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"Il venait d'avoir Dix-huit ans..."

Chapitre 15

“ C’est la partouuuze finaaaleuh !”; ou comment créer un communisme sexuel, fraternel et redistributif …

Orgie / Partouze
Tout était parfait !
Anne regardait avec beaucoup de fierté le grand salon, entièrement redécoré, avec des photos de nus très esthétiques, des statuettes de nymphes, des rideaux rouges disposés sur les murs, des éclairages tamisés un peu partout, qui laissaient des zones d’ombre sur les différents canapés et fauteuils, disposés un peu partout.La caméra avait été placée en retrait, et le poste de télévision mis sur une commode en hauteur. Anne appuya sur les commutateurs de la télé et du magnétoscope, et alors elle se vit en train de faire l’amour avec les trois Maghrébins... Au moins, chacun saurait ainsi à quoi s’en tenir !

Maurice était venu faire un petit tour, avait cligné des yeux de stupéfaction, et avait éructé tout bas une phrase du style :
— Le boudoir d’une putain ! On se croirait chez Madame Claude ! “
Anne en avait ri de bon cœur ! La soirée allait être chaude ! Il y avait de l’alcool, un cocktail à base d’aphrodisiaques, tels que du bois bandé et du gingembre dans une grande soupière, et même une petite table avec des poppers ; elle avait bien eu du mal à se les procurer dans un sex-shop, mais au moins, chacun pourrait prendre le stimulant qui lui convenait le mieux, en toute connaissance de cause !
La prof de latin, Corinne Boulard, arriva la première, avec son amie du moment, une jolie petite brune coupée court, à peine sortie du bac, enfin avec trois ans de retard quand même ! La cancre avait quand même 21 ans... mais ce n’était pas pour ses performances intellectuelles que Corinne l’avait choisie. Anne reconnut Judith, une de ses anciennes élèves, pas la meilleure du lot, mais elle se dit en voyant son regard intense, qu’elle lui donnerait bien des leçons dans un tout autre domaine. Elle portait un jean tout simple et un t-shirt sans soutif, comme en témoignaient les pointes de ses seins tendus sous le tissu. Corinne, elle, portait un pantalon de tailleur noir, un chemisier crème et la veste attenante. Elle non plus ne semblait pas avoir de soutien-gorge...
Elles se firent la bise et Corinne détailla la femme de son proviseur : minijupe blanche, sur des bas de la même couleur, chemiser noir assez décolleté ; une chaîne de cheville en or sur la jambe droite... le ton était donné. La femme du proviseur était là pour aguicher ses invités !

Puis arrivèrent les voisins du dessous ; Fabrice avec son père et sa mère, qui portait la même tenue en cuir que lors de leur dernière soirée torride. Le père de Fabrice semblait débarquer d’une autre planète. Il ne comprenait pas l’atmosphère érotique de l’endroit ni la tenue assez provocante de la femme de son collègue. Lui, qui s’était attendu à visiter l’antichambre d’un collège de jésuites durant l’Inquisition !Et quand Anne roula un palot sensuel à sa propre femme, il perdit les pédales et s’écroula dans le divan près de lui. Il regardait sans y croire les deux femmes en train de s’embrasser goulûment ! Il allait se redresser, et certainement faire un esclandre, quand la poigne de Maurice sur son épaule le fit rasseoir. Il le regarda, consterné, qui lui offrait un whisky très tassé :
— Buvez mon vieux... ce n’est que le début ! Si vous saviez ce que j’endure depuis deux mois ! Attendez-vous à des choses très... incongrues ! Mais je n’y peux rien hélas. Essayez de vous délasser et peut-être de profiter de la situation ! "
Maurice, d’un coup d’œil, proposa à Corinne Boulard et son amie, de s’asseoir chacune d’un côté du pauvre directeur adjoint. Il espérait que l’effet conjugué de l’alcool et du charme des deux jeunes femmes l’empêcherait de quitter l’appartement en hurlant !Anne, en maîtresse de maison accomplie, laissa Josiane s’installer à côté de Maurice sur un autre canapé, pour accueillir les autres invités. Josiane commença à s’occuper de lui en lui plaçant sa main sur sa cuisse. Sirotant un verre du cocktail, Maurice se laissa désinhiber par la femme de son collègue !Fabrice, ayant rejoint Raphaël, regardait le spectacle se mettre en place. Jusque-là, tout restait "pudique", quoique l’atmosphère se réchauffait de plus en plus.


