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"Il venait d'avoir Dix-huit ans..."

Chapitre 13

Un cours de physique bien particulier !

Voyeur / Exhibition
Anne, assise derrière son bureau, dans la salle de classe, était relativement nerveuse. Elle n’arrêtait pas de se trémousser sur sa chaise, comme si elle avait envie d’uriner. Certes, si cela se passait dans cette zone de son anatomie, cela n’avait malgré tout rien à voir avec un besoin d’élimination naturel. Anne se trémoussait parce qu’elle ne portait pas de culotte, et que vêtue d’une jupe de tailleur noire assez courte qui lui seyait d’ailleurs très bien, elle croisait et recroisait les jambes pour protéger son intimité offerte aux éventuels regards de ses élèves.Car de la position assise où elle se trouvait, sur l’estrade qui surélevait son bureau de prof, elle savait que tout un chacun, assis devant elle, pouvait, sans grands efforts, se rincer l’œil, admirer sa fente à peu de frais... et c’était d’ailleurs là le but recherché.

Après cette soirée torride où elle avait reçu son jeune amant Fabrice, ainsi que la mère de celui-ci, sa voisine du dessous, Josiane, tout avait été fait pour que son fils, son propre fils, Raphaël baise la mère de Fabrice, tandis que ce dernier s’occupait d’elle.Et puis, de fil en aiguille, les deux jeunes amants fougueux s’étaient débrouillés pour que d’une soirée, de baise, côte à côte, puis un rapport saphique très étourdissant entre les deux femmes, l’on passa à une soirée mélangiste... où ce qui devait arriver arriva : Anne s’était fait prendre par son propre fils. Tandis que Fabrice lui, baisait sa propre mère !

Sur le coup, emportée par les troubles de la passion érotique, Anne ne comprenait plus ce qu’elle faisait, et quand les deux femmes avaient échangé leurs partenaires de fellation, c’était trop tard, le vers était dans le fruit ! Anne avait été prise à son propre jeu ! De tentatrice qui manipulait tout le monde, son mari, le jeune Fabrice, et les autres, elle était devenue la proie bien volontaire, de l’appétit sexuel démesuré de son rejeton, ainsi que de la lubricité naturelle de ce dernier ! Comme on dit, les chats ne font pas des chiens... et à maints égards, Raphaël, le fils modèle élevé dans la religiosité la plus ascétique, s’était révélé encore plus démoniaque que sa génitrice ...

Et maintenant de façon courante, elle se faisait baiser par son propre fils pendant que son amant Fabrice, lui, se tapait aussi sa propre mère... voilà où l’avait conduite son attitude libidineuse : putain de lycée, lesbienne, échangiste, exhibitionniste et maintenant mère incestueuse ! Dans un accès de rire jaune, elle se dit qu’elle n’avait pas encore essayé la zoophilie... heureusement que personne n’avait de chien dans l’immeuble !Mais là, assise sur sa chaise de prof, la chatte à l’air, exposée aux regards, elle sentait bien que son fils allait sous peu, lui faire passer un nouveau palier dans la perversité !
Et là, maintenant qu’elle était sous la coupe de son aîné, qui avait tout appris de ses multiples turpitudes, lors de ces dernières semaines, elle avait été mise au défi de faire un petit numéro érotique, dans cette salle de classe, sous la haute surveillance de son diable de fils ! Elle ne pouvait désormais rien lui refuser !Ainsi, Raphaël avait bien vérifié que sa petite maman porta ce qu’il lui avait commandé de mettre : un tailleur noir, avec chemisier blanc, qui rehaussait la blondeur et l’éclat de ses cheveux et de ses yeux bleus. Et surtout, surtout, un porte-jarretelles noir, sans culotte, des bas noirs et pas de soutien-gorge !
Anne V... r était complètement nue sous sa petite jupe et son chemisier blanc diaphane. Elle savait bien d’ailleurs qu’il ne devait pas être compliqué d’entrapercevoir les pointes de ses seins à travers le fin tissu... d’autant plus que son présent état de prof/salope assumé l’excitait au plus haut point, et lui faisait se dresser ces dites pointes. Au niveau de son sexe qui était déjà en feu, elle sentait sa cyprine qui devait déjà bien humidifier son barbu, comme pour éteindre l’incendie. Mais elle se doutait bien que d’ici peu, il y aurait bien de jeunes volontaires, remplis de compassion pour son état de chienne en chaleur, qui lui mettraient obligeamment un coup de lance !
— Petit salop de Raphaël, pensait-elle ! Il lui avait fait part de son scénario non négociable qui avait été transmis à Thomas, pour que lui-même dicte ses conditions au mari d’Anne !
Tout le monde a suivi ?
Donc, le matin avant le début des cours, Maurice avait reçu l’un de ces coups de téléphone qu’il craignait tant :
“ Allo ? Monsieur le proviseur ?
— Oui ?— C’est votre grand ami Thomas au bout du fil. Je sens que votre petite Anne va encore faire de grandes choses aujourd’hui !— Par pitié, ne soyez pas trop dur cette fois-ci ! Vous avez visionné les dernières bandes vidéo ? Vous n’avez pas apprécié son numéro de salope dans le sous-sol du temple ? Et vous avez vu comme elle fait la chienne avec son propre fils ? (Sans s’en rendre compte, à force d’être exposé à des scénarios pornographiques, Maurice se mettait à employer un langage ordurier qu’il était le premier à critiquer !)— Certes, certes, mais cette fois, on va faire encore plus grand : le lycée !— Quoi le lycée ? (Maurice commençait à avoir des sueurs froides. )— Et bien, votre petite prof de femme va faire un cours de physique... très physique ! Bon, écoute Totor, on va pas tourner autour du pot dix ans. Ta femme va faire un petit strip au milieu de ses élèves, et tout ça va finir en partouze. On se comprend ?— Mais... mais... vous... vous n’avez pas le droit !— J’AI TOUS LES DROITS ! Totor ! Tu préfères une petite projection des exploits de ton épouse lors du prochain cinéclub devant 300 élèves ?!— NON ! Nooooooon ! par pitié. On fera tout ce que vous voudrez !”
Anne attendit le détail de la prochaine “séance”... mais pour la première fois, elle partageait, sans feindre, l’angoisse de son mari !
— Petit salop de Raphaël!
Il l’avait mise dans une merde noire. Déjà les 3 premiers rangs de la classe, situés juste en face de son bureau, avaient remarqué l’absence de culotte de leur prof, et les élèves se rinçaient l’œil, malgré les tentatives d’ Anne de bien serrer les jambes.
Et elle voyait bien les sourires ambigus, les coups d’œil torves, ainsi que les petits dialogues qui se créaient entre les élèves. Dans peu de temps, toute la classe allait être au courant de son oubli intentionnel !
Et puis son fils qui était à l’avant-dernier rang, à côté de Fabrice, lui fit le signe convenu d’avance. Il avait les deux mains jointes devant sa bouche, et d’un coup, il écarta les deux index.Il donnait à sa propre mère et prof, l’ordre d’ouvrir les cuisses toutes grandes.
— Petit salop de Raphaël!
Anne crut défaillir en voyant le geste tant redouté. Ah, elle regrettait bien toutes ses turpitudes à présent... elle allait payer très cher ce qu’elle avait fait endurer à son propre mari. Le rouge aux joues, s’empêchant de claquer des dents, elle écarta ostensiblement les cuisses, très lentement, félinement, faisant apparaître sa petite chatte, objet de convoitise de tous les regards.
Mais pas assez, d’après le regard venimeux que lui envoya son fils, qui répéta le geste d’ouverture avec ses deux mains, cette fois-ci !Alors, la mort dans l’âme, mais le feu au cul, damnée nature humaine, Anne la prude, enfin l’ex-prude femme du proviseur, ouvrit tout grand le compas de ses jambes, révélant à tous ses élèves son anatomie la plus sacrée.

