mais quand il s’approcha, le regard mauvais, et commença à lui uriner dessus au niveau de sa chatte béante, ils se joignirent à "l’extinction de l’incendie"...Alors quand Anne vit les cinq hommes lui pisser dessus en même temps, qui sur les seins, qui sur le sexe, les cuisses, et même sur le visage, elle poussa une grande plainte de plaisir, un grand “ ouiiii, encore !”, tout en se manipulant la chatte vigoureusement... et eut son ultime orgasme.

Une fois Anne relevée et dégoulinante d’urine, son mari lui flagellant les fesses, la dirigea vers un vestiaire inutilisé, depuis que le temple s’était installé dans cet ancien entrepôt industriel.Anne poussait un petit gloussement de plaisir, à chaque fois qu’elle sentait les lanières de cuir lui heurter la peau si sensible de son petit cul. Son mari, lui parlant comme à l’un de ses élèves désobéissant lui dit:
“ Allez salope, tu vas te laver de toute cette dépravation, dans laquelle tu t’es roulée avec délectation !”

Le petit vestiaire était miteux, seulement occupé par un long lavabo blanc pour ouvriers, et un bloc d’armoires de vestiaire en acier. Pas de douche ni d’autres commodités qui auraient permis à Anne de se débarrasser de l’odeur entêtante de la pisse des hommes sur sa peau. Surprise par l’inconfort du lieu, elle demanda innocemment où elle allait pouvoir se laver. Sur ce, Maurice ordonna aux hommes de saisir son épouse par les cuisses, et de la déposer dos au mur sur le lavabo, au niveau d’un des vieux robinets en fonte. Ceci fait, Maurice, un regard vicieux plaqué sur un visage de marbre, ouvrit grand le robinet, dont un jet puissant jaillit sur le ventre et les cuisses de son épouse largement ouvertes. L’eau était glaciale et Anne poussa un grand cri, quand elle toucha sa peau si échauffée par les récents événements :
“ Mon Dieu, Maurice, arrête ! C’est trop froid !
— Non salope, tu t’es souillée, tu dois entièrement te nettoyer de toute cette abjection !” Tout en donnant un fort coup de martinet sur le pubis et le sexe ouvert de son épouse.
“ Voilà qui te réchauffera quelque peu ! Messieurs prenez du savon et nettoyez-moi cette traînée sous toutes les coutures !”

Alors, pendant que l’un des hommes balançait de grosses giclées d’eau glaciale sur les seins, le visage et toutes les autres parties du corps de la “possédée”, un autre prenant du savon pour mécanicien, savon rude constellé de micro granules, pour retirer la crasse des ouvriers, sur le pain fixé au mur, commença à badigeonner Anne sur les cuisses, les seins, insistant bien sur son pubis et sa vulve offerte. Anne glacée par le jet d’eau, mais flagellée par moments par son mari, et badigeonnée de savon sous toutes les coutures se laissa aller de nouveau au plaisir. Elle gémissait derechef sous les mains qui la trituraient et la malaxaient sans ménagement, sous les lanières de cuir qui venaient réchauffer sa peau... elle jouissait une fois de plus. Anne sentait le savon grossier qui pénétrait son intimité. Les doigts enduits venaient tapisser les muqueuses si sensibles de son sexe, les granules destinées à enlever huile et corps gras sur les mains de rudes travailleurs, venaient maltraiter son clitoris, passer entre grandes et petites lèvres, sur la peau si douce des seins et des fesses... mais tout cela ne faisait qu’exacerber la sensibilité et le désir sexuel d’Anne, qui se laissait aller à ces traitements très durs !
Maurice s’arrêta de flageller son épouse et la regarda, lavée par les hommes, les cuisses impudiquement ouvertes, dans ce vestiaire miteux et sale. Sa femme jouissait encore ! Elle prenait encore du plaisir à être traitée comme une pute de bas étage, glacée par l’eau, lavée comme on aurait lavé un chien crotté. Il ne savait plus que penser. Avait-il un jour compris et connu la créature qui partageait ses jours depuis tant d’années ? Saisi son essence intime de femme délurée ?
Cette démone lubrique qui était la mère de ses deux fils, cette professeure émérite de son lycée, cette mère de famille toujours soignée, bien sous tous rapports... il ne la reconnaissait plus. A chaque fois qu’il pensait la réduire à sa vocation première de femme honnête, qu’il cherchait à l’avilir un peu plus, elle obéissait docilement et acceptait toutes les servitudes et dépravations... la situation lui échappait complètement et il commençait à avoir peur. Une angoisse sourde lui minait les reins.
Enfin Anne toute mouillée, mais enfin propre, fut saisie par des bras vigoureux et remise debout ; elle était trempée des pieds à la tête, et il n’y avait pas trace de serviettes dans le local. Maurice décida qu’elle ne pouvait remettre sa robe si moulante, elle lui aurait collé à la peau... alors l’un des hommes fouillant dans les armoires de vestiaire abandonnées, trouva un bleu de travail un peu étroit et poussiéreux. Anne sans façon, s’en revêtit, et elle apparut encore plus excitante que jamais, avec ses cheveux mouillés, et ses seins qui pointaient à travers le tissu bleu, dont elle n’avait pas refermé les bords jusqu’en haut, laissant libre la naissance de ses seins.
Lorsque les hommes prirent congé, remerciant longuement le pasteur de sa générosité, et Anne du plaisir qu’elle leur avait donné, la nuit était déjà tombée... ce qui arrangeait bien le pasteur. Maurice sentit le regard encore affamé des hommes suivre la silhouette de sa femme dont le cul, les cuisses et les hanches étaient largement mis en valeur par le vêtement de travail trop étroit. Il lui fallait à présent redescendre sur terre et “revêtir sa casquette” de proviseur et de bon père de famille. Dans la voiture, Anne ne parla pas, mais ne semblait pas non plus gênée par toutes ces péripéties.

Le dîner se passa sans incident notable, Anne s’étant attelée aux tâches ménagères et à la cuisine, comme l’épouse modèle qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être... la catin lubrique avait gentiment “regagné sa tanière”... jusqu’à quand ?
Cette nuit-là, Maurice ne put fermer l’œil, le regard fixé au plafond.Sa femme dormait comme une souche à ses côtés !
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