L’agent d’entretien, Marc, arriva avec sa femme, une brune ascétique, grande, de 50 ans environ, qui s’étonna un peu de l’atmosphère du lieu. Il ne lui avait rien dit, espérant qu’Anne saurait décoincer sa femme, pour lui faire connaître les joies du sexe à plusieurs ! Il fut suivi de l’électricien, Jean-Yves, avec sa jeune femme de 26 ans. La petite blonde un peu boulotte, elle, savait pourquoi elle était là ! Elle portait une robe fourreau très serrée, mettant en valeur ses hanches et sa poitrine large, avec des bas coutures sur les jambes.
Puis enfin, dernière invitée, la prof de français, célibataire endurcie de 37 ans, rousse, les cheveux de feu sur le dos. Elle faisait fantasmer profs et élèves, mais jusque-là, personne n’avait réussi à la faire sombrer dans la débauche. Anne s’était mis un point d’honneur à y arriver ce soir.Quand elle arriva et vit l’ambiance, elle faillit repartir, tant la situation lui paraissait bizarre. Cette nonchalance des invités, dont les mains ou les cuisses étaient en contact. Les tenues minimalistes et équivoques de plusieurs des femmes... tournant les talons, elle se heurta à Fabrice et Raphaël :
— Alors Madame Jeannot, vous nous quittez déjà ? Prenez donc un verre avec nous (Raphael lui mit une coupe de cocktail entre les mains, et porta un toast ! ) Allez cul sec, buvons à votre prochaine nomination dans le sud que vous espérez tant. Mon père, j’en suis sûr, saura l’appuyer favorablement ! Si vous voulez bien y mettre un peu du vôtre ! “ dit-il, en regardant les couples déjà enlacés...
Christine Jeannot comprit où était son intérêt, et avala le breuvage, qui lui parut très sucré et peu alcoolisé... erreur fatale ! Raphael lui-même s’était occupé de la recette ; et la jeune femme, à jeun, vit la pièce tourner autour d’elle. Fabrice se proposa pour l’accompagner vers le sofa, dans le fond de la pièce, où elle fut entourée des deux jeunes hommes, qui lui remirent un autre verre dans les mains. Reprenant ses esprits, Christine ne s’étonna même pas du satyre en statue, posé à sa gauche.
— C’est du Grec... III° siècle avant JC ; vos parents ont beaucoup de goût, Raphaël !— N’est-ce pas, et encore la soirée ne fait que démarrer.
 !
— Alors donc, vous pensez vraiment que votre père pourra m’appuyer au rectorat ?— Mais bien sûr, une jolie femme comme vous doit s’étioler sous un climat comme le nôtre ?— Oh oui, j’ai hâte de retrouver ma Provence natale. Humm, excellent ce cocktail. Tiens, je ne savais pas que votre père était aussi à l’aise avec les femmes, Fabrice. Je le pensais beaucoup plus conventionnel ! “
Christine regardait le directeur adjoint, la chemise ouverte et la cravate enlevée, qui se faisait caresser le torse par la prof de latin, et sa jeune amante. Elle essayait de minimiser la portée de ce qu’elle voyait autour d’elle. L’esprit un peu embrumé par l’alcool, elle avait compris qu’elle allait participer à une soirée un peu "décalée". Mais elle voulait faire bonne figure. Maurice, quant à lui, entreprenait la femme de son voisin de droite, qui commençait à lui caresser la cuisse ! Si le proviseur se mettait à l’aise, elle devait faire de même !
— Tiens, dites-moi, c’est quoi ces petites fioles sur le guéridon ?— Des poppers.— Des quoi ?— C’est un stimulant sexuel, un vasodilatateur. Sans danger et de courte durée, les homosexuels l’utilisent beaucoup. Cela génère des érections phénoménales et dilate les conduits du corps ...— Tous les conduits ?
Demanda-t-elle un peu troublée.
— Oui, principalement le vagin et le rectum. Les sensations de l’orgasme en sont décuplées, et toute pénétration facilitée. “

La prof de français, un peu collé serré, ne savait plus où se mettre, tandis qu’une chaleur agréable commençait à monter dans son ventre. Son élève lui parlait comme un patron de bordel ou de sex-shop. Elle était étonnée de sa maturité sexuelle. Un peu effrayée, mais aussi progressivement excitée, elle essayait de se concentrer sur son dialogue, alors qu’elle aperçut son proviseur la braguette ouverte, avec Josiane qui lui mettait carrément la main dedans.
— Mon Dieu, faire bonne figure ma fille ; ton avenir en dépend ! Sois cool, respire. Rien de grave ne se passera !” Pensa-t-elle, un peu affolée par la tournure des événements... en même temps, elle sentait une humidité malvenue, se concentrer dans sa culotte !

