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"Il venait d'avoir Dix-huit ans..."

Chapitre 12

Mélangisme très hot...et pas très moral !

Orgie / Partouze
Fabrice regarda Anne V... r, qui se leva pour se déshabiller. Il l’avait souvent vue nue, mais là, c’était différent. Car Anne allait se mettre dans le plus simple appareil devant son propre fils Raphaël, et sa propre mère à lui qui était déjà fort occupée avec son copain.
Anne, les yeux un peu dans le vague, dégrafa les attaches de sa robe blanche sur son épaule gauche, et la faisant glisser le long de son corps mince, la laissa tomber sur le sol.Aussitôt, Raphaël émit un long sifflement admiratif, il n’avait encore jamais vu sa mère à poil, hormis sur les bandes vidéo. Toujours avec une main entre les cuisses de Josiane, qui lui caressait la chatte, il se mit à discuter sans complexe des attraits physiques de sa mère avec celle-ci :
— Alors qu’en penses-tu ma belle, elle est bandante ma mère, non ?— Oui pas mal du tout, pourrais-tu t’approcher de nous, Anne, et tourner sur toi même lentement, très lentement ? “

Anne, résignée, s’approcha du couple improbable assis sur le sofa, et fit face à son fils et Josiane. Josiane riva tout de suite son regard sur le petit buisson blond. Anne était vraiment somptueuse dans sa nudité, avec ses bas couture gris et son porte-jarretelles blanc, ainsi que l’avait deviné Fabrice... il connaissait bien les habitudes de sa maîtresse.Raphaël et Josiane détaillèrent le corps offert à leurs regards enfiévrés : le ventre plat, les seins avec leur galbe délicieux, les cuisses fuselées...Puis Anne, obéissant servilement aux instructions données, se retourna lentement, présentant son petit cul bien galbé aux fesses blanches, encadré par le porte-jarretelles blanc.
— Pas mal, pas mal, c’est vrai qu’elle est bien roulée ta mère. Tu as déjà fait l’amour avec une femme, Anne ?— Noon... non.”

Anne semblait très gênée par la question, et relativement étonnée de l’intérêt de Josiane. Elle comprit alors, très troublée, qu’elle était bisexuelle, et qu’elle aimait aussi les femmes. Une chaleur se diffusa très vite dans son ventre, à l’idée de ce qu’il pourrait se passer dans cette pièce, sous peu. Allait-elle vraiment connaître sa première relation saphique avec la mère de son jeune amant ? Voilà qui était très déstabilisant !
— Bon, on verra ça ensuite... ou pas ! Anne, j’aimerais en voir un peu plus à propos de ta chatte ! Assieds-toi sur la table basse, et ouvre toutes grandes tes jambes, que je voie ton petit bijou d’amour. Il n’y a pas de raison que mon fils te connaisse par cœur, et moi pas !”

Encore plus troublée et sentant ses nymphes se dilater et se gonfler d’excitation, Anne s’exécuta, et assise sur la table basse, s’ouvrit sans aucune pudeur aux regards inquisiteurs des trois personnes assises sur le canapé. Extrêmement excité par toute cette situation, Fabrice avait serré sa mère sur le sofa, qui était ainsi prise en sandwich entre lui, à sa droite, et Raphaël, à sa gauche. Deux jeunes mâles en rut qui entouraient une femme avide de sexe, avec sa rivale exposée nue de façon très libidineuse devant eux, voilà de quoi mettre tous les esprits en ébullition !
Fabrice avait le regard qui allait de l’exposition du sexe d’Anne, avec ses lèvres bien gonflées, son clitoris très rouge qui montrait “le bout de son nez”, sa fente qui s’entrouvrait (pas de doute tout cela l’excitait aussi à mort), à la main de Raphaël qui visitait allègrement la chatte de sa propre mère. Il fallait qu’il se joigne lui aussi aux agapes ; alors, tandis que son copain roulait une pelle à sa mère, il descendit la fermeture éclair de la robe en cuir noir jusqu’en bas, et en déplia les deux pans. Il bandait comme un taureau.

