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le vendeur connaît son affaire

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Ma femme est rousse ,visage de petite fille ,une petite coquine  .
C était l été dernier ,une promotion, alors un petit restaurant pour l occasion.
Elle s habille un peu plus féminine que d habitude.Talon ,jupe flottante ,un body pas complètement transparent mais de couleur chair très moulant ,enveloppant ces jolies petits seins ,et pour finir un chemisier avec des boutons pression de couleur gris comme ça jupe ,elle est sublime .je ne connais pas de la couleur de sa petite culotte, c’est un jeu entre nous , je dois deviner sans soulever la jupe évidemment, pour ne pas regarder d autres femmes ,"me dit-elle" et ainsi je garde toute mon attention sur elle .Nous voilà au restaurant, en terrasse au soleil proche de grands magasins .Tout se passe bien, le serveur était très présent, mais je me suis aperçu, qu’il venait trop souvent , aussi les regards des passants surtout masculins scrutaient madame, cela m’intrigue .Je regarde mon épouse, elle était jolie ; son body lui colle à la peau , sa jupe était courte, mais pas ravageur à ce point.Je comprends en fin de repas, à mon retour des toilettes en voyant Nell à la terrasse, assise au soleil avec des lunettes noires, je pouvais croire qu’elle était nue sous son chemisier, sa poitrine à la vue de tous , qu’elle ne portait rien en dessous de son chemisier, j’étais comme hypnotisé.Ce body de couleur peau avait un grand pouvoir de transparence, comme une trompe śil . Je ne pensais qu’à une chose, l’ouvrir complètement, exhiber ses seins . De conversations et de discussions. elle se laisse convaincre, un bouton en moins puis un autre, je remercie le soleil pour cela, petite salope, je me suis dit .Elle parle de mobilier, d’achat d’un canapé et elle parle, parle encore et encore, moi, je regarde ses seins qui se soulèvent à chaque respiration, je ne pense qu’à une chose de lui arracher sa culotte et visiter son petit minou, elle m’excite .Une idée remarquable-"Si tu détaches encore deux boutons. on visite un magasin de meubles", aussitôt dit, aussitôt fait.Je paie l’addition , et nous prenons la direction du magasin .Je peux vous dire que les passants reluquaient sa poitrine à chaque pas ces petits seins se ballottaient de haut en bas, admirable, mieux sublime . elle a toute confiance en son body et surtout elle ne voit pas le danger .

Dans le magasin peu de monde, vu les prix, c’est peut-être pour cela qu’il est peu fréquenté, dommage .-Et elle «je veux le plus beau » évidemment .Moi, je cherche le plus confortable mais surtout le moins coûteux . Un vendeur arrive :
«Bonjour je peux faire quelque chose pour vous, c’est à l’étage les plus jolies spécimen. »-hum jeux de mots ...Nous montons les marches, le vendeur est derrière nous, il reluque les fesses de madame, il cherche l’angle le plus favorable, il veut en voir plus .Nous sommes que tous les trois à l étage , des idées perverses me traversent l’esprit .Elle essaie les canapés, elle teste une bonne douzaine, en cuir en tissu . Puis elle arrête devant un canapé en cuir rouge de toute beauté.elle se s’assied, s’ enfonce, s’allonge. Moi, je regarde si je peux apercevoir sa petite culotte, mais elle se lève, tourne autour, regarde encore .le vendeur renifle l’affaire. -Et là, l’impensable arriva, elle se penche en avant presque 10 secondes pour vérifier les pieds de ce canapé s’ils ne vont pas rayer le parquet .c’est à ce moment que je découvre son string rose . Le vendeur a une vue imprenable, nos regards se croisent, je lui fais un sourire .la sonnette du magasin retentit, il part, voire d’autres clients..Dans ma tête çà se bouscule, cette culotte qui ne cache rien, sa poitrine, les passants, le vendeur, c’était trop .Je m’approche, je plaque Nell sur le dossier de ce fameux canapé .— "je l’achète", elle me répond " oui" .À ce moment je l’embrasse avidement, je lui glisse une main entre ses cuisses, mes doigts lui titillent son petit clitoris sous sa petite culotte .-elle me dit: « attends un peu, à la maison, il y a le vendeur ».-Et moi : « on a plus de dix minutes avant qu il revienne, tu es toute chaude » .Tout en continuant mon massage très ciblé, elle commence doucement à répondre à mes caresses, elle se laisse faire et ferme les yeux .-je profite pour lui baisser sa petite culotte à mi-cuisse, de la folie, je crois que c’est la première fois que je fais cela.