Et heu, humm, ça fait quel effet votre truc ?
— Si vous le respirez 15 secondes, vous allez avoir chaud, nous aurons alors toute facilité pour vous déshabiller et vous peloter partout ! Vous aurez une envie folle de baiser avec tout le monde dans la pièce. Ma mère se fera un plaisir de vous enseigner les joies du saphisme, et vous jouirez toute la soirée ! “
Christine se mit à rougir de façon comique. Le jeune homme se foutait de sa gueule ou quoi ? Elle, se faire partouzer par tout le monde ? Elle était un peu pompette, mais quand même ! Bon, elle se dit qu’elle allait respirer son truc deux minutes, pour lui faire plaisir et ne pas se faire prendre pour une fille coincée ! Et puis se lever et prendre congé. Elle pensait alors avoir fait bonne figure. Si les événements "dégénéraient", ce serait sans elle !
— Bon, je vois que vous êtes un comique, je vais l’essayer votre truc !— Vous êtes prévenue, vous êtes majeure et consentante. Je ne vous prends pas en traître, dans 2 minutes, vous serez à poil, en train de nous sucer tous les deux ! Et vous en redemanderez ! “

Ben voyons, pensa-t-elle, quel galopin celui-là ! Je sais encore me tenir à mon âge. Le sexe c’est si je veux ! Bon et puis il m’énerve avec son air suffisant. Je vais en prendre une bonne bouffée pour lui prouver que c’est encore un stupide placebo. Peut-être que des filles innocentes se font corrompre par ce genre de baratineurs, mais je vais lui montrer que ce n’est pas mon cas. Mauvaise pioche jeune homme. Tu en seras pour tes frais ! Tu te branleras cette nuit en pensant à mon cul ! Hi hihi hi ! !”
Christine, sûre d’elle, ouvrit le petit flacon qui produisit le petit pop de rigueur, et sniffa la fiole qu’elle posa sous les narines. Elle inspira un bon coup, tint 15 secondes, reprit un peu d’air et se le fourra sous la deuxième narine. Fabrice regardait sa trotteuse :
— Putain, 25 secondes, elle va être défoncée cette conne, enlève-lui le flacon Raph. Mais comment elle fait ?— Hé crétin, elle est championne régionale d’apnée. Elle sait retenir son souffle.— Et bien dans quoi elle va plonger, d’ici cinq minutes, je sais pas, mais ca va être hard ! “
La femme les regarda tour à tour, un air de défi sur le visage :
— Alors tu vois bien, ça fait rien ton truc, Raphael. Tu croyais que j’allais me jeter sur ta queue comme une grosse chienne en chaleur. Peau de zob, oui ! Ah ah ! Vous avez voulu m’avoir, bande de petits cons. Je suis une grande sportive, moi !”
Puis elle se tut et se concentra sur la pièce autour d’elle.
— Hummm ! C’est bon quand même ce truc, j’en reprendrais bien un peu !— Heun... non, un peu plus tard ! Bon, si tu veux ! Bon, on est OK, on te force à rien !
Dit Raphael, devant l’insistance de la jeune femme.
— Tu veux quoi, petit con, pour m’interdire de sniffer ton bazar... et participer à la partouze ? Une autorisation parentale, un mot de mon avocat ou de mon notaire ! Mais quel baratineur celui-là ! Tiens, je savais pas que la prof de latin était une gouine. C’est pour ça qu’elle est venue avec Judith. C’est vrai qu’elle a un putain de beau cul cette fille, et ses nibards !! Putain, j’aimerais savoir s’ils sont tout durs ? Ah, ta mère, Raphaël, elle est trop bonne avec sa petite jupe blanche. J’aimerais vraiment savoir si elle porte une culotte !
Ah, je vois que l’électricien lui a mis une main sur la cuisse, il remonte, il remonte... mais quel pervers celui-là ! Ouiii !! Je le savais que ta salope de mère avait la touffe à l’air ! Tu as vu comme il lui met ses doigts dans la "foune" ! Ah, je me sens de mieux en mieux, moi ! Fait un peu chaud ici, quand même. Hé, les jeunes, vous ne voudriez pas m’aider à m’enlever cette putain de robe ! Non, attendez, je vais d’abord retirer mon slip, tout cela me fait tellement mouiller que ma petite culotte est toute humide, allez, c’est bon pour une machine à laver. "