Sa mère révéla son ventre, ses deux gros seins lourds nus, son porte-jarretelles et ses bas résille noirs. Le geste de Fabrice révéla son petit buisson de boucles très noires et, évidemment, la main de Raphaël, qui avait pris possession de la chatte, 3 doigts enfoncés dans sa fente avide...Ivre de luxure, il se jeta sur un sein de sa mère pour en sucer la pointe, tandis que sa main tripotait allègrement l’autre. Josiane, qui avait les deux mains libres, en profita pour les poser sur les deux renflements du pantalon des deux jeunes hommes, sentant les deux verges qui pulsaient avec vigueur, comme voulant trouer leur prison de tissu. Elle se mit alors à dégrafer les deux fermetures éclair, et fouiller dans les deux slips, pour faire apparaître deux sexes en turgescence, qu’elle commença à caresser et à masturber.
— Attends, cela ne va pas, dit Raphaël, on est tellement à cran, qu’on va jouir comme ça sous ta main, ce serait dommage. On va faire autrement. Josiane, maintenant que tu es aussi nue que ma mère, tu vas te mettre à mes genoux pour me sucer, et ma mère fera de même avec Fabrice ; et puis après, on s’occupera de vous !— C’est une idée délicieuse ! ” s’écria Josiane avec gourmandise, qui rêvait d’avoir un mandrin dans la bouche ; elle se demanda qui des deux femmes serait la meilleure fellatrice, chacune suçant la queue du fils de l’autre...
Josiane s’exécuta, se mettant à genoux et avalant goulûment la bite de Raphaël, qu’elle se mit à sucer avec gourmandise. Anne se releva de la table et se mit elle aussi à côté de sa rivale, taillant une pipe au fils de l’autre femme.
— Ouf, pensa-t-elle, ce n’est que cela, j’avais peur que cela aille plus loin !”
En son for intérieur, elle était heureuse de sucer son jeune amant, car elle aussi sentait un plaisir sourd l’envahir devant l’incongruité et l’érotisme torride de la situation. Et puis après, se faire ramoner comme une chienne en chaleur, car elle devait admettre que regarder son fils se faire sucer par sa voisine du dessous, et bientôt baiser avec elle, avait de quoi l’exciter !Elle s’appliqua alors, avec beaucoup de professionnalisme, à donner du plaisir à Fabrice, défiant en quelque sorte Josiane de faire mieux, avec son fils à elle.Peine perdue, les deux garçons vinrent à peu près en même temps, éjaculant dans la bouche et sur les seins des deux femmes à genoux, dans un long gémissement de jouissance :
— Josiane, pendant que nous récupérons, n’aimerais-tu pas découvrir le corps magnifique de ma petite maman ? Cela m’exciterait beaucoup ! Et je pense que Fabrice aussi !”
Alors les deux femmes firent un petit numéro qui allait rester longtemps dans l’imaginaire érotique des deux jeunes hommes !

Devant une Anne passive qui ne savait pas trop comment s’y prendre dans cette forme d’amour nouvelle pour elle, Josiane, nue, debout devant sa rivale, mit ses deux mains sur les hanches de la blonde, et doucement commença à lui caresser les flancs. Anne se laissait faire, avec une boule au ventre. Elle sentait une excitation démentielle la saisir, de se faire caresser par une femme nue qui ne manquait pas charme. Elle devait s’avouer qu’elle avait très envie de prendre les deux seins de la brune, pour les caresser et en sucer les pointes. Les yeux rivés sur la poitrine opulente de Josiane, elle n’osait prendre l’initiative, cette dernière le remarqua :
— Ils te plaisent mes nibards, te gêne pas pour les tripoter, j’adore ça !”
Devant le mutisme et la timidité d’Anne, Josiane lui saisit les deux mains et les posa sur sa poitrine. Elle se mit alors à caresser les deux seins opulents aux aréoles très sombres. Elle y prenait du goût, s’amusant à malaxer les globes entre ses doigts, à en suivre le contour, à les serrer pour en éprouver le volume et la texture... Josiane commençait à prendre son pied ; alors elle fit de même, caressant les deux beaux seins de la blonde.
Les garçons étaient béats d’admiration : voir leurs deux mères, nues, en porte-jarretelles et bas, noirs pour la brune et blancs pour la blonde, se caresser les seins était tout simplement divin ! Ils recommencèrent à bander derechef !
Puis passant à la vitesse supérieure, Josiane présenta sa bouche contre les lèvres d’Anne, qui se laissa faire et s’ouvrit à la langue inquisitrice, qui vint lui caresser l’orifice buccal. Les deux femmes se roulaient un palot d’enfer ; tout en continuant d’explorer chaque centimètre carré de la peau de l’autre. Puis Josiane laissa glisser sa main sur le pubis de sa partenaire, et délicatement vint ficher deux doigts dans la fente d’Anne, qui exhala un long soupir de contentement et lui souffla à l’oreille :
— Mhummm, oui... ramone-moi la chatte, j’en ai trop envie !”
Josiane se le tint pour dit et doigta généreusement la vulve d’Anne, qui s’ouvrait tel un coquelicot aux rayons du soleil. Elle ne fut pas en reste, et caressa elle aussi le sexe de la brune, en titillant le clitoris... les deux femmes commencèrent à gémir de concert.Devant ce spectacle idyllique, Raphaël n’en pouvait plus :
— Bon, les filles, venez, qu’on vous baise, j’ai envie de vous tringler !”
Les deux femmes s’affalèrent alors servilement dans le sofa, les cuisses bien écartées, passant chacune une main sur les seins de sa voisine, tandis que Fabrice plongea avec vigueur dans la chatte dilatée et humide d’Anne, et que Raphaël, commençait à ramoner Josiane dans la position de l’enclume... bien que puceau, il avait de toute évidence assimilé les leçons des films X de Canal +, en brouillé, le premier samedi du mois...