-Mes doigts glissent à l’intérieur. j’exulte de plaisir de là voir ainsi ouverte, elle est penchée en avant pour mieux lui pénétrer son minou .Je veux lui mettre un maximum de doigts .Elle offre à moi, déjà deux doigts et je lui titille son petit clito avec l’autre main, je mets un genou à terre, je veux contempler.L’index, le majeur et l’annulaire sont en action , elle mouille abondamment cela me facilite le travail, je cherche à placer l’auriculaire, elle gémit un peu plus fort mais ça passe je n en reviens pas, elle coule une fontaine, je lui font des petits mouvements de va-et-vient .Des bruits de pas se rapprochent, le vendeur monte les marches, pris de panique, mon épouse me repousse, son chemisier s’ouvre et pour moi la fin d’une excitation extrême .Elle se dépêche de remonter sa culotte, et baisse au mieux sa jupe et moi je fais semblant de m’intéresser au canapé, a-t-il vu quelque chose? Humm...Elle n’a pas le temps de remettre son chemisier . Je me déplace et je vois que dans la précipitation sa jupe n’est pas complètement redescendu, un côté est coincé par sa culotte découvrant une vue fort sympathique . -le vendeur, la cinquantaine, marche plus doucement, il se rend compte du changement vestimentaire de ma femme, il regarde, il analyse, un sourire du coin des lèvres, il a compris ce que nous avons commencé, il m’approche de mon épouse, elle devient rouge écarlate comme une pivoine ou plutôt comme le canapé . il me regarde fixement, je ne dis rien .le vendeur s’approche de ma femme, je le regarde, il me fait face , il ouvre largement le chemisier, il contemple sa prise, il m’obsere .je ne bouge pas .La situation me fait bander, j’en ai mal, je suis devenu spectateur .Ma coquine de femme ne bouge pas, ne dit rien, ne fait rien, sa respiration s’accélère, sa poitrine se gonfle et le rouge de ses joues trahissent sous l’émotion .il la contemple sans rien dire .il lui prend la main, un demi-tour , puis la bascule, elle est pliée en deux sur le dos du canapé , elle a les fesses en hauteur et la tête en bas sur les coussins, elle essaye de se redresser, mais trop tard, une puissante main appuie sur les reins, l autre lui soulève sa jupe et sa petite culotte apparaît, elle reçoit de-suite plusieurs tapent sur les fesses .Surprise elle ne crie puis se soumet à lui .il ne fait pas dans le détail , il lui baisse son slip, glisse une main dans sa fente, il m’exclame : -« mais elle mouille la salope, je vais te défoncer ta chatte, petite pute ». À ce moment-là, ma femme lève la tête, un regarde.Elle offre son intimité à cet inconnu devant moi.Ça une main est toujours active entre ses cuisses, les premiers petits soufflent de plaisir apparaît.

Il baisse son pantalon , cherche sa fente et il la pénètre d’un coup sec, ma femme pousse un râle .Plutôt brutal. Celui-là, ses mains posaient sur les hanches de mon adorée, il commence de long va et viens alterné avec une claque sur son postérieur .Il s’enfonce en elle, toute la longueur la pénètre et chaque fois il lui arrache un cri de plaisir ou de douleur quand la claque tombe ou bien les deux . Mieux qu’un film ma pute de femme se fait matraquer sa chatte en recevant une fessée bien sonnante, je ne pouvais pas mieux rêver de cela, les cris sont maintenant des gémissements de plaisir, elle aime ça .Lui-«tu veux ce canapé » et avec «tu es une bonne putain » -ooouii dit Nell je me pose la question "oui" c’est pour le canapé ou pour la putain . lui-le vendeur « je te l’offre, mais tu seras ma putain, je vais te baiser chaque jour jusqu’ à la livraison, tu as compris »Ma femme était en bascule sur ce divan les fesses offertes son postérieur qui rougit de plus en plus et il ne se prive pas, elle essaie d’une main de protéger ses fesses, mais il lui prend et le maintien tout en la plaquant sur le dos, imperturbable il reprend sa fessée, elle sanglote, elle pleure Alors il se concentre sur son minou pour lui fait un ramonage en règle , il pilonne ma femme de plus en plus fort, à chaque coup çà l’envoie en avant, je ne tiens plus, je mouille mon slip .Lui, ta réponse putain "Je ne comprends pas ce qu’il dit . Il nous offre un luxueux canapé contre des coups de queue .Elle jouit comme jamais , elle remue la tête dans tous les sens, alors je lui fais signe de la tête .Et elle lui dit: "oui" » à ma grande surprise.Lui- « je n’ai pas compris, parle plus fort, tu seras ma salope, tu seras ma putain, comprise » -Et elle un « OOUIII » un peu plus fortElle reçoit ce traitement depuis plus de 20 minutes maintenant .Je vois ma femme, droguée par ce sexe, elle jouit depuis maintenant un bon moment.il est endurant le salaud.