La prof de français était déchaînée, pour le plus grand bonheur des deux petits vicieux assis à ses côtés ! Elle n’arrêtait pas de parler, mais les deux jeunes sentaient bien qu’elle avait envie de rattraper plusieurs années de sa vie sexuelle un peu réservée, durant la soirée !Les deux jeunes, une main chacun sur une cuisse nue, la robe relevée par les soins de leur prof, chatte et seins à l’air, n’en revenaient pas de sa logorrhée ! On ne pouvait plus l’arrêter. Une main sur les bosses de chaque pantalon, elle attendait le spectacle qui allait se dérouler devant ses yeux. Elle ne fut pas déçue ! Et puis Fabrice lui attrapa un sein, qu’il se mit à caresser, tandis que son comparse, lui, caressait le buisson touffu roux. La jeune femme, ravie, mais pas en reste, avait sorti les deux queues, les masturbait et puis y posa ses lèvres, pour les sucer l’une après l’autre...
Reprenant son souffle, alors que Raph avait sa tête entre ses cuisses, pour lui bouffer la chatte, et que Fabrice lui prenait alternativement chaque sein dans la bouche, dont il léchait goulûment la pointe, elle dit entre deux gémissements :
" Ah, on éteint les lumières ! Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire ! “
C’était le clou de la soirée... les deux mères incestueuses et débauchées de Fabrice et Raphael, faisaient leur entrée dans la pièce, illuminées par un spot, tenant chacune le bord d’un énorme gâteau ; les deux femmes avaient pour tout vêtement, leurs bottines et escarpins à talon haut, leurs bas et leur porte-jarretelles... en dehors de ça, elles offraient fièrement leur nudité éblouissante aux invités, émerveillés.
" Que la partouze commence ! " Crièrent-elles, excitées comme des puces, en s’abandonnant entre les mains avides des hommes et femmes présents.

Epilogue :
A la fin de l’année, tous les élèves retardataires de la classe de Mme V... eurent leur bac, et encore avec mention ! Cela parut si étrange, cette métamorphose des cancres de la "classe des maudits" (ainsi certains avaient-ils appelé la classe de Mme V... r, faisant ainsi référence à la religiosité excessive de son mari et proviseur), en étudiants méritants ayant brillé vers la fin de leurs études, que le recteur en personne invita cordialement la prof, pour lui expliquer le fonctionnement de sa méthode.
Anne rentra nonchalamment dans le grand bureau couvert de magnifiques boiseries style Ancien Régime, et plongea un regard de braise dans celui de l’homme aux cheveux blancs, qui se trouvait de l’autre côté du bureau. Celui-ci, un peu interloqué par cette jolie femme, blonde, à la robe couleur lin à doubles pans, fermés par une ceinture en tissu, qui le regardait droit dans les yeux avec une intensité bizarre, lui proposa un rafraîchissement. Lui-même se prit un double whisky, afin d’éliminer la tension sexuelle qui commençait à poindre dans son ventre.
Après un discours de banalités affligeantes, au cours duquel, le recteur, gêné, mais irrésistiblement attiré par les jambes de la jolie femme, qu’il remarqua gainées de bas résille blanc, et troublé par le raccourcissement constant de la robe de son interlocutrice, alors qu’elle se trémoussait sur son siège en cuir, lui demanda la recette miracle de la réussite de ses 23 élèves, pourtant si nuls auparavant.Anne se leva et fit face au recteur. Elle but son verre de porto cul sec, et fichant un regard lubrique dans celui du vieil homme, lui dit simplement :
— C’est extrêmement simple, mais pas à la portée de toutes mes collègues féminines !”
Et défaisant la ceinture en tissu, la robe s’ouvrit entièrement, et tomba sur le sol. Anne apparut dans la toute la gloire de sa nudité, en bas et porte-jarretelles blancs, le sexe déjà humide, la touffe blonde exposée, les seins pointant fièrement, devant un recteur consterné !
— C’est vieux comme le monde, je vais vous faire une démonstration pratique ! “

Fin.
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