Josiane était de loin la plus expressive :
— Oui, vas-y bourre-moi, bourre-moi, je la sens ta grosse queue, c’est trop boooooonnnn !”
Pas en reste, et peut-être pour montrer qu’elle aussi était une chaudasse, Anne, que Fabrice baisait de biais, une jambe relevée sur son épaule gauche, s’écriait :
— Oui... oui... OUIIIIII ! Baise-moi plus fort. Fais-moi jouir !”
Les deux garçons en sueur, se donnaient à fond, chacun dans la petite chatte de la mère de l’autre. Les deux couples prenaient leur pied avec force gémissements, grognements, ahanements, jusqu’à l’explosion finale où les deux femmes se laissèrent aller à un cri long et perçant...

Tandis que les jeunes hommes se remettaient de leurs émotions, les deux femmes se livrèrent aux joies du saphisme. Anne maintenant libérée de ses derniers scrupules baisait Josiane comme une lesbienne de première. A cheval sur la brune, elle lui pressait avec force ses deux seins qu’elle prenait à pleine main, tandis que de l’autre elle limait sans précaution sa chatte ouverte et débordante de cyprine. Josiane en pleurait presque de joie et de plaisir. Puis les deux femmes se mettant tête-bêche se livrèrent à un 69 endiablé, entrecoupé de leurs gémissements de plaisir. Cela, sous les yeux concupiscents de leurs deux opportunistes de fils ! A chaque fois, le porto coulait bon train pour se remettre de leurs émotions... et il régnait entre eux une ambiance presque onirique de passion sexuelle...

Enfin pour mettre un terme agréable à cette soirée endiablée, les deux femmes “finirent” chacune leur partenaire par une fellation, mais avant de jouir, Raphaël, les yeux remplis de luxure et de vice, les fit arrêter et prit la place de Fabrice, et vice versa. Sous l’emprise de la tension érotique et de l’alcool, Anne ne s’aperçut même pas du changement... ou bien fit semblant de ne pas s’en apercevoir, et juste après un instant, se jeta allègrement sur le sexe de son propre fils qu’elle suça jusqu’à éjaculation de ce dernier. Pour Fabrice qui regardait Raphaël se faire sucer par sa propre mère, ce n’était pas une nouveauté pour lui-même, puisque lui avait déjà pu goûter aux faveurs de sa lubrique maman. Quoi qu’il en soit, les deux garçons jouirent peut-être encore plus fort de leur fellation incestueuse.
Encore sous le coup de ce double inceste honteux, mais tellement excitant, les deux jeunes se ruèrent sur leur mère respective, les disposèrent en levrette, et joyeusement les empalèrent de leurs queues. Alors ils baisèrent chacun leur mère avec avidité, sans aucun remords... l’envie lubrique était la plus forte ! Les deux femmes tournaient la tête sur le côté pour voir le fils de l’autre défoncer leur moule lubrifiée à l’extrême. Les bites allaient et venaient, pistonnaient, bourrinaient les chattes maternelles qui clapotaient sous l’excès de cyprine, avec force cris de jouissance des deux salopes incestueuses !Anne se dit que jamais elle n’avait joui comme cela, et regardant Josiane dans les yeux lui roula encore un palot bien baveux.

Quand, s’étant rhabillés, Fabrice et Josiane prirent congé de leurs hôtes, Raphaël était resté nu, ainsi que sa mère, une main possessive sur son petit cul... et il était clair que la soirée orgiaque entre la mère et le fils qui venaient de se découvrir n’allait pas s’arrêter là...