Il y eut comme un “grand schisme temporel”: la température parut baisser de 100 degrés, l’on devait être en cette microseconde, proche du zéro absolu ! Le temps parut se figer, tous retinrent leur respiration, les yeux agrandis de stupeur, fixés sur le triangle blond qui surmontait la fente toute brillante et dilatée.Un trou noir se serait subitement formé dans la salle de classe, que l’atmosphère n’en aurait pas été plus perturbée... on entendait... rien. Pas un souffle, pas un bruissement de vêtement, pas le moindre bruit d’écriture sur les feuilles de papier. Anne, elle, s’était tue et avait fermé les yeux un court instant. Quand elle les rouvrit, chacun était immobile comme englué dans une stase temporelle. Mais Anne était une femme d’action et elle reprit très vite empire sur elle-même. D’ailleurs avec beaucoup de brio !
“ Raphaël, dis-moi quelle est la constante de Planck, au lieu de bayer aux corneilles ! Et vous autres, vous avez vu un fantôme ou quoi ? Allons, on se concentre sur le cours !”
“ Le fantôme de ta culotte”, sembla chuchoter la classe d’un même élan. Chacun se demandant si la prof avait vraiment oublié cet accessoire indispensable à la bonne moralité du cours, ou bien si elle le faisait exprès. Ils ne tardèrent pas à avoir la réponse.Anne se leva et "reprenant la main", leur dit :
— Pfouh, il fait une de ces chaleurs ce matin, ne trouvez-vous pas ? Je transpire comme.

Et déboutonnant deux boutons du chemisier, juste au-dessus du vallon de ses seins :
” Excusez-moi, mais je me mets à l’aise, ce sera notre petit secret. “
Puis souriante, elle se jucha sur son bureau, pour continuer son cours, les cuisses grandes ouvertes. A chaque fois qu’une petite brise venait caresser son petit bijou humide et bouillonnant de désir, Anne fermait les yeux, comme approchant de l’orgasme !Toute la classe retenait sa respiration à chaque fois qu’un souffle d’air provenait de la fenêtre ouverte, chacun s’attendant à voir sa prof de physique sombrer dans les affres de l’orgasme !

Ses élèves étaient au bord de l’apoplexie, et elle s’en amusait beaucoup. Elle commença à étudier les diverses réactions de ses 23 élèves, 17 garçons et 6 filles entre 18 et 21 ans. Certains avaient le regard fixe, rivé sur son bas-ventre, cinq en tout, rouge pivoine, étaient intéressés par la contemplation de leurs lacets de chaussures... des puceaux certainement. Au fond, elle s’aperçut qu’au moins 4 avaient une main discrètement passée dans leur pantalon... ceux-là étaient en train de se branler, selon toute évidence. Elle remarqua que toutes les filles sauf une, qui la regardait avec un mélange de mépris et de haine dans les yeux, étaient plutôt à l’aise à la voir ainsi. L’une d’entre elles, qui avait d’ailleurs une réputation de "salope" dans le bahut, avait sa main coincée dans son entrejambe...Elle s’exerçait aussi à distinguer les renflements, au niveau de la braguette de ses élèves... tout compte fait, cette matinée allait peut-être se révéler plutôt enrichissante !

Puis un événement glaça l’atmosphère plutôt glamour jusque-là : la porte s’ouvrit et Maurice, l’inflexible proviseur, entra dans la classe !
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