Elle lui crie d un coup :-oui, je ferais tout ce que tu veux .-OUI je suis ta salope;-OUI je suis ta putain;-OUI frappe-moi mon gros cul;-OUI baise ma grosse chatte fais-moi jouir » j’étais abasourdi par tout ce qu’elle venait de dire, elle si fragile jamais un mot vulgaire au lit, je ne reconnaissais plus mon épouse .Comme fou suite aux paroles de ma femme devenue sa pute, il accélère la cadence, lui matraque sa jolie petite chatte, puis il pousse un cri de délivrance, il se répand en elle . -elle accepte, vaincu malgré elle, le sperme de son bourreau, il reste encore en elle, pousse deux ou trois fois pour se finir.il se retire s’essuie sur sa raie sa fesse .Enfin je vois son engin effectivement il est mieux membré que moi en longueur mais surtout en épaisseur, je suis admiratif et jaloux devant cette queue, comment elle a pu recevoir une aussi grosse queue et prendre autant de plaisir à être déformé par celle-ci.Elle a les yeux révulsés, aucune réaction .Il remonte son pantalon, ramasse la culotte de ma femme, il la range dans sa poche comme trophée .Mon épouse est toujours sur le canapé dans la même position elle n’a pas bougé elle est dans les vapes .L’homme me dit « marché conclu » il me serre la main, en fait, c’était le patron, il me demande mon adresse et me montre les camera de surveillance « une livraison week-end prochain », à ce moment je regarde Sarah ça va, elle bouge doucement elle reprend ces esprits, je contemple encore ces fesses et les traces de sperme .Il me demande, « elle travaille »-je lui réponds que «non ». il dit « ok, je passe vous voir tous les midis, fais en sorte qu’elle soit désirable.»Puis il me dit d une voix basse -« j’ai tout de suite vu qu elle aimait se faire dominer »Je devais lui dire non", que ce n’ est pas possible, mais dans le fond pourquoi pas, après elle deviendra ma salope .le patron descend, moi j’aide à réajuster sa robe mieux que la dernière fois, elle coule;Nous descendons les marches, je vois du sperme le long de sa jambe, elle me demande sa culotte, moi je lui donne un mouchoir, elle essuie sans discrétion devant nous Nous la regardons encore une fois .le patron ouvre la porte , il l’avait fermé. il nous dit «à demain midi» ;en passant devant lui elle tend le mouchoir trempé du mélange de leurs jouissances .— De retour à la maison j’embrasse ma coquine de femme comme un fou, je me rue sur sa foufoune pour aspirer son nectar tout ce qui n’est pas sortie un délice, nous faisons l’amour comme au début c’était fantastique, le soir avant de dormir elle me dit que sa queue lui a donné beaucoup de plaisir ainsi que la chaleur de là fessés lui a donné des orgasmes fulgurants. Je vois bien qu’elle a aimé cela plus qu elle me semble me faire croire, puis elle finit par me dire j’adore ta langue embrasse-moi, je t’aime.Une nuit plein de rêves de fantasmes.Au matin, je lui fais un petit déjeuner au lit il est 9 heures .Elle me demande si je suis encore partant pour que l’on reçoit notre hôte.Je ne sais pas .Je suis pris par le plaisir de ma femme et aussi mon côté voyeur . Elle écarte les cuisses, je lui lèche son minou, elle me relève la tète est me dit d une voix douce "Je te promets qu’elle sera bien remplie rien que pour toi " , je lui dis ’OUI’ et elle me replonge entre ses cuisses .Bientôt midi j’appréhende …à suivre
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