Deux jours plus tard, quand Maurice, le proviseur et mari de la gourgandine, revint à son domicile, un poids toujours présent sur la conscience, car il se demandait toujours quelles nouvelles abjections avaient bien pu avoir lieu pendant son absence... il ne fut pas déçu... son intuition ne l’avait pas trompé.
Quand il se posa à table, en compagnie de son fils Raphaël, il eut la surprise de voir son épouse entrer dans la salle à manger en peignoir blanc, avec dessous ses jambes recouvertes de bas résille noirs. Cela lui rappela la fois où sa femme s’était offerte pour la première fois à son petit voisin du dessous, Fabrice. Problème, il n’était pas là, sa femme n’allait quand même pas...
Celle-ci déposa la soupière sur la table, et nonchalamment dénoua le lien de son peignoir, pour apparaître ainsi que Maurice l’avait subodoré, nue, seins et chatte à l’air, avec uniquement un porte-jarretelles noir au-dessus de son petit buisson blond !Il en resta comme deux ronds de flanc, surtout quand cette dernière s’approcha de son fils assis, lui roula un palot du feu de Dieu, tandis que le petit malandrin en profitait pour passer une main sur le cul de sa mère et l’autre sur son pubis. Puis il fit asseoir sa petite maman sur ses genoux et sans gêne, commença à lui doigter la chatte... Anne commença à gémir sous la caresse incestueuse. Goguenarde, elle regarda son mari anéanti, et lui dit :
— Eh bien oui, mon chéri, il y a eu un peu de nouveauté pendant ton absence... ah, au fait la mère de Fabrice, qui est maintenant ma maîtresse, et celle de Raphaël, aimerait bien te voir en privé un de ces jours. Que dirais-tu d’une petite soirée intime avec eux deux ? Tu devras néanmoins éloigner le mari de Josiane. Cela ne devrait pas être difficile pour un proviseur autoritaire comme toi... à moins que tu ne veuilles que le mari de Josiane me baise aussi ? Toi avec Josiane, moi avec Serge, puis Josiane avec moi, avec Raphaël et moi avec Fabrice... la soirée pourrait être très délassante ?! N’est-ce pas ? A moins que l’on ne convie quelques membres de l’équipe pédagogique à une petite partie fine... une partouze, si tu préfères... qu’en penses-tu ? "
Effondré, le nez dans son potage, Maurice ne répondit rien. Il semblait, tel le géant Atlas, avoir le poids de l’univers sur les épaules, pendant que son fils et sa femme, revenue à sa place habituelle à table, échangeaient des caresses à caractère sexuel sous la table. Il se doutait bien que sa femme devait se faire “bricoler la chatte” sous la table par son fils. Manger en compagnie de sa femme complètement nue, à côté de son fils incestueux, lui était tout simplement intolérable. Il rejoignit la chambre à coucher avec la bouteille de bourbon. Une demi-heure plus tard, sa femme et son fils nus apparurent dans la chambre, et sa femme lui dit :
— Désolé Maurice, mais ce soir, je baise avec mon fils dans la chambre conjugale, dit Anne avec un grand sourire. Nous en avons bien pour une heure. Après, tu pourras revenir, pour nous filmer. On sera bien chauds ; Thomas et sa bande vont adorer ! Si tu veux, pour te consoler de ta solitude, tu as le film entier de nos exploits à quatre, dans le magnétoscope.”

Toujours avec sa bouteille de bourbon, cigarette de tabac roulé après cigarette de tabac roulé, Maurice visionna la vidéo très “hot”. Il se masturba 4 fois, chose qu’il n’avait jamais faite de toute sa vie.
Puis il revint dans la chambre... Raphaël baisait sa mère en levrette. Plus précisément, Maurice, fasciné malgré lui, remarqua qu’il prenait sa mère par le cul... une sodomie que sa femme semblait vivement apprécier ! Il s’attarda quelques instants, silencieux, pour mater le spectacle de la bite de son fils qui s’enfonçait toujours plus profond dans le cul de sa femme... en un sens, il ne pouvait lui en vouloir, car lui aussi avait sauvagement enculé sa femme et y avait pris beaucoup de plaisir ! Le caméscope toujours prêt filmait la scène incestueuse. Quand elle entendit son mari entrer dans la chambre, Anne l’ancienne femme religieuse et prude se mit à crier des insanités :
— Oh oui, baise-moi mon fils ! Oh, comme il me la met profond, sa grosse queue dans mon cul de salope ! C’est trop bon. OUI... OUIIIIIII ! Maurice, viens que je te suce !”

Et Maurice, le pasteur par intérim, servilement, déboutonna son pantalon, et approchant son sexe toujours en érection de cette putain qui se faisait enculer joyeusement par son fils, et qui était sa femme, écarta sans ménagements les lèvres de celle-ci et poussa sa queue jusqu’au fond de sa gorge. Anne toussa un peu, mais accepta cette gorge profonde !
Maurice eut son cinquième orgasme ce soir-là, en éjaculant dans la bouche de sa femme !
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